Femme BCBG, escorte, non, pute… (40)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (40)
Deux M, Magali et Marilyne sont à Bayonne pour remplir un contrat que j’ai accepté au départ en vacances à la demande de ma marraine, car l’organisation prime sur notre repos.
Marilyne pour sa première mission était un peu anxieuse jusqu’au moment où elle embrasse les deux jeunes toreros dont Miguel que j’ai dépucelé en Espagne.
Après les avoir embrassés toutes les deux pour leur montrer que nous sommes à leur service, je les entraîne jusqu’à un buffet préparé pour nous.
À la demande de Miguel, l’organisation a fait comme toujours bien les choses, des boissons nous ont été préparées sur une table.
Après quelques minutes j’envoie Miguel, mon petit torero dans la chambre avec notre copine antillaise.
Je l’entends me dire.
• Merci de nous avoir amené cette magnifique femme de couleur, elle a la même robe noire que les taureaux que nous avons vaincue ce soir.
Pour la première fois, je vais essayer de donner du plaisir à une jolie noire et je t’assure que je vais veiller sur elle comme si c’était toi.
• Moi aussi, je te fais un cadeau, fais très attention, évite de la brusquer, car pour toi ce soir c’est la première fois qu’elle vient faire l’escorte et donc va devenir une courtisane, pour éviter de dire une "pute." • Je suis donc celui qui va lui prendre son pucelage de professionnelle du sexe !
N’est aucune crainte, je vais la gâter, depuis que tu m’as dépucelé, j’ai appris à faire plaisir aux femmes avant mon propre plaisir même si je vais lui calotter son joli petit derrière qui est bien rebondi, mesdames là aussi j’ai appris qu’un peu de violence bien maîtrisé est bien là pour vous plaire.
Il ferme la porte.
Je suis seule avec Juan.
Le jeune homme est grand au moins un mètre quatre-vingt-dix.
• Approche.
Il me fait signe en me montrant son oreille et parle dans sa langue.
• No comprendo.
Je comprends qu’il est comme moi et que la barrière de la langue va compliquer ma tâche.
Dur si je dois baiser avec tous les toréadors d’Espagne, il va falloir que je me mette à l’espagnol.
Je lui fais un signe d’avancées vers moi avec mon doigt replié.
Il comprend, il arrive vers moi.
Si nous connaissions le langage des signes cela nous aiderait, hélas, là aussi, il va falloir que je me forme.
Je lui montre avec mon doigt ma bouche, il me fait oui de la tête.
• Kiss baisé ?
• Besado, yes.
Yes, il parle un mot d’anglais.
Je le prends par les joues et j’approche ma bouche de la sienne.
A, il connaît, sa langue cherche la mienne.
J’ai du mal à traduire mais qu’il emballe bien, c’est toujours cela de gagner !
Il me prend par les épaules pour me faire pencher la tête.
Je lui prends une main et la pose sur ma poitrine.
Il reste inerte sur mon sein.
Je lâche sa bouche, lui prend la main et je donne un mouvement de rotation.
On est loin encore arrivé à la baise finale que j’attends, depuis le temps qu’une verge a ignoré ma chatte surtout que le jeune homme a l’air très appétissant.
Il me fait oui et commence à faire tourner sa main.
Je reprends sa bouche, sa langue recommence à me faire de l’effet.
Sa main sur le sein droit tourne consciencieusement, ça peut aller un temps.
Je la saisis et la fais descendre vers ma chatte.
J’arrive à soulever ma mini et lui mets les doigts sur mon sexe.
Il a un sursaut, je m’écarte, il fait un geste qui monte ma vulve en faisant un mouvement de gauche à droite.
• Non ?
• No.
Je suis mal parti, il refuse de baiser.
Une idée. Je prends ma main, rejoint mon pouce avec mes autres doigts pour faire le puits de feuille, ciseaux Avec l’autre main, je mets l’index dans le trou et le fait allé avant arrière.
Je lui fais non de la tête, il me fait oui de la tête.
Oui, non, je suis paumée.
Je recommence en lui faisant oui, il me fait oui.
Ça marche, il veut baiser, alors pourquoi ce « non » lorsque je lui ai fait toucher ma chatte.
Lumière, je me recule la robe toujours relevée. Je fais le geste avec deux doigts écartés de droite à gauche devant mon sexe. Je lui fais non. J’ai compris, il a été étonné de mon manque de culotte.
Il me fait oui.
Je lui dis Yes, il me répond si. Je viens de faire un pas.
Je lui dis Non, il me répond no. Sa marche, on tient le si et le no.
Je lui redonne ma bouche et amène ses doigts de nouveau sur ma vulve. Dans un souffle je lui dis si.
Il fait tourner sa main sur ma chatte. C’est sympa, mais tourner, c’était pour mes seins ses doigts, c’est pour l’intérieur de ma grotte.
Je reprends sa main, plutôt ses bouts de deux doigts. Je les pousse en avant.
Il entre, sans forcer, normal l’attente m’a fait énormément mouiller.
Je manœuvre ses doigts de haut en bas.
La main lâchée, je le laisse faire seul. Il embrasse tellement bien, pour la suite, rien ne presse.
Je suis émoustillé. Mais il faut avancer.
Je me recule en lui faisant mes yeux de biche pour lui donnée confiance.
Je me baisse et détache sa ceinture.
Je vois qu’il défait sa chemise. C’est toujours ça de gagner.
Je baisse son pantalon et sors de son slip, un braquemart d’une taille jamais-vu. Plus de vingt-cinq au moins.
Le diamètre aussi, quatre à cinq de diamètre.
Je fais un geste vers ma bouche.
• Si.
Je la fais entrer avec du mal tellement, elle est importante, mais je suis une brave fille et j’y arrive.
Si quelquefois il souhaite tenter une gorge profonde, là, j’aurais du mal à m’y aventurer.
Je le pompe plus que je ne le lèche.
Attention, il est jeune et inexpérimenté. Il faut éviter qu’il parte trop tôt.
Il faut qu’il m’enfile la chatte pour la première fois de sa vie comme lui a promis Miguel s’il triomphait.
Est-ce qu’il l’a vu nu avec sa verge démentielle ?
Je le lâche me couche sur le lit les jambes dans le vide.
Je lui ai gardé la main, je le tire doucement vers moi et avec ma langue, je simule un léchage avec la sienne.
• Si.
• Si.
Super, il maîtrise le si aussi bien que je maîtrise les si moi aussi.
Il s’agenouille et sa bouche, rejoint ma chatte.
Si sa langue embrasse bien, elle est aussi efficace dans ma vulve.
Sa langue vient s’attarder sur mon clitoris. J’ai même un début de plaisir.
Je suis toujours habillée mini relevée.
Je me redresse sur les coudes et en me tortillant, j’enlève le haut.
Mes seins sont nus.
J’attrape une de ses mains et la plaque sur ma poitrine.
Il a du mal à coordonner sa langue dans ma chatte et sa main sur le sein.
Mais il y met tant de passion qu’il en est touchant.
J’aime me faire brouter le minet, mais la barre qu’il me présente doit être source de plaisir. Il est temps de lui enlever son pucelage.
Je lui écarte la tête et me relève.
Gentleman, il m’aide.
Je le reprends contre moi. Pour la première fois, je sens sa poitrine virile contre mes seins. Mes pointes sont excitées par ce contact.
Mon clito, les pointes de mes seins, il est fort avec tout ce qui dépassent.
Son sexe est dressé le long de mon ventre.
J’attrape la capuche que j’avais posée sur la table de nuit, je me baisse et avec ma bouche, j’essaye de lui mettre. Il est trop gros pour que la capote glisse comme je le fais d’habitude sur le sexe de mes clients. Je prends mes mains et la positionne sans oublier la réserve pour éviter qu’elle éclate surtout avec les couilles qu’il a et qui doivent cracher une grande quantité de sperme.
Je me relève et nous, nous embrassons une fois de plus.
Je fais glisser ma mini.
En restant soudé, je l’entraîne avec moi.
Nous glissons au centre du lit.
Je prends sa queue et la présente à ma vulve.
Je, le regard.
• Si » « Ho si ».
Il donne un coup de reins et me pénètre.
Certes, ma chatte avec la main de ma petite où le gode de Tof a déjà été plus tendu, mais cette sensation est différente. Elle vit. Elle bouge d’avant en arrière.
• Si, si, si, siiiiiiiiiii…
Je viens déjà de jouir une première fois.
Il m’embrasse avec autant d’efficacité et continue à faire aller sa verge en moi.
J’avais peur qu’il n’éjacule prématurément or, il m’a fait jouir sans remplir sa capote.
Il l’amène au fond de moi et je suis sûr qu’il en reste dix bons centimètres en dehors de mon vagin.
Et si je me mets en levrette, combien de centimètres gagnera-t-il ?
Je l’écarte tendrement.
• « Moment. »• « Momento » ?
Bien, « Si ? No » et maintenant « Momento ».
À la fin de ce contrat, je parlerai espagnol.
Je me mets en levrette et il vient derrière moi.
Je sens qu’il prend son nœud en main, le fait monté de haut en bas comme s’il cherchait l’alignement, il donne un coup de reins et il m’encule.
Ça surprend lorsque l’on y est pas préparé. Je manque de crier, mais mes sprinters se détendent et son pieu se glisse plus loin en moi.
Je sens ses couilles sur ma vulve, contre mon clitoris. Il est entré entièrement.
Je le laisse aller dans mes entrailles.
Est-ce la bite dans mon cul, les bourses contre mon clito, je pars, je jouis, je défaille.
Quelle belle santé, il bande toujours et n’a toujours pas inondé mes entrailles.
Je le veux dans mon ventre pour finir en beauté notre première baise de la soirée.
Je me retire et lui fais comprendre que je veux qu’il me pénètre la chatte pour qu’il prenne pour la première fois de sa vie son plaisir dans mon calice féminin.
Je m’allonge, le récupère sur mon ventre, me laisse pénétrer et le laisse me pilonner.
Je prends énormément de plaisir, en me tortillant dans tous les sens.
La grosseur du gourdin bien fiché dans mon vagin me donne une idée.
Je me concentre et je fais marché mes muscles vaginaux.
Est-ce la grosseur du membre ou le coup de main que j’arrive à prendre, mais je sens ma chatte s’ouvrir et se fermer chaque fois que j’arrive à les faire fonctionner.
Juan a l’air d’être étonné de sentir ces mouvements sur sa queue, car je le vois avoir un regard changeant.
• « Si » ?
Une vague sort de son sexe et vient remplir la capote. Je pars une fois encore.
Il a joui et tellement joui que je crains que la capote ne cède.
La prudence voudrait que je me garantisse en le faisant sortir de mon sexe, mais j’ai perdu toute force.
Comment prendrait-il si je le repoussais alors que sa jouissance est encore apparente.
Il m’embrasse, et se retire pour éviter de peser sur mon ventre.
Pour contrôler le risque, sans en avoir l’air, je me glisse jusqu'à sa bite et retire la capote.
Je lui prends sa tige dans la bouche, il rebande.
Quelle santé…
Marilyne pour sa première mission était un peu anxieuse jusqu’au moment où elle embrasse les deux jeunes toreros dont Miguel que j’ai dépucelé en Espagne.
Après les avoir embrassés toutes les deux pour leur montrer que nous sommes à leur service, je les entraîne jusqu’à un buffet préparé pour nous.
À la demande de Miguel, l’organisation a fait comme toujours bien les choses, des boissons nous ont été préparées sur une table.
Après quelques minutes j’envoie Miguel, mon petit torero dans la chambre avec notre copine antillaise.
Je l’entends me dire.
• Merci de nous avoir amené cette magnifique femme de couleur, elle a la même robe noire que les taureaux que nous avons vaincue ce soir.
Pour la première fois, je vais essayer de donner du plaisir à une jolie noire et je t’assure que je vais veiller sur elle comme si c’était toi.
• Moi aussi, je te fais un cadeau, fais très attention, évite de la brusquer, car pour toi ce soir c’est la première fois qu’elle vient faire l’escorte et donc va devenir une courtisane, pour éviter de dire une "pute." • Je suis donc celui qui va lui prendre son pucelage de professionnelle du sexe !
N’est aucune crainte, je vais la gâter, depuis que tu m’as dépucelé, j’ai appris à faire plaisir aux femmes avant mon propre plaisir même si je vais lui calotter son joli petit derrière qui est bien rebondi, mesdames là aussi j’ai appris qu’un peu de violence bien maîtrisé est bien là pour vous plaire.
Il ferme la porte.
Je suis seule avec Juan.
Le jeune homme est grand au moins un mètre quatre-vingt-dix.
• Approche.
Il me fait signe en me montrant son oreille et parle dans sa langue.
• No comprendo.
Je comprends qu’il est comme moi et que la barrière de la langue va compliquer ma tâche.
Dur si je dois baiser avec tous les toréadors d’Espagne, il va falloir que je me mette à l’espagnol.
Je lui fais un signe d’avancées vers moi avec mon doigt replié.
Il comprend, il arrive vers moi.
Si nous connaissions le langage des signes cela nous aiderait, hélas, là aussi, il va falloir que je me forme.
Je lui montre avec mon doigt ma bouche, il me fait oui de la tête.
• Kiss baisé ?
• Besado, yes.
Yes, il parle un mot d’anglais.
Je le prends par les joues et j’approche ma bouche de la sienne.
A, il connaît, sa langue cherche la mienne.
J’ai du mal à traduire mais qu’il emballe bien, c’est toujours cela de gagner !
Il me prend par les épaules pour me faire pencher la tête.
Je lui prends une main et la pose sur ma poitrine.
Il reste inerte sur mon sein.
Je lâche sa bouche, lui prend la main et je donne un mouvement de rotation.
On est loin encore arrivé à la baise finale que j’attends, depuis le temps qu’une verge a ignoré ma chatte surtout que le jeune homme a l’air très appétissant.
Il me fait oui et commence à faire tourner sa main.
Je reprends sa bouche, sa langue recommence à me faire de l’effet.
Sa main sur le sein droit tourne consciencieusement, ça peut aller un temps.
Je la saisis et la fais descendre vers ma chatte.
J’arrive à soulever ma mini et lui mets les doigts sur mon sexe.
Il a un sursaut, je m’écarte, il fait un geste qui monte ma vulve en faisant un mouvement de gauche à droite.
• Non ?
• No.
Je suis mal parti, il refuse de baiser.
Une idée. Je prends ma main, rejoint mon pouce avec mes autres doigts pour faire le puits de feuille, ciseaux Avec l’autre main, je mets l’index dans le trou et le fait allé avant arrière.
Je lui fais non de la tête, il me fait oui de la tête.
Oui, non, je suis paumée.
Je recommence en lui faisant oui, il me fait oui.
Ça marche, il veut baiser, alors pourquoi ce « non » lorsque je lui ai fait toucher ma chatte.
Lumière, je me recule la robe toujours relevée. Je fais le geste avec deux doigts écartés de droite à gauche devant mon sexe. Je lui fais non. J’ai compris, il a été étonné de mon manque de culotte.
Il me fait oui.
Je lui dis Yes, il me répond si. Je viens de faire un pas.
Je lui dis Non, il me répond no. Sa marche, on tient le si et le no.
Je lui redonne ma bouche et amène ses doigts de nouveau sur ma vulve. Dans un souffle je lui dis si.
Il fait tourner sa main sur ma chatte. C’est sympa, mais tourner, c’était pour mes seins ses doigts, c’est pour l’intérieur de ma grotte.
Je reprends sa main, plutôt ses bouts de deux doigts. Je les pousse en avant.
Il entre, sans forcer, normal l’attente m’a fait énormément mouiller.
Je manœuvre ses doigts de haut en bas.
La main lâchée, je le laisse faire seul. Il embrasse tellement bien, pour la suite, rien ne presse.
Je suis émoustillé. Mais il faut avancer.
Je me recule en lui faisant mes yeux de biche pour lui donnée confiance.
Je me baisse et détache sa ceinture.
Je vois qu’il défait sa chemise. C’est toujours ça de gagner.
Je baisse son pantalon et sors de son slip, un braquemart d’une taille jamais-vu. Plus de vingt-cinq au moins.
Le diamètre aussi, quatre à cinq de diamètre.
Je fais un geste vers ma bouche.
• Si.
Je la fais entrer avec du mal tellement, elle est importante, mais je suis une brave fille et j’y arrive.
Si quelquefois il souhaite tenter une gorge profonde, là, j’aurais du mal à m’y aventurer.
Je le pompe plus que je ne le lèche.
Attention, il est jeune et inexpérimenté. Il faut éviter qu’il parte trop tôt.
Il faut qu’il m’enfile la chatte pour la première fois de sa vie comme lui a promis Miguel s’il triomphait.
Est-ce qu’il l’a vu nu avec sa verge démentielle ?
Je le lâche me couche sur le lit les jambes dans le vide.
Je lui ai gardé la main, je le tire doucement vers moi et avec ma langue, je simule un léchage avec la sienne.
• Si.
• Si.
Super, il maîtrise le si aussi bien que je maîtrise les si moi aussi.
Il s’agenouille et sa bouche, rejoint ma chatte.
Si sa langue embrasse bien, elle est aussi efficace dans ma vulve.
Sa langue vient s’attarder sur mon clitoris. J’ai même un début de plaisir.
Je suis toujours habillée mini relevée.
Je me redresse sur les coudes et en me tortillant, j’enlève le haut.
Mes seins sont nus.
J’attrape une de ses mains et la plaque sur ma poitrine.
Il a du mal à coordonner sa langue dans ma chatte et sa main sur le sein.
Mais il y met tant de passion qu’il en est touchant.
J’aime me faire brouter le minet, mais la barre qu’il me présente doit être source de plaisir. Il est temps de lui enlever son pucelage.
Je lui écarte la tête et me relève.
Gentleman, il m’aide.
Je le reprends contre moi. Pour la première fois, je sens sa poitrine virile contre mes seins. Mes pointes sont excitées par ce contact.
Mon clito, les pointes de mes seins, il est fort avec tout ce qui dépassent.
Son sexe est dressé le long de mon ventre.
J’attrape la capuche que j’avais posée sur la table de nuit, je me baisse et avec ma bouche, j’essaye de lui mettre. Il est trop gros pour que la capote glisse comme je le fais d’habitude sur le sexe de mes clients. Je prends mes mains et la positionne sans oublier la réserve pour éviter qu’elle éclate surtout avec les couilles qu’il a et qui doivent cracher une grande quantité de sperme.
Je me relève et nous, nous embrassons une fois de plus.
Je fais glisser ma mini.
En restant soudé, je l’entraîne avec moi.
Nous glissons au centre du lit.
Je prends sa queue et la présente à ma vulve.
Je, le regard.
• Si » « Ho si ».
Il donne un coup de reins et me pénètre.
Certes, ma chatte avec la main de ma petite où le gode de Tof a déjà été plus tendu, mais cette sensation est différente. Elle vit. Elle bouge d’avant en arrière.
• Si, si, si, siiiiiiiiiii…
Je viens déjà de jouir une première fois.
Il m’embrasse avec autant d’efficacité et continue à faire aller sa verge en moi.
J’avais peur qu’il n’éjacule prématurément or, il m’a fait jouir sans remplir sa capote.
Il l’amène au fond de moi et je suis sûr qu’il en reste dix bons centimètres en dehors de mon vagin.
Et si je me mets en levrette, combien de centimètres gagnera-t-il ?
Je l’écarte tendrement.
• « Moment. »• « Momento » ?
Bien, « Si ? No » et maintenant « Momento ».
À la fin de ce contrat, je parlerai espagnol.
Je me mets en levrette et il vient derrière moi.
Je sens qu’il prend son nœud en main, le fait monté de haut en bas comme s’il cherchait l’alignement, il donne un coup de reins et il m’encule.
Ça surprend lorsque l’on y est pas préparé. Je manque de crier, mais mes sprinters se détendent et son pieu se glisse plus loin en moi.
Je sens ses couilles sur ma vulve, contre mon clitoris. Il est entré entièrement.
Je le laisse aller dans mes entrailles.
Est-ce la bite dans mon cul, les bourses contre mon clito, je pars, je jouis, je défaille.
Quelle belle santé, il bande toujours et n’a toujours pas inondé mes entrailles.
Je le veux dans mon ventre pour finir en beauté notre première baise de la soirée.
Je me retire et lui fais comprendre que je veux qu’il me pénètre la chatte pour qu’il prenne pour la première fois de sa vie son plaisir dans mon calice féminin.
Je m’allonge, le récupère sur mon ventre, me laisse pénétrer et le laisse me pilonner.
Je prends énormément de plaisir, en me tortillant dans tous les sens.
La grosseur du gourdin bien fiché dans mon vagin me donne une idée.
Je me concentre et je fais marché mes muscles vaginaux.
Est-ce la grosseur du membre ou le coup de main que j’arrive à prendre, mais je sens ma chatte s’ouvrir et se fermer chaque fois que j’arrive à les faire fonctionner.
Juan a l’air d’être étonné de sentir ces mouvements sur sa queue, car je le vois avoir un regard changeant.
• « Si » ?
Une vague sort de son sexe et vient remplir la capote. Je pars une fois encore.
Il a joui et tellement joui que je crains que la capote ne cède.
La prudence voudrait que je me garantisse en le faisant sortir de mon sexe, mais j’ai perdu toute force.
Comment prendrait-il si je le repoussais alors que sa jouissance est encore apparente.
Il m’embrasse, et se retire pour éviter de peser sur mon ventre.
Pour contrôler le risque, sans en avoir l’air, je me glisse jusqu'à sa bite et retire la capote.
Je lui prends sa tige dans la bouche, il rebande.
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