Femme BCBG, escorte, non, pute… (48)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (48)
Après la première soirée avec des clients d’un pays inconnu pour Arum et Ayu que j’ai emmenés pour leur premier contrat avec l’organisation, dans cette soirée, elles ont démarré notre prestation et l’on fait avec maestria.
Après le spectacle donné à nos clients et le repas qui nous a été offert, au retour dans les cabines à ma demande les petites entraînent les trois garçons dans leurs cabines afin que je puisse garder le capitaine beau à en mourir dans la mienne.
• Après tous ce que tu viens de me dire et la façon que tu as d’obtenir ce que tu veux, je suis sûr que Charif est passé à la casserole.
• Tu as raison, pas besoin de me déshabillé, je le suis déjà.
Je défais sa veste à col officier et je dégage, sa poitrine très velue et nue sous la vareuse.
J’aime passer ma main dans cette toison très douce, j’ai toujours été attiré par ce type de mâle.
Tout en m’embrassant, il me prend un sein qu’il caresse avec la paume ouverte.
Les pointes de mes aréoles réagissent et mes mamelons se durcissent.
Je défais la ceinture de son pantalon et je descends à la hauteur de sa verge qu’il me présente.
De peur qu’on ne me la prenne, je la prends en bouche et je la pompe rapidement.
Belle bête, j’étais pressé qu’elle vienne dans ma chatte.
J’ai bien apprécié les saillis des trois escortes, mais sans les choisir, alors que Charif, j’ai moi-même voulu qu’il vienne dans ma cabine pour s’occuper de mon intimité.
• Tu as raison, nous avons le pouvoir nous les escortes de différencier une bite pour le fric et une bite pour notre seul plaisir.
• Son pantalon que j’ai détaché chute à ses pieds entravant ses jambes, il bouge, nous chutons sur le lit et j’écarte juste les cuisses pour me faire pénétrer.
Il embrasse bien et il sait aussi se servir de sa verge pour le plaisir de sa partenaire.
J’ai été broyé par la verge de Boris, Yvan et surtout Adonis, avec Charif, je retrouve la douceur d’une étreinte tournée vers mon plaisir.
Je ressens une petite décharge sympathique, qui vous caresse le bas des reins et qui vous insiste à en redemander.
J’en redemande et pour cela je me mets en levrette.
Il me prend les hanches et délicatement me pénètre une nouvelle fois mon vagin.
Il entre et sort lentement, mon plaisir est augmenté, lui aussi.
Il y a bien longtemps que sans rudesse, un homme me fait l’amour.
Pour certains hommes, les escortes sont de simples putes à baiser et ils se croient plus virils en vous labourant sans ménagement.
J’apprécie beaucoup la douceur de Charif et une fois de plus je râle mon plaisir.
• Je suis sûr que tu oublies de le dire, mais tes draps doivent être imprégnés de ce que ta chatte rejette comme liquide.
• Bizarrement est-ce le faite de sa gentillesse ou de sa douceur, mais mon sexe monte en plaisir sans envoyer les grandes eaux.
Il sort de moi, me fait basculer sur le côté pour me prendre par une cuillère. Il cherche à me pénétrer. Pour l’aider, je lève une jambe.
Avec sa main, il se présente devant ma vulve.
Je lui saisis la verge écartant sa main, je le positionne dans l’axe de l’anus.
• « Yes ? »• « Yes. »
Prévenant le monsieur, il ignore que j’aime qu’on me sodomise.
Il appuie avec la même précaution qu’avec ma chatte et me pénètre jusqu’au fond de mon fondement.
• À fond, sodomisez-moi à fond, j’adore ça.
Souvent, prise par le cul, ma jouissance traine à démarrer, mais avec la douceur de Charif, elle se met en marche.
Je sens qu’il va éjaculer, je me redresse enlève sa protection et le prend en bouche.
Est-ce le vent du large et de l’air salé, il m’envoie, son sperme qui inonde ma bouche avec un goût fort agréable.
Je m’écroule et je dors, la journée bien remplie.
Un temps plus tard, je me réveille, je suis seule, Charif est parti.
Je rejoins les filles, la cabine où je les aie vues entrer est ouverte.
Quelle heure est-il, je l’ignore, mais une des sœurs à encore de la santé et satisfait deux des trois mâles.
Sa sœur dort dans les bras d’Adonis qui a encore la queue à moitié bandée.
Je m’allonge près d’eux et je replonge dans un sommeil profond.
Lorsque j’ouvre les yeux, nous sommes seules, nos amants sont retournés dans leur cabine.
Les deux sœurs sont venues se lover contre moi.
Sur la tête de lit, j’aperçois un réveil électronique. Neuf heures vingt. Il faut bouger.
Je réveille les petites, il faut nous préparer.
Nous-nous retrouvons dans la baignoire ronde où nous tenons toutes les trois sans problème.
Pourquoi changer nos habitudes, je sors dénuder le capitaine fidèle à sa parole nous attend ?
Nul trace dans son attitude ou dans son regard fait transparaître ce qui nous a réunis cette nuit.
Sur la plage arrière une toile a est tendue, une table est dressée. Un petit déjeuner copieux est prêt.
Nous-nous servons alors que Charif reste figé à côté de la table.
Nous avons fini.
Charif s’approche et nous donne les directives pour la journée.
• Je vais vous guider jusqu'au troisième pont arrière où vous pourrez vous reposer au soleil.
Une coursive, un escalier, deux escaliers, une coursive et nous arrivons dans un espace conçu pour le sport et pour farnienter.
Une plage plus petite que celle du premier pont, une piscine d’au moins six mètres sur quatre, entourée de transats.
Cette plage donne dans une salle où tout le nécessaire de musculation et remise en forme sont à notre disposition.
Dans un côté un écran télé plat et géant permet de capter toutes les chaînes possibles par satellite.
L’ensemble est complété par une table avec à notre disposition du solide et du liquide conservé dans des saladiers de glace pillée.
Charif continue à nous présenter le programme.
Nous resterons dans cet espace entièrement à notre disposition jusqu'à dix-huit heures. Heure où il viendra nous reconduire à nos cabines pour que l’on se prépare.
À dix-neuf heures, comme hier nous nous retrouverons dans le salon du premier étage ou nous passerons la soirée.
• Si vous avez besoin de moi, vous avez comme dans vos cabines un bouton pour m’appeler.
Enfin, le yacht longe la côte méditerranéenne. Dans dix minutes nous doubleront la rade de Toulon.
Nous continuerons jusqu'à Marseille et continuerons jusqu'à Barcelone en Espagne.
Nous contournerons les Baléares vers dix-huit heures. Nous ferons retour vers Saint-Tropez demain matin vers huit heures.
Lorsqu’il y aura des choses à voir, à bâbord à tribord je vous préviendrais par la sonorisation.
Je vous parlais de la rade de Toulon, nous la longeons en ce moment.
Bonne journée.
Il repart vers sa passerelle de commandement.
J’ai pris avec moi mon petit sac à main.
Je m’isole, et j’appelle l’organisation afin de leur demander de m’envoyer un commissionnaire afin que je lui remette la mallette de billets demain matin.
Je rejoins les copains qui s’amusent dans la piscine.
La journée se déroule dans une bonne ambiance.
Nous-nous enduisons de crèmes solaires pour éviter les coups de soleil.
Il serait préjudiciable à la soirée que nos clients ont payée en cash qui de nous déclare forfait, car ces fesses sont plus douloureuses à cause du soleil que de la fessée, nous pourrions infliger par jeu.
Les hommes sollicitent les filles pour s’amuser un peu. Mais la chaleur les incite à refuser ces avances.
Après avoir mangé avec Boris, nous réunissons avec beaucoup de mal toute la troupe, car nous sommes plus une troupe en représentation qu’en escorte prête à être baisée par nos clients.
Nous préparons un petit scénario pour que le spectacle que nous allons donner à ces hommes soit aussi consistant et hard que celui d’hier.
• Je suis déjà venu, la durée importe peu, car lorsque le propriétaire du yacht le décide, ils partent même si nous prévoyons de nous éclater deux heures de plus.
Comme il nous la promis, toute la journée, Charif nous donne des renseignements sur notre parcours.
Nous venions de doubler les Baléares lorsqu’il est venu nous ramener dans nos cabines.
Je reste dans la chambre des filles à leur poudrer le nez pour éviter la pâleur des projecteurs.
Pimpant et nu, Cherif nous guide jusqu’au salon, lieu de nos ébats.
Les hommes ont remis la tenue qu’ils avaient hier pantalon et nœud papillon sur leur torse nu. La seule différence par rapport à hier, ce sont les couleurs qui changent.
Dans le salon, les fauteuils des turbans sont placés en demi-cercle face au tapis.
Le tapis persan d’hier a été remplacé par un tapis à nuance bleue.
La musique démarre, les lumières s’allument.
Nos trois baraqués avec Boris à leur tête s’élancent dans le cercle de lumière.
Ils entament une danse endiablée avec une chorégraphie parfaitement huilée.
Tous les mouvements sont en tout point impeccable.
Leur final est traditionnel, ils arrachent leurs pantalons et les balances à travers la pièce.
À la différence des danseurs pour pucelle en quette de soirée de clôture de vie de jeune fille, les trois garçons nous font apparaître un sexe prêt à combattre avec nous.
Adonis bande déjà aux trois quarts.
Un autre morceau est diffusé, ils se retournent vers nous.
Ils s’approchent et six mains m’empoignent, je me retrouve allongé au-dessus de leur tête au bout de leurs bras.
Il me lâche au centre du cercle et me réceptionne dans leurs bras.
Je tournoie et me pose au sol en levrette.
Yvan se place devant moi et me met son pénis dans la bouche pour que je le fasse durcir. Il y arrive immédiatement. Il me tend un préservatif que je lui mets avec ma bouche.
Ils m’ont placé face aux filles qui attendent hors du cercle.
Il me contourne et m’enfile après m’avoir simplement enduit la chatte de salive avec sa main.
Il commence à me pilonner, c’est très agréable.
Boris et Adonis s’approchent d’Arum, la saisissent comme ils l’ont fait pour moi et la déplace jusqu'à moi et dans un mouvement différent que celui qu’ils m’ont fait prendre la place à mes côtés dans la même position. Boris s’approche et lui rempli, la bouche avec son vit.
Yvan continue à me transpercer et Boris va en faire de même avec Anne. Comme moi, elle lui place son chapeau, il la contourne et nous sommes maintenant deux à prendre du plaisir avec les bâtons qu’ils ont placés en nous.
Adonis s’approche d’Ayu, lui place une main dans le creux des reins et dans une envolée la porte à bout de bras simplement posée sur sa main, son corps par l’effet de la pesanteur, forme un arc de cercle du plus bel effet.
La position dégage la chatte de la petite pute et me la fait voir sous un angle nouveau.
Tous les muscles d’Adonis sont bandés et la chaleur du soir le couvre de sueur. Pour l’amener au centre du tapis, il en fait entièrement le tour pour finir au centre.
Subitement il la laisse tomber, la rattrape dans ses bras, la penche en arrière et lui prend un baiser.
Elle se retrouve à nos côtés. Contrairement à ses copains, il bande déjà, prestement il est prêt et lui enfile la chatte. Ils nous pénètrent jusqu’au moment où nous prenons notre plaisir et quand nous y arrivons, il change de partenaire à une vitesse tellement rapide qu’il m’est impossible de savoir qui des trois garçons me prend par la chatte.
Seule un instant la grosseur du sexe en moi me donne l’impression qu’Adonis vient de me pénétrer.
Combien de temps dure cette ronde, je ne saurais le dire, mais la tétanisation de mes bras tendus me montre la fatigue générée.
Je m’écroule sur mes avant-bras, c’est le moment que choisissent ces trois bêtes de sexe pour me sodomiser. Arum et Ayu en bonnes jumelles crient leurs plaisirs en même temps.
Plusieurs minutes de ce traitement et après que nous avons joui, ils arrachent les capotes et viennent se déverser dans nos bouches.
Nous sortons tous du cercle, Boris me demande comme prévu d’organiser la scène entre filles pour qu’ils rechargent leurs accus.
J’ai une idée non prévue l’après-midi, il était difficile de tout écrire du scénario avant. Je leur demande d’apporter quatre transats face aux turbans.
Je récupère dans mon sac le flacon d’huile solaire que je me suis servi sur le pont arrière et je le donne à Arum.
• Arum et Ayu allez-vous faire plaisir avec votre massage si érotique…
Après le spectacle donné à nos clients et le repas qui nous a été offert, au retour dans les cabines à ma demande les petites entraînent les trois garçons dans leurs cabines afin que je puisse garder le capitaine beau à en mourir dans la mienne.
• Après tous ce que tu viens de me dire et la façon que tu as d’obtenir ce que tu veux, je suis sûr que Charif est passé à la casserole.
• Tu as raison, pas besoin de me déshabillé, je le suis déjà.
Je défais sa veste à col officier et je dégage, sa poitrine très velue et nue sous la vareuse.
J’aime passer ma main dans cette toison très douce, j’ai toujours été attiré par ce type de mâle.
Tout en m’embrassant, il me prend un sein qu’il caresse avec la paume ouverte.
Les pointes de mes aréoles réagissent et mes mamelons se durcissent.
Je défais la ceinture de son pantalon et je descends à la hauteur de sa verge qu’il me présente.
De peur qu’on ne me la prenne, je la prends en bouche et je la pompe rapidement.
Belle bête, j’étais pressé qu’elle vienne dans ma chatte.
J’ai bien apprécié les saillis des trois escortes, mais sans les choisir, alors que Charif, j’ai moi-même voulu qu’il vienne dans ma cabine pour s’occuper de mon intimité.
• Tu as raison, nous avons le pouvoir nous les escortes de différencier une bite pour le fric et une bite pour notre seul plaisir.
• Son pantalon que j’ai détaché chute à ses pieds entravant ses jambes, il bouge, nous chutons sur le lit et j’écarte juste les cuisses pour me faire pénétrer.
Il embrasse bien et il sait aussi se servir de sa verge pour le plaisir de sa partenaire.
J’ai été broyé par la verge de Boris, Yvan et surtout Adonis, avec Charif, je retrouve la douceur d’une étreinte tournée vers mon plaisir.
Je ressens une petite décharge sympathique, qui vous caresse le bas des reins et qui vous insiste à en redemander.
J’en redemande et pour cela je me mets en levrette.
Il me prend les hanches et délicatement me pénètre une nouvelle fois mon vagin.
Il entre et sort lentement, mon plaisir est augmenté, lui aussi.
Il y a bien longtemps que sans rudesse, un homme me fait l’amour.
Pour certains hommes, les escortes sont de simples putes à baiser et ils se croient plus virils en vous labourant sans ménagement.
J’apprécie beaucoup la douceur de Charif et une fois de plus je râle mon plaisir.
• Je suis sûr que tu oublies de le dire, mais tes draps doivent être imprégnés de ce que ta chatte rejette comme liquide.
• Bizarrement est-ce le faite de sa gentillesse ou de sa douceur, mais mon sexe monte en plaisir sans envoyer les grandes eaux.
Il sort de moi, me fait basculer sur le côté pour me prendre par une cuillère. Il cherche à me pénétrer. Pour l’aider, je lève une jambe.
Avec sa main, il se présente devant ma vulve.
Je lui saisis la verge écartant sa main, je le positionne dans l’axe de l’anus.
• « Yes ? »• « Yes. »
Prévenant le monsieur, il ignore que j’aime qu’on me sodomise.
Il appuie avec la même précaution qu’avec ma chatte et me pénètre jusqu’au fond de mon fondement.
• À fond, sodomisez-moi à fond, j’adore ça.
Souvent, prise par le cul, ma jouissance traine à démarrer, mais avec la douceur de Charif, elle se met en marche.
Je sens qu’il va éjaculer, je me redresse enlève sa protection et le prend en bouche.
Est-ce le vent du large et de l’air salé, il m’envoie, son sperme qui inonde ma bouche avec un goût fort agréable.
Je m’écroule et je dors, la journée bien remplie.
Un temps plus tard, je me réveille, je suis seule, Charif est parti.
Je rejoins les filles, la cabine où je les aie vues entrer est ouverte.
Quelle heure est-il, je l’ignore, mais une des sœurs à encore de la santé et satisfait deux des trois mâles.
Sa sœur dort dans les bras d’Adonis qui a encore la queue à moitié bandée.
Je m’allonge près d’eux et je replonge dans un sommeil profond.
Lorsque j’ouvre les yeux, nous sommes seules, nos amants sont retournés dans leur cabine.
Les deux sœurs sont venues se lover contre moi.
Sur la tête de lit, j’aperçois un réveil électronique. Neuf heures vingt. Il faut bouger.
Je réveille les petites, il faut nous préparer.
Nous-nous retrouvons dans la baignoire ronde où nous tenons toutes les trois sans problème.
Pourquoi changer nos habitudes, je sors dénuder le capitaine fidèle à sa parole nous attend ?
Nul trace dans son attitude ou dans son regard fait transparaître ce qui nous a réunis cette nuit.
Sur la plage arrière une toile a est tendue, une table est dressée. Un petit déjeuner copieux est prêt.
Nous-nous servons alors que Charif reste figé à côté de la table.
Nous avons fini.
Charif s’approche et nous donne les directives pour la journée.
• Je vais vous guider jusqu'au troisième pont arrière où vous pourrez vous reposer au soleil.
Une coursive, un escalier, deux escaliers, une coursive et nous arrivons dans un espace conçu pour le sport et pour farnienter.
Une plage plus petite que celle du premier pont, une piscine d’au moins six mètres sur quatre, entourée de transats.
Cette plage donne dans une salle où tout le nécessaire de musculation et remise en forme sont à notre disposition.
Dans un côté un écran télé plat et géant permet de capter toutes les chaînes possibles par satellite.
L’ensemble est complété par une table avec à notre disposition du solide et du liquide conservé dans des saladiers de glace pillée.
Charif continue à nous présenter le programme.
Nous resterons dans cet espace entièrement à notre disposition jusqu'à dix-huit heures. Heure où il viendra nous reconduire à nos cabines pour que l’on se prépare.
À dix-neuf heures, comme hier nous nous retrouverons dans le salon du premier étage ou nous passerons la soirée.
• Si vous avez besoin de moi, vous avez comme dans vos cabines un bouton pour m’appeler.
Enfin, le yacht longe la côte méditerranéenne. Dans dix minutes nous doubleront la rade de Toulon.
Nous continuerons jusqu'à Marseille et continuerons jusqu'à Barcelone en Espagne.
Nous contournerons les Baléares vers dix-huit heures. Nous ferons retour vers Saint-Tropez demain matin vers huit heures.
Lorsqu’il y aura des choses à voir, à bâbord à tribord je vous préviendrais par la sonorisation.
Je vous parlais de la rade de Toulon, nous la longeons en ce moment.
Bonne journée.
Il repart vers sa passerelle de commandement.
J’ai pris avec moi mon petit sac à main.
Je m’isole, et j’appelle l’organisation afin de leur demander de m’envoyer un commissionnaire afin que je lui remette la mallette de billets demain matin.
Je rejoins les copains qui s’amusent dans la piscine.
La journée se déroule dans une bonne ambiance.
Nous-nous enduisons de crèmes solaires pour éviter les coups de soleil.
Il serait préjudiciable à la soirée que nos clients ont payée en cash qui de nous déclare forfait, car ces fesses sont plus douloureuses à cause du soleil que de la fessée, nous pourrions infliger par jeu.
Les hommes sollicitent les filles pour s’amuser un peu. Mais la chaleur les incite à refuser ces avances.
Après avoir mangé avec Boris, nous réunissons avec beaucoup de mal toute la troupe, car nous sommes plus une troupe en représentation qu’en escorte prête à être baisée par nos clients.
Nous préparons un petit scénario pour que le spectacle que nous allons donner à ces hommes soit aussi consistant et hard que celui d’hier.
• Je suis déjà venu, la durée importe peu, car lorsque le propriétaire du yacht le décide, ils partent même si nous prévoyons de nous éclater deux heures de plus.
Comme il nous la promis, toute la journée, Charif nous donne des renseignements sur notre parcours.
Nous venions de doubler les Baléares lorsqu’il est venu nous ramener dans nos cabines.
Je reste dans la chambre des filles à leur poudrer le nez pour éviter la pâleur des projecteurs.
Pimpant et nu, Cherif nous guide jusqu’au salon, lieu de nos ébats.
Les hommes ont remis la tenue qu’ils avaient hier pantalon et nœud papillon sur leur torse nu. La seule différence par rapport à hier, ce sont les couleurs qui changent.
Dans le salon, les fauteuils des turbans sont placés en demi-cercle face au tapis.
Le tapis persan d’hier a été remplacé par un tapis à nuance bleue.
La musique démarre, les lumières s’allument.
Nos trois baraqués avec Boris à leur tête s’élancent dans le cercle de lumière.
Ils entament une danse endiablée avec une chorégraphie parfaitement huilée.
Tous les mouvements sont en tout point impeccable.
Leur final est traditionnel, ils arrachent leurs pantalons et les balances à travers la pièce.
À la différence des danseurs pour pucelle en quette de soirée de clôture de vie de jeune fille, les trois garçons nous font apparaître un sexe prêt à combattre avec nous.
Adonis bande déjà aux trois quarts.
Un autre morceau est diffusé, ils se retournent vers nous.
Ils s’approchent et six mains m’empoignent, je me retrouve allongé au-dessus de leur tête au bout de leurs bras.
Il me lâche au centre du cercle et me réceptionne dans leurs bras.
Je tournoie et me pose au sol en levrette.
Yvan se place devant moi et me met son pénis dans la bouche pour que je le fasse durcir. Il y arrive immédiatement. Il me tend un préservatif que je lui mets avec ma bouche.
Ils m’ont placé face aux filles qui attendent hors du cercle.
Il me contourne et m’enfile après m’avoir simplement enduit la chatte de salive avec sa main.
Il commence à me pilonner, c’est très agréable.
Boris et Adonis s’approchent d’Arum, la saisissent comme ils l’ont fait pour moi et la déplace jusqu'à moi et dans un mouvement différent que celui qu’ils m’ont fait prendre la place à mes côtés dans la même position. Boris s’approche et lui rempli, la bouche avec son vit.
Yvan continue à me transpercer et Boris va en faire de même avec Anne. Comme moi, elle lui place son chapeau, il la contourne et nous sommes maintenant deux à prendre du plaisir avec les bâtons qu’ils ont placés en nous.
Adonis s’approche d’Ayu, lui place une main dans le creux des reins et dans une envolée la porte à bout de bras simplement posée sur sa main, son corps par l’effet de la pesanteur, forme un arc de cercle du plus bel effet.
La position dégage la chatte de la petite pute et me la fait voir sous un angle nouveau.
Tous les muscles d’Adonis sont bandés et la chaleur du soir le couvre de sueur. Pour l’amener au centre du tapis, il en fait entièrement le tour pour finir au centre.
Subitement il la laisse tomber, la rattrape dans ses bras, la penche en arrière et lui prend un baiser.
Elle se retrouve à nos côtés. Contrairement à ses copains, il bande déjà, prestement il est prêt et lui enfile la chatte. Ils nous pénètrent jusqu’au moment où nous prenons notre plaisir et quand nous y arrivons, il change de partenaire à une vitesse tellement rapide qu’il m’est impossible de savoir qui des trois garçons me prend par la chatte.
Seule un instant la grosseur du sexe en moi me donne l’impression qu’Adonis vient de me pénétrer.
Combien de temps dure cette ronde, je ne saurais le dire, mais la tétanisation de mes bras tendus me montre la fatigue générée.
Je m’écroule sur mes avant-bras, c’est le moment que choisissent ces trois bêtes de sexe pour me sodomiser. Arum et Ayu en bonnes jumelles crient leurs plaisirs en même temps.
Plusieurs minutes de ce traitement et après que nous avons joui, ils arrachent les capotes et viennent se déverser dans nos bouches.
Nous sortons tous du cercle, Boris me demande comme prévu d’organiser la scène entre filles pour qu’ils rechargent leurs accus.
J’ai une idée non prévue l’après-midi, il était difficile de tout écrire du scénario avant. Je leur demande d’apporter quatre transats face aux turbans.
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