Femmes vous vous aimez - histoire érotique

Si pour Léopold la découverte de son côté bisexuel était une découverte, pour Chrystèle c’était plutôt une masse de souvenirs qu’elle avait peu à peu refoulés. Seulement voir, soirée après soirée, ces femmes nues, ces sexes rasés, ces seins arrogants, ces fesses rebondies… lui donnaient à chaque fois plus envie de franchir le pas. Une invitation à une soirée privée près de Paris allait lui en donner l’occasion.
Chez InOut on n’était pas dans la petite soirée mal organisée. Non en ce début février très froid ces dames avaient à peine ôté leur manteau au vestiaire qu’elles apparaissaient dans des tenues toutes plus sexys les unes que les autres. Pour l’occasion Chrystèle avait choisi une robe rouge lacée sur ses seins qui moulait admirablement ses fesses. Léopold était très classiquement habillé tout en noir. La trentaine tous les deux, ils étaient des habitués de bien des soirées mais c’était la première fois qu’ils se rendaient chez InOut.
InOut un couple adorable qui devaient en être à leur centième soirée dans leur maison de la banlieue parisienne qu’ils transformaient régulièrement en club privé. Au menu : un superbe buffet, de la bonne musique et une vingtaine de couples qui se connaissaient très bien et étaient relativement plus âges que Léopold et Chrystèle.
Au menu de cette dernière à cet instant : une délicieuse petite chatte très juteuse. Celle de Virginie, pas loin de quarante ans, des yeux bleus très clairs qui avaient tout de suite fasciné Chrystèle, très grande, un bon mètre 80, très mince, très belle. La beauté qui avait toujours fascine Chrystèle, très belle plante mais pas très sûre de sa beauté.
« Tu danses ? » Virginie avait fait le premier pas. C’était un rythme très chaloupé. Les deux femmes se frôlaient, se touchaient, les fesses, les seins, le sexe, sous les yeux admiratifs de leurs maris très excités par la situation. « Tu viens ? » C’était toujours Virginie qui menait le bal et entrainait Chrystèle dans une petite pièce attenante à la grande pièce de réception où un canapé lit était déployé, entouré de deux grands fauteuils en cuir dans lesquels les deux maris s’affalèrent pour profiter du spectacle.
Comme souvent très obéissante, Chrystèle a tout de suite obéi aux injonctions de Virginie de venir la lécher. Virginie s’est installée sur le lit. Chrystèle entre ses cuisses. Sa croupe est levée haut sous le regard concupiscent des deux maris mais aussi de deux femmes qui n’attendent qu’un signal de Virginie pour participer. Pour l’instant elle se contente du plaisir que lui donne Chrystèle, la tenant pas la tête et la guidant entre ses cuisses.
Puis Virginie fait un signe à ces deux amies. Toutes deux à peu près du même âge, moins belles que Virginie, l’une est un peu replète, l’autre très mince. Elles enlèvent la robe de Chrystèle et lui caressent les seins. Virginie se déplace et laisse les trois femmes ensemble. Elle s’assoit sur les genoux de Léopold : « Le spectacle te plait ?
- Terriblement.
- Tu vas me baiser plus tard. Et mon chéri baiser ta femme. Ca te va ?
- Si elle est d’accord.
- Elle fera ce que je lui dis. Touche mes seins. » Ils ne sont guère imposants mais très érectiles et Léopold lui fait du bien tout en se demandant si c’est une bonne idée de promettre à Virginie que Chrystèle sera réceptive à son invitation. Le mari de Virginie est tout sauf séduisant : petit, râblé, voire un peu grassouillet, il n’a rien de ce qui séduit Chrystèle dans ces soirées.
Mais à l’instant où Léopold s’interroge ainsi Chrystèle est dans un monde parallèle fait de jeux de langues, de mains, de doigts, de seins qui se frôlent, de baisers. « Et maintenant préparez la. » Virginie vient de s’armer d’une ceinture godemiché assez impressionnante. Ses deux amies positionnent Chrystèle à quatre pattes. Virginie approche. Ses 21 centimètres d’un sexe noir bandés. On croirait une cérémonie païenne quand elle pénètre peu à peu une Chrystèle rapidement rattrapée par la jouissance quand Chrystèle lui prend les seins à pleine main et la baise aussi bien qu’un homme.
« Aussi bien qu’un homme ?
- Si je te le dis. » Chrystèle et Léopold discutent maintenant devant le buffet, une coupe de champagne à la main. Elle a remis sa robe mais n’a pas souhaité monter avec Virginie et son mari. « Tu crois qu’on doit y aller ?
- La question est : baiserais-tu avec lui autrement que si tu te sentais obligée par le plaisir que t’as donné sa femme…- … et si toi même tu n’avais pas envie de la baiser.
- Il y a du vrai dans ce que tu dis. Tu choisis. »Ils choisirent d’en rester là.

« Ca t’a plu ?
- J’avais envie qu’on me prenne mais pas son mari.
- J’imagine que c’est leur deal. Ca doit souvent marcher. »