Ghislaine la grosse cochonne! - histoire érotique

Les cours terminés, je me rends chez Ghislaine. Elle me reçoit dans un ravissant chemisier blanc. Dans un voile léger. Laissant deviner la dentelle de sa combinaison bombée par son gros ventre. Ainsi que les bretelles de son soutien-gorge. Elle porte également une jupe courte. Plissé ce soir-là, qui virevolte à chacun de ses déplacements. Bien évidemment, cette tenue me met dans un état d’excitation affreuse. Je sens rapidement mon petit oiseau se raidir au fond de mon slip.
- Je pense que ta visite mérite bien une récompense. Tu n’es pas d’accord avec moi ?
Bien sûr que je suis d’accord. Mais je reste silencieux. Attendant patiemment qu’elle prenne l’initiative. D’ailleurs, elle ne tarde pas à me prendre la main.
- Je veux avant toute chose que tu me promettes bien de ne rien dire à personne.
C’est vraiment contagieux chez les femmes. De faire sortir de leurs sortir de leurs bouches toujours les mêmes paroles !
- Je te le promets !
- Bien alors, allons-y.
Alors qu’elle m’entraîne jusqu’à la salle de bains, elle me lance :
- Tu t’es régalé avec ma culotte ?
Lors de notre derrière rencontre, je suis reparti de chez elle avec un slip porté dans ma poche.
- Oui… Beaucoup…
- Tu as été servi en bonne odeur… Tu t’es masturbé ?
- Oui ! Trois fois.
- Eh bien ! Tu m’en diras tant ! Tu serais capable de me montrer comment tu t’y prends ?
- Là ! Tout de suite !
- Oui ! Pourquoi ? Cela te gêne ?
Je n’en crois pas mes oreilles. Cette sensuelle femme, à qui je rêvais presque tous les soirs avant de m’endormir, me demande de me branler devant elle. Je m’exécutais sans réfléchir plus que ça.
- Oh ! C’est moi qui te mets dans cet état ?
- Oui ! En ce moment, je ne pense qu’à toi tout le temps !
- Mais c’est très coquin de dire cela à une dame, ne plus future maman ! Tu n’as pas honte ?
- Non ! Pourquoi je devrais ?
- Je devine que c’était une première pour toi ?
- Tu devines bien.
Comme je l’ai lu à maintes reprises. Les femmes aiment les puceaux. Elles adorent les soumettre à leurs envies.
Elle s’agenouille devant moi et entoure de ses doigts fins et manucurés ma verge raide.
- Cela t’ennuie que je te touche ?
- Au contraire !
- Je pense que c’est le fait d’être enceinte, le surplus hormones !
Elle commence à tripoter mon sexe sensuellement. N’hésitant pas à masser mon gland avec son pouce.
- Tu fais ça bien, Ghislaine ?
- Tu es loin d’être mon premier !
- Tant mieux !
Puis elle place ses doigts en cercle et me branle délicieusement de haut en bas et de bas en haut, sans arrêt. Je sens le contact froid des bagues qu’elle porte aux doigts. Et j’entends et voyais le bracelet lourd sur son poignet, tintinnabulé à chaque branlé de sa main.
- Tu aimes mon grand ? Tu aimes te faire branler ? Tu aimes ma main sur ta queue, cochon…
- J’adore, oui….
- Comme tu me donnes chaud ! Si tu n’y vois pas d’inconvénient, je vais aussi me découvrir un peu aussi. Commence par me dégrafer mon chemisier, s’il te plaît !
Je déboutonne un à un les boutons. Ghislaine écarte et ôte son chemisier. Je peux alors admirer et deviner sa poitrine sous les dentelles de sa combinaison et le voile de son soutien-gorge. Puis elle me dit, dans un grand sourire :
- Je vais continuer à te branler. Mais avec une caresse très spéciale. J’espère que tu vas aimer. Tu sais, c’est quelque chose qu’une dame ne fait pas à n’importe qui. C’est une caresse d’amoureuse à son amoureux.
J’ai bien une idée sur le sujet. Lorsque je la vois passer ses mains sous sa jupe, pour y faire descendre sa petite culotte qu’elle me présente alors. Il s’agit d’une adorable culotte mauve. Faite de voile de nylon, et de dentelles fines et fleuries. Elle sait mon attirance pour la lingerie féminine. Elle approche la culotte de mon visage et me dit :
- Tu sens mon parfum ? Tu sens bien mon odeur de femme en rut. Elle est toute mouillée comme tu peux le sentir. C’est à cause de toi. Oui de toi. Maintenant, tu vas voir comme c’est bon ce que je vais te faire.
Je la vois prendre la petite culotte et la déposer sur mon sexe. Le fond juste sur le haut de mon gland. Puis elle rabat et en empoignant ma verge, elle l’entoure dans le nylon mouillé et frais. Je suis surpris par cette sensation, mais lorsqu’elle recommence à me branler, je ne peux retenir un long gémissement d’extase. Le doux tissu excite merveilleusement la peau fine de mon sexe. Ghislaine enveloppe aussi mes couilles avec le dessous de la culotte et les caresse tendrement de son autre main.
- À ce que je vois, tu aimes cela mon petit cochon ! Tu aimes la branlette dans une culotte de femme ? Alors, tu vas jouir dedans et me donner tout ton jus de puceau ! Allez, il faut juter maintenant ! Jute bien dans le nylon de ma culotte !
J’ai les yeux entrouverts. Regardant cette femme me masturber. Ses seins presque à la portée de mes mains. Mais je n’ose pas y toucher. Ghislaine me caresse alors plus rapidement et continue à me parler de façon si impudique :
- Voilà ! Je sens que tu vas partir ! Tu sens, on foutre venir ? Allez, vas-y ! Décharge vite ! Salis la culotte de la vilaine Ghislaine. Déverse bien tout ton sperme de puceau…
Je ne peux me retenir plus longtemps. Ai-je vraiment envie de me retenir ? Je décharge alors toute ma sève dans la culotte fine et douce. J’éjacule en de longs traits de foutre en ayant l’impression que mon pénis va exploser dans ma main de ma branleuse. Lorsque Ghislaine m’a bien vidé dans sa culotte, je la vois la déplier et sentir le sperme gluant qui la souille. Puis elle l’enjambe et la remonte sous sa jupe en poussant un petit râle étouffé. Je la vois alors se pencher légèrement, frotter sensuellement ses cuisses en ciseau et gémir amoureusement. Elle pose alors sa main sur le mur pour ne pas perdre son équilibre, elle se raidit en se pâmant.
- Oh mon Alain, comme je jouis. Oh, c’est merveilleux de sentir ton jus tout frais entre mes chairs. Oh, ça me vient encore ! Oh, comme c’est bon !
Ghislaine reste ainsi. Les yeux fermés. Perdue dans son plaisir de femme. Resplendissante et si impudique à la fois. Quelques instants plus tard, elle ouvre les yeux et me dit :
- Il faut te sauver maintenant ! Et promets-moi de bien tenir ta langue ! Même à tes copains. Surtout à tes copains. Sinon nous ne pourrons plus nous amuser comme aujourd’hui. Ce serait ennuyeux, n’est-ce pas ?
- Oui… Bien sûr !
Je me connais, je ne suis pas du genre à me vanter à personne. Elle peut être rassurée. Comme l’était ma tata.
Le soir même, seul au fond de mon lit dans le noir. J’imagine les moments passés avec Ghislaine. Comme j’imagine aussi les autres amusements que Ghislaine m’a promis contre mon silence.
Je rêve alors, de pouvoir posséder cette femme, comme je l’ai fait avec Christiane…
Seul l’avenir me le dira !