heures supplémentaires

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : heures supplémentaires Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Tags : Amis Au boulot
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Nous arrivons sur le parking, après avoir fini le service. Une réception d’une cinquantaine de personnes. Après la réception, alors que je remets la salle en ordre, Helena pour sa part s’affaire à faire la vaisselle. Malgré l’heure tardive, cela ne nous empêche pas de trinquer. Même de bien trinquer. Vers les deux heures du matin, nous quittons les lieux. Elle me prend par la main comme si nous étions de vieux amis.
- Et Alain, je t’interdis de dire non, je veux que tu me conduises jusqu’à chez moi, tu entends ! Je ne me sens pas en état de conduire.
Sur la route, elle pose sa main sur moi. Familière comme si j’avais été un amant de longue date. Elle marque une pause. Le temps de prendre un chewing-gum, puis se caler contre la portière pour mieux me dévisager. Je me demande si elle est ivre ou si elle fait semblant.
-Dis-moi Alain, je me suis laissé entendre que tu avais un faible pour les barbus bien velus, c’est vrai ça ?
-Et de qui as-tu cette information ?
-Oui, ou non, tu es du genre à aimer les chattes velues ?
-A ton avis ?
-Je n’ai pas d’avis. Mais sache que pour ma part, je ne me rase pas. Je suis brut de pomme
-Et pourquoi me dire cela ?
-Pour t’informer, juste t’informer.
Elle se rapproche, remontant sa main sur ma cuisse.
- Cela te fait quoi de savoir ce qui se cache dans mon slip? Fait-elle d’une voix à l’intonation rauque.
-Une grosse envie de la voir !
Elle a un rire de gorge en reprenant sa place. Selon toute apparence, je suis le seul dans cette voiture, à croire que c’était juste pour la raccompagner. Son visage éclairé par le tableau de bord, s’anime, creusant de petites rides ça et là. Elle tire sa jupe et croise les jambes.
-Comme ça tu as envie de la voir ?
-Oui comme je te le dit !
-Pour ça mon beau, il va falloir que tu me suives.
-C’était mon intention, ma belle.
Vous pensez bien que je ne me suis pas fait prier pour la suivre jusqu’à son appartement. Dans son salon, elle prend pose sur pose. Se penche avec exagération pour me donner l’occasion d’admirer son décolleté ou le galbe de ses hanches moulées de velours. Je n’en perds pas une miette.
Je la détaille comme si je devais détailler un tableau d’un maître. Avec cynisme, attendant de voir jusqu’où va me mener cette comédie. Sans savoir au juste comment elle va réagir à ma première approche. Mais que m’importe ?
Je la plaque contre le dossier du divan. Lui serre la nuque entre mes doigts. Elle se contente de battre des paupières, les lèvres tremblantes d’excitation. J’approche ma bouche de son cou. Hume comme l’aurait fait un animal, son parfum. Je pose la main à plat sur son ventre et descends lentement jusqu’au renflement du pubis que je palpe à travers la jupe.
-Tu ne peux pas savoir à quel point j’ai envie de voir ta chatte !
-Pas ma poitrine avant ?
-Tu as l’air d’en avoir une sacrée paire.


-Oui comme tu dis, lâche-t-elle en défaisant les deux premiers boutons de son chemisier.
Je ne sais pas si c’est à cause de l’alcool ou de l’excitation, mais elle s’empêtre dans les bretelles du soutien-gorge.
-Qu’est-ce que je disais ? Une sacrée paire, non ? Me fait-elle.
Elle parvient, malgré sa nervosité, à dégager sa poitrine du carcan de son soutien-gorge. Ses seins se soulèvent au rythme rapide de sa respiration. Bien que légèrement tombante, sa poitrine fait sa fierté. Sous le coup de l’excitation, ses aréoles se contractent autour du téton saillant.
Je tends la main et soupèse un sein, jugeant de sa fermeté. Elle frissonne. Je serre le bout grenu entre le pouce et l’index et pince, tirant un cri à la femme.
-Caresse-les ! J’aime qu’on me caresse les nichons !
Elle remonte lentement les mains jusqu’à ses seins et se force à les palper, passant le pouce sur les mamelons érigés.
-Ouais, tu vois, comme ça !
-Tu me fais bander !
-Je veux voir.
-C’est ça ? Tu veux voir si c’est vrai que je bande pour tes nichons ?
Elle hoche la tête en regardant droit devant elle.
-Alors, tu veux la voir, oui ou non ?
-Oui.
-Oui quoi ?
Elle déglutit et jette un regard oblique.
-Oui. Je veux la voir.
Je me lève, me place devant elle et laisse tomber mon pantalon sur mes baskets.
-Tiens, elle te plaît ? Tu n'en fais pas, tu pourras jouer avec. Tant que tu voudras. Mais d’abord, il faut me montrer ta chatte ! Je suis là pour ça, non ?
Elle n’hésite pas longtemps. Les traits défaits, le souffle rauque, elle retrousse sa jupette jusqu’à la taille. Les yeux mi-clos, je me caresse en l’observant.
-Allez ! La culotte, maintenant !
-Je vois que Monsieur est pressé.
-Tu ne peux pas savoir à quel point !
Lorsqu’elle fait rouler son slip, je me positionne pour me retrouver en face de son sexe. Helena se laisse aller en arrière avec un soupir vaincu et maintenant ses cuisses des deux mains, les écarte largement.
Une prépondérante toison brune orne son pubis, s’étirant vers le haut.
-Tu vois, je ne t’avais pas menti !
Je continue à tripoter mon pénis tout en examinant son entrecuisse, elle m’observe à travers ses cils.
-Ouvre-la ! Ouvre ta chatte avec tes doigts ! Fais-je.
Elle se mord la lèvre de frustration.
-Dépêche, mets tes doigts dedans !
Comme elle ouvre des yeux ronds, épouvantée par ce que je lui demande, je lui fais un clin d’œil salace.
-Ne me dis pas que tu ne te la tripotes jamais.
Je lui saisis ses poignets et l’oblige à descendre les mains vers son sexe. Je guide ses doigts, la forçant à entrouvrir les longues lèvres rougeâtres, à s’ouvrir, comme je dis, en enfonçant deux doigts dans son vagin.
-Montre comme tu mouilles !
Soumise, les traits tirés en un rictus de frustration et de honte, elle obéit, étirant l’orifice de son vagin en ovale, révélant les muqueuses luisantes. Troussant sa jupe sur son nombril, je guide mon pénis entre les lèvres saillantes et m’enfonce en elle brutalement, faisant claquer mon ventre contre les fesses qu’elle me tend.
-Tiens, tu la voulais ? Eh bien, tu l’as !
Ses jambes grandes ouvertes m’offrent un magnifique écrin.
Elle fait bouger son bassin, consciente de l’effet produit sur mon désir. Sans plus attendre, d’une seule poussée, je m’enfonce jusqu’aux couilles dans son vagin. J’agrippe ses hanches pleines et fais claquer mon bas-ventre entre ses cuisses. Helena manifeste son plaisir. Je sens sa mouille couler sur ma queue alors que d’une main, elle s’astique le bouton. Encore une fois, elle jouit en poussant un râle profond. Il ne m’en faut pas plus pour lâcher mon venin.
Je l’embrasse goulûment. Son souffle court traduit l’intensité de son plaisir. Son corps brûlant exhale une bonne odeur de femme repue. Nous sommes sur le divan pour un échange de câlins et de baisers. Bien sûr, avec ces contacts, je rebande vite. Cela la fait sourire, et me traite de fou qui veut la tuer de plaisir.
Nous nous retrouvons dans une position de stimulation réciproque. Elle titille mon anus. Je pousse en grand le passage. Elle s’esclaffe. Elle m’enfile un doigt mouillé dans le cul. Bien sûr, je lui rends la monnaie. Je reçois la mouille d’Helena qui coule sans effort. Sa chatte poilue est un régal.
J’écarte ses grandes lèvres pour pomper son clito et glisser ma langue dans sa foufoune. Helena me gratifie bientôt de son bon jus que j’avale avec délectation. Voracement, la voilà qui me taille une pipe d’enfer qu’elle agrémente d’un doigt dans mon cul, ce qui provoque inévitablement la montée de sperme qu’elle avale sans retenue d’un air gourmand, après me l’avoir montré dans sa bouche ouverte.
Un rapide baiser sur la bouche et je rentre chez moi, non sans lui avoir promis de revenir.
Je trouve ma femme devant la télé. Elle est d’humeur câline. Heureusement j’ai des ressources et je parviens facilement à bander et à la faire jouir.
Le lendemain, je vais dire un bonjour à Helena, dans son bureau. Ça se limite à une séance de baisers et de caresses interrompue par le téléphone. À l’heure du déjeuner, nous nous retrouvons dans mon bureau.
Où elle s’allonge lascivement sur le divan après avoir fait glisser sa culotte à ses pieds. M’exposant sans fausse pudeur sa fente embroussaillée. Je passe la paume de ma main dans la fourrure frisée de son pubis, laissant mes phalanges dériver vers les lèvres tendres et mouillées qui me livrent passage instantanément. Je suis fasciné par les gémissements de gratitude qu’elle laisse échapper. Ondulant imperceptiblement du bassin pour accompagner ma caresse.
L’approche vers le sexe se fait tout naturellement. Le bas des lèvres, en remontant la fente, le clitoris.
-Tu me mets au supplice !
Je remplace mes doigts par mes lèvres. Je titille de ma langue le nombril, puis descends vers l’aine. Je descends vers les genoux et le creux des cuisses que je caresse doucement de mes lèvres. Je remonte ensuite et arrive à la toison odorante. Je joue avec ma bouche sur les poils. Enfin j’approche doucement de la fente. Que je baise longuement avant de l’ouvrir avec ma langue.
Ma verge en vient douloureuse. Il faut que je la baise. Et ses jambes qui s’agitent. Je me couche sur elle, lui écarte les jambes d’une pression du genou, tire sur la culotte qui se déchire sous la violence du geste.
Mon sexe en main, je frotte le gland sur sa chatte, le glisse entre ses grandes lèvres. J’ai une folle envie de la prendre. Je la regarde. Elle ferme les yeux. Je sens le ventre qui s’ouvre, qui m’accueille. Elle gémit. Je suis maintenant totalement en elle. Je lui tiens les mollets, suce ses orteils, lui donne de grands coups de reins. Elle pousse des cris aigus qui me stimulent. Je voudrais que tout cela dure. Elle ouvre les yeux, me regarde :
- Oui, prends-moi fort. J’adore cela, tu ne peux pas savoir.
Alors je la pistonne. Jusqu’à la jouissance.
Lentement, l’excitation retombe. Je reste un long moment en elle. Elle halète toujours, puis peu à peu, se calme. Je me retire, la regarde. Elle est là enfin, heureuse, troussée impudique. Elle sourit même.
- J’ai honte mais je suis heureuse. Ça fait longtemps que je n’ai pas aussi bien joui. Tu me promets de revenir.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Une délicieuse amante 😍😍🔥🔥
Cyrille



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