Histoire des libertines (85) : Jacqueline Kennedy, icône ou libertine ?

- Par l'auteur HDS Olga T -
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Récit libertin : Histoire des libertines (85) : Jacqueline Kennedy, icône ou libertine ? Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-06-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Histoire des libertines (85) : Jacqueline Kennedy, icône ou libertine ?
Jacqueline Kennedy-Onassis (1929-1994) est née Jacqueline Lee Bouvier. Elle a été l’épouse de John Fitzgerald Kennedy de 1953 à l’assassinat du 35ème président des Etats-Unis, puis épousa, de 1968 à 1975, l’armateur milliardaire grec Onassis.

Elle restera dans l’histoire, du fait de son élégance, sa culture et sa beauté, l'une des Premières Dames les plus populaires des Etats-Unis
AVERTISSEMENT
« Jackie » est une icône féminine de l’histoire américaine contemporaine. On sait que son mariage avec JFK fut marqué par les nombreuses infidélités de celui-ci. C’est beaucoup moins connu, mais Jackie, de son côté, eut aussi une vie pour le moins débridée, ce qui justifie qu’elle figure dans cette rubrique. Comme toutes les icônes, Jackie Kennedy n’était pas exactement celle que l’on croyait. Séductrice, cultivée, intransigeante et très secrète, l’ex-première dame américaine a su devenir un mythe en dissimulant ses excès. Jackie, nous le verrons n’avait en matière de libertinage rien à envier à Marilyn.

SA JEUNESSE
Jacqueline Lee Bouvier est la fille aînée d’un riche agent de change de Wall Street. Jacqueline Bouvier est d'origine irlandaise et anglaise, ainsi que française du côté paternel.

Favorisée dès la naissance par la fortune, elle passe ses premières années à New York et à Long Island, dans le domaine familial de la famille Bouvier, où elle devient, dès son très jeune âge, une cavalière accomplie, un sport qui demeurera une passion toute sa vie. Cette enfance idyllique se termine lorsque ses parents se séparent. Les nombreuses aventures et l'alcoolisme de son père John Bouvier conduisent la mère de Jackie à se séparer de lui en 1936. Le divorce sera prononcé en juin 1940.

Alors que son père ne se remarie pas, sa mère épouse le richissime Hugh D. Auchincloss, en 1942. Jackie et sa sœur Caroline s'installent alors avec la nouvelle famille de leur mère, partageant leur temps entre les deux vastes domaines de leur beau-père, en Virginie, et au Rhode Island, tout en restant près de leur père qui vit à New York
Jacqueline Bouvier fréquente des écoles huppées. En 1949, inscrite à un programme d'études du Smith College, elle part étudier en France, où elle suit d'abord un cours intensif de français à l'université de Grenoble, avant de poursuivre ses études à la Sorbonne à Paris.

À son retour de France en 1950, Jacqueline Bouvier poursuit ses études à l’Université George Washington. En 1951, elle y obtient un diplôme en littérature française. Outre la littérature, elle se passionne pour les arts et les langues et en quittant l’université, elle parle couramment l’anglais, le français, l’espagnol et l’italien.

Avec l'aide de son beau-père, Jacqueline Bouvier se trouve un travail de « photographe enquêteur » pour le journal Washington Times-Herald en 1952. En 1952, Jacqueline Bouvier se fiance à un jeune agent de change du nom de John Husted Jr (1926-1999), diplômé de l’université Yale. Les fiançailles sont rompues trois mois plus tard.

JFK ET LA FIRST LADY
Jacqueline Bouvier rencontre en mai 1952 John Fitzgerald Kennedy, étoile montante du Parti démocrate, qui sera élu sénateur du Massachusetts en novembre de la même année.

Le mariage de Jacqueline Bouvier et John Kennedy a lieu le 12 septembre 1953. Ce sera l'évènement mondain de la saison avec quelque 800 invités à la cérémonie et 1 000 à la somptueuse réception qui suit.

Jacqueline Bouvier Kennedy se met à suivre des cours d’histoire américaine et de sciences politiques à l’université de Georgetown en 1954. Très vite, elle fait concurrence à son mari par ses connaissances précises sur l’histoire américaine.

Dès le départ, le mariage du couple est troublé par les maladies et les infidélités de son mari, deux problèmes que le grand public ignore. Cependant, Jacqueline Kennedy s’entend bien avec son beau-père, Joe Kennedy, et son beau-frère, Robert, dit « Bobby ».

Jackie va enchainer une fausse couche en 1955, puis donne naissance à une petite fille mort-née, en 1956. Cet évènement tragique conduit à une brève séparation du couple qui se réconcilie peu après.

Le couple aura deux enfants, Caroline, en 1957, puis « John John », qui nait le 25 novembre 1960, alors que son père vient d’être élu président des États-Unis. Le dernier enfant du couple, Patrick Bouvier Kennedy, né prématurément le 7 août 1963, meurt deux jours plus tard.

Alors âgée de 31 ans, elle fait partie des plus jeunes premières dames de l’histoire des États-Unis. Bien qu’elle ait fait de grands efforts pour soutenir son époux durant ses campagnes électorales, elle ne s’immisce pas dans la politique pendant qu’il gouverne.

Pendant les années où elle a été première dame, Jacqueline Kennedy a été admirée pour son élégance et ses toilettes. Encore aujourd'hui, Jacqueline Kennedy est réputée pour son style et elle reste considérée comme l’une des plus élégantes premières dames américaines. Quelques-unes des apparitions officielles de Jacqueline Kennedy sont devenues légendaires.

EPOUSE BAFOUEE
Son époux a eu une vie extraconjugale mouvementée et il est presque avéré aujourd’hui que lui et son frère Robert Kennedy ont eu une liaison avec l’actrice Marilyn Monroe (voir « Histoire des libertines (84) : Femmes libres d’Hollywood (14) Marilyn Monroe, glamour et tragédie », publié le 26 mai 2021), celle-ci n’ayant pas été la seule aventure amoureuse du président Kennedy. Ce dernier aurait eu des liaisons avec beaucoup d’autres femmes, dont l’actrice Judith Campbell (1934-1999), dont nous reparlerons.

LE DRAME DE DALLAS
Après la naissance et la mort de son fils Patrick en août 1963, Jacqueline Kennedy reçoit, par l'entremise de sa sœur Lee, une invitation du riche armateur grec Aristote Onassis (1903-1975), d'aller en croisière à bord de son luxueux yacht, le Christina. Malgré les réserves du président et de son entourage, craignant la mauvaise publicité, elle accepte.

Jacqueline Kennedy ne réapparaît en public que le 21 novembre 1963, quand elle accompagne son mari au Texas pour des réunions dans le cadre de la campagne pour sa réélection. Le lendemain, ce sera l’assassinat du Président à Dallas.

Le courage et la dignité de Jackie lors de cette tragédie et au moment des obsèques ont été unanimement salués.

DE KENNEDY A ONASSIS
Jacqueline Kennedy achète un appartement sur la Cinquième Avenue, à New York, pour y vivre avec ses deux enfants à partir de l’année 1964. Dans les années qui suivent l’assassinat de son mari, Jacqueline Kennedy ne se montre que rarement en public.

Le 20 octobre 1968, Jacqueline Kennedy épouse l’armateur et milliardaire grec Aristote Onassis sur l'île de Skorpios, propriété des Onassis.

Sous des allures fragiles, Jackie négociera en grande partie son contrat de mariage fric et choc, avec le redoutable milliardaire grec qui finalement se fera joliment plumer. D’aucuns parleront d’un contrat digne d’une certaine courtisanerie, de mariage intéressé, et des « tarifs » contractualisés.

Ce mariage n’est pas vraiment approuvé par les médias. Lorsqu’elle se marie à Onassis, les journalistes la surnomment Jackie O, en référence au livre de Pauline Réage, Histoire d’O, paru en 1954 et qui raconte l’histoire d’une jeune femme devenue l’esclave sexuelle d’un homme. Bien sûr, ce sobriquet n’est pas très positif.

À l’annonce de ce mariage, il y a d’ailleurs un racisme incroyable envers Onassis, « le métèque », et Jackie Kennedy devient une traîtresse aux yeux de tous. C’était la veuve extraordinaire, on n’aurait pas voulu qu’elle se remarie, sauf avec un WASP. Elle a choisi le Grec parti de rien, désormais millionnaire, un peu louche: les mauvais mots vont bon train. La presse titre « Jackie épouse un chèque en blanc »! Ou encore « Comment osez-vous? » Tout le monde se permet de se mêler de sa vie privée car c’est une femme! Un témoin racontera avoir surpris Jackie en pleine nuit avec son second mari, Onassis, à bord d’une barque sur laquelle ils étaient en train de faire l’amour.

Très vite, leur couple bat de l’aile. « Ari » a deux griefs principaux envers sa femme : « Elle n’est qu’une croqueuse de diamants », et « elle parle tout le temps de Bobby Kennedy ».

Alors qu’Onassis a une bonne relation avec les enfants de Jacqueline Kennedy, cette dernière ne s’entend pas avec ses beaux-enfants. Jacqueline Onassis et son mari se voient rarement, Au moment du décès d’Onassis, les relations entre sa femme et lui se sont gravement dégradées.

L’éditeur Larry Flynt, ayant acheté des photos de Jacqueline Kennedy prises à Skorpios en 1971, alors qu’elle est nue en plein air, les publiera dans son magazine Hustler en août 1975. Aristote Onassis aurait lui-même mandé et payé le paparazzi qui avait pris ces photos intimes.

Peu de temps après le décès d’Aristote Onassis, Jacqueline Onassis rencontre le diamantaire et industriel juif d’origine belge Maurice Tempelsman), né en 1929 à Anvers en Belgique. Elle passera avec lui à New York les dernières années de sa vie. Marié, il avait quitté sa femme pour vivre avec Jacqueline Onassis. Comme l’épouse de Maurice Tempelsman refuse le divorce, les deux partenaires vivent en concubinage.

Jackie Kennedy décédera en 1994 d’un cancer du système lymphatique.

UNE VIE INTIME DEBRIDEE
L’histoire a retenu les frasques de JFK, moins celles de Jackie. Devenue veuve, elle a une vie un peu dévergondée, une veuve ne couchait pas avec autant de mecs à son époque.

BOBBY, OREILLE ATTENTIVE PUIS AMANT
De tous les Kennedy, Robert a toujours été celui dont Jackie s’est sentie le plus proche. Lassée par les nombreuses infidélités de son mari, Jackie a toujours trouvé chez le frère cadet, « Bob », une oreille attentive: il l’écoute durant des heures, parler de ses problèmes mais aussi de ses passions, sans jamais bailler. Il attendra pourtant le décès de son frère, qu’il aimait tant, pour succomber à la tentation, tout en maintenant les apparences de son couple officiel avec Ethel, la mère de ses 11 enfants.

Le choc et le chagrin causés par le drame de Dallas les poussent à passer plus de temps ensemble. Jackie, à 34 ans, est belle comme le jour. En février 1964, la veuve vit une aventure de deux soirs avec Marlon Brando. C’est sans doute dans les mois qui suivent cette reprise de sa vie amoureuse que Jackie entame une liaison avec son beau-frère.

Régulièrement, Bob retrouve Jackie dans son appartement new-yorkais, et file au petit matin, comme si de rien n’était. Dès les premiers mois, les deux amants deviennent inséparables. Jackie abandonne ses deux enfants à Ethel et convole pour des vacances paradisiaques à Antigua avec son aimé, qu’elle ne cache plus à son entourage.

Un jour de décembre 1964, une voisine du domaine des Kennedy, à Palm Beach, surprend dans le jardin de la propriété Jackie en monokini, tendrement enlacée avec son beau-frère, avant que le couple ne rentre dans la maison. Interloquée, elle en parle plus tard à Bobby, qui se confie à elle : « Il aimait Ethel, rapporte-t-elle, mais il avait des sentiments très forts pour Jackie. Les deux femmes avaient besoin de lui, et leurs enfants aussi.» Quelques semaines plus tard, invités ensemble par une amie en Jamaïque, les amants ne se dissimulent pas pour passer d’une chambre à l’autre, ni pour échanger massages et baisers sur la plage.

Aussi passionnée que soit leur liaison, Jackie et Bobby, en pleine libération sexuelle, ne s’interdisent pas d’autres aventures. Les relations de sa belle-sœur avec Aristote Onassis mettent « RFK » en rage, mais il ne peut rien contre la sécurité financière que le magnat grec promet à Jackie. Alors, il tente de la rendre jalouse, par exemple en mettant dans son lit l’actrice et chanteuse française Claudine Longet, une amie de la famille. Il accumule les conquêtes parmi les starlettes de Hollywood, comme la jeune Candice Bergen. Jackie, terrorisée de ne pouvoir mener grand train, garde en plus d’Aristote Onassis plusieurs « gentlemen en attente », dit-elle.

Elle doit pourtant renoncer à Bobby au printemps 1968. RFK est candidat à la présidentielle. Tout le milieu politique connaît leur histoire. Le risque est trop grand, ils se séparent d’un commun accord. Ce qui ne veut pas dire sans chagrin. Son plus poignant témoignage d’amour, Jackie l’offrira à Bobby des mois plus tard. Le 6 juin 1968, elle demande aux médecins de débrancher le respirateur artificiel qui maintient en vie le candidat démocrate, victime à son tour d’un attentat. Ethel, fervente catholique incapable de se résoudre à un tel geste, a laissé son ancienne rivale prendre la décision au nom de toute la famille.

LE PETIT FRERE
Au cours de cette histoire d’amour, l’ex-Première dame n’aurait pas été insensible aux charmes d'un autre frère de JFK, le plus jeune, le sénateur du Massachusetts Edward Moore Kennedy (1932-2009), plus connu sous le diminutif de Ted. Le principal intéressé aurait lui-même raconté cette folle idylle à son entourage, affirmant qu’il savait que « Jackie couchait avec Bob, mais que Bob ne pouvait pas tout le temps être là ». Alors qu’elle fréquente Onassis et s’est fiancée avec lui, Jackie continuait à coucher avec le sénateur Ted Kennedy.

UN TABLEAU DE CHASSE IMPRESSIONNANT !

JFK était certainement le plus insatiable Don Juan des États-Unis. Les liaisons de Jackie étaient restées plutôt discrètes, bien que les rumeurs aient été persistantes. Jackie n’est pas en reste et peut se vanter, à la fin de sa vie, d’avoir un tableau de chasse tout aussi impressionnant. Jackie a eu un appétit insatiable et a enchaîné les amants, surtout, mais pas uniquement, après la mort de son président d'époux, des plus illustres aux sombres inconnus.

Un après l’attentat de Dallas, Jackie aurait entretenu une liaison avec l’architecte de la tombe de son mari à Arlington, John Warnecke (1919-2010), couchant avec lui le jour où elle valida le design de la tombe.

Elle fit, en 1964, le premier pas avec Marlon Brando (1924-2004), que nous avons déjà mentionné comme ayant été l’amant de Marilyn Monroe, d’Édith Piaf, de Marlène Dietrich, d’Ava Gardner entre autres.

Jackie avait, en 1957, séduit l’acteur William Holden (1918-1981) dans un ascenseur. Elle s'empressa de raconter l'histoire à John pour le rendre jaloux.

Elle passa une nuit en 1975, au Waldorf Astoria de New-York, avec un autre grand séducteur, Frank Sinatra (1915-1998). Elle eut aussi une liaison avec Warren Beatty, né en 1937, l’infatigable séducteur d'Hollywood, qui fut entre autres l’amant d’Elizabeth Taylor et de Vivien Leigh.

Elle eut aussi pour amants des « maris respectables », comme les acteurs Gregory Peck (1916-2003) ou encore Paul Newman (1925-2008).

On parlera aussi d’une liaison avec son beau-frère Peter Lawford, celui qui fut souvent l’intermédiaire dans les frasques du président, notamment avec Marilyn Monroe.

On a aussi évoqué, lors de vacances en Italie en 1962, une liaison avec l’héritier de l’empire Fiat, Gianni Agnelli (1921-2003). Je renvoie sur ce point à l’article de presse du Parisien, cité en référence.

Plusieurs témoins disent aussi l’avoir vue avec son garde du corps, Clint Hill, dans un restaurant new-yorkais très chic. Ils seraient descendus tous les deux sous la table, avant de se bécoter devant tout le monde.

Jackie cultiva également une passion intense pour un artiste exceptionnel, au charisme puissant, mystérieux et doté d’un appétit sexuel au moins aussi gargantuesque que le sien, Rudolph Noureev (1938-1993)
Noureev aime jouer les étalons, aime séduire, et l’assume complètement, n’hésitant pas à déclarer haut et fort « que son corps est si beau et performant que ce serait dommage qu’il ne le partage pas avec autrui ». Noureev craque pour Jackie Kennedy, et même pour sa sœur, Lee Radziwill (1933-2019). Toutes deux sont de redoutables séductrices au charme magique. Elles avaient déjà été, en même temps, les maîtresses d’Onassis
Noureev se partage entre Lee et Jackie. Jackie et lui resteront amis jusqu’à la mort du danseur en 1993, atteint du Sida. Noureev lui rend souvent visite à New York. Toutefois, Jackie mit fin à leur liaison sexuelle quand elle observa l’attention croissante que porte Noureev envers son fils John John, devenu un bel adolescent.

Jackie continuera néanmoins à rendre fréquemment visite à son ami dans le ranch qu’il possède en Virginie, arrivant en jet privé ou en hélicoptère, amenant régulièrement des amis pour faire la fiesta. Robert Tracy, le dernier compagnon de Noureev, avec qui il vécut 14 ans, raconte que Noureev lui avait confié n’avoir eu de relations sexuelles « qu’avec 3 femmes » : Lee, Jackie et Margot Fonteyn.

Noureev et « Jackie O » partagent plus d’un point commun. Mystérieux, secrets, ils cultivent un instinct de séducteur sexuel ultra développé et sans complexe. Ils sont cultivés et dotés d’un esprit aussi intransigeant qu’exigeant. Ils aiment ce qui se fait de mieux, et recherchent l’excellence artistique et esthétique.

REFERENCES
Une biographie qui a révélé la vie sexuelle tumultueuse de l’ex-First Lady: Maud Guillaumin, « Jackie, une femme d'influence » (Les Éditions du Moment, 2014).

Outre l’article de Wikipédia sur Jackie, je renvoie aux liens suivants :
• La liste des amants de Jackie : https://www.vanityfair.fr/culture/people/diaporama/les-400-coups-de-jackie-kennedy/40530
• Une aventure avec Gianni Agnelli : https://www.leparisien.fr/week-end/les-amants-de-l-histoire-la-dolce-vita-de-jackie-kennedy-06-08-2013-3034163.php
• Un autre article sur son tableau de chasse : https://laurencekt.wordpress.com/2014/05/28/people-exclusif-les-vies-secretes-de-jackie-kennedy-1/
• La liaison de Jacky avec le danseur étoile Rudolph Noureev : https://laurencekt.wordpress.com/2015/08/19/people-les-vies-secretes-de-jackie-kennedy-2nde-partie/
• https://www.lesinrocks.com/cheek/7-choses-quon-a-decouvertes-sur-darkside-jackie-kennedy-321573-08-06-2014/
• https://www.parismatch.com/People/Politique/Jackie-Robert-Kennedy-Onassis-141704

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