Histoire des libertines (95) Wu Zetian, la cruauté, la sensualité et le pouvoir

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Histoire des libertines (95) Wu Zetian, la cruauté, la sensualité et le pouvoir Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Histoire des libertines (95) Wu Zetian, la cruauté, la sensualité et le pouvoir
Dans un texte publié le 29 décembre 2019, j’avais évoqué l’extraordinaire destin de Tseu Hi (Histoire des libertines (51) : « Tseu Hi, l’impératrice douairière, la « reine dragon ») qui eut un immense pouvoir sur l’Empire du Milieu de 1861 à 1908.

Mais Wu Zetian (624-705) fut la seule impératrice régnante de toute l'histoire de Chine. Le titre et la fonction d'empereur de Chine étaient exclusivement réservés, dans le système impérial, aux hommes, les femmes ne pouvant exercer le pouvoir que provisoirement, dans le cadre d'une régence ou d'un interrègne, sans avoir le titre d'empereur et assistées le plus souvent d'un conseil de régence. Wu Zetian écarta provisoirement du pouvoir la dynastie des Tang et fonda sa propre dynastie, la dynastie Zhou.

Elle fut l’égal des empereurs à une époque et dans une société où la femme était cantonnée à une place subalterne ou, au mieux, à un rôle d’influence. Certains font d’elle une féministe avant l’heure. Une chose est certaine : par son mode de gouvernance, sa brutalité, sa cruauté, son mode de vie, en particulier sexuel, elle n’avait rien à envier aux « Fils du ciel » qui ont dirigé l’empire du Milieu.

La cour fut dominée par cette femme au caractère impitoyable qui, à force d’intrigues, sut s’élever du rang de concubine à celui d'impératrice. Pendant quelques années, elle se contenta de régner en coulisse, manipulant à son gré l’empereur, avant de devenir impératrice elle-même sous le nom de Wu Zetian. Dotée d'un grand charme et d'un tempérament ferme, son ascension vers le trône fut un chemin d’intrigues constellé de sang, et son règne a été marqué par la terreur et de nombreux outrages à la tradition. Le personnage fait froid dans le dos !

L’époque des Tang était une époque relativement libre pour les femmes de Chine. Parce que la culture et l’éducation se transmettaient alors plus généreusement aux filles, il ne fut pas rare de voir des femmes contribuer aux arts picturaux, poétiques ou littéraires voire à la politique. À titre d’exemple, je renvoie à une autre publication : Histoire des libertines (90) : « Yu Xianji, courtisane et poétesse », publié le 21 septembre 2021 et qui raconte un destin tragique de femme sous la seconde phase de la dynastie Tang, au IXème siècle.

DEUX FOIS CONCUBINE
Son père était magistrat dans le Sichuan. S’étant distingué dans une campagne militaire en 617, l'empereur Gaozu lui fait épouser en secondes noces une femme Sui nommé Yangda, approchant la quarantaine, apparentée à une ancienne dynastie. Le couple eut trois filles, dont Wu Zetian, alors appelée Zhao.

Dans ce milieu, Zhao bénéficie d’une éducation aux œuvres classiques, à la peinture, la danse, la musique et à la poésie. Zhao voyage beaucoup, au gré des postes officiels de son père, ce qui aiguise sa curiosité et sa volonté d’apprendre. Lettrée et cultivée, elle devient une adolescente d’une rare beauté.

À douze ans, elle accède au harem avec le grade de « talentueuse », l'un des plus bas. Selon la tradition, elle reçoit un nouveau prénom, « Mei » et un surnom, Meiniang, « jolie flatteuse », qui est tout un programme ! Dès cette période, elle entretient une relation privilégiée avec le prince héritier Li Zhi, futur empereur Gaozong. Certains disent que, dès ce moment, « Mei » est la maîtresse du prince-héritier.

En 649, l’empereur décède des suites d’une longue maladie et Wu, ainsi que toutes les « veuves » sans enfant, sont envoyées dans un monastère. Elle restera au temple de Ganyesi jusqu’à ses 28 ans, c'est-à-dire pendant environ trois ans.

A l’occasion d’un pèlerinage dans ce temple, le jeune empereur Gaozong remarque Wu, déplorant que « la rigueur de la tradition gâche sans discernement les richesses de la nature », la tradition ne lui permettant pas de reprendre une concubine de son père.

La première épouse, l'impératrice Wang, qui est stérile, voit en Dame Wu, dont elle sait la beauté remarquée, un moyen de saper auprès du Fils du Ciel, l’influence de Xiaoshufei, la seconde épouse. Elle la fait donc sortir de sa retraite forcée, sachant que son mari lui aurait vanté les charmes inemployés de la jeune femme. En l’introduisant au sein de son harem, en nouant avec « Meiniang » des relations intimes, l’empereur transgresse une règle majeure de la morale confucéenne.

Le jeune empereur Gaozong en devient fou au point de négliger les questions de sa succession. Il chasse les conseillers opposés à son engagement avec cette femme, et l’accueille dans son gynécée à nouveau avec le rang subalterne de « cairen ». Dans un premier temps, le projet de la première dame fonctionne et Xiaoshufei tombe en disgrâce. Mais elle sous-estime l’ambition sans bornes de Wu, qui va se frayer un chemin vers le trône par le charme, la ruse, l’intrigue et le sang. Depuis son retour au palais à 28 ans, elle a consacré beaucoup de temps à nouer des alliances au sein du palais.

Tandis que sa faveur auprès de Gaozong grandit, elle se tisse un réseau de fidèles et rallie les ennemis de l'impératrice. Toujours concubine, son grade s'est élevé cependant. Elle est désormais la cinquième dame du palais dans la hiérarchie du gynécée, et la première pour l'influence auprès de Gaozong.

CRUELLE ET PUISSANTE IMPERATRICE
Son premier enfant est une fille. Wu Zetian l'étouffe de ses propres mains peu après le passage de l'impératrice. L'empereur découvre le bébé mort, et Wu Zetian feint la surprise, laissant accuser ses suivantes qui rejettent la faute sur l'impératrice. L'impératrice répudiée, Wu Zetian prend sa place. Apprenant que l'empereur continue de la visiter en secret, Wu réussit à le persuader que l’ex-impératrice et l’ex-seconde dame pratiquent la sorcellerie et complotent pour l’empoisonner. Les deux femmes seront condamnées à un supplice effroyable.

Depuis le retour du monastère, il ne lui aura fallu que quatre ans pour parvenir au plus haut degré de l’État accessible à une femme. L'Empereur lui accorde la place tant convoitée de première épouse malgré les objections des conseillers, qui lui donnèrent alors le titre de Zetian, littéralement : « selon la volonté du Ciel ». Elle est alors âgée de 32 ans.

Wu Zetian assiste à tous les conseils, dissimulée derrière une tenture, à l’image de ce que faisait Agrippine au début du règne de Néron lors des réunions du sénat chez l’empereur (voir Histoire des libertines (6) « Agrippine la terrible », publié le 26 septembre 2017).

À travers son mari, faible et malade chronique, c’est elle qui exerce la réalité du pouvoir. Elle augmente son emprise et refuse de se cantonner aux limites imposées aux femmes et n’hésite pas à renverser les traditions pour faire la preuve de son importance et de son influence. Son ascendant sur l’empereur ne fera que s’accroître, à mesure que la santé fragile de l’empereur commence à se dégrader. À la cour, elle gagne de l'importance en faisant éliminer les mandarins qui s'opposent à elle.

Traditionnellement, l’empereur effectue chaque année un rituel sacrificiel au ciel et à la terre, destiné à attirer la bienveillance céleste sur les récoltes de l'empire. Mais Wu Zetian fit valoir que si le ciel était associé au masculin selon les croyances en vigueur, la terre était associée au féminin. Elle déclara donc que c'était à une femme de procéder au sacrifice à la terre, ce que Gaozang accepte, permettant ainsi chaque année à Wu Zetian de montrer son importance et sa nécessité au bon fonctionnement de l’Empire. Une autre de ses réclamations concerna le titre de l’impératrice ; arguant que l’Empereur était appelé Fils du Ciel, son alter ego féminin devait être appelée logiquement Impératrice Céleste.

Malgré les oppositions et les débats qu'elle suscite, l’impératrice est très impliquée dans la gestion politique, elle soutient de nombreux projets et réformes d'ordre social. Douze décrets sont publiés en 674, à son initiative, qui prévoient, entre autres, une baisse des impôts pour encourager le travail agraire des hommes et la sériciculture des femmes, ainsi qu'une opposition aux corvées qu’elle voulait proscrire, tels les simples travaux de voirie ou de service militaire. Elle voulait aussi diminuer l’importance de l’armée.

Des quatre fils qu'elle a donnés à Gaozong, les deux premiers sont très appréciés de l'empereur et des ministres. Ils seront successivement désignés prince héritier, mais Wu Zetian les écarte du pouvoir. L'aîné meurt empoisonné, le second, est assassiné après avoir été dégradé et banni. C'est à leur mère que les historiens chinois attribuent ces morts.

Le troisième fils, plus acquis à sa mère, accède à son tour au rang de prince héritier. Il devient un temps empereur à la mort de son père en 683 sous le nom de Zhongzong mais Wu Zetian reste chargée de la politique, comme Gaozong l'avait stipulé dans ses dernières volontés. Peu après, Zhongzong, prenant trop de liberté au goût de sa mère, est démis par elle et remplacé par son jeune frère Ruizong.

Profitant de la rébellion des princes de sang en 684, elle fait mettre à mort du même coup plus de 3.000 personnes au sein de la famille royale. En 690, elle dégrade Ruizong au rang de simple prince héritier et s’autoproclame « empereur de la dynastie Zhou », prétendant descendre de l'antique dynastie Zhou.

Autocratique et implacable, elle met en place un régime de délation. Elle régente tout, faisant exiler ou décapiter les mandarins qui lui déplaisent tout en dirigeant ses armées, qui ont fort à faire pour repousser les Turcs.

« EMPEREUR » DE CHINE AVEC UN HAREM !

Elle scandalise, mais n’en a cure, en s’affichant en particulier avec un jeune bonze auquel elle confie la direction d’un monastère de Luoyang, la capitale. Dans un premier temps, elle accorde sa protection au bouddhisme, sous l’influence de son amant, ce bonze séduisant et vigoureux qui a oublié ses vœux de chasteté. Ce moine est en fait un ancien lutteur de basse extraction, qui s’est fait moine pour pouvoir approcher la redoutable et sensuelle impératrice.

La morale taôiste convient mieux au tempérament ardent de Wu. Les disciples de Lao Tseu prônent en effet une sexualité active comme gage de longévité. Wu Zetian, malgré son âge déjà avancé, est à l’évidence une hypersexuelle. Comme les autres empereurs, elle entretient un harem de concubins robustes et obéissants, destinés à à satisfaire ses appétits.

Ses favoris sont deux frères, Zhang Yizhi et Zhang Changzong, surnommés « Monsieur cinq » et « Monsieur Six », suivant les numérotations de ses chevaliers servants. Les deux frères partagent alternativement sa couche, chaque soir. Pour assurer sa libido, Wu était grande consommatrice d’aphrodisiaques.

Lorsqu’elle se lasse des deux frères, l’insatiable Wu s’assure des services d’un dénommé Xue Aocao, dont les attributs virils, surdimensionnés, faisaient fuir les femmes, mais pas elle ! Wu Zetian ne se lasse pas de cet amant exceptionnel, dont les mensurations lui conviennent si bien qu’elle le surnomme « Monsieur Bonne Taille ». Les accouplements frénétiques de l’impératrice et de Xue seront décrits avec un luxe de détails dans un roman érotique du XVIème siècle, intitulé « Le Seigneur de la parfaite satisfaction » !

Il est amusant de signaler que Xue Aocao était un confucianiste, les pires ennemis de l’impératrice, et qu’il se lamentait que sa faveur est due à la taille de son pénis et à son endurance.

LA CHUTE
Xue Aocao utilisera son influence sur l’impératrice pour qu’elle rappelle d’exil son fils Zhongzong, qui redevient prince héritier.

En 704, elle tombe malade et ne peut plus rencontrer ses ministres. Le mécontentement gronde dans l’empire. Les frontières sont menacées par les Turcs. Une nouvelle rébellion a lieu en 705, menée par le premier ministre Zhang Jian, qui l'oblige à abdiquer le 22 février en faveur de l'héritier, lequel restaure la dynastie Tang.

Malgré plusieurs stratégies pour éviter de perdre le pouvoir, y compris des tentatives d'intimidation de son fils, Wu Zetian ne peut pas tenir tête à tous ses opposants. Wu Zetian se retire au palais de Shangyang au sud-ouest de Luoyang. Son fils lui décerne à titre symbolique le titre de « Grand et saint empereur Zetian ».

Elle meurt peu après, en décembre 705. Dans ses dernières volontés, elle demande que le titre d'empereur décerné par Zhongzong soit transformé en « impératrice » et qu'on l'enterre en tant que telle auprès de Gaozong. Elle rend leur position aux familles de ses victimes, l'impératrice Wang et de Xiaoshufei, l’ex-seconde épouse, ainsi qu'aux fonctionnaires et ministres démis pendant son régime.

« UN CHARME DE RENARDE »
Les historiens chinois insistent sur « ses cheveux relevés, en volutes nuageuses, ses sourcils arqués comme des feuilles de saule, son nez droit et bien planté, sa petite bouche ronde et charnue, ses yeux en amande minces, son opulent décolleté que flattait la mode des robes croisées, amplement ouvertes et voilées d’un châle câlin. »
Son contemporain, qui deviendra un adversaire politique, le poète Lo-Ping Wang, né vers 640, la décrit en ces termes : « Des sourcils arqués comme des antennes de papillon / Ne consentant pas à céder aux autres femmes, / Cachée derrière sa manche, elle s’applique à calomnier, / Son charme de renarde a le pouvoir particulier d’ensorceler le maître. ». Ce poète, qui était fonctionnaire, participa à la révolte de 684 au cours de laquelle il disparut. S’il souligne le charme de l’impératrice, même à un âge avancé, le poète insiste surtout sur sa malice.

Il est significatif que Mao Zedong, autre sanglant autocrate qui gouverna l’empire du Milieu de 1949 à 1976, considérait Wu Zetian comme « une gouvernante éclairée ». Il est vrai qu’ils avaient en commun d’être des tyrans qui voulaient réformer à marches forcées et avec une extrême brutalité la Chine, qu’ils rejetaient l’un et l’autre la tradition confucéenne et que l’un comme l’autre, jusqu’à un âge avancé, ont été des hypersexuels compulsifs.

Au-delà de ce parallèle audacieux à 13 siècles de distance, Wu Zetian, par sa cruauté, ses crimes, ses méthodes implacables pour parvenir à ses fins, fait penser à d’autres femmes qui, comme elle, font froid dans le dos. J’ai déjà mentionné Agrippine. On peut aussi la comparer à la terrible Frédégonde, reine des Francs au VIème siècle (voir Histoire des Libertines (9) : « Frédégonde l’impitoyable », paru le 1er décembre 2017).

Pour autant, si Agrippine ou Frédégonde étaient aussi cruelles que Wu Zetian, Agrippine n’a régné, que brièvement, à travers Claude puis Néron. Frédégonde l’a fait à travers son mari Chilpéric et son fils Clotaire. Mais, ni l’une, ni l’autre, même si elles avaient la réalité du pouvoir, n’ont été « empereur » ou « roi ». À part, dans l’ancienne Egypte, sous la XVIIIème dynastie, la célèbre Hatchepsout, qui se proclama Pharaon et régna de -1479 à -1457, il n’y a pas de destin similaire.

Chez Wu Zetian, les différents traits de sa personnalité, à savoir l’ambition sans limites, l’absence totale de scrupules, la cruauté et une hypersexualité exacerbée et assumée jusqu’à la fin de sa longue vie, sont inséparables. Ses crimes provoquent un rejet instinctif, combien même il y a eu, dans ce domaine, bien d’autres personnages masculins qui, comme elle, ont marqué l’histoire par leurs méfaits mais aussi leur grandeur et leurs réalisations.

Elle n’en reste pas moins, sans rien occulter de ses aspects les plus noirs de son parcours, qui font naturellement horreur, fascinante et, en tout cas, elle était incontournable dans cette série de textes sur les « grandes libertines »
REFERENCES :
• Philippe Delorme a consacré un chapitre à Wu Zetian, dans son ouvrage « Scandaleuses Princesses » (Pygmalion, 2005)
Outre l’article de Wikipedia, je renvoie aux liens suivants sur le net :
• https://histoireparlesfemmes.com/2016/06/06/wu-zetian-unique-imperatrice-de-lhistoire-de-chine/
• https://www.franceinter.fr/emissions/la-marche-de-l-histoire/la-marche-de-l-histoire-04-octobre-2018
• https://cultea.fr/qui-etait-wu-zetian-la-plus-influente-des-imperatrices-chinoises.html
• https://atlantico.fr/article/decryptage/l-exceptionnel-destin-de-wu-zetian-plus-belle-femme-de-son-temps-et-unique-imperatrice-de-toute-l-histoire-de-la-chine-bernard-brizay

Les avis des lecteurs

@ Didier, il y a quelques similitudes avec la Grande Catherine, à qui j'ai consacré une autre de ces chroniques historiques. je retiens surtout la similitude avec Mao, qui fut, lui aussi, un tyran sanglant

Histoire Erotique
Olga,
même si la Chine, ne fait pas partie de mes spécialités, tu nous fournis encore une présentation historique intéressante. Même si au final je n’apprécie pas du tout le personnage, quelle femme effrayante!!!
Mais quel parcours en effet, à la base fortement improbable pour une femme de cette époque, ce qui prouve son intelligence et son habileté.
Cependant, tellement arriviste, manipulatrice et cruelle, que pour évincer une rivale, elle n’hésita pas à tuer son propre enfant...
Une fille de surcroît, prouvant là qu’elle n’était sûrement pas une féministe.
De plus, sans états d’âme, et afin de régner sans partage, elle écarta tous ses fils, légitimes prétendants au pouvoir suprême.
Nous avons bien affaire là à un véritable tyran.
Le grand timonier la tenait en grande considération, je n’en suis nullement surpris.
Elle a du l’inspiré même, tellement leurs parcours, leurs attitudes et leurs tempéraments sont similaires…
Par certains cotés, du peu que j’en ai lu, Wu Zetian me fait penser à la tzarine Catherine 2 de Russie dîtes « la Grande Catherine », mais là aussi je ne suis pas un spécialiste en la matière...
Didier



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