Hôtel très particulier
Récit érotique écrit par Couple-subtil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2021 dans la catégorie Plus on est
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Hôtel très particulier
« Vous avez rendez-vous vendredi à 22 h 30 à l’hôtel particulier de tous les plaisirs. Tenue sexy pour les femmes, chic pour les hommes (ni jean, ni basket). Participation : une bouteille de (bon) champagne. » Des invitations comme celle-là nous en avions reçu des dizaines mais celle-là était plus séduisante. Déjà la soirée se déroulait à Neuilly, pas au fin fond d’une cave du XVIIIème arrondissement. Et en plus dans un hôtel particulier que mettait à disposition un riche propriétaire qui espérait sans doute en échange la reconnaissance de quelques-unes de ces dames.
En tout cas Chrystèle avait mis les petits plats dans les grands. Son corset rouge, qui risquait de lui tenir un peu chaud en ce beau mois de juillet, mais lui faisait un corps incroyable entre ses superbes seins comme en apesanteur et ses fesses sublimées, le tout porté sous une robe aussi rouge que son corset qui avait la particularité de pouvoir se porter très longue comme très courte. Une robe qu’elle baissait sur ses seins quand la gent masculine ne s’intéressait pas assez à elle. Ce qui arrivait assez rarement il est vrai tant son mètre 75 et son 95C emportaient vite l’attention.
Ils sonnent à la porte du petit hôtel particulier, situé dans une grande cour, déjà bon nombre de convives sont là. Il faut dire que la soirée commençait dans l’après-midi pour les plus motivés. Revêtu de son uniforme fétiche d’officier leur hôte, Pierre-Yves, les accueille avec enthousiasme : « Venez, on vous attendait pour commencer. Chrystèle tu es superbe ». Il lui tâte les fesses : « Et pas de culotte. Tu as raison.
- Je les perds ou on me les vole. Je n’en mets plus. » Après bientôt deux années de libertinage, Chrystèle et Léopold, la trentaine ou presque, sont des habitués de ces soirées et Chrystèle – « les plus beaux seins du circuit », selon un amateur – toujours appréciée dans les soirées. Du moins des hommes et des maris. Moins des épouses. Qui apprécient Léopold - 1 m 80, mince, plutôt mignon – mais bien moins que les mecs très virils – disons-le les meilleurs sont les blacks – qui les emportent très loin dans le ciel étoilé de leurs désirs torrides…Mais ce soir la concurrence ne viendra pas de là. Il y a pas mal d’hommes, de tous les âges, mais c’est pour Pierre-Yves que Chrystèle est venue. La quarantaine, assez dominant, bien monté, elle espère bien qu’il l’honorera. Dix minutes plus tard elle est à quatre pattes sur un canapé au fond du grand salon. Pierre-Yves est derrière elle. Il remonte sa robe sur ses fesses et lui caresse les fesses de son martinet : « Ca te plait.
- J’adore. » Elle remue son cul et il la fouette gentiment tout en la pénétrant alternativement de ses doigts. Une dizaine de femmes et d’hommes regardent. Avant Chrystèle il a déjà proposé à une belle rousse de vivre la même expérience et nombreuses sont celles qui ne diraient pas non à une petite fessée.
Pendant ce temps Léopold a retrouvé Wilena, une belle Noire qui n’aime que se faire prendre, pas exciter, pas doigter, pas lécher, et avec laquelle il s’entend très bien. Pas trop sexuellement mais il aime discuter avec elle et parfois avec son mari, le très estimé Julius. Ils reviennent juste d’une croisière érotique assez décevant aux Etats-Unis : « Erotique tu parles. Pour les Américains le comble de la croisière érotique c’est déjà d’être un peu déshabillé », regrette Julius, qui a quand même « fini par baiser deux Américaines », rigole Wilena. « Mais ça a failli finir tout de suite. J’avais emmené des faux pistolets pour jouer au cow-boy et à la douane ils ont cru qu’on était de terroristes », rigole jaune Julius, ce soir-là en short noir et santiags noires. Prêt à dégainer son celèbre sexe tordu à droite pour toutes les volontaires…
Mais où est passée Chrystèle ? Léopold ne la voit plus. Rien ne l’excite plus que la chercher en espérant la retrouver en train de sucer un ou deux beaux mecs, en train de se faire prendre par un ou deux beaux mecs ou encore en train de lécher une belle chatte. Bref Chrystèle est très sexe et Léopold un peu dépassé.
Premier étage. Elle n’est pas dans la chambre de droite. Ni dans celle de gauche où trois couples s’activent. Deuxième étage. Non elle n’est pas là à droite. Mais elle est à gauche. Elle suce un beau mec qui lui a descendu sa robe pour s’emparer de ses seins. Léopold s’assis sur un coffre en bois. A côté de Djamel, un organisateur de soirée qu’ils connaissent bien : « Ca va Léopold, il est pas mal le mec de ta femme ». Djamel baise beaucoup mais sa femme n’a pas trop le droit d’en faire autant. Chrystèle se retourne. Se met en levrette sur le lit à côté d’un grand chauve sur lequel une femme pas de toute première jeunesse s’échine à prendre du plaisir.
Le beau brun – 1 m 95, style italien, belle bite – pénètre lentement Chrystèle tout en prenant ses seins à pleine main. Bientôt Léopold et Djamel regardent ses seins tressauter sous les assauts du beau brun. « Ca te plait ? » interroge Djamel. Pas de réponse : « Venez à la maison un de ces jours.
- A la rentrée c’est promis », répond Léopold tout en regardant, toujours aussi fasciné, Chrystèle prendre longuement son pied sous la pénétration longue et souple du beau mâle qui en fait son jouet pour quelques instants. Il jouit. Elle se retourne. Elle repousse ses cheveux blonds de ses yeux. Il l’embrasse : « Grazie bella ragazza ». Effectivement il est Italien. Il se rhabille. Chrystèle sourit à Léopold et vient l’embrasser. Il lui demande : « Ca t’a plu ?
- C’était agréable, pas divin.
- Je ne t’ai pas vu monter.
- Pierre-Yves voulait me prendre mais a dû redescendre. Vittorio m’a draguée et je n’ai pas résisté. Beau mec non ?
- Oui. Italien. Toujours accro aux Italiens ?
- Oui. J’aimerais bien en rencontrer en Italie un jour. Tu serais d’accord.
- Suce moi un peu. » Il a sorti son sexe et l’a fait se pencher sur lui. Elle lui accorde la caresse de sa bouche. Pas très longtemps. Assez pour apprécier. « On descend. Il faut que je reboive un peu. »Les voilà donc devant le buffet où la compagne de Pierre-Yves, la quarantaine aussi, très sexy dans les robes qu’elle confectionne elle-même les attend près du buffet.
Peu de temps après Pierre-Yves revient : « Désolé j’ai dû te laisser. Léopold ça t’embête si je te l’emprunte, je dois lui montrer des estampes japonaises. » Il la prend par la taille et l’entraine dans l’escalier sans que Léopold réagisse. Gentiment Pierre-Yves indique à sa compagne : « Tu peux t’occuper de Léopold ». En fait Léopold préférerait voir Chrystèle se faire prendre mais n’en accepte pas moins de rejoindre Liliane dans la cuisine où elle entreprend de lui faire darder les tétons, l’embrasse, se met à genou pour le sucer. Vite il la retourne sur l’évier et lui fait subir les derniers et délicieux outrages…Et pendant ce temps Chrystèle est à genou devant Pierre-Yves dont elle fait durcir le large et long sexe qu’elle apprécie temps. Très dominant il lui presse la tête pour faire entrer son sexe toujours plus loin dans sa bouche. Bien dur il la retourne, prend ses fesses à pleine mains sur le canapé du premier étage de la maison devant lequel passent les convives en admirant sa technique. Il la pénètre, lentement, centimètre après centimètre, la fait languir, puis la baise avec application ; « mais quel pied mes aïeux, quel expert es-baise, un vrai pro », disent de lui ces dames.
En tout cas Chrystèle avait mis les petits plats dans les grands. Son corset rouge, qui risquait de lui tenir un peu chaud en ce beau mois de juillet, mais lui faisait un corps incroyable entre ses superbes seins comme en apesanteur et ses fesses sublimées, le tout porté sous une robe aussi rouge que son corset qui avait la particularité de pouvoir se porter très longue comme très courte. Une robe qu’elle baissait sur ses seins quand la gent masculine ne s’intéressait pas assez à elle. Ce qui arrivait assez rarement il est vrai tant son mètre 75 et son 95C emportaient vite l’attention.
Ils sonnent à la porte du petit hôtel particulier, situé dans une grande cour, déjà bon nombre de convives sont là. Il faut dire que la soirée commençait dans l’après-midi pour les plus motivés. Revêtu de son uniforme fétiche d’officier leur hôte, Pierre-Yves, les accueille avec enthousiasme : « Venez, on vous attendait pour commencer. Chrystèle tu es superbe ». Il lui tâte les fesses : « Et pas de culotte. Tu as raison.
- Je les perds ou on me les vole. Je n’en mets plus. » Après bientôt deux années de libertinage, Chrystèle et Léopold, la trentaine ou presque, sont des habitués de ces soirées et Chrystèle – « les plus beaux seins du circuit », selon un amateur – toujours appréciée dans les soirées. Du moins des hommes et des maris. Moins des épouses. Qui apprécient Léopold - 1 m 80, mince, plutôt mignon – mais bien moins que les mecs très virils – disons-le les meilleurs sont les blacks – qui les emportent très loin dans le ciel étoilé de leurs désirs torrides…Mais ce soir la concurrence ne viendra pas de là. Il y a pas mal d’hommes, de tous les âges, mais c’est pour Pierre-Yves que Chrystèle est venue. La quarantaine, assez dominant, bien monté, elle espère bien qu’il l’honorera. Dix minutes plus tard elle est à quatre pattes sur un canapé au fond du grand salon. Pierre-Yves est derrière elle. Il remonte sa robe sur ses fesses et lui caresse les fesses de son martinet : « Ca te plait.
- J’adore. » Elle remue son cul et il la fouette gentiment tout en la pénétrant alternativement de ses doigts. Une dizaine de femmes et d’hommes regardent. Avant Chrystèle il a déjà proposé à une belle rousse de vivre la même expérience et nombreuses sont celles qui ne diraient pas non à une petite fessée.
Pendant ce temps Léopold a retrouvé Wilena, une belle Noire qui n’aime que se faire prendre, pas exciter, pas doigter, pas lécher, et avec laquelle il s’entend très bien. Pas trop sexuellement mais il aime discuter avec elle et parfois avec son mari, le très estimé Julius. Ils reviennent juste d’une croisière érotique assez décevant aux Etats-Unis : « Erotique tu parles. Pour les Américains le comble de la croisière érotique c’est déjà d’être un peu déshabillé », regrette Julius, qui a quand même « fini par baiser deux Américaines », rigole Wilena. « Mais ça a failli finir tout de suite. J’avais emmené des faux pistolets pour jouer au cow-boy et à la douane ils ont cru qu’on était de terroristes », rigole jaune Julius, ce soir-là en short noir et santiags noires. Prêt à dégainer son celèbre sexe tordu à droite pour toutes les volontaires…
Mais où est passée Chrystèle ? Léopold ne la voit plus. Rien ne l’excite plus que la chercher en espérant la retrouver en train de sucer un ou deux beaux mecs, en train de se faire prendre par un ou deux beaux mecs ou encore en train de lécher une belle chatte. Bref Chrystèle est très sexe et Léopold un peu dépassé.
Premier étage. Elle n’est pas dans la chambre de droite. Ni dans celle de gauche où trois couples s’activent. Deuxième étage. Non elle n’est pas là à droite. Mais elle est à gauche. Elle suce un beau mec qui lui a descendu sa robe pour s’emparer de ses seins. Léopold s’assis sur un coffre en bois. A côté de Djamel, un organisateur de soirée qu’ils connaissent bien : « Ca va Léopold, il est pas mal le mec de ta femme ». Djamel baise beaucoup mais sa femme n’a pas trop le droit d’en faire autant. Chrystèle se retourne. Se met en levrette sur le lit à côté d’un grand chauve sur lequel une femme pas de toute première jeunesse s’échine à prendre du plaisir.
Le beau brun – 1 m 95, style italien, belle bite – pénètre lentement Chrystèle tout en prenant ses seins à pleine main. Bientôt Léopold et Djamel regardent ses seins tressauter sous les assauts du beau brun. « Ca te plait ? » interroge Djamel. Pas de réponse : « Venez à la maison un de ces jours.
- A la rentrée c’est promis », répond Léopold tout en regardant, toujours aussi fasciné, Chrystèle prendre longuement son pied sous la pénétration longue et souple du beau mâle qui en fait son jouet pour quelques instants. Il jouit. Elle se retourne. Elle repousse ses cheveux blonds de ses yeux. Il l’embrasse : « Grazie bella ragazza ». Effectivement il est Italien. Il se rhabille. Chrystèle sourit à Léopold et vient l’embrasser. Il lui demande : « Ca t’a plu ?
- C’était agréable, pas divin.
- Je ne t’ai pas vu monter.
- Pierre-Yves voulait me prendre mais a dû redescendre. Vittorio m’a draguée et je n’ai pas résisté. Beau mec non ?
- Oui. Italien. Toujours accro aux Italiens ?
- Oui. J’aimerais bien en rencontrer en Italie un jour. Tu serais d’accord.
- Suce moi un peu. » Il a sorti son sexe et l’a fait se pencher sur lui. Elle lui accorde la caresse de sa bouche. Pas très longtemps. Assez pour apprécier. « On descend. Il faut que je reboive un peu. »Les voilà donc devant le buffet où la compagne de Pierre-Yves, la quarantaine aussi, très sexy dans les robes qu’elle confectionne elle-même les attend près du buffet.
Peu de temps après Pierre-Yves revient : « Désolé j’ai dû te laisser. Léopold ça t’embête si je te l’emprunte, je dois lui montrer des estampes japonaises. » Il la prend par la taille et l’entraine dans l’escalier sans que Léopold réagisse. Gentiment Pierre-Yves indique à sa compagne : « Tu peux t’occuper de Léopold ». En fait Léopold préférerait voir Chrystèle se faire prendre mais n’en accepte pas moins de rejoindre Liliane dans la cuisine où elle entreprend de lui faire darder les tétons, l’embrasse, se met à genou pour le sucer. Vite il la retourne sur l’évier et lui fait subir les derniers et délicieux outrages…Et pendant ce temps Chrystèle est à genou devant Pierre-Yves dont elle fait durcir le large et long sexe qu’elle apprécie temps. Très dominant il lui presse la tête pour faire entrer son sexe toujours plus loin dans sa bouche. Bien dur il la retourne, prend ses fesses à pleine mains sur le canapé du premier étage de la maison devant lequel passent les convives en admirant sa technique. Il la pénètre, lentement, centimètre après centimètre, la fait languir, puis la baise avec application ; « mais quel pied mes aïeux, quel expert es-baise, un vrai pro », disent de lui ces dames.
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