Interdits d’été: sur la route des vacances 1
Récit érotique écrit par Marcel1001 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Interdits d’été: sur la route des vacances 1
4 nouvelles de nos expériences sur la route des vacances (épisode 1).
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Ils roulaient vers le nord par la nationale depuis déjà deux heures. La chaleur pesait sur l’asphalte, canicule en pleine montée, clim poussive, fenêtres à peine entrouvertes pour laisser passer un peu d’air. Les sièges collaient à la peau. Ils ne parlaient presque pas. Juste la route, les arbres qui filaient, les bras nus qui frôlaient entre deux virages.
Elle avait les jambes repliées sur le siège, les pieds nus posés contre le tableau de bord. Sa robe légère remontait un peu plus à chaque mouvement. Lui jetait parfois un coup d’œil. Mais c’est elle qui prit l’initiative.
Tu peux t’arrêter bientôt ? J’ai envie de baiser.
Il tourna la tête vers elle. Son regard n’appelait pas de réponse. Il glissa sur le bas côté à la sortie d’un village. Ce qui ressemblait à une aire de repos, presque vide, entre deux champs grillés par le soleil. Pas de station-service, juste quelques tables de pique-nique en béton fissuré à l’ombre maigre de jeunes peupliers.
Ils descendirent, marchèrent un peu à l’écart, contournant les tables de pique-nique, gagnant un coin plus isolé derrière une haie. Le sol était dur, craquelé, la chaleur montait du sol comme un souffle brûlant. Il n’y avait personne à vue. Seuls les insectes bourdonnaient, ivres de lumière.
Elle s’adossa à un tronc maigre, remonta sa robe sans attendre. Lui s’approcha, déjà tendu, déjà pris par ce qu’elle dégageait. Il se pencha vers elle, l’embrassa d’abord, longuement. Ses mains remontèrent le long de ses cuisses, trouvèrent sa culotte. Il la sentit déjà humide. Elle écartait légèrement les jambes, appuyée contre l’arbre, ses doigts agrippés à son t-shirt. Il glissa la main sous le tissu, chercha l’ouverture, sentit la chaleur battante de sa vulve.
Elle soupira, le regard tendu vers l’espace vide devant eux, à l’écoute du moindre bruit. Il entrouvrit la culotte, juste assez pour glisser deux doigts entre ses lèvres. Elle était trempée. Elle se cambra, fit un pas en arrière, calée contre le tronc. Lui la caressait en rythme, son pouce effleurant son clitoris, un troisième doigt ayant rejoint les deux autres besognant doucement son vagin à la recherche de son point G. Elle gémissait presque sans bruit, la lèvre mordue.
Il sentait son propre désir monter, irrépressible. Il s’ouvrit le pantalon d’une main, le sexe dressé dans la chaleur de l’air. Son gland violacé et dur était impatient. Il n’y avait pas besoin de plus. Juste ce frisson du risque, du lieu, du moment volé. Il se masturbait lentement, à côté d’elle, son autre main toujours glissée entre ses jambes.
Elle murmura :
On va se faire choper…
Mais elle ne bougea pas. Au contraire, elle ouvrit un peu plus ses cuisses, cherchant la friction, l’éclat du plaisir imminent. Il accéléra, les doigts humides, la verge luisante dans sa paume. Ils étaient suspendus à la peur d’un pas, d’une voix, d’un claquement de portière au loin.
Elle jouit d’abord, tremblante, recroquevillée contre lui, ses ongles dans son bras. Lui la regarda, la bouche entrouverte, et finit dans un râle bref, la semence échappée entre ses doigts, retombée contre le sol en gouttes épaisses.
Ils se rhabillèrent en silence, les joues rouges, les mains moites, l’air trop sec.
On y va ? dit-elle en remontant sa robe.
Il acquiesça. Ils rejoignirent la voiture comme deux enfants qui auraient brûlé quelque chose d’interdit. Sur le siège, elle posa sa main sur sa cuisse. Il posa la sienne sur la sienne. Aucun mot.
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Ils roulaient vers le nord par la nationale depuis déjà deux heures. La chaleur pesait sur l’asphalte, canicule en pleine montée, clim poussive, fenêtres à peine entrouvertes pour laisser passer un peu d’air. Les sièges collaient à la peau. Ils ne parlaient presque pas. Juste la route, les arbres qui filaient, les bras nus qui frôlaient entre deux virages.
Elle avait les jambes repliées sur le siège, les pieds nus posés contre le tableau de bord. Sa robe légère remontait un peu plus à chaque mouvement. Lui jetait parfois un coup d’œil. Mais c’est elle qui prit l’initiative.
Tu peux t’arrêter bientôt ? J’ai envie de baiser.
Il tourna la tête vers elle. Son regard n’appelait pas de réponse. Il glissa sur le bas côté à la sortie d’un village. Ce qui ressemblait à une aire de repos, presque vide, entre deux champs grillés par le soleil. Pas de station-service, juste quelques tables de pique-nique en béton fissuré à l’ombre maigre de jeunes peupliers.
Ils descendirent, marchèrent un peu à l’écart, contournant les tables de pique-nique, gagnant un coin plus isolé derrière une haie. Le sol était dur, craquelé, la chaleur montait du sol comme un souffle brûlant. Il n’y avait personne à vue. Seuls les insectes bourdonnaient, ivres de lumière.
Elle s’adossa à un tronc maigre, remonta sa robe sans attendre. Lui s’approcha, déjà tendu, déjà pris par ce qu’elle dégageait. Il se pencha vers elle, l’embrassa d’abord, longuement. Ses mains remontèrent le long de ses cuisses, trouvèrent sa culotte. Il la sentit déjà humide. Elle écartait légèrement les jambes, appuyée contre l’arbre, ses doigts agrippés à son t-shirt. Il glissa la main sous le tissu, chercha l’ouverture, sentit la chaleur battante de sa vulve.
Elle soupira, le regard tendu vers l’espace vide devant eux, à l’écoute du moindre bruit. Il entrouvrit la culotte, juste assez pour glisser deux doigts entre ses lèvres. Elle était trempée. Elle se cambra, fit un pas en arrière, calée contre le tronc. Lui la caressait en rythme, son pouce effleurant son clitoris, un troisième doigt ayant rejoint les deux autres besognant doucement son vagin à la recherche de son point G. Elle gémissait presque sans bruit, la lèvre mordue.
Il sentait son propre désir monter, irrépressible. Il s’ouvrit le pantalon d’une main, le sexe dressé dans la chaleur de l’air. Son gland violacé et dur était impatient. Il n’y avait pas besoin de plus. Juste ce frisson du risque, du lieu, du moment volé. Il se masturbait lentement, à côté d’elle, son autre main toujours glissée entre ses jambes.
Elle murmura :
On va se faire choper…
Mais elle ne bougea pas. Au contraire, elle ouvrit un peu plus ses cuisses, cherchant la friction, l’éclat du plaisir imminent. Il accéléra, les doigts humides, la verge luisante dans sa paume. Ils étaient suspendus à la peur d’un pas, d’une voix, d’un claquement de portière au loin.
Elle jouit d’abord, tremblante, recroquevillée contre lui, ses ongles dans son bras. Lui la regarda, la bouche entrouverte, et finit dans un râle bref, la semence échappée entre ses doigts, retombée contre le sol en gouttes épaisses.
Ils se rhabillèrent en silence, les joues rouges, les mains moites, l’air trop sec.
On y va ? dit-elle en remontant sa robe.
Il acquiesça. Ils rejoignirent la voiture comme deux enfants qui auraient brûlé quelque chose d’interdit. Sur le siège, elle posa sa main sur sa cuisse. Il posa la sienne sur la sienne. Aucun mot.
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