Interdits d’été: sur la route des vacances 2
Récit érotique écrit par Marcel1001 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Interdits d’été: sur la route des vacances 2
4 nouvelles de nos expériences sur la route des vacances (épisode 2).
—-
Ils avaient quitté l’autoroute, vaincus par la chaleur. La clim ne suffisait plus, l’air vibrait de poussière, de lumière blanche. Sur une aire de repos, il avait garé la voiture sous un arbre maigre, à l’écart. Quelques mètres derrière les sanitaires, à peine deux autres voitures. Pas de bruit. Juste le cliquetis du moteur qui refroidit, le chant continu des cigales.
Ils restèrent assis un moment, sans parler. Puis elle tourna la tête vers lui. Un regard sec, intense, sans mots. Elle ne souriait pas. Elle avait envie. Il le comprit aussitôt.
Elle se hissa à moitié sur son siège, pivota, rabattit légèrement le dossier. Sa robe remonta sur ses cuisses. Couchée, elle écartait déjà les jambes, nue dessous. La toison sombre brillait à la lumière filtrée du pare-brise.
Il se pencha sans réfléchir, sa main droite glissant entre ses cuisses. Elle était chaude, trempée. Il effleura les lèvres, glissa un doigt, sentit son bassin se soulever à peine. Elle avait refermé les yeux. Sa tête était tournée vers la vitre, le souffle court.
Il écarta doucement les derniers plis de sa robe pour mieux exposer sa vulve. Ses doigts trouvaient son rythme, précis, concentrés. Elle entrouvrait les lèvres, se retenait de gémir, sa main crispée sur le tissu du siège.
Lui s’était redressé, le souffle saccadé, le sexe dur à en éclater le short, excité à la vue de sa vulve luisante. Il ouvrit sa braguette d’un geste. Son sexe gorgé de sang claqua sur son bas ventre libéré du tissu qui l’emprisonnait. Il se masturba lentement, le regard plongé entre ses cuisses. Elle était offerte, palpitante, son clitoris gonflé sous ses caresses.
Un bruit dehors. Une voiture qui passe. Ils s’arrêtent, figés, les souffles suspendus. Rien. Silence à nouveau.
Elle tend la main, le touche. Il sursaute, puis reprend. Il glisse deux doigts en elle, plus profond cette fois. Elle cambre les reins, tend les jambes, en coince une en diagonale contre la porte, mais ne crie pas. Ils écoutent le moindre bruit, le cœur battant.
Lui éjacule dans un souffle rauque, le sperme sur son ventre, son short à moitié baissé. Elle tremble, vient juste après, crispée contre le siège, le visage rougi. Elle joue avec sa semence.
Ils restent là, poisseux, haletants, l’habitacle saturé d’odeurs de chaleur, de peau, de désir, de sperme et de mouille.
On va se faire prendre un jour, souffle-t-elle.
Il répond sans répondre, la main encore posée sur sa cuisse.
Peut-être. Mais pas aujourd’hui.
Elle sourit à peine, redescend sa robe, remet sa culotte et l’ajuste. Il s’essuie à la va-vite, renfile son short. Le moteur redémarre. L’air conditionné crache un souffle tiède.
Ils reprennent la route. Comme si rien ne s’était passé. Comme si tout avait changé.
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Ils avaient quitté l’autoroute, vaincus par la chaleur. La clim ne suffisait plus, l’air vibrait de poussière, de lumière blanche. Sur une aire de repos, il avait garé la voiture sous un arbre maigre, à l’écart. Quelques mètres derrière les sanitaires, à peine deux autres voitures. Pas de bruit. Juste le cliquetis du moteur qui refroidit, le chant continu des cigales.
Ils restèrent assis un moment, sans parler. Puis elle tourna la tête vers lui. Un regard sec, intense, sans mots. Elle ne souriait pas. Elle avait envie. Il le comprit aussitôt.
Elle se hissa à moitié sur son siège, pivota, rabattit légèrement le dossier. Sa robe remonta sur ses cuisses. Couchée, elle écartait déjà les jambes, nue dessous. La toison sombre brillait à la lumière filtrée du pare-brise.
Il se pencha sans réfléchir, sa main droite glissant entre ses cuisses. Elle était chaude, trempée. Il effleura les lèvres, glissa un doigt, sentit son bassin se soulever à peine. Elle avait refermé les yeux. Sa tête était tournée vers la vitre, le souffle court.
Il écarta doucement les derniers plis de sa robe pour mieux exposer sa vulve. Ses doigts trouvaient son rythme, précis, concentrés. Elle entrouvrait les lèvres, se retenait de gémir, sa main crispée sur le tissu du siège.
Lui s’était redressé, le souffle saccadé, le sexe dur à en éclater le short, excité à la vue de sa vulve luisante. Il ouvrit sa braguette d’un geste. Son sexe gorgé de sang claqua sur son bas ventre libéré du tissu qui l’emprisonnait. Il se masturba lentement, le regard plongé entre ses cuisses. Elle était offerte, palpitante, son clitoris gonflé sous ses caresses.
Un bruit dehors. Une voiture qui passe. Ils s’arrêtent, figés, les souffles suspendus. Rien. Silence à nouveau.
Elle tend la main, le touche. Il sursaute, puis reprend. Il glisse deux doigts en elle, plus profond cette fois. Elle cambre les reins, tend les jambes, en coince une en diagonale contre la porte, mais ne crie pas. Ils écoutent le moindre bruit, le cœur battant.
Lui éjacule dans un souffle rauque, le sperme sur son ventre, son short à moitié baissé. Elle tremble, vient juste après, crispée contre le siège, le visage rougi. Elle joue avec sa semence.
Ils restent là, poisseux, haletants, l’habitacle saturé d’odeurs de chaleur, de peau, de désir, de sperme et de mouille.
On va se faire prendre un jour, souffle-t-elle.
Il répond sans répondre, la main encore posée sur sa cuisse.
Peut-être. Mais pas aujourd’hui.
Elle sourit à peine, redescend sa robe, remet sa culotte et l’ajuste. Il s’essuie à la va-vite, renfile son short. Le moteur redémarre. L’air conditionné crache un souffle tiède.
Ils reprennent la route. Comme si rien ne s’était passé. Comme si tout avait changé.
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