Janvier 1982

- Par l'auteur HDS Maceran -
Récit érotique écrit par Maceran [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Janvier 1982 Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Janvier 1982
Le lundi 11 janvier 1982, j’étais en poste à Nancy, dans le bureau en charge de la construction de l’autoroute Nancy Metz. Pour l’ensemble, nous avions une secrétaire, qui étant enceinte dû être remplacée. Michèle, la responsable du staff féminin, vint un matin pour nous présenter notre nouvelle secrétaire. Cette nouvelle secrétaire avait dans les trente ans, jolie jeune femme et de type asiatique, pour moi un choc.
o Distribution de pubsÇa me ramenait à mes 19 ans quand ayant terminé mon année de prépa, à Toulouse et réussi à intégrer une école d’ingénieurs, j’attendais la venue de mes parents pour partir en vacances. J’avais quinze jours de liberté que j’employais à faire des petits boulots. Le mercredi, j’allais déjeuner au restaurant universitaire, quant à l’entrée un type la cinquantaine était là semblant hésiter à rentrer. Je vais vers lui : « Puis-je vous aider ? »Lui : « Oui … je ferme un magasin à Colomiers, et je cherche à étudiant qui serait susceptible de distribuer des pubs, en fin de semaine, … »Moi : « OK, … vous l’avez trouvé, … je suis libre, … » et on se met d’accord pour le lendemain me prendre à son magasin à Colomiers. Jeudi, vendredi et samedi matin j’ai arpenté, en tous sens, cette ville. A midi, lors du repas le patron annonce qu’il va faire venir, Viviane, sa vendeuse de Toulouse pour donner un coup de main. Effectivement, à l’ouverture l’après-midi, Viviane est arrivée. Jeune femme un peu moins que la trentaine, jolie, type asiatique, bien faite, cheveux longs, noirs, attachés en queue de cheval, un joli cul, une poitrine un peu plus importante que celle d’une ado, mais agréable à voir. J’apprendrais plus tard, que sa mère était indochinoise. Samedi après-midi, beaucoup de monde et le patron n’avait demandé de rester pour aider les vendeuses, comme manutentionnaire. Le dimanche on remet ça. Tout se passe bien. Viviane était sympa. Trois ou quatre fois, alors qu’elle était avec une cliente sur le comptoir et que je devais passer derrière elle, j’avais été coincé par elle entre ses fesses et les étagères. Excusez-moi. En fin d’après-midi, elle m’avait envoyé au sous-sol pour chercher des pulls, alors que je remontais l’escalier, elle descendait et arrivée en bas, elle posa ses lèvres sur les miennes et me donnant un papier, me dit : « Demain viens à la maison à 2,00 heures je t’offre le café, … », et elle était remontée, remuant son joli cul. Je n’aurai pas eu le papier dans la main, j’aurais pensé avoir rêver. La fin de la journée se passa dans un petit nuage.
o Le lendemainLe lendemain, j’empruntais une mobylette à un copain et avant 14,00 h, je repérais la voiture du mari et attendais qu’il s’éloignât. Je sonnais, elle ouvrit instantanément. A peine entré, elle posa ses lèvres sur le miennes avec : « Viens le café nous attend, … » Effectivement tout était prêt. On s’installa, du même côté de la table et nous commençâmes à deviser. Après le bac j’avais eu une maitresse plus âgée que moi, en fait, pour être exact, Sophie m’avait pris pour amant et c’était elle qui avait fait les premiers pas, enfin qui m’avait guidé, mais là, comment m’y prendre, … En fait, je pense voyant que je n’agissais pas, elle se leva et vit s’asseoir sur mes genoux. Bon. Là, j’étais plus à l’aise et nous commençâmes une partie de lèche museau, où nos langues firent connaissance, je commençais à me décontracter et entrepris de glisser une main dans son corsage, elle défit les boutons et agréable surprise elle ne portait pas de soutien-gorge. Il est vrai qu’elle avait une poitrine un peu petite, mais ferme et dont les tétons pointaient orgueilleusement. Ainsi placé, il m’était difficile de les gouter, il ne restait plus qu’à aller à l’aventure de son entrejambe, le début fut facile, la jupe du fait de sa positon était remontée à mi-cuisse, mais au-delà, les cuisses remplissaient la jupe droite, et l’accès à sa chatte était pratiquement impossible. Elle dut le réaliser et se levant : « Viens, … » direction la chambre. A peine arrivé, elle vint se coller à moi : « Embrasses-moi, … » Ce fut un baiser gourmand de l’ensemble du corps, ce qui lui permit, je pense, de vérifier si j’étais en mesure de la satisfaire. Enfin se reculant elle remonta sa jupe au-dessus des hanches et se laissant tomber sur le lit, je n’avais plus qu’à lui retirer sa petite culotte et découvrir sa chatte. Celle-ci enlevée, ses jambes s’écartèrent avec un : « Viens, … » J’entrepris de me placer entre ses cuisses et sa chatte, aux grosses lèvres bien gonflées et dont la raie commençait à s’humidifier, m’attirait et j’entrepris de la lécher, et après un suivi de cette jolie raie, je la pénétrais d’un coup langue pointue. Au début ce fut : « Oh, … non, … pas ça, … » mais je continuais, j’eu raison et cela devint : « Oui, … C’est bon, … continues, … » Elle appréciait, je continuais et pendant que ma langue s’occupait activement de sa chatte, deux doigts partirent à la reconnaissance de sa grotte d’amour, qui commençait à se mouiller gentiment et cela se traduisit par : « Oh, … oh, … oui, … continues, … ça fait longtemps, … j’aime, …oui, … » ayant son accord, je la masturbais d’abord doucement puis avec un peu plus d’énergie et là je savais qu’elle appréciait, le compas de ses cuisses s’étant encore ouvert, elle se donnait par sa position et par se paroles : « Oh, … oui, … continues, … j’aime, … ne t’arrêtes pas, … oh que c’est bon, … ne t’arrêtes pas, … je sens que je vais , … OOOOHHHH, … OUIIII, …. OUIIIII, … » et elle se tendit, pour immédiatement se contracter et enfin se laisser tomber sur le dos, le souffle court. Enfin, se redressant sur les coudes, elle s’aperçut que je tombais pantalon et caleçon et que « popol » se dressait fièrement, alors : « Qu’est-ce que tu fais ? .... »Moi : « Je vais te faire l’amour, … »Viviane : « Tu es fou, … je n’en peux plus, … non, … tu ne vas pas, … » Pendant ce temps je me dirigeais vers son joli abricot et doucement la pénétrais, elle tenta de resserrer les cuisses mais vue ma position elle ne fit que me bloquer entre ses cuisses, mais n’arrêta pas mon action, au contraire, je la pénétrais entièrement et complétement et ce fut la réaction classique : « Non, … tu ne vas pas, … attends un peu, … OH, non, … arrêtes, … tu es fou, … OOHH, … oui, fais-moi l’amour, … OUI, … PRENDS MOI, … prends moi, … » et j’accélérais mes va et vient plus, plus elle s’ouvrait et plus elle se donnait, quant à moi, j’étais au bord de l’explosion quand elle se mit à jouir : « OOOOOHHHH, … OUIIIII, … OUIIII, … ne t’arrêtes pas, … OUIIIIIII, … » et pendant que je me vidais dans sa chatte elle fut parcouru par une série de spasmes qui la secouèrent fortement, avant de se laisser aller essoufflée et languie sur le lit. Recouvrant ses esprits, elle se retourna sur moi : « Merci, …ça faisait longtemps, … j’ai aimé, … » et elle m’embrassa avant de filer en me disant je reviens. Pendant son absence je me rappropriais et je dirigeais vers la salle de séjour pour l’attendre. Elle revint recoiffée, remaquillée et me dit : « Viens on va prendre l’air, … » On descendit, et on fit le tour du bâtiment pour se retrouver dans une espèce de square où se trouver 4 arbres, 3 bancs avec autour des pelouses. De l’autre côté une rue paisible avec deux ou trois magasins. On s’installa et aussitôt elle vint se caller contre moi en me disant : « Prends-moi dans tes bras, … » Je n’étais pas à l’aise et elle s’en aperçut : « Qu’est ce qui ne va pas, … » et moi de lui répondre : « Tu ne crains pas que quelqu’un te reconnaisse, … » elle de répliquer : « Ne t’inquiètes pas, on ne vient jamais ici, … » Alors décontracté, mon bras droit l’entoura et la serra assez pour que ma main droite puisse atteindre son sein droit, que je me mis à titiller gentiment. Le résultat ne se fit pas attendre, son téton réagit rapidement pour se dresser et pointer orgueilleusement. Au bout d’un moment : « Arrêtes, … tu es en train de me donner des idées, … de me donner des envies, … »Moi : « Moi aussi, ça me donne des idées, … des envies, … »Viviane : « Oh, … encore, … »Moi sur le ton de la plaisanterie : « Tu veux contrôler, … » et effectivement, j’avais une enflure sympathique à un endroit précis de mon pantalon, … »Viviane : « Attends, … je veux voir, … » et sans hésiter elle mit sa main sur ma braguette. Aussitôt, une idée saugrenue me vint à la tête. J’enlevais prestement mon blouson et le poser sur nos genoux, ce qui cachait plus ou moins ce qu’elle était en train de faire. Et le diable était dans ses doigts, elle se mit à me caresser la tige, qui ne demanda qu’à grandir et surtout durcir. Bon, depuis que l’on s’était installé, personne n’était passé, mais peut-être à cause de cela, elle descendit la fermeture éclair et sa main arriva sur mon caleçon, et elle reprit discrètement ses caresses. Je ne fus pas long à me vider dans mon caleçon. Quand elle sentit cella, elle retira sa mais avec : « Tu as aimé, … » J’étais content, mais gêné, … heureusement Viviane réalisa que le temps passait et elle se leva en disant : « Il faut que j’y aille, … j’ai l’appart à remettre en ordre, … à bientôt, … peut-être, … » et elle était partieo Le jour suivantLe lendemain, je trainais dans ma chambre d’étudiant me demandant comment je pourrais revoir Viviane. La solution, aller la voir au magasin où elle travaillait en ville. Vers 14 heures, j’étais aux abords du magasin où je vis le patron et les deux vendeuses dont Viviane ouvrir et rentrer dans le magasin. Un quart d’heure après, je rentrais dans le magasin et saluais tout le monde et m’adressant au parton lui demandais s’il n’avait pas un boulot pour moi. Il me dit non pas pour l’instant et s’adressant aux vendeuses : « Je pars à la réunion des …. De toutes les façons il ne viendra pas beaucoup de monde aujourd’hui, … à demain, … et n’oubliez pas de ranger la livraison de ce matin » et il partit. C’est alors Viviane qui dit : « Il aurait pu demander à Jean de nous aider à ranger la livraison, … » Rapidement je dis : « Si vous voulez je peux vous aider, … je n’ai rien à faire, … »Viviane : « Si vous voulez, ce serait sympa, … mais non payé, … »Moi : « D’accord, … alors vous payez le café, … » Marché conclutLa livraison vraiment importante se trouvait dans l’arrière de la boutique. Tout devait être descendu dans la cave. IL y avait un escalier un peu raide et autrement il y avait une espèce de monte-charge, en fait une partie du sol de l’arrière-boutique pouvait descendre et remonter par un système de câbles. Pratique. Et on se mit au boulot. Viviane chargeait sur cette plateforme, elle descendait, en bas je vidais la plateforme et entassais le tout sur le côté. En une demi-heure le tout fut en bas. Viviane descendit et je lui ouvrais les cartons, dont elle rangeait le contenu dans des étagères.
En continuant ce travail, je me demandais comment je pourrais faire pour « renouer » le contact. Pour mettre les articles dans les étagères, il lui fallait monter sur un genre de petit banc de trois marches. Le travail étant presque terminé, je décidais de tenter le coup. Alors qu’elle était sur le petit banc les bras en l’air pour déposer des articles dans une étagère haute, j’arrivais derrière elle, l’entourais et posais mes mains sur ses seins. Les articles atterrirent dans une étagère plus basse et ses mains se posèrent sur les miennes, alors qu’elle disait : « Je me demandais quand tu te déciderais, … » et se retournant on se colla et nos lèvres se joignirent pour un long baiser où les langues se caressèrent, se mélangèrent.
Et elle m’entraina aux abords de la table et là appuyant son joli cul contre la table elle ouvrit son corsage, ce qui mit en évidence ses seins, mais la surprise était là. C’était un soutien-gorge quart de bonnet, qui laissait libre accès à ses jolis nénés qui pointaient fièrement, les mamelons ne demandant qu’à être pris en bouche et être sucés, tétés : « Ils sont à toi, profites en, fais toi plaisir, fais-moi plaisir »Alors que très occupé par ces deux belles rotondités, je ne remarquais que Viviane se tortillait un peu. Et là, était la deuxième surprise. Alors que mes mains et ma bouche s’occupaient avec ardeur de ses seins, elle me prit la main droite et l’amena à son entre jambe, en fait sur son minou, non sur sa petite culotte qui était relativement humide, ce qui augmenta mon excitation. Je me décidais à enlever cette protection, alors, de nouveau avec sa main elle me guida vers sa chatte et ses doigts poussant les miens, je la pénétrais et commençais à la masturber avec une douce vigueur. Elle me facilita la tâche en écartant largement les cuisses et surtout en avançant son bassin vers ma main. Ce petit jeu dura peu, car elle me repoussa et s’appuyant sur la table, relevant sa jupe, les jambes bien écartées, son joli cul en arrière, elle me guida dans sa chatte humide : « Viens, …, j’aime tes doigts, mais je préfère ton sexe, … prends moi, …, je veux te sentir m’aimer, … non, … me baiser, …, oui baises moi fort, …, éclates moi la chatte, …, OUIIIIiiiii, …Plus vite, …, je sens que ça vient, …. OUIIIIIiii, … » Je faisais tout ce que je pouvais, la pénétrant avec force et au plus profond d’elle, heureusement au moment où n’y tenant plus je lâchais tout, elle eut la gentillesse de jouir en ayant un spasme qui la fit se contracter et serrer les jambes, ce qui m’éjecta loin de sa jolie chatte. Elle se reprit rapidement, ferma corsage, rabattit sa jupe et fila vers le coin toilette en fond de sous-sol. Je l’attendis pour remonter, n’ayant aucune idée du temps passé à, …, ranger les cartons.
En émergeant du sous-sol Audrey, sa collègue, nous dit, : « Vous en avez mis du temps »Pour ma part, je disais à Viviane, « Ce café ça tient toujours, … »Elle se retourna vers Audrey : « On est à côté, le temps de boire un café, … je ne pense pas qu’il y ait foule, … »Installé à la terrasse, Viviane ayant posé sa main sur la table, je posais « amoureusement » la mienne dessus, alors que rapidement elle la retirait en disant : « Ne fais pas, ça, travaillant ici, beaucoup de personnes me connaissent et savent que je suis marié, un tel geste, et elles auraient aussitôt de mauvaises pensées, … qu’elle s’empresseraient de colporter… »Moi : « Désolé, … je ne pensais pas mal faire, … »Viviane : « Oublies, … il faudrait lm rendre ce que tu m’as enlevé, … »Moi : « Non, …je le garde en souvenir, … »Viviane : « C’est gentil, … si tu es libre, jeudi, c’est mon jour de repos, … on pourrait prendre un café ensemble, … »Moi, qui venait de me faire rabrouer brutalement et maintenant elle me proposait un rendez-vous : « Bien sûr, ce serait avec plaisir, … »Viviane : « Parfait, … on se retrouve chez toi rue …. Vers 14,00 heures, … et on verra ce que l’on fait, … ça te va, … »Moi, que dire : « C’est parfait, … »Viviane : « Bon, … je retourne au magasin, … à jeudi, … » et elle était partie

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Histoire sexe : Une rose rouge
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