je plane pour Julie!

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 149 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Renifleur ont reçu un total de 974 753 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 558 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
je plane pour Julie!
Pas plus tard que le lendemain, Catherine m’a organisé une petite sauterie avec sa fille. J’ai trouvé cela très osé ! Elle m’a même donné, pour cela, une clé.
Chez Julie, je tourne un peu en rond en l’attendant. Je décide donc de fouiller un peu dans la maison. Histoire de voir si je ne découvre pas quelques objets ou quelques secrets.
Et comme souvent c’est dans la chambre que mon intérêt se porte. Remarquablement rangé. Je fouille donc la pièce. Je découvre assez facilement un godemichet que la coquine cache dans sa garde-robe. Pourtant accompagnée dans la vie, elle fait ce qu’elle peut pour s’envoyer en l’air avec une queue en silicone ! Et un sacré calibre !
Je ne peux résister à faire la comparaison avec ma queue. Et bien entendu, la mienne est bien en dessous. Sourire aux lèvres, je continue à fouiller encore mais ne trouve malheureusement rien d’autre qui pourrait faire monter ma libido.
Alors, comme souvent chez moi, je me rabats dans le panier de linge sale. Je m’empare d’une de ses culottes portées. J’inspire fortement la petite lingerie. J’essaie de m’imaginer sa chatte. Poilue ou lisse ? C’est surtout l’urine qui l’embaume. Dommage pour moi !
Puis j’entends du mouvement du côté de la porte d’entrée, enfin la voilà ! Tout de suite s’ensuit, des bruits de talons, cognant le carrelage. Je jubile à l’idée de me trouver en face de Julie. Mais très vite, la contrariété efface toute trace de satisfaction, en voyant se matérialiser devant moi Catherine.
-Déçu ? Me fait-elle.
- Oui, je m’attendais à…
- À Julie, me coupe-t-elle.
-Oui… bien sûr Julie…
-Et bien efface ce rendez-vous de ta mémoire ! Tu ne vas pas croire que je vais te donner ma fille comme ça.
-Mais je n’aie rien demandé, moi. C’est toi qui…
-Oui je l’entends bien, mais c’est moi qui décide. Me répond-t-elle en faisant glisser son bassin le long de mon torse, puis de mon ventre.
Elle dégrafe le corsage qu’elle porte. Son soutien-gorge rouge foncé se gonfle. Je vois ses seins par transparence. Déjà une goutte perle au bout de ma queue. Hypnotisé je la regarde faire.
Elle remonte sa robe pour me faire voir ses jambes. Ses bas noirs lui serrent le gras des cuisses. Sa culotte est rouge, ajourée comme le soutien gorge.
Elle se caresse à travers l’étoffe de sa culotte.
-Viens téter la gentille Catherine, petit cochon !
Penché sur elle je me mets à lui téter. Elle se malaxe les seins en même temps. Elle m’encourage de les sucer à fond. D’en prendre le plus possible en bouche.
Je dois les lui laver, en les léchant sur toute la surface. Elle gémit, tire sur ses mamelons, qu’elle triture pendant que j’enfouis ma tête entre les deux seins.
Pendant que je la tète, en parfaite experte, elle libère ma queue de son logement, et la caresse légèrement. Je suis vraiment très dur.
Elle me fait m’installer sur le divan. Tout en s’appuyant sur mes jambes, elle amène son bassin à la verticale de mon sexe rigide. Puis se laisse descendre lentement. Elle s’empale dessus jusqu’à ce que ses fesses largement écartées viennent buter contre mon bas-ventre.
Je savoure cette pénétration. Prenant appui sur ses mains, elle remonte légèrement son bassin. Faisant presque entièrement ressortir mon membre. Avec un soupir de satisfaction, elle se laisse ensuite retomber brutalement sur ma queue, et elle commence un long mouvement de pompe.
Je pose mes doigts sur son anus. J’introduis d’abord l’index. Puis très vite, deux doigts dans le petit orifice. Il est dilaté. J’enlève alors mes doigts, puis l’attire légèrement en avant. Elle comprend tout de suite. Intoxiquée par son excitation, elle avance son bassin, se penche et s’empale sur mon membre.
Elle reprend son va-et-vient. Plus lent cette fois. Insensiblement, j’approche ma bouche. Je dépose une série de petits bisous et tendres sur les gros globes blancs de Catherine, qui continue à se mouvoir sur ma queue.
Du bout des lèvres, j’insiste vers les mamelons. Instinctivement, une de ses mains accroche fermement ma tête sur le bout du sein, comme pour m’inciter à continuer, aller plus loin, plus fort. J’accrois la pression de ma bouche sur le bout des seins. Sous mes lèvres, le mamelon durcit encore un peu plus, devient raide. Je sens monter mon plaisir. Ma jouissance approche, je la sens.
Catherine, toujours à cheval sur moi, ferme les yeux. Elle se mord les lèvres. Je murmure à sa face :
-Tu me bouffes bien la queue avec ton cul, salope !
-Que c’est bon ce faire tarauder le cul !
-Tes anciens partenaires ne te donnaient pas ce genre de gâterie ?
Sous l’emprise du plaisir, Catherine se met à haleter. La bête rugit en moi. Son cul est brûlant, comme un four. À chaque chevauchement de sa part, elle rejette la tête en arrière, hurlant la bouche ouverte, les paupières clauses. Je la soulève, assez pour me retirer entièrement d’elle. Pour mieux m’enfoncer l’instant d’après. D’un coup, si brusquement que cette fois elle ne peut s’empêcher d’extérioriser son bonheur. Basculant son ventre, projetant ses jambes.
Encouragé, je continue à l’enculer. Catherine crie sons bien-être sans contrainte.
- Achève-moi, oui maintenant… vas-y fort !
Elle houle du bassin, s’arque un peu, se mord les lèvres et ses doigts.
- Vas-y, miaule-t-elle. Déchire-moi, laboure-moi le cul, fais tout ce qu’il te…
Ses dernières paroles se perdent dans un râle interminable. Sa tête se balade de tous les côtés. Puis j'explose. Je répands ma semence dans son cul.
Bien plus tard, une fois l’orgasme consommé devant une tasse de café, je reviens à la charge sur le sujet de sa fille.
-Et Julie dans tout ça ?
Las, elle m’avoue.
-Moi en vie, tu n’auras jamais de rapport avec ma fille. Tu vois Alain, avant toi je n’ai jamais pris autant de plaisirs avec un mec. J’ai passé des journées entières à attendre un partenaire de cul, oui, seulement de cul, pas plus. Je veux être à présent une femme sexuellement chaude. Et j’aimerais recommencer le plus vite possible. Alors pas question de partage. Surtout avec ma fille. Elle a son mec, elle !
Sa position sur le divan fait que son vagin est béante. Un gros O majuscule !
Plus bas, son trou du cul s’ouvre. Se prépare-t-elle à chier devant moi, la cochonne ? Cela ne m’étonnerait pas !
Je ne parviens pas à détacher mon regard de l’orifice honoré de fronces qui, par à-coups, se distend comme s’il allait lâcher d’un moment à l’autre un étron. La paroi de l’anus, lisse, luisante, bat alors, incrédule. Je vois sourdre une coulée de mon sperme frais. Forçant sur ses sphincters,
- J’aime bien me faire enculer par toi ! Articule Catherine.
Le jus gluant coule jusqu’à le coussin. En lâchant un gros pet, elle m’ordonne, d’une voix enrouée:
- Tu serais capable de me lécher ?
-Tu me donnes quoi en échange ?
-Tout ce que tu veux à l’exception de Julie !
Sans prendre la peine de répondre à ce qui venait d’être dit, je prends position et passe ma langue tout autour de son anus, recueillant mon propre sperme souillé par son cul. Il bé, la collerette mauve qui le borde s’amincie en s’élargissant. Sans réfléchir, tant l’excitation m’exorcise, je plaque mon visage entre ses fesses. Le goût est des plus encourageants à poursuivre mon aventure. Je pousse un cri et j’enfonce le bout de ma langue dans son anus. La bague souple palpite, comme si elle désirait recevoir de nouveau ma queue.
Le sang bat à mes tempes. Je laisse alors, se déchaîner mes furies sournoises de ma nature. Léchant, pourléchant, me régalant du cul de Catherine avec une harmonie que je ne contrôlais plus.
Catherine râle sans discontinuer, jusqu’à atteindre l’orgasme.
- Alors Catherine, je mérite bien une petite récompense ?
Sans prendre la peine de répondre, elle se laisse glisser à mes pieds. Elle me prend en bouche comme un sucre d’orge. D’abord presque timidement, puis avec plus d’assurance, tandis que de son autre main elle caresse mes bourses douloureuses. Tandis que mon gland entre et sort de sa bouche, que ses deux seins aux pointes tendues semblent me narguer, je pense à Julie.
Et là, je me mets à planer ! Pour ?
Chez Julie, je tourne un peu en rond en l’attendant. Je décide donc de fouiller un peu dans la maison. Histoire de voir si je ne découvre pas quelques objets ou quelques secrets.
Et comme souvent c’est dans la chambre que mon intérêt se porte. Remarquablement rangé. Je fouille donc la pièce. Je découvre assez facilement un godemichet que la coquine cache dans sa garde-robe. Pourtant accompagnée dans la vie, elle fait ce qu’elle peut pour s’envoyer en l’air avec une queue en silicone ! Et un sacré calibre !
Je ne peux résister à faire la comparaison avec ma queue. Et bien entendu, la mienne est bien en dessous. Sourire aux lèvres, je continue à fouiller encore mais ne trouve malheureusement rien d’autre qui pourrait faire monter ma libido.
Alors, comme souvent chez moi, je me rabats dans le panier de linge sale. Je m’empare d’une de ses culottes portées. J’inspire fortement la petite lingerie. J’essaie de m’imaginer sa chatte. Poilue ou lisse ? C’est surtout l’urine qui l’embaume. Dommage pour moi !
Puis j’entends du mouvement du côté de la porte d’entrée, enfin la voilà ! Tout de suite s’ensuit, des bruits de talons, cognant le carrelage. Je jubile à l’idée de me trouver en face de Julie. Mais très vite, la contrariété efface toute trace de satisfaction, en voyant se matérialiser devant moi Catherine.
-Déçu ? Me fait-elle.
- Oui, je m’attendais à…
- À Julie, me coupe-t-elle.
-Oui… bien sûr Julie…
-Et bien efface ce rendez-vous de ta mémoire ! Tu ne vas pas croire que je vais te donner ma fille comme ça.
-Mais je n’aie rien demandé, moi. C’est toi qui…
-Oui je l’entends bien, mais c’est moi qui décide. Me répond-t-elle en faisant glisser son bassin le long de mon torse, puis de mon ventre.
Elle dégrafe le corsage qu’elle porte. Son soutien-gorge rouge foncé se gonfle. Je vois ses seins par transparence. Déjà une goutte perle au bout de ma queue. Hypnotisé je la regarde faire.
Elle remonte sa robe pour me faire voir ses jambes. Ses bas noirs lui serrent le gras des cuisses. Sa culotte est rouge, ajourée comme le soutien gorge.
Elle se caresse à travers l’étoffe de sa culotte.
-Viens téter la gentille Catherine, petit cochon !
Penché sur elle je me mets à lui téter. Elle se malaxe les seins en même temps. Elle m’encourage de les sucer à fond. D’en prendre le plus possible en bouche.
Je dois les lui laver, en les léchant sur toute la surface. Elle gémit, tire sur ses mamelons, qu’elle triture pendant que j’enfouis ma tête entre les deux seins.
Pendant que je la tète, en parfaite experte, elle libère ma queue de son logement, et la caresse légèrement. Je suis vraiment très dur.
Elle me fait m’installer sur le divan. Tout en s’appuyant sur mes jambes, elle amène son bassin à la verticale de mon sexe rigide. Puis se laisse descendre lentement. Elle s’empale dessus jusqu’à ce que ses fesses largement écartées viennent buter contre mon bas-ventre.
Je savoure cette pénétration. Prenant appui sur ses mains, elle remonte légèrement son bassin. Faisant presque entièrement ressortir mon membre. Avec un soupir de satisfaction, elle se laisse ensuite retomber brutalement sur ma queue, et elle commence un long mouvement de pompe.
Je pose mes doigts sur son anus. J’introduis d’abord l’index. Puis très vite, deux doigts dans le petit orifice. Il est dilaté. J’enlève alors mes doigts, puis l’attire légèrement en avant. Elle comprend tout de suite. Intoxiquée par son excitation, elle avance son bassin, se penche et s’empale sur mon membre.
Elle reprend son va-et-vient. Plus lent cette fois. Insensiblement, j’approche ma bouche. Je dépose une série de petits bisous et tendres sur les gros globes blancs de Catherine, qui continue à se mouvoir sur ma queue.
Du bout des lèvres, j’insiste vers les mamelons. Instinctivement, une de ses mains accroche fermement ma tête sur le bout du sein, comme pour m’inciter à continuer, aller plus loin, plus fort. J’accrois la pression de ma bouche sur le bout des seins. Sous mes lèvres, le mamelon durcit encore un peu plus, devient raide. Je sens monter mon plaisir. Ma jouissance approche, je la sens.
Catherine, toujours à cheval sur moi, ferme les yeux. Elle se mord les lèvres. Je murmure à sa face :
-Tu me bouffes bien la queue avec ton cul, salope !
-Que c’est bon ce faire tarauder le cul !
-Tes anciens partenaires ne te donnaient pas ce genre de gâterie ?
Sous l’emprise du plaisir, Catherine se met à haleter. La bête rugit en moi. Son cul est brûlant, comme un four. À chaque chevauchement de sa part, elle rejette la tête en arrière, hurlant la bouche ouverte, les paupières clauses. Je la soulève, assez pour me retirer entièrement d’elle. Pour mieux m’enfoncer l’instant d’après. D’un coup, si brusquement que cette fois elle ne peut s’empêcher d’extérioriser son bonheur. Basculant son ventre, projetant ses jambes.
Encouragé, je continue à l’enculer. Catherine crie sons bien-être sans contrainte.
- Achève-moi, oui maintenant… vas-y fort !
Elle houle du bassin, s’arque un peu, se mord les lèvres et ses doigts.
- Vas-y, miaule-t-elle. Déchire-moi, laboure-moi le cul, fais tout ce qu’il te…
Ses dernières paroles se perdent dans un râle interminable. Sa tête se balade de tous les côtés. Puis j'explose. Je répands ma semence dans son cul.
Bien plus tard, une fois l’orgasme consommé devant une tasse de café, je reviens à la charge sur le sujet de sa fille.
-Et Julie dans tout ça ?
Las, elle m’avoue.
-Moi en vie, tu n’auras jamais de rapport avec ma fille. Tu vois Alain, avant toi je n’ai jamais pris autant de plaisirs avec un mec. J’ai passé des journées entières à attendre un partenaire de cul, oui, seulement de cul, pas plus. Je veux être à présent une femme sexuellement chaude. Et j’aimerais recommencer le plus vite possible. Alors pas question de partage. Surtout avec ma fille. Elle a son mec, elle !
Sa position sur le divan fait que son vagin est béante. Un gros O majuscule !
Plus bas, son trou du cul s’ouvre. Se prépare-t-elle à chier devant moi, la cochonne ? Cela ne m’étonnerait pas !
Je ne parviens pas à détacher mon regard de l’orifice honoré de fronces qui, par à-coups, se distend comme s’il allait lâcher d’un moment à l’autre un étron. La paroi de l’anus, lisse, luisante, bat alors, incrédule. Je vois sourdre une coulée de mon sperme frais. Forçant sur ses sphincters,
- J’aime bien me faire enculer par toi ! Articule Catherine.
Le jus gluant coule jusqu’à le coussin. En lâchant un gros pet, elle m’ordonne, d’une voix enrouée:
- Tu serais capable de me lécher ?
-Tu me donnes quoi en échange ?
-Tout ce que tu veux à l’exception de Julie !
Sans prendre la peine de répondre à ce qui venait d’être dit, je prends position et passe ma langue tout autour de son anus, recueillant mon propre sperme souillé par son cul. Il bé, la collerette mauve qui le borde s’amincie en s’élargissant. Sans réfléchir, tant l’excitation m’exorcise, je plaque mon visage entre ses fesses. Le goût est des plus encourageants à poursuivre mon aventure. Je pousse un cri et j’enfonce le bout de ma langue dans son anus. La bague souple palpite, comme si elle désirait recevoir de nouveau ma queue.
Le sang bat à mes tempes. Je laisse alors, se déchaîner mes furies sournoises de ma nature. Léchant, pourléchant, me régalant du cul de Catherine avec une harmonie que je ne contrôlais plus.
Catherine râle sans discontinuer, jusqu’à atteindre l’orgasme.
- Alors Catherine, je mérite bien une petite récompense ?
Sans prendre la peine de répondre, elle se laisse glisser à mes pieds. Elle me prend en bouche comme un sucre d’orge. D’abord presque timidement, puis avec plus d’assurance, tandis que de son autre main elle caresse mes bourses douloureuses. Tandis que mon gland entre et sort de sa bouche, que ses deux seins aux pointes tendues semblent me narguer, je pense à Julie.
Et là, je me mets à planer ! Pour ?
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Renifleur
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Beueueurrk...

