Jeudi 31 Décembre 1981 - histoire érotique

Rien de bien spécial depuis le départ de Paul et Matilde, les samedis on se retrouvait en boite et le dimanche sur la plage. En revanche pour le 31, le directeur de la brasserie avait décidé de faire un grand raout, en invitant fournisseurs et certains clients amis. Buffet bien garni, musique sympathique avec un disk jokey compétant sachant mettre de l’ambiance. AL avait appris par Véro que B serait de permanence, la nuit de la Saint Sylvestre, donc, elle viendrait avec nous. Vers 20,00 heures, Véro arriva à la maison et s’embrassèrent tendrement puis Véro vint vers moi et se colla à moi pour un tendre baiser. J’en profitais quand elle se retourna pour lui caresser les fesses, mais cette caresse ne m’apprit rien de qu’il pouvait y avoir en dessous. Le départ fut donné et, comme je m’y attendais, les deux nanas s’installèrent à l’arrière. Je réglais le rétro de façon à essayer de ne rien perdre de ce qu’il se passait à l’arrière. Je ne fus pas déçu. Les corsages furent vites ouverts et chacune entrepris de s’occuper des seins de l’autre, les goutant les caressant, la sarabande dura quelques minutes, quand j’appris, enfin, j’entendis que AL, se faisait prendre par Véro car se fut : « OH, … oui, … » et se fut une série de soupir qui monta crescendo jusqu’à l’explosion de sa jouissance. Pour ma part, j’avais une trique intéressante et que ne demandait qu’à servir. Enfin, nous sommes arrivés chez notre hôte, qui avait ouvert le grand parking de l’usine. Pensant au futur, je choisis un endroit éloigné et contre un bâtiment, … on peut toujours espérer. Tout le monde descendit du 4*4 et direction la réception. On s’installa à une table et direction le barbecue bien fourni et aux odeurs attirantes. Les allers et retours de la table au barbecue, permettait de croiser des amis des relations, et d’changer, … Puis la partie « ripaille » se termina et le disk- jockey qui avait fait de la musique calmement, se déchaina et on se retrouva nombreux sur la piste pour les premiers rocks, … puis le temps passant les musiques devinrent moins bruyantes et moins excitées, tangos, slows, valses, … J’avais équitablement partagé, mes invitations, entre mes deux partenaires, qui d’ailleurs ne manquaient pas de cavaliers. Une série de tangos arriva AL était déjà partie quand Véro me lança : « Il faut que je t’invite, … » Je me levais et l’entrainais sur ce qui servait de piste, à peine arrivée, ses bras étaient autour de mon cou et elle s’était incrustée contre moi. Le premier slow fut une belle séance de frotti, ce qui eut un effet certain sur « popol » Pour le second, elle me précisa, chose que j’avais déjà devinée : « Je n’ai rien en dessous, … et j’ai mis une robe pratique, … » quant au troisième : « Tu n'es pas venu cette semaine, … J’ai envie de toi, … » et on retourna à notre table, nouvelle série et le jeune commercial de la brasserie que l’on connaissait un peu vint pour la nième fois inviter AL. Véro se pencha vers moi : « AL est occupée, … on se retrouve au 4*4, … » Moi : « Pourquoi dis-tu ça, … »Véro : « J’ai fait l’article, … »Moi : « Quoi, … »Véro : « Alors qu’il essayait de me draguer, … je lui ai dit qu’il ferait mieux de s ‘occuper de ma copine, … son mari part, bientôt, … »Moi : « Mais t’es une belle garce, … »Véro : « Oui, … mais je t’attends, … » et elle partit. Je surveillais AL qui effectivement semblait très occupée par son cavalier et je me décidais à retrouver Véro, qui m’attendait à côté du 4*4. Elle m’attendait et à peine arrivé, elle remonta sa jupe et les jambes bien écartées : « Viens, … la garce t’attend, … lèches moi, … suces moi, … bouffes moi la chatte, comme tu dis, … elle est à toi, … » Je n’avais qu’à m’exécuter et m’accroupissant je léchais ses grosses lèvres, humais son odeur de femelle chaude et après y avoir gouté, deux doigts s’enfonçaient dans sa grotte d’amour, que je branlais sérieusement, puis quittant s chatte je tâtais sa rosette, qui semblait souple et accueillante, quand elle me prit la tête, me relevant et après un baiser sur mes lèvres qui avaient son odeur : « Viens, … prends moi, … » et se retournant, alors que je me défaisais, elle prit appui sur le 4*4, son joli cul bien en vue, et là dans la pénombre, je ne pus résister et je lui dis : « Je vais prendre ton joli cul, … ouvres toi, … » et docilement elle posa ses mains sur se fesses, les écartant doucement je m’approchais de sa rosette et l’enfonçais : « Oui, … fais doucement, … ça fait longtemps, … OH, … oui, … continues, … » Ça y était j’étais en place et je commençais à la ramoner doucement puis bien installé j’augmentais le rythme, surtout quand je vis que sa main s’occupait activement de son minou, c’est alors que je cramponnais ses cheveux, comme elle aimait, et les tirant : « Continues, … ne t’arrêtes pas, … fais-moi des souvenirs, … oui, … prends moi fort, … » Je m’active et je sens que je ne vais pas tenir longtemps, mais heureusement, ma « jument » se redresse, se contracte : « OOOOHHHH, …. OUIIIIIII, … » ce qui fait que je me vide dans son cul accueillant. Elle se redresse, rabats sa jupe : « C’est ce que tu voulais, … c’était bon, … on rentre discrètement, … chacun de son coté, … » Comme dis, comme fais et AL était toujours avec son commercial. J’étais seul à notre table, Véro, n’était pas encore apparue, quand AL arriva, le sourire aux lèvres, avec un : « Ou étais-tu, … » et moi : « Tu es tellement occupé avec ton commercial, … tu ne vois plus le temps passé, … peut-être auras tu le temps de m’accorder les prochaines, … » et nous étions sur la piste, bien serré, quand je vis Véro au bras d’un autre cavalier. La vie était belle. Puis le temps passant, ces dames décidèrent qu’il était temps de rentrer, elles s’installèrent à l’arrière et moi, connaissant déjà la réponse : « Direction ??? « AL de répondre la maison : « Véro couchera à la maison, … » et j’espérais qu’une petite partie avec ces deux nanas permettrait de bien finir la soirée, d’autant que jetant un coup d’œil dans le rétro, Véro s’occupait gentiment de AL, celle-ci ayant son corsage entièrement ouvert et lui offrant ses seins à téter, … Il fallait que je conduise et difficile de suivre le spectacle à l’arrière, mais il y avait des soupirs qui commençaient à me faire bander. Arrivé à la maison, ces dames descendirent, je rangeais la voiture sous l’auvent et je rentrais. Peu de lumières, toutes deux assises sur le canapé s’étaient mises à l’aise, en ayant ouvert leurs corsages et AL : « Chéri, tu nous sers un verre, … on est occupée, … » le temps de prendre les verres et les bouteilles de bière, Véro avait sa main droite sous les jupes de AL. En arrivant avec le plateau : « Vous devriez enlever vos corsages, … ainsi ouverts, cela fait débraillé, … » et sans l’ombre d’une hésitation, les corsages furent enlevés et poussés au loin. La conversation de salon reprit courtoisement. Puis Véro dit : « Je pense que l’on va aller prendre une douche avant d’aller se coucher, … »Moi : « Faites comme chez vous, … » Ces dames, alors, se levèrent et chacune déboutonnant et dezipant sa jupe, un coup de hanches et les jupes étaient à leurs pieds, et elles étaient entièrement nues. Avant de se diriger vers la salle de bains, elles ramassèrent leurs jupes et ainsi montrer leurs jolis culs, et elles disparurent. Et j’entendis les bruits de la douche et des parties de rire. Quand elles eurent terminé, : « La douche est libre, … à toi, … on t’attend, … » Le temps de prendre ma douche et en rentrant dans la chambre, ces dames étaient en train de se faire des câlineries, la main de l’une entre les cuisses de l’autre, qui était les cuisses écartées et appréciait les caresses en s’occupant de ses seins, … En me voyant, pas gênées, de toutes les façons je savais, elles s’éloignèrent en me disant : « Viens entre nous, … on veut s’occuper de toi, … » Une jolie place entre ces deux nanas. C’est là que je réalisais qu’elles s’étaient partagé « la bête », AL étant à ma droite, commença par m’embrasser, enfin, non, alors que nos langues se caressaient, elle aspira la mienne et se mit à la pomper et ayant replié ses genoux sous elle, écarta les cuisses et saisissant ma main, la posa sur sa chatte toute chaude et très mouillée, je n’avais qu’à suivre ce qui m’était demandé et en fait sur mes deux doigts bien raides, elle s’empala dessus avec un soupir de satisfaction. Pendant ce jeu de doigts curieux, Véro, s’occupait de la partie basse de mon anatomie et avait entrepris de la caresser doucement et je pense que « popol » ne régissant pas assez vite à sa convenance elle avait entrepris de me lécher la tige, puis de la sucer. Alors que ma bite avait pris une dureté la satisfaisant, elle s’était empalée dessus, avec un OUI de plaisir. Pendant ce temps AL avait gentiment joui, et m’avait enjambé pour mettre sa chatte à disposition de ma bouche : « Goutes moi, … lèches moi la chatte, … prends moi, … avec ta langue, … » alors que ma langue s’occupait de sa chatte, elle, se malaxait avec énergie les seins jusqu’au moment où elle se mit à jouir, et m’inonda de son jus de plaisir avant de se laisser tomber sur le côté, sa main droite sur sa chatte, pour se finir, car, tout à coup elle eut un spasme brutal qui la fit se contracter et se mettre pratiquement en boule, pour enfin se détendre et rester allongée, récupérant son rythme respiratoire, alors que Véro m’utilisait comme sex-toy, d’ailleurs sans s’occuper de moi, mais de elle, cherchant son plaisir et c’est le moment où n’en tenant plus je me vidais de tout ce qu’il me restait de réserve, après ce que nous avions fait quelques heures avant, mais cela sembla la satisfaire, car elle eut un léger spasme et se laissa aller de l’autre côté du lit … Fatigués, encore quelques baisers et quelques caresses et ces dames se collèrent à moi, tendrement et on tira la couverture et bien au chaud on se rendormit, avec des rêves pleins la tête.
Le lendemain, j’ouvrais les yeux vers 7,00h et m’extirpais de ce nid chaud et douillet. Un petit tour à la salle de bains, un caleçon et direction la cuisine pour préparer le petit déjeuner de ces dames. Le café commençait à rependre sa douce odeur quand je vis arriver Véro, dans la tenue d’Ève, et qui devait sortir du lit, enfin presque, car malgré tout, elle s’était donné un léger coup de peigne, … Arrivée dans la cuisine, elle vint contre moi pour un tendre baiser et : « As-tu bien dormi, … ça sent bon… » Moi : « Bien dormi également, … le café sera prêt dans deux minutes, … AL n’est pas réveillée, … »Véro : « Non, … enfin, elle m’a dit j’ai encore sommeil, … va donc t’occuper de Jean, … » J’étais en train de servir le café, quand Véro, me fit tourner vers elle : « Jean, … je voudrais te dire, … je me suis donnée à toi, … tu m’as donné beaucoup de plaisir, … je crois que je t’en ai donné, … mais, je voudrais, … enfin, j’aimerais, … oui, … que tu me fasses l’amour, … ici, sur la table, … prends moi, … aimes moi, … j’ai une envie folle que tu me fasses l’amour, … oui, … » et elle se laissa glisser, ouvrit mon caleçon et caressant ma bite, elle me prit en bouche et commença à me pomper, mais très doucement,… « popol » se redressa fièrement et se relevant elle s’assit sur la table, les cuisses largement ouvertes : « Viens, … prends moi, … fais moi l’amour, …j’ai besoin de ça, … » Je ne pouvais refuser une telle demande faite avec douceur et espoir. A peine près d’elle elle me prit et me guida dans son puit d’amour, ouvert, accueillant et aussitôt ses jambes se refermèrent sur mes reins, comme pour m’empêcher de partir avec un : « Oui, … viens, … prends moi, … je ne t’oublierais pas, … continues, … aimes moi, … oui, … plus vite, … je sens que je suis à toi, … oui, … continues, …. OOOOHHH, …. OUIIIIIII, … » elle se mit à jouir, se cramponnant à la table, quant à moi, la cramponnant aux hanches et m’enfonçant au plus profond d’elle je me vidais, dans son minou. Il y eut quelques minutes d’un grand calme et alors que je me retirais d’elle, elle sa laissa glisser de la table, vint contre moi : « Merci, … je vais partir, … » et elle regagna la sale de séjour, ouvrit son sac en sortit un soutien-gorge, une petite culotte et elle se rhabilla. Replongeant dans son sac elle sortît une enveloppe kraft, me la donna en me disant : « A n’ouvrir que quand tu seras en France, … et, … Jean, … je vais te dire, … c’est la première fois que, … oui, c’est la première fois que j’ai le sentiment de tromper mon mari, … Merci, … » et elle partit, le moteur de sa voiture signala réellement son départ. Quelques minutes après, à croire qu’elle avait attendu le départ de Véro, AL arriva, dans une sortie de bains : « Bonjour, mon Chéri, … Véro est partie, ... j’espère qu’elle a eu le temps de te faire de tendres adieux, … bien le café est prêt, formidable, … tu n’a pas oublié que nous devons rendre la villa aujourd’hui, … »