Julie – Le Uber n’en crois pas ses yeux.

- Par l'auteur HDS Cyp-Perruche -
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Récit libertin : Julie – Le Uber n’en crois pas ses yeux. Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Julie – Le Uber n’en crois pas ses yeux.
Je venais à peine de quitter ce club. Les jambes encore tremblantes, la chatte encore moite, les lèvres intimes gorgées du foutre qu’il avait laissé en moi. Mon corps résonnait de cette baise sauvage, mais mon cœur battait encore trop vite, et dans ce vertige, je n’avais pas envie que la nuit s’arrête. J’ai appelé un Uber. Par automatisme. Comme on jette une bouée dans une mer encore houleuse.
La voiture s’est arrêtée dans un souffle. Portière noire, vitres fumées. Je l’ai ouverte sans réfléchir, glissée sur la banquette arrière avec cette nonchalance qu’ont les femmes qui ne veulent plus se justifier. J’étais nue sous ma jupe. Mes cuisses collaient au cuir. Mon string trempé roulé dans mon sac. J’aurais dû rentrer. Me laver. Me taire. Mais ce n’était pas ce que mon corps réclamait.
L’habitacle sentait le cuir tiède, une pointe de tabac sec et de musc viril. Il faisait sombre, et dans le silence, j’ai relevé les yeux. Le chauffeur. Quarantaine affirmée. Mâchoire nette. Barbe de trois jours. Peau mate. Des mains larges sur le volant, à faire frémir une gorge. Et surtout ce regard, dans le rétro. Immobile. Intense. Presque insolent. Il m’a vue. Entièrement. En une seconde.
Il a vu mes cuisses nues, le maquillage débordé, les seins qui pointaient sous mon petit haut devenu presque transparent avec l’humidité de la sueur. Il n’a rien dit. Mais dans ses yeux, je lisais déjà : celle-là, je sais ce qu’elle veut. Et il avait raison.
— Vous venez de la boîte sur la nationale ? a-t-il demandé, la voix rauque.
Je n’ai pas menti. Pas vraiment.
— Oui… je voulais juste rentrer me reposer, ai-je soufflé.
Un demi-sourire a traversé ses lèvres. Il savait que je mentais. Que ce n’était pas le repos que je cherchais. Mais il n’a rien ajouté. Il a démarré.
Pendant tout le trajet, ses yeux ne quittaient presque jamais le rétroviseur. Je le sentais m’observer, détailler chaque frémissement, chaque pli de peau, chaque geste. Alors j’ai entrouvert un bouton de mon haut, juste un. J’ai remonté un peu ma jupe, comme une provocation anodine. Puis, sans dire un mot, j’ai glissé la main entre mes cuisses.
Je me suis touchée. Doucement. Sous son regard. Mes doigts ont effleuré mes lèvres, encore tièdes. Mon clitoris s’est gonflé aussitôt. Et j’ai souri. Ce sourire de salope qui sait qu’elle va faire chavirer la nuit. Je voulais qu’il me voie. Qu’il sente que j’étais déjà à lui.
Il a freiné sans prévenir. A garé la voiture dans un renfoncement sombre, entre deux lampadaires. Puis s’est retourné, lentement. Ses yeux brillaient.
— Tu es sérieuse, là ? a-t-il soufflé.
Je l’ai regardé droit dans les yeux.
— Tu trouves que je plaisante ?
Alors j’ai écarté les jambes, sans détour. J’ai retiré le string de mon sac, celui encore imbibé de foutre et de désir. Je le lui ai lancé.
— Viens. Sers-toi.
Il n’a pas demandé son reste.

Il a quitté son siège comme un fauve qu’on libère, sans précipitation mais avec cette tension contenue qui précède les gestes brutaux. Il a ouvert sa portière, contourné lentement la voiture, puis s’est glissé à l’arrière, avec moi. L’espace était étroit, les vitres encore embuées. Nous étions à l’abri. Mais ce n’était pas de tendresse que j’avais besoin.
Je me suis jetée sur lui. Ou peut-être est-ce lui qui m’a happée. Mes mains ont défait sa ceinture en aveugle, tremblantes d’impatience. Son pantalon a glissé jusqu’à ses cuisses. Sa queue, dressée, large, chaude, palpitait déjà dans ma paume. Je l’ai caressée doucement d’abord, puis plus vite. Il grognait comme un animal. Et sans attendre qu’il dise un mot, je me suis empalée sur lui.
D’un seul coup.
Un cri m’a échappé, brutal, viscéral. Je me suis cambrée, toute en arrière, le dos tendu, les seins projetés vers lui. Mes mains agrippaient l’appui-tête, mes hanches roulaient d’elles-mêmes. Le cuir grinçait sous nos mouvements, la voiture tanguait à chaque va-et-vient. Il me tenait fermement, me possédait à chaque poussée. Ses dents ont trouvé mes seins à travers le tissu, il mordait, suçait, aspirait sans vergogne. Une main est montée à ma gorge. Il n’a pas serré. Juste posé sa paume, comme un avertissement.
— Tu veux jouir là, comme une putain sur la banquette arrière ? a-t-il grogné, son regard planté dans le mien.
J’ai haleté, chavirée de désir.
— Oui… baise-moi… étrangle-moi… crache-moi dessus… je suis ta salope ce soir…
Il m’a crachée en plein visage. Et c’était parfait. Cette souillure-là n’était pas une offense. C’était une offrande. Un acte d’appartenance.
Je l’ai chevauché de plus en plus vite, gémissant à chaque coup, le foutre précédent dégoulinant le long de mes cuisses, mes hanches claquant contre les siennes. J’étais une furie. Une salope en liberté. Je voulais tout. J’ai joui une première fois, crispée contre lui, secouée de spasmes incontrôlables. Puis une deuxième, dans un cri rauque, les ongles plantés dans sa nuque.
Il m’a attrapée soudain, sans prévenir, et m’a retournée d’un geste. Face contre siège. Les bras repliés. Les fesses hautes. Offertes.
Et là… sans un mot, sans un avertissement…
Il m’a prise dans le cul.
D’un coup sec. Brutal. Entier.
Un cri de surprise m’a échappé, un mélange de douleur et de plaisir que je n’avais plus goûté depuis des années. Mon corps s’est tendu, mon souffle s’est bloqué, mais je ne l’ai pas repoussé. Non. Je l’ai accueilli. Je l’ai voulu. Je me suis cambrée davantage, tendue au maximum, pour qu’il aille jusqu’au bout. Pour qu’il me marque, qu’il me défonce, qu’il me grave son passage dans les tripes.
Il m’a baisée là, profondément, puissamment, les mains agrippant mes hanches, ses coups de reins claquant dans l’habitacle devenu moite, saturé de nos souffles et de nos râles. Je pleurais presque, le front posé contre le cuir, écrasée de plaisir.
Et quand il a joui, il a crié. Fort. Comme un homme qui se perd en toi. Je l’ai senti pulser, jaillir, se répandre en moi avec une force animale. Mon anus s’est resserré autour de lui, et son foutre, chaud, épais, brûlant, m’a inondée. Il est resté quelques secondes, pantelant, sa queue encore profondément ancrée, avant de se retirer lentement, dans un bruit obscène.
Je suis restée là, allongée, essoufflée, salie, comblée.
Il m’a remis mon string dans la main, comme un trophée silencieux.
Puis il s’est rhabillé, a repris le volant. Et sans dire un mot, m’a ramenée chez moi.
Je suis descendue, les jambes flageolantes, le sexe plein, le cul douloureux.
Et en remontant les marches, un sourire sale sur les lèvres, je savais une chose :
je commanderais le même Uber demain.

Histoire écrite par Cyp-Perruche (alias Perruche).

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