Julie Nuit interdite

- Par l'auteur HDS Cyp-Perruche -
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Récit libertin : Julie Nuit interdite Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-06-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Julie Nuit interdite
Je m’appelle Julie. Trente-sept ans. Mariée depuis dix. Invisible depuis deux. Mon mari ne me touche plus. Ne me regarde plus. Je pourrais traverser le salon nue, coiffée de rien qu’un collier de perles, il lèverait à peine les yeux de son écran. Il y verrait un bruit, pas une femme. Un courant d’air, tout au plus.
Alors j’ai tout essayé : les sous-vêtements discrets, puis les affriolants ; les réveils tendres, les avances directes, les massages glissés sous la couette… Et lui, chaque fois, comme une litanie sans âme : — Pas ce soir… demain peut-être. Mais demain n’est jamais venu. Et moi, dans ce désert tiède, j’ai appris à me dessécher lentement. À sourire en société, à serrer les jambes, à faire comme si mon corps n’existait plus.
Jusqu’à ce soir.
Ce soir, je me suis maquillée comme une femme qui ne demande plus rien. Juste pour voir si les regards des autres brûlaient encore. J’ai glissé sur mes hanches une jupe si courte qu’elle ressemblait à une provocation. Pas de culotte. Juste un string en tulle noir, assez transparent pour laisser deviner le fruit défendu. Mes seins, nus sous un top moulant à peine opaque, frémissaient à chaque pas. Je n’étais plus une épouse. Je n’étais plus un silence conjugal. J’étais une femelle en chasse.
Je suis entrée seule dans une boîte que je ne connaissais pas. Une salle glauque, moite, saturée de basses et d’odeurs troubles. Des hommes fatigués, des groupes de femmes bruyantes, des regards qui glissaient. Je n’étais pas là pour séduire. Je voulais choquer. Attirer. Me faire prendre. Par n’importe qui. Pourvu qu’il ose.
Je me suis installée dans un coin sombre, à une table mal éclairée. J’ai croisé les jambes lentement, en laissant mon genou nu attirer les lumières tremblantes. Mon verre à la main, j’observais les silhouettes qui passaient. Certaines m’ont regardée. D’autres ont évité mon regard, mal à l’aise. Et puis, il y a eu lui.
Il n’était ni jeune, ni séduisant. Mais son regard m’a saisie de l’intérieur. Pas un regard curieux, pas un regard poli — non — un regard cru, carnassier, brut. Un regard d’homme qui ne cherche pas à comprendre, mais à posséder.
Je n’ai pas baissé les yeux. Je les ai ancrés dans les siens, comme un défi muet. Et, lentement, j’ai décroisé les jambes. Juste assez pour qu’il devine la dentelle fine de mon string noir, tendue sur mes lèvres ouvertes. Je n’avais pas honte. J’étais prête à me faire baiser là, sur place. Et j’espérais qu’il le comprenne.
Il s’est avancé. Pas un mot, pas un sourire. Juste cette démarche lente, assurée, cet air de mâle qui n’a pas besoin de permission. Lorsqu’il est arrivé à ma hauteur, il a planté ses yeux dans les miens, avec une intensité presque animale. Il s’est penché, comme pour m’adresser une phrase banale. Mais je sentais déjà que ses mots ne parleraient pas du temps qu’il faisait, ni de la musique. Non, il voulait parler de mon corps. De mon cul. De ce qu’il comptait en faire.
Je ne l’ai pas laissé finir sa phrase. Je l’ai tiré vers moi, l’ai fait s’asseoir sans douceur. Et sa main, comme attendue, s’est posée sur ma cuisse nue. Elle a glissé lentement, explorant ma peau comme on explore une carte secrète. Quand ses doigts ont frôlé le tissu humide, il s’est arrêté net. Puis il a relevé les yeux, avec un sourire de prédateur. Il a caressé ses propres couilles à travers son jean, sans se cacher. Et d’un ton chargé de désir brut, il a soufflé : — Tu mouilles déjà ? Putain… t’es trempée, salope…
Je l’ai regardé fixement, les lèvres entrouvertes, haletante. — Tu n’as encore rien vu…
Il n’a pas attendu mon autorisation, et c’était justement ce que je désirais. Sa main, large, ferme, a glissé sous ma jupe comme s’il rentrait chez lui. Il a repoussé le tulle mouillé d’un doigt, effleurant mes lèvres ouvertes, déjà chaudes, déjà offertes. Il a souri. Pas un sourire gentil. Pas un sourire doux. Un rictus de mâle sûr de lui. De ceux qui savent reconnaître une chatte en manque. Et il a soufflé : — C’est pas un mari qui te fait mouiller comme ça.
Il avait raison. Ce n’était pas un mari. C’était un inconnu. Un inconnu qui avait vu à travers moi, entre mes cuisses, dans ma gorge. Il s’est levé d’un geste sec. Derrière moi, la table en formica, collante, crade. Il m’a retournée d’un coup, plaquée dessus sans ménagement, les mains ancrées sur mes hanches. Ma jupe a volé. Mon string a glissé. Et sans prévenir, sans parler, sa langue s’est posée sur mon cul, à la jointure exacte de mes fesses. Un coup de langue d’abord, lent, comme un chien qui goûte. Puis un autre. Et un troisième, plus appuyé. Il me léchait. Le cul. Dans ce bar à moitié plein. Sous les regards surpris, excités, silencieux.
J’ai fermé les yeux, les jambes tremblantes, les doigts accrochés au bord de la table. Sa langue entrait dans ma raie, descendait vers ma chatte, remontait, me marquait. Ses doigts ont suivi. Deux d’un coup. Directement. Je n’ai pas crié. J’ai gémi. Fort. Comme une chienne qui retrouve la morsure du plaisir. Je n’avais plus de pudeur. J’étais en chaleur. Et je voulais qu’on le voie.
Il s’est redressé, a saisi ma main, et l’a posée sur sa braguette. Son sexe, encore enfermé, palpitait sous ma paume. Je l’ai caressé lentement, sentant sa forme, sa dureté, son impatience. « Tu veux baiser ? » j’ai murmuré sans me retourner. — Je vais te détruire, salope.
Il m’a tirée par le poignet, sans douceur. Je l’ai suivi, la jupe encore relevée, le string accroché à un genou. Dehors, l’air m’a fouetté les cuisses. Il a ouvert une porte rouillée sur l’arrière du bâtiment. Un couloir froid. Un mur de béton gris, suintant. Une odeur de métal, de crasse, de foutre ancien. Et moi, ruisselante.
Je me suis adossée au mur, le souffle court. Le béton suintait le froid et le silence, mais j’étais brûlante, bouillonnante, trempée. Mon dos frissonnait sous les caresses invisibles de l’air, mes cuisses battaient encore du plaisir qu’il venait d’éveiller. Mes doigts ont remonté ma jupe, lentement, comme on prépare un autel. J’ai senti l’humidité chaude couler le long de ma peau, ce liquide indécent que je n’avais plus versé depuis des années, sauf seule, dans l’ombre tiède de ma solitude. Mais là, j’étais nue d’orgueil. Nue d’interdit.
Et je lui ai dit, droit dans les yeux : — Suce-moi. Encore. Là. Maintenant.
Il est tombé à genoux sans rien répondre, comme s’il attendait ces mots depuis des heures. Ses mains ont écarté mes cuisses avec une autorité presque tendre, un mélange brutal de faim et de respect charnel. Sa langue a plongé sans attendre.
Il m’a mangée. Littéralement. Comme une bête affamée. Il n’y avait ni calcul, ni délicatesse. Juste une urgence. Il léchait tout. Le jus. La peau. Le moindre frémissement. Il suçait mon clito à coups de langue brutaux, rapides, précis. Son visage était plaqué entre mes jambes comme une offrande. Il me fouillait, me buvait, me démontait de l’intérieur.
Je me tordais, gémissais, haletais. J’avais perdu la notion du temps, de l’endroit, des regards. Il n’y avait plus que ma chatte offerte, sa bouche dévorante, et le cri qui gonflait dans ma gorge. Je me suis accrochée à sa tête, l’ai plaquée contre moi, sans relâche, incapable de résister à cette vague montante. — Continue… oui… comme ça… ne t’arrête surtout pas…
J’ai joui. Une jouissance bruyante. Large. Incontrôlée. Un râle. Un cri. Un tremblement. Je me suis vidée sur sa bouche. Il a tout pris. Avalé. Sans détourner la tête, sans hésiter. Comme s’il savait que c’était ce que j’attendais, ce que je méritais.
Mais je n’étais pas rassasiée. Pas encore. Pas tant que je ne l’aurais pas senti en moi, profondément, brutalement, sans retenue.
Je me suis retournée. Lentement. J’ai posé mes mains sur le mur froid, sentant le béton contre mes paumes, la rugosité comme un avertissement. J’ai cambré le dos, soulevé mes fesses, ouverte, tendue, offerte, prête à tout. — Baise-moi maintenant. Prends-moi comme une salope. Là. Contre ce mur.
Il a dégrafé sa ceinture d’un geste sec, presque brutal, comme un homme qui n’en peut plus d’attendre. Son jean a glissé, et dans l’ombre, j’ai entendu le tissu tomber, froissé au sol, accompagné d’un souffle, un grognement. Il s’est approché de moi, lentement, pesamment, sa main sur sa queue qu’il caressait en silence, juste derrière mes fesses cambrées.
Je l’ai senti effleurer ma peau, puis tracer le sillon de mon cul du bout du gland, avant de redescendre vers ma chatte, encore ruisselante. Il jouait. Il voulait me faire attendre. Mais je n’ai pas bougé. Je suis restée cambrée, offerte, les cuisses entrouvertes, le souffle court, et d’une voix rauque, je lui ai soufflé entre deux gémissements : — Vas-y… prends-moi… fais-moi sentir ta queue… maintenant…
Et il a poussé. D’un seul coup, lentement mais avec une force qui ne laissait aucun doute sur ce qu’il allait me faire. Sa queue s’est enfoncée en moi comme un fer rouge dans une plaie trop longtemps fermée. Un cri m’a échappé — non pas de douleur, mais de plaisir brut, animal, fulgurant. Celui qu’on n’ose plus demander, celui qu’on n’attendait plus.
Il m’a baisée sans douceur, avec cette intensité qui efface tout : la honte, le monde, les années perdues. Chaque coup de reins me plaquait contre le mur froid, mes seins heurtaient le béton, mes doigts griffaient la pierre pour ne pas m’écrouler. Ses mains me tenaient par les hanches, ses cuisses cognaient contre mes fesses, et moi, je n’étais plus qu’une chienne en chaleur, qui s’ouvrait, qui gémissait, qui réclamait tout. — Défonce-moi… baise-moi comme une pute… plus fort… plus vite…
Je le sentais haleter, grogner derrière moi, plus proche de la bête que de l’homme. Ses doigts sont remontés, habiles, pour chercher mon clito gonflé, l’ont frotté sans relâche, et ma tête s’est renversée en arrière. Mes cris ont résonné dans la ruelle vide, déchirant la nuit. J’ai joui une seconde fois, plus fort encore, secouée, trempée, prise, vidée de toute résistance.
Il a ralenti. Je savais ce qui venait. Je le sentais enfler en moi, prêt à exploser. Il s’est penché à mon oreille, le souffle court, et a murmuré comme une promesse sale : — Tu veux que je me vide en toi, hein ? Tu veux que je t’emplisse, salope ?
Je ne l’ai pas supplié. Je l’ai ordonné, la voix basse, glaciale de désir : — Oui… gicle en moi… je veux ta chaleur… ton foutre au fond…
Il a donné deux derniers coups de reins, violents, désespérés, et il a joui. Fort. Loin. Profond. Son sperme est monté en moi comme une marée de feu, épaisse, brûlante, irraisonnée. Je l’ai senti jaillir, remplir mon ventre, battre encore après qu’il avait fini.
Puis il est resté là, un instant, contre mon dos, haletant, silencieux, sa queue encore en moi. Et dans un dernier mouvement, il s’est retiré, lentement, dans un bruit humide, presque obscène. Je suis restée cambrée, le ventre rempli, le sexe vibrant, les jambes tremblantes. Le foutre a commencé à couler le long de ma cuisse. Et j’ai souri.
Il a remonté son pantalon sans un mot, m’a regardée nue, pantelante, prise — puis il est reparti, sans se retourner.
Je suis restée seule. Mais plus jamais vide.

Histoire écrite par Cyp-Perruche (alias Perruche).

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Merveilleuse histoire pleine de bestialité comme j'aime parfois être..

Cyrille



Texte coquin : Julie Nuit interdite
Histoire sexe : Une rose rouge
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