L'agrafeuse!

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : L'agrafeuse! Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'agrafeuse!
Il se trouve que ce jour-là, l’association locative de la salle a un problème d’agrafeuse. Cordialement, une jeune fille se propose de leur venir en aide en leur proposant une. Mais le hic, c’est qu’elle se trouve dans le garage de son père, et que bien sûr, elle n’a pas de quoi se déplacer.

Embarrassant pour tout le monde, en bon samaritain que je suis, je me propose de la conduire.
Pendant le trajet, je ne peux m’empêcher de lorgner ses cuisses gainées de nylon qui paraissent plus charnues encore maintenant qu’elle est assise. Quelques kilomètres plus tard, nous voilà devant le pavillon de la demoiselle. Qui m’invite à l’accompagner. Elle me semble nerveuse. En descendant de la voiture, elle regarde autour d’elle, comme si elle craignait qu’on nous voie ensemble. Elle m’adresse un sourire forcé et me demande si je désire prendre un café.
-Volontiers !
Que j’accepte son invitation, je sens chez elle que cela n’est pas pour lui déplaire. Je devine même qu’elle s’est mise en tête de m’allumer. D’ailleurs, elle ne perd pas une occasion de m’exciter. J’avoue que j’en fais autant, quoique plus discrètement. Je trouve flatteur cet intérêt d’une jeunette pour un homme mûr comme je le suis.
-Bon, il est temps que j’aille chercher l’agrafeuse.
-Oui, je le pense aussi.
Je me permets, en son absence, tasse en main, de me balader à travers le couloir. Il mène à deux chambres et à une salle de bains. D’ailleurs, la première porte est entrouverte. Je m’aide du pied pour l’ouvrir complètement.
Un vrai capharnaüm !
Les murs sont tapissés de posters d’artistes. Et du linge partout. Je suis alors opprimé par une envie folle de trouver une petite culotte portée. Et alors qu’elle est toujours à la recherche de l’outil, je fouille des yeux l’amas de fringues avec la ferme intention de trouver mon graal. Comme dans un ralenti sportif, je pose mon regard sur le morceau d’étoffe qui s’étale sur une coquine culotte de dentelle noire. Je reste un moment perplexe. Priant silencieusement mon ange gardien d’avoir réalisé mon vœu.
Je saisis la culotte marquée de traces de pipi, de mouille, voire plus bas de caca. Je hume avec délices les fragrances féminines qui suintent de ce vêtement déjà porté. Une chose est sûre, c’est qu’elle ne s’est pas parfaitement essuyée après s’être rendue aux toilettes. Comme la virgule de cyprine froide qui me suggère qu’elle ait dû avoir des pensées cochonnes durant la journée.
-Ah, vous êtes là, me fait-elle en me découvrant dans sa chambre.
-On ne peut pas dire que tu es ordonné.
-Oui, il faut que je la range.
-Oui, je le pense aussi…
-Il faut juste que j’aie le courage de me lancer.
-Alors c’est là que tu te chatouilles toute seule en pensant aux garçons?
-Euh, je ne vois pas ce que vous voulez dire.
-Tu as un copain ?
-Plus maintenant.
-Alors c’est dans ce lit, une fois seule la lumière éteinte, que tu soulages ta soif sexuelle ?
-Non…
-Aller, dis-moi tout. Ne joue pas avec moi, la sainte nitouche.
-Oui, je reconnais de ne pas être vraiment ce qu’on peut appeler une sainte nitouche.
Enfin, extérieurement, je suis tout de même la jeune fille modèle, de bonne famille, partagée entre une éducation très puritaine et un tempérament sensuel, exacerbé par le cul. Et pour répondre à votre question, oui enfin… pas toujours, seulement des fois !
-Eh bien sache que pour ma part, tous les soirs, il m’arrive moi-aussi de me satisfaire, et même des fois dans la journée quand cela est possible.
-Dans la journée, vous voulez dire au travail…
-Et alors ? Je trouve ça excitant de faire ça dans les toilettes pendant que les collègues font leur pipi.
-Je ne sais pas si je dois le dire, mais moi aussi.
-Vas-y, raconte…
-Une fois j’ai réussi à le faire pendant un cours. J’ai choisi ce jour-là de me mettre en jupe.
-Et alors ?
-Et alors c’était super ! Très jouissif !
-Tu vois, nous sommes de la même trempe.
-Oui, c’est vrai…
Après un court silence, voilà confiante, qu’elle me lâche :
-Je peux te confier quelque chose ?
-Je t’en prie !
-Eh bien moi, j’ai toujours le même fantasme en tête. Putain, que je me sens bête ! Je ne sais pas si je dois !
-Vas-y, je t’écoute !
-As-tu déjà mis ton outil dans un cul ?
-Oui, à plusieurs occasions, même.
-Et elles ont mal ?
-Quand c’est bien fait, il n’y a que du bonheur. Le trou du cul, c’est vachement sensible finalement. Tu sens bien tout le truc qui s’enfonce… Waouh !
-Mais ça ne fait pas mal ?
-Penses-tu…
-J’aimerais bien essayer un de ces jours.
-Je te donne tout à fait raison ! Dans la vie, il faut tout essayer, surtout quand cela te mène à l’extase !
Je pense même que ton partenaire sera ravi.
-D’ailleurs, c’est à ceux que je pense en me faisant du bien, si tu veux le savoir.
-Mais pourquoi me dire tout ça ?
-Va savoir. Je t'ennuie peut-être ?
-Pas du tout, si cela te fait plaisir.
-Je repense souvent à ce fantasme en me touchant toute seule la nuit. Ça m’excite d’imaginer qu’un homme mûr m’agrippe les épaules et enfonce sa langue dans ma bouche entrouverte. Qu’il me roule une pelle fougueuse et, sans me laisser le temps de reprendre mon souffle, me glisse une main dans mon slip pour me caresser. Dans un savant massage pour commencer, me faisant perdre tous mes moyens, pour mieux par la suite me prendre par le cul. Tu vois un peu la chose ?
-Oui, je vois clairement, aussi claire que l’eau de roche, pour rien de cacher.
-Je m’excuse, mais il va falloir que je me rende aux toilettes.
-Une envie de pipi ?
-Non, un besoin d’essuyer ma culotte. Tu te doutes pourquoi ?
-J’ai ma petite idée, fais-je en déboutonnant ma braguette.
-Tu fais quoi ?
-Ce que tu espérais que je fasse depuis que j’ai mis les pieds chez toi. Je lâche, en exhibant au creux de ma main ma queue qui se déploie.
Elle a un roucoulement lascif et glisse le long du grand corps. Elle a un soupir admiratif et ne peut résister au désir de contempler ma queue. Dans un grognement sourd, elle se met à me sucer avec fougue, tout en me caressant mes couilles. Au bout d’un moment, je m’accroupis derrière la jeunette et je lui mets carrément la main sur les cuisses. Elle continue à me sucer sans en tenir compte, alors que je laisse ma main posée sur le bas de ses fesses. De temps en temps, je crispe un peu les doigts. Voyant qu’elle ne se défend pas, je m’enhardis et je glisse les doigts sous son short. Je sens qu’il va se passer quelque chose.
Je décide d'enfiler mes deux mains sous le petit short et me mets carrément à lui malaxer le cul.
-Retire ta culotte ?
Elle se tortille pour la retirer. Elle a légèrement desserré les jambes. Elle a ouvert largement les siennes. Je m’agenouille derrière elles pour mieux me rincer l’œil. Je parle avec difficulté à cause de l’excitation.
Je glisse la main entre les cuisses et doucement j’effleure ses poils. Elle est dans l’incapacité de réagir, totalement dépassée par la situation.
Je commence à la flatter les fesses, tout d’abord sournoisement puis de plus en plus franchement. Elle a le droit à un pelotage en règle. A la fin, n’y tenant plus, je dégage ma queue. Je lui expose.
-Elle te plaît ?
Elle se saisit de ma queue, et se met à me branler. Et croyez-moi j’avais affaire à une experte de la branlette. Elle me masturber de plus en plus vite et en serrant de plus en plus fort. Avec un léger mouvement tournant du poignet et passait la paume de sa main sur le haut de mon gland. La caresse est de la plus divine.
Elle m’arrache des râles de jouissance. Mes jambes tremblent, et j’ai du mal à tenir debout tellement la jouissance est forte. Encore une fois je ne débande pas. Je me penche vers elle pour l’embrasser, bien peu soucieux de sa réaction. Elle ne répond pas de suite, alors je couvre son visage de petits baisers, pour revenir vers sa bouche qui s’ouvre. Elle me rend mon baiser.
Pas encore rassasier, je la guide pour obtenir un 69, je veux goûter à ce sexe poilu et odorant. Elle entame une nouvelle fellation, tandis que je parcoure sa fente de ma langue avide. J’essaye de la pénétrer avec ma langue, je lui lèche son anus, son clitoris, et elle gémit de plus en plus fort. Nous étions en diagonale sur son petit lit, en train de se faire du bien.
Mais avec tout ça, il se fait tard. Il est temps pour nous de reprendre la route nous menons à la salle, avec la fameuse agrafeuse.
Nous n’aurons peut-être plus l’occasion de se revoir de sitôt, peut-être jamais. Mais nous garderons tous deux un merveilleux souvenir de notre rencontre.

Les avis des lecteurs

j'ai bien aimé votre récit et la façon que vous avez amenez cette fille à vous dévoiler son fantasme. La concrétisation de ce dernier sera peut être pour une prochaine fois j'espère



Texte coquin : L'agrafeuse!
Histoire sexe : Une rose rouge
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