La cochonne.

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : La cochonne. Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La cochonne.
-Elle n’arrête pas de te regarder, celle-là ! Fit ma belle-sœur, veuve de mon frère depuis deux ans, et dont elle est venue participer avec nous à un loto organisé par notre association de villages.
-Tu parles sans doute de Christine, la collègue de Cathy.
-Je parle de la rousse à lunettes ! Répondit-elle en me la désignant du menton.
-Oui, c’est Christine.
-Qu’attends-tu pour te la faire. Je sens qu’elle n’attend que ça.
Christine est à quelques mètres de nous, sur la piste, elle danse comme une fille de surboum, en agitant les bras et en faisant aller et venir son bassin.
-Tu sens ça toi ?
-Parfaitement ! Si je te le dis. Tu veux peut-être vérifier si je dis vrai ?
Pourquoi pas ! Me dis-je à moi-même. Surtout que je suis très excité avec toutes ses belles jambes gainées en mouvements autour de moi. En train de se déambuler sur la piste de danse sur les airs des tubes années 80. Je lui demande :
-Que me proposes-tu ?
Sans attendre elle sort de son sac à main un trousseau de clés qu’elle me tend.
-Ce sont les clefs de ma voiture.
-Qu’est-ce que tu veux que j’en fasse.
-Réfléchi idiot ! Tu es sûr que là, personne ne viendra te chercher surtout qu’elle est stationnée à l’écart. Va donc, je m’occupe de t’envoyer Christine.
Ma patience fut de courte durée. Malgré la pénombre, je devine une silhouette que je reconnais étant celle de Christine. Arrivé à ma hauteur, la collègue de ma femme me dévisage, l’air interrogateur.
-C’est alors vrai ! Lâche-t-elle.
Je sens littéralement de l’électricité dans l’air ! Elle m’adresse un sourire malin. Je bande de savoir d’avance, ce que je fais lui faire. Sans réfléchir je la plaque contre la carrosserie de la voiture. D’abord surprise elle cède à mes avances. Elle me laisse l’embrasser. Ma main s’énerve sous le pull-over, se bat avec les sous-vêtements pour atteindre la tiédeur des seins nus. Elle tourne la tête sur le côté, avec des grimaces de bonheur.
Ma main dévastatrice descend sur son bas-ventre, s’attaque à fouiller sous la jupe. Elle ouvre grands les yeux, prise d’angoisse, puis les referme, avec un soupir de voluptueuse résignation. A la seule idée que je m’apprête à explorer son entrejambe, que je vais dans pas longtemps découvrir ses parties secrètes, que je vais toucher sa chatte, je suis excité.
Sa fourche est protégée par un collant. Le nylon est tout trempé à hauteur du sexe. Elle gémit sous mes audaces et tremble de tout son corps. Elle tressaille quand j’appuie mon index entre les lèvres du con. De sentir son sexe s’entrouvrir à travers la minceur du filet du collant, sous lequel elle ne porte pas de slip. Le doigt monte, puis redescend, enfonce la fibre textile dans la fente. Il s’imprègne de mouille. Cela ne m’empêche pas de la doigter. Je sens une épaisse coulée de mouille sur mon doigt. Je m’aide de ma deuxième main pour plonger mon index dans l’anus, entrainant là aussi directement le polymère dans son anus.
Surprise certes, mais elle n'esquisse aucun geste de recul. Tout au contraire, un mouvement de son bassin me fait pénétrer deux phalanges en elle. Je commence un doux va-et-vient qui lui arrache un léger râle de plaisir. Nos bouches se retrouvent dans un violent baiser à pleines.
- J’ai envie de ta queue. Me fit-elle après avoir reculé sa bouche.
Je m’installe pour ça sur la banquette arrière. En trois mouvements le travail fut fait, la ceinture domptée, la braguette ouverte. La voie est libre. Je viens d’accomplir une action d’audace. Christine m’enjambe pour s’asseoir sur mes cuisses. Elle écarte les cuisses au maximum pour que son entrejambe soit en contact avec moi. Je la sens ouverte, coulante. Elle est lente et douce, calme et appliquée. Elle me masse la poitrine avant de descendre sur mon ventre. Je pense qu’elle va au moins retirer son collant, mais le contact de nos sexes s’est fait à travers le nylon.
Elle s’arrange même pour caler mon gland dans l’ouverture de sa fente. Elle entame une danse qui fait monter de ma gorge un cri que j’ai grand peine à maîtriser. Elle se soulève au moment où je concrétise. Elle devinait ce que je ressentais alors que l’inverse n’était pas vrai. Elle se soulève finalement, met une main entre ses cuisses. Je suis surpris qu’elle ne déchire pas le nylon pour me mettre à nu, mais qu’au contraire, elle se caresse à travers le collant. L’innocente femme se métamorphose de seconde après seconde. Le désir éveille en elle des gestes amoureuses. Elle devient une femelle languissante, exigeante, perverse.
Je crois bien qu’elle a joui. Moi je reste là, avec mon érection. Elle se redresse, vient se placer en équilibre au-dessus de moi, me tourne le dos. Tendant la main derrière elle, elle amène ma verge toujours à travers le nylon dans le sillon de ses fesses appuyant pour me faire sentir sa chaleur. Elle monte et descend. À la fin, elle attire mon gland entre ses cuisses, à l’endroit où le collant forme un creux, entre les lèvres de son sexe. Le nylon est humide. Elle tripote l’extrémité de ma queue sur le nylon.
Et là, la portière s’est ouverte à la volée. Marianne m’apparaît avec ses hautes bottes noires qu’elle porte aux pieds.
-Cathy te cherche Christine. Dépêches-toi !
Prise d’une panique folle, cette dernière se démène à remettre de l’ordre sur elle, avant de se précipiter en direction de la salle.
-Alors ? me fit Marianne.
Je lâche un, tout en me rajustant :
-Je n’ai pas eu le temps de la baiser.
-Ça tombe bien ! Me fit Marianne en prenant place à son tour sur mes genoux.
Elle se saisit de mon sexe et le guide jusqu’à son antre. Sous sa jupe, la coquine est nue. D’une ruade elle s’empale. Je fus happé, avalé. Mon pénis nage dans un conduit brûlant et elle se trémousse dessus d’avant en arrière, le souffle court. Je ferme les yeux d’extase, cramponné à ses hanches. Je la laisse s’agiter sur mon membre, attentif à ne pas ressortir. Bientôt, le mouvement se précipite et je sens que ça venir. Elle doit le sentir aussi, elle me retient plaqué contre elle.
- Vas-y… crache-moi dans la chatte de la veuve. Râle-t-elle en me griffant.
La semence lui arrose sa belle plante, sèche de deux ans d’abstinence. Le pénis clapote en elle longuement puis demeure immobile. Je ramollis, ressors, avec un long bruit d’air. Elle pousse, évacuant le sperme avec un plaisir qu’elle ne cherche pas à dissimuler. Je laisse alors tomber.
-Ce n’est pas bien ce qu’on vient de faire !
-Et pourquoi ça ? Pour ton frère ?
-En autre !
-Sache qu’à choisir il aurait préféré que je fasse ça avec toi, qu’avec un autre, tu peux me croire!
Toujours sur mes genoux, elle me saisit la main droite et la guide entre ses fesses, m’obligeant à lui introduire un doigt dans l’anus. Je la pénètre avec précaution.
- Vas-y, mais vas-y donc ! M’encourage-t-elle en me broyant le poignet.
- Mais Marianne ! Balbutie-je.
Enfin ma main se trouve manœuvrer pas ses soins, elle s’en sert comme un objet inerte qu’elle fait aller et venir dans son conduit humide.
- Ça me gêne !
Mais elle me tient fermement la main, s’enculant avec, toujours plus fiévreusement, son rectum s’englue et elle jouit, ruant de la croupe et s’empalant frénétiquement sur mes doigts. Partagée entre curiosité et dégoût, je sens mes doigts se poisser d’un chaud liquide. Elle me fixe du regard.
- Tu es un drôle de mec, murmure-t-elle.
Elle ramène ma main à ma vue.
- Sens tes doigts, lance-elle, en les plaquant contre mon nez. Pénètres-toi de l’odeur de mon cul, hume mon parfum.
Je renifle alors qu’elle pressait mes doigts sous le nez, leur fit faire le tour de la bouche. Ils étaient encore poisseux de glaires. Elle fut parcourue de frissons, comme si peu à peu, elle prenait goût à ce jeu pervers.
-Tu aimes ? Fit-elle.
-C’est une odeur que je connais déjà.
-Oui, je m’en doute.
-Je parle de la tienne. Je l’ai déjà senti à travers tes culottes.
-Oh là, tu me fais peur. Branle-moi, exige-t-elle.
Je porte mon autre main à son sexe et caresse son clitoris saillant. En même temps, elle s’unit à moi pour sentir mes doigts. S’enivrant comme moi de la forte odeur. A mesure, je sens sous ma caresse son bourgeon enflé.
- C’est bon, gémit-elle.
Puis elle se met à lécher avidement les doigts gluants de sécrétions. Son orgasme en est décuplé et elle retombe sans force sur moi.
- Nous faisons la paire, ricane-t-elle en me caressant les cheveux.
Son regard est trouble, puis elle ajoute :
- Jamais je ne t’aurai crue capable de faire une chose aussi dégoûtante, et de m’avoir à ce point excitée. Nous sommes faits pour nous entendre, tu ne crois pas ?
Loin d’être rasassié, et sans prendre la peine de lui répondre, je me mets à lui malaxer ses chairs gluantes. Mes doigts inspectent sa fente, s’affairent sur son bouton, entrent profondément dans son vagin.
-Mais tu es insatiable mon cochon, parfait j’adore ça ! Lâche-t-elle, avant de laisser échapper de sa bouche, de longues plaintes, tout en se frottant à ma main, de bas en haut, tout en donnant des coups de hanches discrets au début, puis de plus en plus lubriques ensuite.
Je la branle avec la conviction de la mener jusqu’à l’orgasme. Je n’attends d’ailleurs pas longtemps. L’orgasme l’enlaidit. Son visage se tord de souffrance. Ses hurlements étouffés fusent entre ses dents serrées.
Puis elle ouvre des yeux hagards, larmoyants. Elle m’enlace pour me rouler une pelle. L’orgasme est interminable. J’immobilise ma main dans sa chatte. Mes doigts plantés dans le vagin gluant. Une plainte rauque marque la fin de l’extase. Dans un sursaut, elle se redresse, serre les cuisses et éjecte la main de son con.
La tempête passée je sens comme de la colère en moi. Une honte étrange m’a comme envahi. J’ouvre la portière arrière, et pousse Marianne à sortir.
Je la fais aller en devant de moi. J’attends cinq minutes avant d’entrer dans la salle. D’un coup d’œil circulaire je distingue Marianne attablée devant un coca et ma femme en train de danser. En toute innocence je m’assoie à la table de ma belle-sœur.
-Que d’émotion ? Me lâche-t-elle.
-Tu ne crois pas que nous avons été trop loin ?
-Tu déconnes là ! Je pense même qu’ils nous restent pas mal de terrains à découvrir. Tu ne crois pas ?
-Je ne sais pas si je dois !
-Fait au moins ça pour la mémoire de ton frère !
Je porte alors, ma main à hauteur de mes narines, et là, je hume les essences sèches, que les deux chattes ont calquées sur la peau. Et il m’en faut pas plus pour m’encourager à poursuivre l’aventure avec la cochonne.
A SUIVRE…

Les avis des lecteurs

très excitant ! Je me suis bien branlé ! Merci !



Texte coquin : La cochonne.
Histoire sexe : Une rose rouge
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