La dernière femme (4)

- Par l'auteur HDS CDuvert -
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Récit libertin : La dernière femme (4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La dernière femme (4)
Le vent hurle contre la carcasse du bus, projetant des volées de sable contre les vitres éclatées. Aria se glisse à l'intérieur, suivie par cinq hommes aux silhouettes massives qui se découpent dans la pénombre orageuse. L'espace confiné amplifie leurs présences, leurs odeurs de sueur et de cuir mêlées à l'air électrique.

"Bordel, ça va être long", marmonne le plus âgé en s'adossant contre une cloison déformée. Ses yeux gris balayent le corps d'Aria, s'attardent sur ses vêtements trempés qui moulent ses formes.

Marcus, un colosse aux bras tatoués, s'installe près de la sortie de secours. "Au moins on sera au sec", dit-il, mais sa voix rauque trahit une tension différente. Ses mains se crispent sur ses genoux quand il regarde Aria essorer ses cheveux mouillés.

L'électricité statique fait dresser les poils sur leurs avant-bras. Chaque éclair transforme l'habitacle en théâtre d'ombres dansantes, révélant par intermittence les regards qui convergent vers elle. Aria sent leurs fantasmes l'envelopper comme une seconde peau.

"Il fait une de ces chaleurs", murmure-t-elle en déboutonnant le haut de son chemisier. Le tissu colle à sa peau moite, révélant la naissance de ses seins. Elle remarque comment leurs respirations se font plus courtes, plus saccadées.

Jake, le plus jeune, déglutit difficilement. Dans son esprit défilent des images d'Aria renversée sur les sièges éventrés, ses jambes écartées, sa bouche ouverte sur un cri de plaisir. Il serre les poings pour contenir le désir qui pulse dans ses veines.

"T'as chaud aussi ?", demande Enzo, un brun aux yeux sombres, en retirant son tee-shirt déchiré. Ses muscles saillent sous sa peau bronzée. Il imagine ses mains parcourir le corps d'Aria, ses doigts glissant entre ses cuisses humides de transpiration.

L'orage gronde au-dessus d'eux et chaque coup de tonnerre résonne dans leurs poitrines. Aria laisse glisser son regard sur leurs torses nus, sur leurs sexes qui commencent à tendre leurs pantalons. Elle fantasme sur leurs mains rugueuses explorant son anatomie, leurs bouches avides dévorant sa chair.

"On devrait... se serrer", souffle-t-elle d'une voix altérée par l'excitation naissante. "Pour avoir moins froid."

Ricardo, le barbu, ricane doucement. "Moins froid ? Tu plaisantes ?" Ses yeux luisent d'une faim primitive. Il s'imagine la prenant contre la cloison rouillée, ses gémissements couvrant le bruit de la tempête.

Le dernier, Pavel, reste silencieux mais ses pupilles dilatées trahissent ses pensées. Il rêve de la voir à genoux devant lui, sa bouche pulpeuse engloutissant son membre durci, ses yeux levés vers lui dans une soumission feinte.

Un éclair particulièrement violent illumine l'habitacle. Dans cette seconde d'éternité, Aria voit le désir gravé sur leurs traits tendus. Elle sent l'humidité naître entre ses cuisses, pas seulement à cause de la pluie qui s'infiltre par les ouvertures béantes.

"Vous me regardez bizarrement", murmure-t-elle en feignant l'innocence, tout en laissant son chemisier s'entrouvrir davantage.

"On te regarde comme on regarde la dernière femme sur terre", répond Marcus d'une voix rauque. Ses fantasmes deviennent plus explicites : Aria chevauchant son sexe tendu, ses seins rebondissant au rythme de leurs ébats sauvages.

L'air devient irrespirable, chargé de phéromones et d'électricité. Aria imagine leurs corps pressés contre le sien, leurs sexes la pénétrant tour à tour, leurs mains la caressant simultanément. Elle se mord la lèvre pour retenir un gémissement.

"Il fait vraiment trop chaud", répète-t-elle en retirant complètement son chemisier. Ses seins nus brillent sous les éclairs intermittents, mamelons durcis par l'excitation plus que par le froid.

Jake pousse un soupir étranglé. "Putain, Aria..."

"Quoi ?", demande-t-elle avec un sourire carnassier. Elle sait exactement l'effet qu'elle produit, sent leurs regards la déshabiller mentalement, imagine leurs fantasmes convergents vers son corps dévoilé.

L'orage atteint son paroxysme. Dans l'espace confiné du bus, six respirations s'accélèrent. La tension sexuelle devient palpable, électrisante, prête à exploser comme la foudre qui zèbre le ciel noir.

"Vous savez quoi ?", murmure Aria d'une voix rauque. Ses doigts descendent vers la boucle de sa ceinture, la défont lentement sous leurs regards hypnotisés. "Cette tempête... elle m’excite."

Le cuir glisse hors des passants avec un sifflement sourd. Marcus resserre ses poings, ses articulations blanchissent. Dans son esprit, ce sont ses mains qui déboutonnent ce pantalon, qui explorent la chaleur moite qu'elle dissimule.

"Aria...", souffle Jake, la voix brisée par le désir.

Elle ne répond pas, se contente de sourire en défaisant le premier bouton de son jean. Puis le second. L'éclair suivant révèle l'ombre de sa culotte, la courbe de son mont de Vénus qui se devine sous le tissu fin.

"J'ai tellement chaud", gémit-elle en glissant sa main dans l'ouverture béante. Ses doigts disparaissent sous le denim, effleurent sa peau brûlante. Un frémissement parcourt son corps quand elle rencontre l'humidité qui perle déjà entre ses lèvres intimes.

Enzo retient son souffle. Il imagine ces doigts fins caresser sa féminité gonflée, écarter les plis roses et brillants de rosée. Son sexe pulse douloureusement contre son pantalon.

"Tu nous rends dingues", gronde Ricardo, sa voix profonde vibrant de frustration contenue. Il rêve de remplacer cette main par sa bouche, de goûter le nectar qui s'écoule d'elle.

Aria ferme les yeux, la tête renversée contre la cloison rouillée. Sa main bouge sous le tissu, dessine des cercles lents autour de son clitoris durci. "Mmh... c'est bon", soupire-t-elle, les lèvres entrouvertes sur un plaisir naissant.

Pavel se rapproche imperceptiblement, hypnotisé par le spectacle. Il fantasme sur le moment où elle écartera complètement les cuisses, révélant sa vulve humide et palpitante, prête à les accueillir tous.

"Tu nous tortures", halète Marcus, sa main descendant instinctivement vers son entrejambe gonflée.

"Non", murmure Aria en ouvrant des yeux brillants de luxure. "Je vous invite."

Sa main ressort de son pantalon, les doigts luisants de sa propre moiteur. Elle les porte à ses lèvres, les lèche lentement sous leurs regards fascinés. "Je goûte si bon", ronronne-t-elle.

L'air devient irrespirable. Cinq hommes la dévorent des yeux, leurs fantasmes convergeant vers cette femme qui s'offre sans pudeur dans l'abri de fortune. L'orage gronde toujours, mais une autre tempête se prépare, plus primitive, plus dévastatrice.


Lascivement, Aria achève d'abaisser son pantalon, le tissu glissant le long de ses cuisses hâlées comme une caresse finale. Ses doigts s'attardent sur l'élastique de sa culotte humide, qu'elle fait rouler lentement, révélant progressivement son intimité luisante aux regards brûlants qui la dévorent. Le métal froid du bus contraste avec la chaleur de sa peau moite quand elle pose son corps nu sur la tôle gondolée.

"Regarde-la", murmure une voix rauque dans l'obscurité. "Elle nous attend."

Les mains surgissent de l'ombre, empressées, tremblantes d'anticipation. Aria ferme les yeux et cambre le dos, offrant sa poitrine aux paumes calleuses qui l'explorent. Un frisson traverse son épine dorsale quand des doigts rugueux remontent le long de ses flancs, dessinant des spirales sur sa peau électrisée.

"Tu es si douce", chuchote un homme à son oreille, son souffle chaud faisant dresser les petits cheveux de sa nuque.

"Prends-moi", répond-elle d'une voix brisée par le désir. "Prenez-moi tous."

Son invitation déchaîne les instincts primitifs. Les bouches se disputent chaque parcelle de sa chair frémissante, langues râpeuses qui tracent des sillons humides sur son ventre, ses cuisses, ses seins gonflés d'excitation. Aria gémit quand des lèvres gourmandes se referment sur son mamelon gauche, aspirant, mordillant la pointe durcie tandis qu'une autre bouche s'attaque à son sein droit.

"Oui", halète-t-elle, les mains agrippant les cheveux de ses amants improvisés. "Comme ça... n'arrêtez pas."

Un homme aux épaules larges se glisse entre ses cuisses écartées, son visage disparaissant dans l'intimité offerte d'Aria. Sa langue trace des cercles autour de son clitoris gonflé, alternant pressions légères et coups plus appuyés qui la font tressaillir de plaisir.

"Mmmh, tu as goût de sel et de miel", grogne-t-il contre sa chair palpitante avant de plonger plus profondément.

Aria rejette la tête en arrière, ses cheveux balayant la tôle froide, quand des doigts impatients écartent ses lèvres intimes pour mieux exposer son bourgeon sensible. L'homme entre ses cuisses alterne succion et léchage, sa barbe naissante râpant délicieusement sa peau tendre. Ses doigts s'enfoncent en elle, d'abord un, puis deux, explorant ses parois veloutées qui se contractent autour de l'intrusion bienvenue.

"Si étroite", murmure-t-il, ses doigts fouillant plus profondément. "Si chaude et mouillée."

Pendant qu'il la dévore avec une application méthodique, d'autres mains parcourent son corps offert. Des paumes massent ses seins, des pouces titillent ses mamelons tandis que des bouches se succèdent sur sa gorge, marquant sa peau de suçons possessifs. Aria se cambre sous cette attention multiple, son bassin ondulant contre la bouche qui la consume.

"J'ai envie de toi", gronde un homme à sa droite, guidant sa main vers son membre durci. "Touche-moi."

Aria referme ses doigts autour de la hampe gonflée, sa paume glissant le long de la peau tendue. L'homme gémit à son contact, ses hanches poussant instinctivement contre sa caresse. Elle sent battre les veines saillantes sous ses doigts, le gland humide qui perle déjà de désir.

"fais moi jouir", halète-t-il tandis qu'elle accélère le rythme de sa main.

Un autre homme s'agenouille près de sa tête, présentant son sexe durci à ses lèvres entrouvertes. Sans hésiter, Aria ouvre la bouche, accueillant la chair palpitante sur sa langue. Elle l'aspire lentement et ses joues se creusent tandis qu'elle prend toujours plus de lui en elle.

"Oui, comme ça", gronde-t-il, ses mains s'emmêlant dans ses cheveux. "Prends-moi tout entier."

La langue d'Aria danse autour du gland sensible, explorant chaque repli, chaque veine saillante. Elle sent le membre grossir dans sa bouche, le goût salé qui s'intensifie sur ses papilles. Ses lèvres glissent le long de la hampe, créent une succion parfaite qui arrache des gémissements rauques à l'homme au-dessus d'elle.

Entre ses cuisses, l'homme qui la dévore intensifie ses assauts. Sa langue plonge profondément en elle, explorant ses replis secrets avant de remonter tracer des cercles enfiévrés autour de son clitoris. Aria gémit autour du membre dans sa bouche, les vibrations de sa voix décuplant le plaisir de son partenaire.

"Elle va me faire jouir", halète celui-ci, ses hanches bougeant de plus en plus vite.

Aria sent monter en elle une vague de chaleur, ses muscles intimes se contractant autour des doigts qui la fouillent sans relâche. L'homme entre ses cuisses ajoute un troisième doigt, étirant délicieusement ses chairs sensibles tandis que sa langue continue son ballet endiablé sur son point le plus sensible.

"Je viens... je vais...", balbutie-t-elle, relâchant momentanément le membre dans sa bouche.

"Jouis pour nous", l'encourage l'homme qui la caresse. "Laisse-toi aller."

Les mains sur ses seins intensifient leurs caresses, pinçant délicatement ses mamelons durcis tandis que des bouches continuent de marquer sa peau de baisers brûlants. Aria se sent submergée par ces attentions multiples, son corps tendu comme une corde prête à rompre.

L'orgasme la frappe comme un coup de fouet, ses reins se cambrent violemment tandis qu'elle crie son plaisir dans l'habitacle confiné du bus. Ses muscles intimes se contractent spasmodiquement autour des doigts qui continuent de la fouiller, prolongeant son extase. L'homme entre ses cuisses boit avidement sa jouissance, sa langue léchant chaque goutte de nectar qui s'écoule d'elle.

"Magnifique", murmure une voix dans l'obscurité. "Regarde comme elle tremble."

Aria peine à retrouver son souffle, son corps encore secoué de soubresauts. Mais les hommes autour d'elle ne lui laissent aucun répit. Des mains la retournent, la positionnent à quatre pattes sur la tôle froide. Elle sent un membre durci presser contre son entrée encore palpitante de plaisir.

"Tu es prête pour moi ?", demande une voix grave derrière elle.

"Oui", souffle-t-elle, poussant ses hanches vers lui. "Prends-moi."

Il s'enfonce lentement en elle, centimètre par centimètre, lui laissant le temps de s'adapter à son intrusion. Aria gémit en sentant ses chairs s'étirer autour du membre qui la pénètre; la sensation de plénitude l'électrise tout entière.

"Tu es si serrée", grogne-t-il en commençant de lents va-et-vient. "Si parfaite."

Devant elle, un autre homme présente son sexe à ses lèvres. Aria l'accueille avidement, acceptant une double pénétration qui la fait frissonner de plaisir. Elle se balance entre les deux hommes, offerte, comblée, consumée par une luxure qui efface tout le reste.

Les corps se mêlent dans l'obscurité orageuse, chairs moites glissant les unes contre les autres, râles et gémissements se mêlant au grondement lointain du tonnerre. Aria devient le centre d'un cyclone de désir, recevant et donnant du plaisir dans un abandon total qui la transcende.

L'orage atteint son paroxysme, les éclairs transforment l'intérieur du bus en stroboscope primitif. Aria s'abandonne complètement, son corps devient l'instrument d'une symphonie charnelle qui défie les éléments déchaînés. Les cinq hommes l'entourent, leurs silhouettes musclées découpées par les flashes aveuglants de la foudre.

« Prenez-moi... tous... maintenant », halète-t-elle, sa voix rauque portée par le vent qui siffle à travers les vitres brisées.

Marcus, le plus imposant, glisse ses mains puissantes sous ses reins cambrés. Ses doigts épais s'enfoncent dans la chair tendre de ses hanches, la soulevant légèrement. « Tu es à nous maintenant, petite survivante », murmure-t-il contre son oreille, son souffle chaud contrastant avec la fraîcheur métallique de la tôle sous son dos nu.

Devant elle, Jonas positionne son membre durci contre ses lèvres entrouvertes. Elle ouvre grand la bouche, accueille sa raideur pulsante, sa langue danse autour du gland gonflé. « Oui... comme ça... avale-moi », gémit-il en agrippant ses cheveux emmêlés par la sueur et la poussière.

Pendant qu'elle aspire Jonas avec une voracité grandissante, Marcus la pénètre lentement, son sexe massif s'enfonçant dans sa fente humide et brûlante. Elle gémit autour de la verge qui emplit sa bouche, les vibrations de sa gorge intensifiant le plaisir de Jonas.

« Elle est si étroite... si chaude », râle Marcus, ses coups de reins s'accélérant progressivement. Chaque poussée la projette plus profondément sur la hampe de Jonas, créant un rythme hypnotique qui fait écho aux roulements du tonnerre.

Karim s'agenouille près de sa tête, son membre tendu effleurant sa joue. « Ta bouche... je veux ta bouche quand tu auras fini avec lui », supplie-t-il, sa main caressant ses cheveux trempés de sueur.

Leo et Diego s'occupent de ses seins gonflés, leurs bouches affamées aspirent tour à tour ses mamelons dressés. Leo mordille doucement l'auréole rose tandis que Diego fait rouler l'autre téton entre ses dents, arrachant à Aria des gémissements étouffés.

L'orage redouble de violence, un éclair particulièrement puissant illumine leurs corps enlacés. Dans cette lumière crue, Aria distingue les regards brûlants fixés sur elle, le désir qui déforme les traits des hommes. Cette vision décuple son excitation, elle se cambre davantage, offre son corps à leurs assauts coordonnés.

Jonas se retire de sa bouche dans un gémissement rauque. « À moi maintenant », halète Karim en prenant sa place. Son sexe, plus fin mais plus long, glisse aisément entre ses lèvres humides. Il établit immédiatement un rythme saccadé, plongeant au fond de sa gorge avec une urgence désespérée.

Marcus intensifie ses mouvements avec une brutalité calculée, ses hanches puissantes claquent contre les siennes dans un bruit sourd et rythmé qui rivalise avec les coups de tonnerre. Chaque impact résonne dans l'habitacle métallique, créant une percussion primitive qui fait écho à la fureur de l'orage. Ses cuisses musclées contractées, il puise dans ses reins une force animale, transformant chaque poussée en une revendication possessive de son corps offert.

« Tu sens ça, salope ? », gronde-t-il, sa voix rauque déformée par l'effort et le désir. Sa bouche effleure son oreille, son souffle chaud contrastant avec la fraîcheur de la pluie qui s'infiltre par les vitres brisées. « Tu sens comme je t'emplis ? Comme mon sexe te déchire ? » Ses doigts s'enfoncent plus profondément dans la chair tendre de ses hanches, y imprimant des marques rouges qui témoignent de sa possession brutale. Les ongles courts et durs griffent sa peau satinée, laissent des sillons roses qui s'effacent et reparaissent au rythme de ses assauts.

Le sexe de Marcus, épais et veiné, plonge au plus profond de son intimité avec une régularité implacable. Chaque retrait révèle sa hampe luisante de cyprine, chaque plongée arrache à Aria des gémissements gutturaux qui se mêlent aux sons qu'elle produit autour du membre de Karim. Les parois de son vagin, dilatées et hypersensibles, épousent les contours de cette intrusion masculine, créent une friction délicieuse qui embrase chaque terminaison nerveuse.

« Mmmmh... oui... plus fort », parvient-elle à articuler entre les va-et-vient insistants de Karim qui occupe sa bouche. Sa voix vibre de plaisir, les mots déformés par l'excitation qui monte en elle comme une marée torride. Ses cordes vocales, tendues par l'effort de la fellation, produisent des harmoniques graves qui font frissonner Karim. Ses lèvres gonflées, étirées autour de la verge qui les traverse, tentent de former des mots mais ne produisent que des sons primitifs, des appels muets à plus d'intensité.

Sa langue, adroite malgré la frénésie du moment, continue de danser autour du gland de Karim, trace des spirales humides sur la peau tendue. Elle aspire avec force, créant un vide délicieux qui fait gémir l'homme au-dessus d'elle. Ses joues se creusent à chaque aspiration, transforment sa bouche en un instrument de plaisir à l’égal de son vagin.

Ses muscles internes se contractent rythmiquement autour du sexe de Marcus, l'étreignent dans un étau de velours brûlant qui pulse au rythme effréné de son cœur. Chaque contraction aspire le membre masculin plus profondément en elle, crée une friction délicieuse qui arrache à Marcus des grognements de plaisir pur. « Putain... elle me broie... », halète-t-il, ses hanches collées aux siennes, savourant chaque spasme qui l'enserre.

Il plonge une dernière fois au plus profond d'elle, ses hanches soudées aux siennes, et se répand en elle dans un rugissement primitif qui rivalise avec le tonnerre. Son sexe pulse violemment, déversant sa semence chaude par jets saccadés au plus profond de son ventre accueillant.

« Prends-la... toute ma semence... », halète-t-il entre ses dents serrées, ses muscles tendus dans l'effort final. Ses doigts s'enfoncent plus profondément dans ses hanches, la maintiennent fermement empalée sur son membre pulsant. Il sent son sperme épais inonder l'intimité brûlante d'Aria, se mélanger à sa cyprine abondante dans une communion visqueuse et primitive. Un dernier spasme le secoue avant qu’il ne tombe à genoux et bascule en arrière.

Jonas, maintenant libéré des lèvres voraces d'Aria, prend sa place près des jambes écartées avec la patience d'un connaisseur. Ses mains rugueuses remontent lentement le long de ses cuisses frémissantes, effleurent la peau moite de sueur et de désir. Ses doigts explorent méthodiquement les replis humides de sa vulve, cartographient chaque pli, chaque boursouflure de cette géographie intime.

« Elle ruisselle... regardez comme elle mouille », observe-t-il avec fascination, sa voix teintée d'émerveillement masculin. Ses doigts écartent délicatement les lèvres gonflées, révèlent l'intérieur nacré et palpitant. La cyprine perle en abondance, coule le long de ses cuisses en ruisselets brillants que les éclairs de l'orage illuminent par intermittence. « C'est un fleuve de plaisir qui coule d'elle. »

Son pouce trouve le clitoris gonflé, bourgeon durci qui pulse sous la caresse. Il le caresse avec des mouvements circulaires d'une précision chirurgicale, alternant pression ferme et effleurements délicats. Chaque contact envoie des décharges électriques dans le bassin d'Aria, amplifie les séquelles des sensations intenses provoquées par Marcus.

La stimulation simultanée de son clitoris et de son vagin fait exploser des étoiles multicolores derrière ses paupières fermées. L'orgasme approche, inexorable, construit ses fondations dans chaque cellule de son être. Son corps tout entier devient un instrument de plaisir tendu à l'extrême, prêt à vibrer sous la note final.

Les doigts de Jonas s'aventurent plus bas, frôlent l'entrée libérée par Marcus, recueillent le mélange de cyprine et de sueur qui s'accumule là. Il les remonte ensuite vers son clitoris, étale cette essence féminine sur le bourgeon sensible, intensifie encore les sensations. « Regarde comme elle réagit », murmure-t-il aux autres, fasciné par les contractions involontaires qui agitent le bas-ventre d'Aria.

Son corps se tend progressivement, chaque muscle se contracte dans l'imminence de l'orgasme qui monte comme une vague gigantesque prête à déferler. Ses orteils se recroquevillent, ses mollets se durcissent, ses fessiers se serrent. Même ses muscles faciaux se crispent, déforment légèrement ses traits dans une grimace de plaisir extrême.

« Je... je vais... », balbutie-t-elle, les mots à peine formés, interrompus par les poussées de Karim qui s'accélèrent dans sa bouche. Sa gorge se contracte autour de la verge qui la traverse, produit des vibrations délicieuses qui font gémir l'homme au-dessus d'elle. Ses yeux se révulsent, ne laissent voir que le blanc de ses globes oculaires, signe de l'imminence de l'explosion qui couve en elle.

« Jouis pour nous, maintenant », ordonne Leo, sa bouche quittant momentanément le mamelon durci qu'il aspirait pour parler. Sa voix porte l'autorité primitive du mâle dominant, l'injonction qui transforme le plaisir en commandement. « Montre-nous comme tu jouis, petite survivante. Laisse-nous voir ton corps exploser de plaisir. »

Les mots agissent comme un détonateur sur les sens déjà survoltés d'Aria. L'orgasme, retenu jusque-là par un dernier vestige de contrôle, explose soudain avec la violence d'un barrage qui cède. Un éclair aveuglant, plus puissant que tous les précédents, accompagne l'explosion de plaisir qui la traverse, transforme l'intérieur du bus en un stroboscope naturel qui illumine la scène de luxure.

Elle jouit en hurlant, sa voix se mêlant au fracas du tonnerre dans une harmonie primitive et sauvage. Le cri qui s'échappe de sa gorge porte toute la puissance de son plaisir, résonne dans l'habitacle métallique et se répercute à l'infini. Son corps se cabre violemment, se soulève presque de la banquette malgré le poids des hommes qui l'entourent, animé de spasmes incontrôlables qui semblent vouloir la déchirer.

L'orgasme se propage en ondes successives, chaque vague plus intense que la précédente. Son clitoris pulse sous les doigts de Jonas, envoie des décharges électriques dans tout son bassin. Ses tétons, durcis à l'extrême, semblent sur le point d'exploser sous les caresses expertes de Leo et Diego. Même sa bouche participe à cette symphonie de plaisir, se contracte autour du sexe de Karim dans des mouvements involontaires qui décuplent les sensations de l'homme.

Les larmes de plaisir perlent au coin de ses yeux révulsés, mélange de sueur salée et d'émotion pure qui coule le long de ses tempes. Son souffle se fait erratique, entrecoupé de sanglots de volupté qui témoignent de l'intensité de son extase. Chaque inspiration semble insuffisante, chaque expiration emporte avec elle un fragment de sa conscience, la laisse flotter dans un océan de sensations pures.

L'orgasme culmine dans un dernier spasme particulièrement violent qui la fait littéralement décoller de la banquette. Son dos se cambre dans un arc parfait, offre sa poitrine aux bouches avides qui continuent de la dévorer. Ses cuisses tremblent de façon incontrôlée, agitées de soubresauts qui témoignent de la violence du plaisir qui la traverse.

Puis, lentement, les vagues commencent à s'apaiser, laissent place à des contractions plus espacées, moins violentes mais tout aussi délicieuses. Son corps redescend progressivement sur terre, se détend muscle après muscle, retrouve peu à peu une respiration plus régulière. Seuls subsistent les échos de l'orgasme, frissons résiduels qui parcourent encore sa peau hypersensible comme les dernières répliques d'un séisme tellurique.

Karim, témoin de cette explosion de luxure, sent son propre contrôle s'effriter dangereusement. La vision d'Aria en plein orgasme - son visage transfiguré par l'extase, ses seins qui ballottent, son cri déchirant qui se mêle aux éléments déchaînés - tout cela assaille ses sens déjà surchauffés. Les vibrations de ses gémissements autour de son sexe créent une stimulation insoutenable, chaque son qu'elle émet se répercute le long de sa hampe tendue.

« Je ne peux plus... », gémit-il, sentant ses bourses se contracter douloureusement. Il agrippe ses cheveux trempés de sueur, accélère ses va-et-vient dans sa bouche accueillante. Mais au moment crucial, un réflexe animal le pousse à se retirer. Il veut la marquer, la recouvrir de sa semence, faire d'elle sa possession visible.

Son gland gonflé effleure encore ses lèvres entrouvertes quand l'orgasme le frappe de plein fouet. « Prends tout... », halète-t-il dans un souffle rauque, sa main guidant son membre pulsant. Les premiers jets de sperme blanc nacré jaillissent avec violence, aspergent son visage levé vers lui dans une offrande silencieuse. Sa joue gauche, puis sa tempe, puis le coin de sa bouche reçoivent les giclées chaudes qui perlent sur sa peau luisante de sueur.

Il redirige légèrement son angle, arrose maintenant sa poitrine haletante. Les seins gonflés, aux mamelons encore durcis par l'excitation, se couvrent de traînées laiteuses qui ruissellent lentement vers le ventre tendu. « Regarde comme tu es belle... », murmure-t-il en vidant ses bourses sur elle, chaque jet marquant un territoire primitif sur son épiderme offert.

Mais Leo, Diego et Jonas n'ont aucune intention de lui accorder le moindre répit. L'intensité de ce qu'ils viennent de voir - cette double jouissance simultanée, cette communion brutale et magnifique - ne fait qu'attiser leur propre désir. Ils tournent autour d'elle comme des prédateurs affamés, leurs sexes encore durcis témoignant de leur excitation intacte.

Jonas, le plus impatient, prend l'initiative. Ses mains puissantes agrippent les hanches encore tremblantes d'Aria.« Mon tour maintenant », déclare-t-il d'une voix rauque chargée de désir. Il retourne Aria avec une autorité tranquille, révélant son dos cambré marqué de traces de doigts et de sueur. Ses fesses rondes, parfaitement sculptées, s'offrent à son regard brûlant. Il la positionne à quatre pattes sur la banquette déchirée, le tissu râpeux contrastant avec la douceur satinée de sa peau.

Ses mains remontent lentement le long de ses flancs, explorent chaque courbe, chaque vallée de son anatomie parfaite. « Tu es si belle comme ça », murmure-t-il, ses paumes étalées sur ses reins pour accentuer la cambrure. « Offerte, soumise... prête à recevoir tout ce que je vais te donner. »

Il fait descendre ses doigts vers la fente humide de ses fesses, effleure d'abord son anus serré, contracté par l'appréhension et l'excitation mêlées. L'anneau de chair rosée palpite sous son toucher, réagit à chaque caresse par de légers frémissements. « Je vais te prendre par derrière », annonce-t-il en positionnant son gland gonflé contre l'entrée interdite. « Je veux sentir comme tu es étroite là-dedans. »

« Oui... », supplie-t-elle dans un souffle, encore étourdie par la violence de son orgasme précédent. Sa voix tremble d'anticipation et de désir. « Remplis-moi... partout... je veux tout sentir... » Elle sent le sperme de Marcus continuer de s'écouler de son vagin, mélange visqueux qui coule le long de ses cuisses.

Cette sensation de souillure, loin de la dégoûter, intensifie son excitation. Elle se sent marquée, possédée, transformée en réceptacle du plaisir masculin. « Prends-moi fort », ajoute-t-elle en remuant légèrement ses hanches pour l'inviter. « Je veux sentir ta queue dans mon cul... »

Jonas frissonne à ces mots crus qui contrastent avec la délicatesse apparente d'Aria. Il positionne son gland humide de pré-sperme contre son sphincter, commence une pénétration lente et méthodique. La résistance initiale cède progressivement sous sa pression constante, l'anneau serré s'ouvre millimètre par millimètre pour accueillir son intrusion.

« Tu es si étroite... », gémit-il, ses mains fermement étalées sur ses fesses rondes pour les écarter davantage. « Si chaude là-dedans... comme un étau de velours... » Il s'enfonce lentement, savourant chaque fraction de progression, la façon dont ses chairs se moulent autour de lui, l'étreignent dans une caresse brûlante.

Aria pousse un long gémissement sourd, mélange de plaisir et de douleur exquise. La sensation de dilatation progressive, la brûlure délicieuse qui irradie depuis son anus, tout cela l'emporte vers de nouveaux territoires de jouissance. « Plus profond... », halète-t-elle, ses doigts agrippant le tissu déchiré de la banquette. « Je veux tout sentir... »

C'est alors que Leo, resté silencieux jusque-là, intervient. « J'en veux aussi», murmure-t-il avec un sourire carnassier. Il se glisse avec souplesse sous le corps arqué d'Aria, son dos musclé contre la banquette froide. Ses mains remontent le long des flancs de la jeune femme, guident son bassin vers le bas.

« Viens sur moi », l'invite-t-il d'une voix rauque, positionnant son érection douloureuse contre sa fente encore dilatée par les assauts précédents. « Je veux sentir ton vagin pendant qu'il te prend par derrière... Je veux qu'on te remplisse complètement. »

La proposition fait frémir Aria d'anticipation. L'idée d'être pénétrée simultanément par les deux hommes, d'être totalement remplie, possédée, consommée, enflamme son désir déjà exacerbé. « Oui... », souffle-t-elle, ses yeux brillants de luxure. « Prenez-moi... tous les deux... en même temps... »

La double pénétration la fait crier d’un plaisir mêlé de douleur exquise. Les deux membres la remplissent complètement, créent une friction délicieuse dans ses chairs hypersensibles. « Oh mon Dieu... c'est... c'est trop bon », gémit-elle, son corps écartelé entre les deux hommes.

Diego et Karim se positionnent de chaque côté de sa tête. Leurs sexes à nouveau durcis effleurent ses joues, quêtent ses lèvres entrouvertes. « Suce-nous », ordonne Diego. « Montre-nous ce que sait faire ta jolie bouche. »

Aria pivote la tête alternativement, prend tour à tour chaque membre entre ses lèvres. Sa langue danse autour des glands, aspire la peau tendue, déclanche des frissons de plaisir chez les deux hommes. Pendant ce temps, Jonas et Leo établissent un rythme parfait, l'un plongeant quand l'autre se retire, créant une friction continue qui la conduit irresistiblement vers un nouvel orgasme.

L'orage semble répondre à leur frénésie. Chaque coup de tonnerre accompagne leurs mouvements, chaque éclair illumine leurs corps entremêlés dans une danse primitive et sauvage. L'air du bus se charge d'odeurs musquées, de sueur, de sexe et d'orage.

« Je sens que tu vas encore jouir », observe Leo, sa voix tendue par l'effort. Ses mains agrippent ses seins ballottants, pincent ses mamelons durcis. « Tes muscles se contractent autour de moi. »

« Laisse-toi aller », encourage Jonas, amplifiant ses coups de reins dans son anus
Son deuxième orgasme monte en elle comme une vague destructrice, commençant par un frémissement profond dans son bas-ventre qui irradie dans tout son bassin. « Ça vient... ça vient... », halète-t-elle, ses yeux révulsés ne voyant plus que des étoiles blanches.

La première contraction la surprend par sa violence. Son vagin se resserre autour de la verge de Leo dans un étau de velours brûlant, arrachant à l'homme un cri de surprise mêlé de plaisir. « Putain, elle m'écrase... », gémit-il, ses mains agrippant désespérément ses hanches moites.

Puis c'est une succession de spasmes qui la traverse de part en part. Son anus se contracte rythmiquement autour du sexe de Jonas, chaque pulsation aspirant sa hampe plus profondément dans ses chairs dilatées. « Elle me trait... bordel, elle me trait comme une pompe... », rugit Jonas, sa voix déformée par l'extase qui monte.

Aria hurle, un cri primitif qui déchire la nuit orageuse et rivalise avec le fracas du tonnerre. « Jouiiiiis... je jouis... je jouis si fort... », sa voix se brise dans l'aigü tandis que son corps entier se cabre. Ses seins se dressent vers le plafond rouillé, ses mamelons durcis pointent dans l'air électrique.

Chaque éclair illumine son visage transfiguré par l'extase. Ses traits se contractent, ses lèvres s'entrouvrent sur des gémissements rauques, sa peau luisante de sueur scintille sous les flashes de la foudre. Ses cheveux collés à son crâne encadrent un masque de pure luxure, yeux mi-clos, bouche béante aspirant l'air en quête d'oxygène.

Les contractions s'intensifient, plus rapides, plus puissantes. Son vagin palpite autour de Leo dans un rythme effréné, chaque spasme aspirant sa verge jusqu'à la garde. « Je sens ton cœur battre... là... au fond de toi... », halète Leo, ses propres hanches se soulevant pour accompagner les convulsions qui l'étreignent.

L'onde de choc remonte le long de sa colonne vertébrale, électrise chaque terminaison nerveuse. Ses muscles se tétanisent par vagues successives, depuis le bout de ses orteils recroquevillés jusqu'au sommet de son crâne. « C'est... c'est trop... je vais mourir... », balbutie-t-elle entre deux spasmes, son corps secoué comme par une crise d'épilepsie sensuelle.

Jonas sent les contractions anales se propager le long de sa hampe, massage involontaire d'une intensité démente. « Elle me pompe... putain, elle me pompe le foutre... », grogne-t-il, ses testicules se contractant sous l'imminence de l'éjaculation. Ses doigts s'enfoncent dans la chair de ses fesses, marquant sa peau de croissants rouges.

L'orgasme d'Aria atteint son paroxysme au moment où un éclair particulièrement violent zèbre le ciel. La lumière aveuglante révèle son corps arqué dans une cambrure impossible, chaque muscle bandé, chaque veine saillante sous sa peau tendue. « OUUUIIIIII... », son cri se mêle au tonnerre, note stridente qui résonne dans l'habitacle métallique.

Cette vision de luxure absolue déclenche immédiatement l'orgasme de Jonas. Le spectacle d'Aria se consumant littéralement de plaisir, les contractions sauvages qui malaxent son sexe, tout converge pour faire exploser ses digues. « Je... je vais... », gémit-il avant d'être emporté par la déferlante.

Son sperme jaillit avec une force surprenante, inondant l'intimité anale d'Aria d'une chaleur visqueuse. « Prends tout... prends toute ma semence... », rugit-il en déversant ses flots dans ses entrailles palpitantes. Chaque contraction de l'anus d'Aria trait sa verge, aspire chaque goutte de sa jouissance masculine.

Leo résiste quelques secondes de plus, hypnotisé par les spasmes du vagin qui l'étreint. Mais l'intensité des contractions finit par avoir raison de sa résistance. « Tu me tues... », halète-t-il avant de basculer à son tour dans l'extase. Ses jets puissants se mêlent aux résidus de Marcus encore présents dans le ventre d'Aria, créant un cocktail tiède et visqueux qui déborde de sa fente dilatée.

« Remplissez-moi... videz-vous en moi... », gémit Aria, encore secouée par les dernières vagues de son orgasme. Elle sent la semence chaude inonder ses deux orifices, couler le long de ses cuisses, marquer définitivement sa chair de leur possession collective.

Diego et Karim, témoins privilégiés de ce spectacle d'une rare intensité, ne peuvent contenir plus longtemps leur propre excitation. Leurs mains accélèrent sur leurs membres dressés, caresses frénétiques qui les mènent rapidement au bord de l'abîme. Leurs yeux dévorent la vision d'Aria comblée, corps ruisselant de sueur et de fluides masculins.

« Regarde-nous jouir sur toi... », halète Diego, sa voix tendue par l'effort et l'imminence de la jouissance. Son poing coulisse à un rythme effréné sur sa hampe gonflée, le gland violacé luisant de liquide pré-séminal. « Tu vas être couverte... arrosée de notre foutre... »

Karim grogne à ses côtés, ses hanches se soulevant pour accompagner les mouvements de sa main. « Oui... regarde comme on va te marquer... », ses testicules se contractent, remontent contre son bas-ventre dans l'imminence de l'éjaculation.

Ils atteignent simultanément le point de non-retour, leurs corps se tétanisant dans un même élan. Diego éjacule le premier, son sperme jaillissant en arcs puissants qui viennent s'écraser sur le dos cambré d'Aria. Les jets chauds dessinent des sillons blancs sur sa peau bronzée, du bas de ses reins jusqu'entre ses omoplates.

« Putain, oui... », rugit Karim en libérant sa propre jouissance. Ses jets atteignent les cheveux emmêlés d'Aria, dégoulinent sur sa nuque, se mêlent à la sueur qui perle à la naissance de ses cheveux. Quelques gouttes viennent orner ses joues, marquant son visage du sceau de leur désir assouvi.

L'air du bus se charge davantage d'effluves musqués, d'odeurs âcres de sexe et de jouissance masculine. Les corps vibrent et tremblent dans l'obscurité relative, éclairés par intermittence par les derniers éclairs de l'orage qui s'éloigne. Aria gît au centre de cette constellation masculine, corps marqué, possédé, irrigué par leur semence collective, temple vivant d'une communion qui défie l'apocalypse grondant au-dehors.

« Tu es incroyable », murmure Marcus en embrassant son épaule. « Une vraie déesse du plaisir. »

L'orage s'éloigne lentement, emportant avec lui la frénésie collective qui a consumé la nuit. Les derniers éclairs griffent l'horizon d'une lumière blanche et fugace, puis s'estompent dans le silence retrouvé. Le tonnerre n'est plus qu'un murmure lointain, un grondement sourd qui roule sur les dunes comme un dernier souffle de passion. Dans le bus ravagé, aux sièges éventrés et aux vitres éclatées, les corps enlacés s'apaisent peu à peu, leurs respirations saccadées retrouvant un rythme plus mesuré.

Aria ouvre les yeux sur l'aube naissante qui filtre par les ouvertures béantes, baignant l'habitacle d'une lumière dorée et poudrée. Ses cils papillonnent, chassant les dernières brumes du sommeil tandis que la réalité reprend ses droits. Autour d'elle, ses compagnons d'une nuit dorment profondément, épuisés par leur communion sauvage. Marcus, le mécanicien aux bras tatoués, repose sur le flanc, sa main encore posée sur sa hanche nue. Son souffle régulier caresse son épaule, tiède et rassurant.

« Mmh... » murmure-t-elle, un gémissement sourd qui s'échappe de ses lèvres tuméfiées.

Léo, l'ancien routier, git en travers des sièges arrière, ses jambes musclées entremêlées aux siennes. Dans son sommeil, ses doigts se contractent encore, gardant la mémoire de la chair qu'ils ont pétrie, caressée, possédée. Aria sent sur sa cuisse la trace humide de leur dernière étreinte, semence séchée qui tire légèrement sa peau satinée.

Elle se redresse lentement, précautionneusement, pour ne pas réveiller les dormeurs. Chacun de ses mouvements réveille une douleur exquise, rappel des heures écoulées dans la débauche. Ses seins oscillent doucement, mamelons encore durcis par le souvenir des bouches qui les ont aspirés, mordillés, marqués. Entre ses cuisses, son sexe palpite d'une sensibilité exacerbée, gonflé par les assauts répétés qu'il a subis et savourés.

« Mon dieu... » chuchote-t-elle en découvrant l'ampleur des traces sur son corps.

Elle se lève silencieusement, ses jambes tremblant légèrement sous l'effort. Ses pieds nus foulent le métal froid du plancher, parsemé de débris de verre et de vêtements froissés. Elle ramasse ses affaires éparpillées : son jean déchiré au niveau des cuisses, son chemisier dont il ne reste que quelques lambeaux, sa culotte en dentelle réduite à l'état de chiffon humide.

En enfilant son pantalon, elle grimace légèrement. Le tissu rêche frotte contre ses lèvres intimes encore sensibles, réveillant des échos de plaisir. Ses cuisses gardent les marques violacées des morsures passionnées, stigmates qu'elle contemple avec une fierté trouble.

« Tu pars déjà ? » murmure une voix ensommeillée derrière elle.

Aria se retourne. Karim la regarde de ses yeux verts encore voilés par le sommeil. Son torse imberbe porte les griffures de ses ongles, sillons rouges qui descendent jusqu'à son ventre plat.

« Il faut que je reprenne la route », répond-elle d'une voix rauque, éraillée par les cris de la nuit.

« Reste encore un peu... »

Il tend la main vers elle, effleurant son mollet nu. Sa paume chaude remonte le long de sa jambe, glisse sous l'ourlet déchiré de son jean. Aria frissonne, sentant renaître en elle l'étincelle du désir.

« Non... »

Mais sa voix manque de conviction. Les doigts de Karim continuent leur exploration, trouvant l'entrée humide de son sexe encore dilaté. Elle se mord la lèvre, retenant un gémissement.

« Tu es encore trempée », constate-t-il avec un sourire carnassier.

Ses doigts plongent en elle, glissent dans la moiteur de leur mélange de cyprine et de semences. Aria vacille, s'appuyant contre la paroi rouillée du bus. Malgré elle, ses hanches entament un mouvement de va-et-vient, épousant le rythme de la main qui la fouille.

« Karim... arrête... »

« Tu nas plus envie ? »

Pour toute réponse, elle écarte davantage les jambes, offrant un meilleur accès à ses doigts avides. Il ajoute un troisième doigt, puis un quatrième, étirant son intimité avec une lenteur calculée. Aria rejette la tête en arrière, les yeux mi-clos, abandonnée à la sensation.

« Putain... tu es si chaude... si ouverte... »

Il se lève, plaque son corps juvénile contre le sien. Son sexe durcit contre sa hanche, réclamant déjà un nouvel assaut. Mais Aria trouve la force de le repousser doucement.

« Non. C'est terminé. »

Elle boutonne son jean sur son ventre encore marqué par les empreintes de leurs étreintes, dissimulant les traces de leur folie collective. Karim la regarde s'éloigner vers la sortie du bus, déçu mais résigné.


Aria descend les marches branlantes du véhicule. L'air matinal caresse sa peau nue aux endroits où son chemisier a rendu l'âme, réveillant mille sensations sur ses mamelons durcis. Son regard s'égare vers l'horizon infini, là où la route recommence son ruban d'asphalte craquelé, là où l'attend son prochain voyage.

Entre ses cuisses, son sexe palpite encore, marqué et meurtri mais vivant, vibrant d'une sensualité exacerbée. Il reste la relique palpitante de l'humanité mourante, sanctuaire de chair où se perpétue l'essence primitive de l'espèce. Chaque pas qu'elle fait réveille la sensation de plénitude que lui ont laissée ses amants d'une nuit, semences mélangées qui coulent encore le long de ses cuisses.

« Jusqu'où iras-tu, ma belle ? » se demande-t-elle à voix haute, contemplant l'immensité qui s'étend devant elle.

Sa jeep l'attend fidèlement. Elle s'installe au volant, ses cuisses nues collant au cuir brûlant du siège. Le contact la fait frémir, rappel tactile de tous les corps qui ont possédé le sien. Ses mains agrippent le volant, phalanges blanchies par l'effort, portant encore sous les ongles les preuves de sa débauche.

Le moteur rugit, vibrations qui remontent le long de ses jambes écartées, caressent son intimité sensible. Aria sourit, sourire lascif et carnassier qui étire ses lèvres tuméfiées. Elle embraye, s'éloigne lentement du bus où dorment ses conquêtes, laissant derrière elle un sillage de poussière et de promesses inassouvies.

« À plus tard, mes chéris... »

Dans le rétroviseur, le bus rapetisse jusqu'à n'être plus qu'un point sombre dans l'immensité dorée. Mais déjà, au loin, se dessine la silhouette d'un nouveau campement, d'autres fumées qui montent vers le ciel, d'autres regards affamés qui l'attendent.

« L'aventure continue... » chuchote-t-elle, et sa main glisse entre ses cuisses, caressant distraitement la chair encore gonflée de plaisir.

Le désert s'étend à l'infini, terrain de jeu immense pour ses futures conquêtes. Aria accélère, cheveux au vent, sourire aux lèvres, promise à mille autres étreintes jusqu'à l'extinction finale du monde.

FIN.

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