La fin de l’aventure avec ma salope de belle-mère (Suite 5)
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La fin de l’aventure avec ma salope de belle-mère (Suite 5)
La fin de l’aventure avec ma salope de belle-mère (Suite 5)
Avant mon mariage, la relation avec ma belle-mère avait duré plus d’un an avec elle, j’avais appris à me servir de mon sexe afin de contenter toutes les salopes de la terre entière. Elle avait fait de moi un homme un vrai, elle était ma salope. Je ne l’avais pas cherché, ce fut ma femme qui m’avait donné à sa mère. En effet, à cette époque, je travaillais du matin, ne voulant pas que je sorte les après-midis, Lili m’envoyait chez sa mère en attendant qu’elle rentre du travail. J’arrivais donc vers treize heures chez Sophie, les deux femmes me servaient mon déjeuner puis Lili repartait au boulot. Nous profitions donc de toute l’après-midi pour faire l’amour. Sophie me traitait comme un prince, elle m’installait au salon afin que je puisse faire une petite sieste pendant qu’elle débarrassait et allait se préparer en enfilant des tenues érotiques dont je raffolais. Elle venait ainsi me rejoindre en apportant mon café que je buvais en l’admirant faire ses poses plus ou moins subjectives. Le striptease qu’elle faisait que pour moi, les petits baisers qu’elle me faisait, m’excitait au plus haut point et me mettait dans un état d’érection maximum.
Près d’un an s’était passé depuis mon mariage, nous avions au moins deux relations sexuelles par semaine, ma belle-mère et moi. Ce jour-là, après la sieste bien méritée, elle était venue devant moi, me déshabillait lentement tout en me caressant et m’embrassant sensuellement. Il ne me fallait pas longtemps pour me préparer à la débauche. Ses mains étaient tellement douces, ses lèvres tellement gourmandes, qu’elle humidifiait avec sa salive me parcourant tout le corps pendant de longues minutes et son savoir-faire, faisaient de moi son esclave. Tous ces préliminaires me faisaient bander comme ce n’est pas permis.
Après une vingtaine de minutes à ce rythme, elle aimait me faire ce qu’elle appelait « ma gâterie », elle ne voulait pas que je m’occupe d’elle, tant qu’elle ne m’avait pas donné du plaisir par cette fellation qu’elle seule savait me faire. De ses lèvres entourant mon gland gonflé au maximum, l’aspiraient en y passant sa langue, de sa main gauche, elle me massait les testicules et glissait de bout de ses doigts de la main droite sur la longue hampe de ma queue tendue pour elle. Puis au fur et à mesure, elle enfonçait mon engin progressivement dans sa bouche jusqu’au plus profond de sa gorge, en faisant des va et vient lents mais réguliers, tout en me fixant droit dans les yeux. Lorsque ma verge était entièrement engloutie dans cette caverne mouillée par toute sa salive et ses glaires, je me vidais, elle avait gagné, je sentais en éjaculant les jets de sperme sortir de mon pénis en remplissant sa bouche de mon liquide qu’elle affectionnait particulièrement. Puis elle avalait mon jus avec désir en me souriant, ses yeux rieur, sa bouche sensuelle étaient un appel à l’amour.
C’était à son tour de recevoir toutes mon intention, elle s’allongeait et attendait que je la dénude patiemment puis comme elle me l’avait fait une demi-heure avant, je parcourais son corps de mes mains et ma bouche, j’aimais lui prendre les seins en les malaxant lentement, pendant que je jouais avec les tétons durcis par le désir que je prenais entre mes dents. Je devinais qu’elle était trempée d’excitation, je passais d’un sein à l’autre puis lentement je descendais mes deux mains sur son ventre plat bien entretenu par ses séances d’abdominaux qu’elle faisait régulièrement, où je m’attardais en coiffant de mes doigts, ses poils pubiens très bien entretenus.
Lorsque je m’apercevais qu’elle montait son bassin, en se poussant de ses pieds et de ses épaules, je devais ne plus tarder à m’occuper de son vagin qu’elle me tendait. J’approchais alors mon visage de son entrejambe qu’elle écartait au maximum afin que je puisse glisser ma tête entière entre ses cuisses. De ma langue, je léchais ses lèvres de l’extérieur à l’intérieur, du bas en haut, puis de mes doigts, pendant que ma langue s’attardait sur son anus, je caressais son clitoris. En général, c’était à ce moment qu’elle coulait plus fort, quelques fois c’était un jet qui sortait de son sexe. Mes deux doigts la pénétraient, Je les actionnais d’avant en arrière, lentement puis en accélérant le mouvement, elle se cambrait, elle jouissait en me noyant littéralement ma main et la grande serviette éponge par la même occasion.
— Que c’est bon mon « petit lapin ». Bois-moi.
Je ne me faisais pas prier, je me régalais de sa cyprine mélangée à son éjaculation, qui coulait déjà sur ses cuisses, j’essayais de laper tout ce que je pouvais. J’aimais ce goût acidulé, légèrement salé qui s’écoulait de son sexe, c’était pour moi mon dessert qui me redonnait de l’énergie.
Une heure c’était passée, il était temps pour nous, après nous avoir donné du plaisir mutuellement, de retourner à la cuisine, toujours nus, boire un café afin de reprendre des forces pour l’étape suivante. Sophie avait une capacité à changer de sujet qui m’étonnait. Pour ma part, je ne pensais qu’à son cul, mes pensées n’étaient que sexuelles néanmoins, elle me parlait de la pluie du beau temps, de mon travail, de ses amies pour revenir sur ses activités qu’elle avait avec ses partenaires. Cela devait la mettre en condition, car elle venait se mettre assise sur moi à califourchon en me prenant par le cou pour m’embrasser sensuellement voire amoureusement. Par de petits mouvements d’avant en arrière, elle se frottait la raie contre ma queue qui n’était pas insensible, elle reprenait un peu de vigueur mais il en fallait encore un peu plus avant qu’elle obtienne sa taille optimale. Sophie me connaissait par cœur, de sa main gauche, elle me soupesait les bourses qui avait pour effet un bon début d’érection.
J’avais besoin de beaucoup d’affection et Sophie savait m’en donner, elle m’embrassait le cou, le torse, les bras et léchait même les aisselles, cela m’excitait, elle ressentait sur son cul la puissance de ma verge remonter, moi je m’apercevais qu’elle mouillait de nouveau. Elle me serrait fort dans ses bras, je lui avais plaqué mes mains sur les fesses et l’attirais fortement vers moi, je lui triturais les deux globes. Elle me serrait en jouant du bassin et me griffait le dos sans enfoncer ses ongles, ce qui aurait pu avoir des conséquences graves. Nous nous embrassions de nouveau, notre baiser était passionné, nous avions besoin tous les deux de nous sentir l’un contre l’autre, ne faire qu’un, avec nos corps.
16 heures déjà, cela faisait une heure et demi que nous nous caressions, elle se mis assise sur la table en écartant les cuisses, je me suis penché pour lui lécher sa chatte dégoulinante de cyprine tout en enfonçant mon index dans son petit trou, pendant que mon pouce entrait à l’intérieur de son vagin qu’elle écartait de ses deux mains :—J’en peux plus mon petit lapin, je veux ta queue, je veux être ta salope maintenant vient.
—Tu es quand même une belle salope Sophie.
Ma belle-mère savait bien quels mots utiliser pour que je bande plus fort, plus dur, elle poursuivit :—Je le sais mon « petit lapin » c’est pour toi, vient défonce-moi la chatte. Je te veux en moi.
J’étais en fait prêt, elle était couchée le dos sur la table, les jambes écartées pendantes, ses pieds touchaient à peine le sol, elle s’offrait à moi et ma verge. Je m’étais approché et enfonça mon pénis en totale érection sans sensualité, violemment, je faisais des allers-retours dans son ventre en tapant mes couilles sur la raie de ses fesses :—Oui ! Comme ça ! Je viens !
—Tiens salope ! prends ça. Lui dis-je en donnant un grand coup de rein et en restant immobile à l’intérieur de ses entrailles. Je ne voulais pas éjaculer maintenant, je n’en avais pas fini avec elle :—t’arrête pas mon lapin, encore vas-y ! Défonce-moi !
—Non ! Lui répondis-je retourne toi, je vais t’enculer maintenant.
Je m’étais retiré, elle était très pressée, elle se coucha les seins aplatis sur la table attendant que je lui perfore le cul qu’elle me tendait :—Oui mon lapin, prends-moi par-là, défonce moi l’anus. Je suis ta salope de service, viens tout de suite, je n’en peux plus. Encule-moi...
Je me régalais, j’approchai mon gland devant le sens interdit en enfonça délicatement celui-ci dans son trou réservé à autre chose qu’à recevoir mon sexe. J’allais et venais, j’enfonçais au fur et à mesure mes 20 centimètres dans son rectum, nous râlions tous les deux de plaisir, elle jouit bien avant moi, sa chatte venait de lâcher toute une quantité de liquide qui en disait long sur son orgasme :—OUI !!!! Mon amour... tu me fais jouir... Ho...OUI !!!
Je ressortis mon membre rouge et veineux encore dur comme du bois et le prenant dans ma main droite, je me branlais pour me finir, je fermais les yeux, j’avais presque mal d’avoir attendu aussi longtemps, je brûlais d’impatience tout mon corps s’arc-bouta et j’éjaculai enfin par de longs jets de sperme qui atterrissaient sur ses fesses, dégoulinant ainsi pour se perdre dans la raie de son cul, si excitant à voir.
Je m’essuyais le gland sur son cul lorsque Lili et une collègue à elle, nous avaient surpris en arrivant dans la cuisine. En effet, ma femme étant enceinte de huit mois, se sentant mal avait demandé qu’on la raccompagne plus tôt. Si Lili s’était enfuie pour pleurer dans le canapé du salon, sa mère s’était précipitée dans la salle de bain pour s’essuyer et enfiler une robe afin de rejoindre sa fille. Sophie ne savait pas quoi dire à Lili mais essayait de la consoler.
Pendant ce temps, sa jeune collègue était restée debout immobile en me regardant nu comme un ver avec mon pénis encore en érection et encore mouillé par un mélange de sperme et de cyprine :—Excuse-moi Grégoire, nous ne pouvions pas nous imaginer...
Elle ne me regardait pas dans les yeux la petite, son regard ne pouvait pas quitter ma bite qu’elle fixait avec des yeux ronds comme des billes :—Ce n’est pas de ta faute Sylvie, va plutôt me chercher mes vêtements à côté, je ne peux pas pour le moment. Avec regret, elle quitta mon sexe des yeux et s’exécuta. Elle m’avait tendu mes fringues et me dit à voix basse avec regret : « Je m’en vais à plus tard. »
Je ne sus jamais ce que la mère et la fille s’étaient dites, mais une chose était certaine, nous n’étions plus venus chez Sophie et Lili m’avait fait la tête jusqu’à l’accouchement. Jamais elle n’avait voulu que je lui explique quoique ce soit, elle voulait divorcer. Heureusement, l’arrivée du bébé avait fait le plus grand bien. Les choses ne s’étaient pas totalement arrangées, mais après que sa demande de mutation soit acceptée, nous sommes partis vivre à 500 km de chez Sophie. C’était donc ce jour-là, la dernière fois que j’avais baisé ma salope de belle-mère que j’avais adorée.
Depuis, rassurez-vous, j’ai trouvé d’autres bonnes salopes très gentilles et très affectueuses en manque de sexe : Mes voisines.
Mais avant cela, je vous expliquerai ma vie sexuelle depuis le début.
Avant mon mariage, la relation avec ma belle-mère avait duré plus d’un an avec elle, j’avais appris à me servir de mon sexe afin de contenter toutes les salopes de la terre entière. Elle avait fait de moi un homme un vrai, elle était ma salope. Je ne l’avais pas cherché, ce fut ma femme qui m’avait donné à sa mère. En effet, à cette époque, je travaillais du matin, ne voulant pas que je sorte les après-midis, Lili m’envoyait chez sa mère en attendant qu’elle rentre du travail. J’arrivais donc vers treize heures chez Sophie, les deux femmes me servaient mon déjeuner puis Lili repartait au boulot. Nous profitions donc de toute l’après-midi pour faire l’amour. Sophie me traitait comme un prince, elle m’installait au salon afin que je puisse faire une petite sieste pendant qu’elle débarrassait et allait se préparer en enfilant des tenues érotiques dont je raffolais. Elle venait ainsi me rejoindre en apportant mon café que je buvais en l’admirant faire ses poses plus ou moins subjectives. Le striptease qu’elle faisait que pour moi, les petits baisers qu’elle me faisait, m’excitait au plus haut point et me mettait dans un état d’érection maximum.
Près d’un an s’était passé depuis mon mariage, nous avions au moins deux relations sexuelles par semaine, ma belle-mère et moi. Ce jour-là, après la sieste bien méritée, elle était venue devant moi, me déshabillait lentement tout en me caressant et m’embrassant sensuellement. Il ne me fallait pas longtemps pour me préparer à la débauche. Ses mains étaient tellement douces, ses lèvres tellement gourmandes, qu’elle humidifiait avec sa salive me parcourant tout le corps pendant de longues minutes et son savoir-faire, faisaient de moi son esclave. Tous ces préliminaires me faisaient bander comme ce n’est pas permis.
Après une vingtaine de minutes à ce rythme, elle aimait me faire ce qu’elle appelait « ma gâterie », elle ne voulait pas que je m’occupe d’elle, tant qu’elle ne m’avait pas donné du plaisir par cette fellation qu’elle seule savait me faire. De ses lèvres entourant mon gland gonflé au maximum, l’aspiraient en y passant sa langue, de sa main gauche, elle me massait les testicules et glissait de bout de ses doigts de la main droite sur la longue hampe de ma queue tendue pour elle. Puis au fur et à mesure, elle enfonçait mon engin progressivement dans sa bouche jusqu’au plus profond de sa gorge, en faisant des va et vient lents mais réguliers, tout en me fixant droit dans les yeux. Lorsque ma verge était entièrement engloutie dans cette caverne mouillée par toute sa salive et ses glaires, je me vidais, elle avait gagné, je sentais en éjaculant les jets de sperme sortir de mon pénis en remplissant sa bouche de mon liquide qu’elle affectionnait particulièrement. Puis elle avalait mon jus avec désir en me souriant, ses yeux rieur, sa bouche sensuelle étaient un appel à l’amour.
C’était à son tour de recevoir toutes mon intention, elle s’allongeait et attendait que je la dénude patiemment puis comme elle me l’avait fait une demi-heure avant, je parcourais son corps de mes mains et ma bouche, j’aimais lui prendre les seins en les malaxant lentement, pendant que je jouais avec les tétons durcis par le désir que je prenais entre mes dents. Je devinais qu’elle était trempée d’excitation, je passais d’un sein à l’autre puis lentement je descendais mes deux mains sur son ventre plat bien entretenu par ses séances d’abdominaux qu’elle faisait régulièrement, où je m’attardais en coiffant de mes doigts, ses poils pubiens très bien entretenus.
Lorsque je m’apercevais qu’elle montait son bassin, en se poussant de ses pieds et de ses épaules, je devais ne plus tarder à m’occuper de son vagin qu’elle me tendait. J’approchais alors mon visage de son entrejambe qu’elle écartait au maximum afin que je puisse glisser ma tête entière entre ses cuisses. De ma langue, je léchais ses lèvres de l’extérieur à l’intérieur, du bas en haut, puis de mes doigts, pendant que ma langue s’attardait sur son anus, je caressais son clitoris. En général, c’était à ce moment qu’elle coulait plus fort, quelques fois c’était un jet qui sortait de son sexe. Mes deux doigts la pénétraient, Je les actionnais d’avant en arrière, lentement puis en accélérant le mouvement, elle se cambrait, elle jouissait en me noyant littéralement ma main et la grande serviette éponge par la même occasion.
— Que c’est bon mon « petit lapin ». Bois-moi.
Je ne me faisais pas prier, je me régalais de sa cyprine mélangée à son éjaculation, qui coulait déjà sur ses cuisses, j’essayais de laper tout ce que je pouvais. J’aimais ce goût acidulé, légèrement salé qui s’écoulait de son sexe, c’était pour moi mon dessert qui me redonnait de l’énergie.
Une heure c’était passée, il était temps pour nous, après nous avoir donné du plaisir mutuellement, de retourner à la cuisine, toujours nus, boire un café afin de reprendre des forces pour l’étape suivante. Sophie avait une capacité à changer de sujet qui m’étonnait. Pour ma part, je ne pensais qu’à son cul, mes pensées n’étaient que sexuelles néanmoins, elle me parlait de la pluie du beau temps, de mon travail, de ses amies pour revenir sur ses activités qu’elle avait avec ses partenaires. Cela devait la mettre en condition, car elle venait se mettre assise sur moi à califourchon en me prenant par le cou pour m’embrasser sensuellement voire amoureusement. Par de petits mouvements d’avant en arrière, elle se frottait la raie contre ma queue qui n’était pas insensible, elle reprenait un peu de vigueur mais il en fallait encore un peu plus avant qu’elle obtienne sa taille optimale. Sophie me connaissait par cœur, de sa main gauche, elle me soupesait les bourses qui avait pour effet un bon début d’érection.
J’avais besoin de beaucoup d’affection et Sophie savait m’en donner, elle m’embrassait le cou, le torse, les bras et léchait même les aisselles, cela m’excitait, elle ressentait sur son cul la puissance de ma verge remonter, moi je m’apercevais qu’elle mouillait de nouveau. Elle me serrait fort dans ses bras, je lui avais plaqué mes mains sur les fesses et l’attirais fortement vers moi, je lui triturais les deux globes. Elle me serrait en jouant du bassin et me griffait le dos sans enfoncer ses ongles, ce qui aurait pu avoir des conséquences graves. Nous nous embrassions de nouveau, notre baiser était passionné, nous avions besoin tous les deux de nous sentir l’un contre l’autre, ne faire qu’un, avec nos corps.
16 heures déjà, cela faisait une heure et demi que nous nous caressions, elle se mis assise sur la table en écartant les cuisses, je me suis penché pour lui lécher sa chatte dégoulinante de cyprine tout en enfonçant mon index dans son petit trou, pendant que mon pouce entrait à l’intérieur de son vagin qu’elle écartait de ses deux mains :—J’en peux plus mon petit lapin, je veux ta queue, je veux être ta salope maintenant vient.
—Tu es quand même une belle salope Sophie.
Ma belle-mère savait bien quels mots utiliser pour que je bande plus fort, plus dur, elle poursuivit :—Je le sais mon « petit lapin » c’est pour toi, vient défonce-moi la chatte. Je te veux en moi.
J’étais en fait prêt, elle était couchée le dos sur la table, les jambes écartées pendantes, ses pieds touchaient à peine le sol, elle s’offrait à moi et ma verge. Je m’étais approché et enfonça mon pénis en totale érection sans sensualité, violemment, je faisais des allers-retours dans son ventre en tapant mes couilles sur la raie de ses fesses :—Oui ! Comme ça ! Je viens !
—Tiens salope ! prends ça. Lui dis-je en donnant un grand coup de rein et en restant immobile à l’intérieur de ses entrailles. Je ne voulais pas éjaculer maintenant, je n’en avais pas fini avec elle :—t’arrête pas mon lapin, encore vas-y ! Défonce-moi !
—Non ! Lui répondis-je retourne toi, je vais t’enculer maintenant.
Je m’étais retiré, elle était très pressée, elle se coucha les seins aplatis sur la table attendant que je lui perfore le cul qu’elle me tendait :—Oui mon lapin, prends-moi par-là, défonce moi l’anus. Je suis ta salope de service, viens tout de suite, je n’en peux plus. Encule-moi...
Je me régalais, j’approchai mon gland devant le sens interdit en enfonça délicatement celui-ci dans son trou réservé à autre chose qu’à recevoir mon sexe. J’allais et venais, j’enfonçais au fur et à mesure mes 20 centimètres dans son rectum, nous râlions tous les deux de plaisir, elle jouit bien avant moi, sa chatte venait de lâcher toute une quantité de liquide qui en disait long sur son orgasme :—OUI !!!! Mon amour... tu me fais jouir... Ho...OUI !!!
Je ressortis mon membre rouge et veineux encore dur comme du bois et le prenant dans ma main droite, je me branlais pour me finir, je fermais les yeux, j’avais presque mal d’avoir attendu aussi longtemps, je brûlais d’impatience tout mon corps s’arc-bouta et j’éjaculai enfin par de longs jets de sperme qui atterrissaient sur ses fesses, dégoulinant ainsi pour se perdre dans la raie de son cul, si excitant à voir.
Je m’essuyais le gland sur son cul lorsque Lili et une collègue à elle, nous avaient surpris en arrivant dans la cuisine. En effet, ma femme étant enceinte de huit mois, se sentant mal avait demandé qu’on la raccompagne plus tôt. Si Lili s’était enfuie pour pleurer dans le canapé du salon, sa mère s’était précipitée dans la salle de bain pour s’essuyer et enfiler une robe afin de rejoindre sa fille. Sophie ne savait pas quoi dire à Lili mais essayait de la consoler.
Pendant ce temps, sa jeune collègue était restée debout immobile en me regardant nu comme un ver avec mon pénis encore en érection et encore mouillé par un mélange de sperme et de cyprine :—Excuse-moi Grégoire, nous ne pouvions pas nous imaginer...
Elle ne me regardait pas dans les yeux la petite, son regard ne pouvait pas quitter ma bite qu’elle fixait avec des yeux ronds comme des billes :—Ce n’est pas de ta faute Sylvie, va plutôt me chercher mes vêtements à côté, je ne peux pas pour le moment. Avec regret, elle quitta mon sexe des yeux et s’exécuta. Elle m’avait tendu mes fringues et me dit à voix basse avec regret : « Je m’en vais à plus tard. »
Je ne sus jamais ce que la mère et la fille s’étaient dites, mais une chose était certaine, nous n’étions plus venus chez Sophie et Lili m’avait fait la tête jusqu’à l’accouchement. Jamais elle n’avait voulu que je lui explique quoique ce soit, elle voulait divorcer. Heureusement, l’arrivée du bébé avait fait le plus grand bien. Les choses ne s’étaient pas totalement arrangées, mais après que sa demande de mutation soit acceptée, nous sommes partis vivre à 500 km de chez Sophie. C’était donc ce jour-là, la dernière fois que j’avais baisé ma salope de belle-mère que j’avais adorée.
Depuis, rassurez-vous, j’ai trouvé d’autres bonnes salopes très gentilles et très affectueuses en manque de sexe : Mes voisines.
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