La grosse Monique au cinéma

Récit érotique écrit par Momonique [→ Accès à sa fiche auteur]
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La grosse Monique au cinéma
Samedi soir, il était 22 heures. Après un dîner au restaurant avec des amis, Jean proposa d'aller au cinéma. Finalement, après quelques échanges, sur les huit personnes présentes, nous n'étions plus que trois à vouloir voir un film : Jean, David et moi.
Nous voilà donc dans l'immense complexe cinématographique. Après une brève discussion, notre choix se porte sur "Les Anges gardiens", une comédie française avec Christian Clavier et Gérard Depardieu, promettant rires et détente. David achète un paquet géant de pop corn, puis nous entrons dans la salle.
Comme des adolescents insouciants, nous décidons de monter tout en haut de la salle, collés contre le mur. Nous choisissons les strapontins du milieu qui offrent une vue imprenable sur l'écran. Il est 23 heures, et la salle est étonnamment peu remplie. Personne sur notre rangée, ni même devant nous. L'ambiance est parfaite pour profiter pleinement du film.
Je suis installée au milieu, entre Jean et David. L'ambiance est détendue et joyeuse. Je chipe quelques pop-corns à David, qui m'en offre volontiers avec un sourire complice. Nous papotons tous les trois en attendant le début du film, échangeant des anecdotes et des rires légers.
Alors que nous discutons, je ne peux m'empêcher de remarquer le regard de David qui s'attarde sur mes jambes. Je porte une jupe ce soir, et ma position, jambes croisées, laisse entrevoir mes bonnes cuisses charnues gainées de collants chair. Ce regard furtif mais insistant ajoute une touche d'intrigue à notre soirée cinéma.
La salle s'obscurcit, et le film commence. Les premières images défilent sur l'écran, captant immédiatement notre attention. Les dialogues et les scènes s'enchaînent, provoquant des rires dans la salle. Au bout de dix minutes, je m'aperçois que Jean, assis à côté de moi, s'est endormi. Sa tête penche légèrement en avant, et un léger ronflement se fait entendre.
Je donne un petit coup de coude à David et lui fais signe de regarder Jean. Nous échangeons un regard complice avant d'étouffer un rire.
Le film se déroule, et je continue à prendre des poignées de pop-corn dans le grand paquet de David. Soudain, je sens David bouger à côté de moi. Je pense d'abord qu'il est simplement mal à l'aise, mais je réalise rapidement que quelque chose d'autre se passe. Je ne m'en rends pas compte immédiatement plongeant ma main vaillamment. Il a discrètement glissé son sexe raide à travers une ouverture au fond du carton de pop-corn.
Je sens quelque chose d'inhabituel dans le paquet et, intriguée, je palpe du bout des doigts. Lorsque je réalise ce que c'est, je retire brusquement ma main. David, avec un sourire en coin, me rattrape doucement le poignet.
— Attends, murmure-t-il, ne pars pas si vite.
Je le regarde, surprise et hésitante.
— Tu es sérieux ? je chuchote, sentant mes joues s'empourprer.
— Juste pour s'amuser un peu, répond-il avec un clin d'œil.
Après un moment d'hésitation, je trouve l'audace de replonger ma main dans le paquet, cette fois avec intention. Il se met a bander fort, son gland sort des pops corns. Je lui caresse le casque, puis je descend et je remonte le long de sa tige. Je sens son souffle se couper légèrement alors que je commence à doucement appuyer ma branlette.
David enlève alors le paquet, me présentant sa bite avec un sourire malicieux. Je continue, cette fois avec plus d'assurance, tout en échangeant des regards complices avec lui.
— Tu me branle incroyablement bien, murmure t il , un sourire en coin.
— Et toi, tu es plein de surprises, dis je doucement, mes yeux brillant dans la pénombre de la salle.
Nous continuons à échanger des regards furtifs, conscients de la situation audacieuse dans laquelle nous nous trouvons. Le film se poursuit en arrière-plan, mais notre attention est entièrement captivée par ce moment partagé.
Il glisse délicatement sa main derrière ma tête. Sans un mot, je me penchai vers lui, guidée son geste . Mon regard dans l obscurité cherche sa bite. Je la trouve, ma langue trace un sillage lent autour de son gland , mes lèvres glissent le long de sa longue verge chaude , comme pour en apprivoiser chaque contour . Puis, avec une lenteur calculée, je le suce. Le goût mêlé de bite et de popcorn, sucré et brut n’est pas désagréable . Mes lèvres s’étirent et ripent autour de sa bite , le recouvrant peu à peu de haut en bas , pendant que ma main caresse ses grosses couilles, douces, fermes, et juteuses . Je pompais et savourais son sexe avec gourmandise.
Je me retrouve alors dans une position inconfortable, à moitié sur mon strapontin, à moitié sur David, le cul tendu vers Jean. Je sens soudain sa main glisser contre l’intérieur de ma cuisse, ses doigts remontant lentement, esquissant un va‑et‑vient discret mais assuré aux endroits les plus charnus. Mon souffle se suspend un instant, et j’écarte à peine les jambes, comme pour lui offrir un chemin plus doux.
Ses doigts rencontrent le tissu de ma jupe ; j’entends le murmure du métal lorsqu’il libère la fermeture éclair, il baisse ma jupe et mes collants, glisse tout en subtilité sur le coté ma culotte. Sans mal, ses doigts franchissent mes lèvres et forment un cercle autour de mon Clitoris. Je le pipe toujours activement, ma vulve s’ouvre à lui.
La situation est à la fois embarrassante et excitante. Il introduisit lentement son pouce dans le creux chaud et palpitant de mon vagin, le remuant avec une lenteur presque cruelle. Ses deux autres doigts, agiles et attentifs, maintenaient le rythme sur le petit bouton de plaisir, effleurant, pressant, titillant au gré des soupirs qu’il déclenchait.
Ma langue, douce et curieuse, explora chaque relief, chaque pulsation. Il la sentit ma bouche le prendre entièrement, avec appétit un étudiée, presque dévorant. Ses gémissements étouffés vibraient contre lui, accentuant l’intensité de chaque va-et-vient de ma tête .
Ses doigts se crispèrent contre le fauteuil tandis qu’il luttait pour ne pas céder trop vite à la vague qui montait en lui. Je le sentai, du liquide pré-séminal s’ecoulait… et pourtant, j’accélérai, le regard levé vers lui, joueuse, prête à le faire exploser entre mes lèvres…
Chaque mouvement, chaque pression de mes lèvres et de ma langue l’emmenait un peu plus loin, jusqu’au point de non-retour.
Et puis, dans un ultime frisson, il se libéra. Son corps se tendit, ses hanches se levèrent , alors qu’il se déversait doucement contre mon palais. J’accueillis tout, j’avalai sans détourner les yeux, sans cesser ses caresses, prolongeant son plaisir avec une lenteur délicieuse, presque tendre.
Je me redresse doucement, les joues encore légèrement rosées, le souffle maître mais trahissant les restes d’un moment intense. D’un geste discret, je réajuste ma jupe, lisse mes cheveux, puis me retourne calmement, reprenant une posture parfaitement sage, comme si de rien n’était.
À côté de moi, Jean remue légèrement, étire les bras avec un long soupir avant d’ouvrir les yeux, un peu groggy. Il tourne la tête vers moi, encore à moitié dans le flou.
— J’ai dormi longtemps… ? demande-t-il, la voix pâteuse.
Je lui offre un sourire tranquille, presque moqueur.
— Juste assez pour rater les meilleures scènes.
Il baisse les yeux, tentant de remettre de l’ordre dans son esprit et dans sa respiration. Le contraste entre leur immobilité et ce qui vient de se passer est presque comique.
— On y va ? propose-t-il en se levant, comme si la soirée était parfaitement ordinaire.
En sortant du cinéma, la lumière blafarde du hall révèle mes jambes dénudées : le collant a disparu en cours de route. Jean, étirant un bâillement digne d’un ours en hibernation, me lance d’un ton faussement compatissant :
— Un coup de chaud soudain, ou tu voulais juste faire respirer tes jambes ?
Je lui adresse un sourire en coin, passe une main légère sur ma cuisse encore et rétorque, l’air solennel :
— Oh, tu sais, j’ai simplement jugé que mes gambettes méritaient un peu de liberté. Toi, t’as l’air si frileux que t’as dormi pendant tout le film ; j’espère que t’as rêvé de collants, au moins !
Jean cligne des yeux, pris au dépourvu, tandis que je m’éloigne d’un pas léger, mes talons claquant sur le marbre comme un petit défi lancé à sa torpeur.
Nous voilà donc dans l'immense complexe cinématographique. Après une brève discussion, notre choix se porte sur "Les Anges gardiens", une comédie française avec Christian Clavier et Gérard Depardieu, promettant rires et détente. David achète un paquet géant de pop corn, puis nous entrons dans la salle.
Comme des adolescents insouciants, nous décidons de monter tout en haut de la salle, collés contre le mur. Nous choisissons les strapontins du milieu qui offrent une vue imprenable sur l'écran. Il est 23 heures, et la salle est étonnamment peu remplie. Personne sur notre rangée, ni même devant nous. L'ambiance est parfaite pour profiter pleinement du film.
Je suis installée au milieu, entre Jean et David. L'ambiance est détendue et joyeuse. Je chipe quelques pop-corns à David, qui m'en offre volontiers avec un sourire complice. Nous papotons tous les trois en attendant le début du film, échangeant des anecdotes et des rires légers.
Alors que nous discutons, je ne peux m'empêcher de remarquer le regard de David qui s'attarde sur mes jambes. Je porte une jupe ce soir, et ma position, jambes croisées, laisse entrevoir mes bonnes cuisses charnues gainées de collants chair. Ce regard furtif mais insistant ajoute une touche d'intrigue à notre soirée cinéma.
La salle s'obscurcit, et le film commence. Les premières images défilent sur l'écran, captant immédiatement notre attention. Les dialogues et les scènes s'enchaînent, provoquant des rires dans la salle. Au bout de dix minutes, je m'aperçois que Jean, assis à côté de moi, s'est endormi. Sa tête penche légèrement en avant, et un léger ronflement se fait entendre.
Je donne un petit coup de coude à David et lui fais signe de regarder Jean. Nous échangeons un regard complice avant d'étouffer un rire.
Le film se déroule, et je continue à prendre des poignées de pop-corn dans le grand paquet de David. Soudain, je sens David bouger à côté de moi. Je pense d'abord qu'il est simplement mal à l'aise, mais je réalise rapidement que quelque chose d'autre se passe. Je ne m'en rends pas compte immédiatement plongeant ma main vaillamment. Il a discrètement glissé son sexe raide à travers une ouverture au fond du carton de pop-corn.
Je sens quelque chose d'inhabituel dans le paquet et, intriguée, je palpe du bout des doigts. Lorsque je réalise ce que c'est, je retire brusquement ma main. David, avec un sourire en coin, me rattrape doucement le poignet.
— Attends, murmure-t-il, ne pars pas si vite.
Je le regarde, surprise et hésitante.
— Tu es sérieux ? je chuchote, sentant mes joues s'empourprer.
— Juste pour s'amuser un peu, répond-il avec un clin d'œil.
Après un moment d'hésitation, je trouve l'audace de replonger ma main dans le paquet, cette fois avec intention. Il se met a bander fort, son gland sort des pops corns. Je lui caresse le casque, puis je descend et je remonte le long de sa tige. Je sens son souffle se couper légèrement alors que je commence à doucement appuyer ma branlette.
David enlève alors le paquet, me présentant sa bite avec un sourire malicieux. Je continue, cette fois avec plus d'assurance, tout en échangeant des regards complices avec lui.
— Tu me branle incroyablement bien, murmure t il , un sourire en coin.
— Et toi, tu es plein de surprises, dis je doucement, mes yeux brillant dans la pénombre de la salle.
Nous continuons à échanger des regards furtifs, conscients de la situation audacieuse dans laquelle nous nous trouvons. Le film se poursuit en arrière-plan, mais notre attention est entièrement captivée par ce moment partagé.
Il glisse délicatement sa main derrière ma tête. Sans un mot, je me penchai vers lui, guidée son geste . Mon regard dans l obscurité cherche sa bite. Je la trouve, ma langue trace un sillage lent autour de son gland , mes lèvres glissent le long de sa longue verge chaude , comme pour en apprivoiser chaque contour . Puis, avec une lenteur calculée, je le suce. Le goût mêlé de bite et de popcorn, sucré et brut n’est pas désagréable . Mes lèvres s’étirent et ripent autour de sa bite , le recouvrant peu à peu de haut en bas , pendant que ma main caresse ses grosses couilles, douces, fermes, et juteuses . Je pompais et savourais son sexe avec gourmandise.
Je me retrouve alors dans une position inconfortable, à moitié sur mon strapontin, à moitié sur David, le cul tendu vers Jean. Je sens soudain sa main glisser contre l’intérieur de ma cuisse, ses doigts remontant lentement, esquissant un va‑et‑vient discret mais assuré aux endroits les plus charnus. Mon souffle se suspend un instant, et j’écarte à peine les jambes, comme pour lui offrir un chemin plus doux.
Ses doigts rencontrent le tissu de ma jupe ; j’entends le murmure du métal lorsqu’il libère la fermeture éclair, il baisse ma jupe et mes collants, glisse tout en subtilité sur le coté ma culotte. Sans mal, ses doigts franchissent mes lèvres et forment un cercle autour de mon Clitoris. Je le pipe toujours activement, ma vulve s’ouvre à lui.
La situation est à la fois embarrassante et excitante. Il introduisit lentement son pouce dans le creux chaud et palpitant de mon vagin, le remuant avec une lenteur presque cruelle. Ses deux autres doigts, agiles et attentifs, maintenaient le rythme sur le petit bouton de plaisir, effleurant, pressant, titillant au gré des soupirs qu’il déclenchait.
Ma langue, douce et curieuse, explora chaque relief, chaque pulsation. Il la sentit ma bouche le prendre entièrement, avec appétit un étudiée, presque dévorant. Ses gémissements étouffés vibraient contre lui, accentuant l’intensité de chaque va-et-vient de ma tête .
Ses doigts se crispèrent contre le fauteuil tandis qu’il luttait pour ne pas céder trop vite à la vague qui montait en lui. Je le sentai, du liquide pré-séminal s’ecoulait… et pourtant, j’accélérai, le regard levé vers lui, joueuse, prête à le faire exploser entre mes lèvres…
Chaque mouvement, chaque pression de mes lèvres et de ma langue l’emmenait un peu plus loin, jusqu’au point de non-retour.
Et puis, dans un ultime frisson, il se libéra. Son corps se tendit, ses hanches se levèrent , alors qu’il se déversait doucement contre mon palais. J’accueillis tout, j’avalai sans détourner les yeux, sans cesser ses caresses, prolongeant son plaisir avec une lenteur délicieuse, presque tendre.
Je me redresse doucement, les joues encore légèrement rosées, le souffle maître mais trahissant les restes d’un moment intense. D’un geste discret, je réajuste ma jupe, lisse mes cheveux, puis me retourne calmement, reprenant une posture parfaitement sage, comme si de rien n’était.
À côté de moi, Jean remue légèrement, étire les bras avec un long soupir avant d’ouvrir les yeux, un peu groggy. Il tourne la tête vers moi, encore à moitié dans le flou.
— J’ai dormi longtemps… ? demande-t-il, la voix pâteuse.
Je lui offre un sourire tranquille, presque moqueur.
— Juste assez pour rater les meilleures scènes.
Il baisse les yeux, tentant de remettre de l’ordre dans son esprit et dans sa respiration. Le contraste entre leur immobilité et ce qui vient de se passer est presque comique.
— On y va ? propose-t-il en se levant, comme si la soirée était parfaitement ordinaire.
En sortant du cinéma, la lumière blafarde du hall révèle mes jambes dénudées : le collant a disparu en cours de route. Jean, étirant un bâillement digne d’un ours en hibernation, me lance d’un ton faussement compatissant :
— Un coup de chaud soudain, ou tu voulais juste faire respirer tes jambes ?
Je lui adresse un sourire en coin, passe une main légère sur ma cuisse encore et rétorque, l’air solennel :
— Oh, tu sais, j’ai simplement jugé que mes gambettes méritaient un peu de liberté. Toi, t’as l’air si frileux que t’as dormi pendant tout le film ; j’espère que t’as rêvé de collants, au moins !
Jean cligne des yeux, pris au dépourvu, tandis que je m’éloigne d’un pas léger, mes talons claquant sur le marbre comme un petit défi lancé à sa torpeur.
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