La grosse Monique en cure d’amaigrissement

- Par l'auteur HDS Momonique -
Récit érotique écrit par Momonique [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
  • • 20 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Momonique ont reçu un total de 80 304 visites.
Récit libertin : La grosse Monique en cure d’amaigrissement Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 2 304 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
La grosse Monique en cure d’amaigrissement
J’avais consulté mon médecin en raison de mon obésité et des problèmes de santé liés à  mon surpoids. Après avoir évalué ma situation, il m’avait recommandé une cure d’amaigrissement dans un centre spécialisé. Six mois plus tard, je me retrouvais enfin dans cet établissement, prête à  entamer ce programme pour retrouver une meilleure santé.
Il y avait divers cours collectifs portant sur la diététique, le sport, l’hygiène de vie et la cuisine. Le centre fonctionnait en autonomie complète, et nous étions totalement isolés du monde extérieur. Les visites n’étaient autorisées que le dimanche après-midi.
Nous étions répartis en groupes selon notre date d’arrive, et tous les ateliers « étaient communs, à  l’exception des consultations médicales. Dans mon groupe, nous étions six femmes et un seul homme : autant dire qu’il avait l’embarras du choix ! Petit à petit, nous faisions connaissance lors des ateliers, tissant des liens dans cette expérience partagée. De mon coté, une autre question me taraudait déjà  : comment allais-je tenir quatre semaines sans sexe ?
Lors d’une séance de sport, nous enchainions des mouvements lents destinés à  assouplir nos corps. Cédric, notre coach, était plutôt séduisant, mais son comportement m’intriguait. Il semblait avoir une fâcheuse tendance a se positionner derrière nous dès que nous nous penchions en avant pour toucher nos pieds ou lors de tout exercice impliquant une posture avec les fesses relevées.
Sous prétexte de corriger nos mouvements, il n’hésitait pas à nous toucher, mais ses gestes ressemblaient davantage à des caresses déplacées, effleurant nos corps d’une manière qui ne laissait que peu de doute sur ses intentions.
Pendant le déjeuner, j’avais partagé mes impressions avec les filles de mon groupe, et toutes étaient du mème avis : Cédric avait une manière un peu trop tactile de corriger nos mouvements.Amusée, j’avais été la première à avouer que, malgré tout, il ne me déplaisait pas et que je me laisserais volontiers tenter s’il me faisait des avances. Cette confession avait déclencha un éclat de rire général, et les autres filles, entre deux sourires complices, avaient fini par admettre qu’elles ne seraient pas contre non plus.
Cela faisait maintenant une semaine que j’étais dans le centre, et des liens commençaient à se tisser entre nous, les résidents, ainsi qu’avec le personnel. Une semaine aussi que je n’avais rien fait, et je commençais sérieusement à ressentir le manque. D’autant plus que les gestes de Cedric, notre coach sportif, devenaient de plus en plus insistants, frôlant la frontière entre correction et caresse assumée.
Ce matin-là , pour la séance de sport, j’avais décidé de jouer le jeu. J’enfilai un legging de sport bon marché, suffisamment fin pour laisser deviner ma peau en tension, et dessous, pas de culotte. Par-dessus, un t-shirt long, juste assez couvrant pour ne pas attirer l’attention immédiatement. Une fois en salle, je me plaçai stratégiquement.
Nous avions commencé par des exercices lents d’extension des bras vers le haut, et à  chaque mouvement, mon t-shirt remontait, dévoilant mon legging moulant mon bas-ventre. Le tissu fin épousait parfaitement mes formes, entrait dans la raie de ma vulve, laissant deviner la fameuse patte de chameau.
Il ne fallut pas longtemps pour que Cédric le remarque. Son regard s’y attarda à  peine une seconde avant qu’il ne se dirige vers moi, tout en continuant à  dicter les exercices d’une voix calme et assurée, « Maintenant, écartez les jambes à la largeur des épaules, fléchissez légèrement et essayez de toucher le sol avec les mains. Allez, on y va doucement », dicta Cédric d’une voix posée.
Je m’exécutai lentement, sentant l’étirement parcourir l’arrière de mes jambes. Derrière moi, je savais qu’il observait chacun de mes mouvements. Au bout de quelques secondes, il se rapprocha et se plaça à  coté de moi.
« Monique, ton dos est trop rond, il faut creuser un peu plus », dit-il en posant une main ferme entre mes omoplates pour guider mon mouvement.
Puis, presque naturellement, sa main glissa plus bas, effleurant ma hanche avant de se poser sur ma fesse dans un geste qui se voulait correctif. A cet instant précis, il marqua un bref temps d’arrêt . Il venait sans doute de réaliser que sous mon leggings il n’y avait rien. Son contact resta un peu plus longtemps que nécessaire, et une tension silencieuse s’installa entre nous.
Son geste, d’abord correctif, se transforma en une caresse plus lente, plus appuyée, testant ma réaction. Voyant que je ne bougeais pas, que je ne protestais pas, il sembla gagner en assurance.
Alors, presque instinctivement, je basculai mon bassin vers lui, un mouvement subtil mais chargé de sens. Une invitation silencieuse.
Toujours concentré sur l’exercice qu’il dictait, il laissa sa main glisser plus bas, effleurant l’intérieur de ma cuisse, s’attardant juste assez pour que le geste ne soit plus anodin. Discret mais précis, il traça des mouvements, caressant ma grosse vulve, tandis que le reste du groupe suivait l’entrainement sans se douter de rien. Puis l’air de rien il s’arrêta et continua à se promener continuant le cour.
Alors que je reprenais ma position, encore troublée par l’échange silencieux avec Cédric, une voix discrète s’éleva près de mon oreille.
« Mmm ton legging moule vraiment bien tes formes », murmura Jeremy, le seul homme de notre groupe qui était légèrement en retrait de moi. Je tournai la tête vers lui, amusée. « Merci, ravie que ça te plaise. »

Il se pencha un peu plus, baissant la voix. « Et tu n’as pas de culotte non plus. J’ai vu quand tu t’es abaissée et qu’il t’a touchée. »
Je laissai échapper un sourire malicieux. « Coquin, tu as l’œil »
Voyant que je ne me montrais ni gênée e ni offusquée, il osa ajouter, dans un souffle presque hésitant : « Ouais , et je dois avouer que tu m’as fait de l’effet, mate. »
Son regard baissé vers son sexe en disait long et la bosse sur son jogging aussi. Un brin joueuse, avec un sourire malicieux, je remuai lentement ondulant mon gros popotin , juste pour m’assurer que sa tension ne redescende pas…
La séance de sport se termina et Cédric annonça : "Je vous rappelle que la salle de sport reste ouverte après vos activités quotidiennes et que je suis à votre disposition jusqu'à 19h.Demain matin, c'est aquagym ! Pensez à préparer vos maillots. Bonne journée !
Après une séance de sport intense en émotions, je me dirigeai vers ma chambre, la chatte encore mélancolique pensant aux caresses . J'entrai dans la pièce et commençai à me déshabiller pour prendre une douche bien méritée. Perdue dans mes pensées, je n'avais pas remarqué que Jérémy m'avait suivie. Il avait attendu un instant dans le couloir avant d'entrer violemment dans ma chambre, sans prévenir.
J'étais désormais nue, et par réflexe, je me retournai pour me cacher. Mais avant qu’il ne puisse réagir, mon instinct de salope me fit lui tendre mon gros cul rond. Jérémy se jeta sur moi avec une force inattendue en me plaquant sur le lit. Ses mains agrippèrent mes bras, et je sentis son souffle chaud contre mon cou.
- Tu m'as trop excité tout à l'heure.T’as bien remuer ton cul sous mon nez, murmura-t-il d'une voix rauque. Laisse-toi faire, tu me sentiras à peine passer.
-Alors, oui,baise-moi j’ai envie !' implorai-je.
À plat ventre sur le lit, les jambes écartées, j’étais déjà en position. Il se tenait au-dessus de moi, son poids m'écrasant contre le matelas. Je savais qu'il allait me defoncer sans préliminaires.
Tout en me maintenant fermement, il plongea la main dans sa jogging et en sortit son sexe raide. Avec précipitation, il le fourra brutalement dans ma chatte, s'assurant de bien l'immerger profondément. La pénétration avait été rendu plus fluide et moins douloureuse grâce à la mouille produite lors des caresses précédentes de Cédric, ce qui lui facilitait le travail. Il effectua de vigoureux mouvements de va-et-vient dans mon ventre. Après tout, je l’avais bien cherché… Je l’avais chauffé, alors je décidai de bien écarter et me cambrer pendant qu’il me pénétrait.
Je croyais que les gros avaient de petites bites, mais celui-ci s'avéra étonnamment efficace. Il était très bien pourvu pour la tâche d’après ce que je ressentais.Finalement cela ne me déplaisait pas de me faire prendre comme une putain. Je décidai alors de laisser faire les choses. À chaque coup de queue il atteignait parfaitement le fond , poussant l’utérus avec une aisance surprenante. Frustré mais déterminé, il décida d’accélérer , capable de cogner contre mes profondeurs vaginales et de remuer en moi efficacement. Mes doigts se crispèrent les draps, submergée par le plaisir qu’il me faisait, mais ce moment d’extase fut de courte durée. Il ralentit soudainement, et j’entendis des ahhh, ahhh de soulagement s’échapper de ses lèvres. Il venait de reprendre sa semence dans ma chair. Il resta un instant immobile, encore plongé en moi… puis se retira.
Je me retournai, et enfin, je découvris l’objet du délit… Il était monstrueux, tout luisant de sperme et de cyprine, par surcroît parfaitement encore raide. Un frisson me parcourut. Jamais je n’avais vu, ni ressenti un tel engin. En le contemplant, tout prenait sens : cette montée en jouissance fulgurante, cette manière qu’il avait eue de me prendre… Mon corps avait compris avant mon esprit.
Sans un mot, je me penchai vers lui, comme guidée par une envie primitive, irrépressible. Mon regard croisa brièvement le sien, lourd de silence et de tension. Je laissai ma langue tracer un sillage lent le long de sa longue verge encore chaude, comme pour en apprivoiser chaque contour, chaque pulsation. Puis, avec une lenteur calculée, presque cérémonieuse, je le pris en bouche. Le goût mêlé de peau et de sperme me frappa, intense et brut. Mes lèvres s’étiraient autour de son gland, le recouvrant peu à peu de haut en bas , pendant que ma main accompagnait le mouvement, douce, ferme, rythmée. Je nettoyais et savourais son sexe avec gourmandise. Malgré mes efforts, mes lèvres et ma langue travaillant sans relâche pour le maintenir raide, je sentis, à mon grand étonnement, qu’il se ramollissait lentement. Un frisson d’incertitude traversa mon corps, mais je continuai, mes mains ajustant le rythme, cherchant à raviver ce qui semblait se perdre.
Je m’arrêtai, un léger soupir s’échappant de mes lèvres. Le moment semblait s’être suspendu, et je le laissai se détendre, sans pression, sans mot. Nos regards se croisèrent, et un sourire furtif, presque complice, s’échangea entre nous.
— Tu as bien géré, murmura-t-il d’une voix rauque, un éclat de satisfaction dans les yeux.
Je souris, légèrement essoufflée, avant de lui répondre, avec une touche de taquinerie :
— Je crois que tu as eu ce que tu voulais.
Il se redressa lentement, me gratifiant d’un regard d’approbation, puis se rhabilla sans hâte.
— Tu as un cul incroyable et ta chatte est un délice, me dit il avec un léger sourire.
Je le regardai s’habiller, appréciant le calme qui s’installait après l’intensité du moment. Lorsqu’il se tourna vers la porte, il ajouta :
— À bientôt, j’espère.
— Reviens me voir bientôt, soufflai-je d’une voix douce.
— J’en ai bien l’intention, répondit-il, le ton rempli de promesses. Et tous les jours, si tu veux.”
Il sortit sans un mot de plus, laissant derrière lui un silence lourd de non-dits.
Je restai là un instant, seule, le souffle encore un peu saccadé. Puis, après un soupir de soulagement, je me dirigeai vers la douche, sentant le besoin de me nettoyer, de me ressourcer. Je devinai qu’il avait laissé une marque de son passage, une trace abondante mais évidente, gluante et épaisse coulait de mon vagin.
Sous l’eau chaude, je laissai mes pensées vagabonder, effleurant ce qui venait de se passer. Un frisson me traversa alors, presque malgré moi, si cet acte sans protection n’aurait pas eu des conséquences plus profondes. Et si, sans le vouloir, il venait de me fertiliser ? La pensée me perturba un instant, me concentrant sur la chaleur de l’eau et sur le calme qui commence me gagner.
Les journées au centre d’amaigrissement étaient rythmées de la même manière. Le matin, une heure de sport, suivie d’un cours de diététique où nous confectionnions une partie de notre repas. L’après-midi était dédié aux rendez-vous : médecins, psychologues, ergothérapeutes, et autres intervenants.

Depuis ce qui s’était passé, Jérémy était devenu très attentionné avec moi… peut-être un peu trop. Je le trouvais gentil, mais un brin collant. En réalité, celui qui occupait mes pensées, c’était Cédric. C’est avec lui que j’aurais aimé aller plus loin. Je l’avais cherché toute la journée, en vain. Même sa salle de sport, habituellement ouverte en soirée, était restée close.
C’était l’été, et on profitait du moindre rayon de soleil pour sortir. Ce soir-là, j’étais avec Marie-Jeanne ; on marchait tranquillement en papotant.
Au fil de la conversation, elle osa me demander :
— Dis… ça te dérange si j’essaye de séduire Jérémy ?
— Non, pas du tout, tu sais, on n’est pas ensemble.
— Ah ? J’aurais pu le croire…
— Non, t’inquiète. Mais fais attention… il en a une très grosse.
Elle me lança un regard surpris.
— Roh ! Tu as couché avec lui ?
— Oui.
— Raconte !
Je souris, mystérieuse.
— Non… tu verras bien par toi-même.
Nous avions terminé notre repas, puis, comme tous les soirs, la majorité des résidents s’était dirigée vers le salon. On s’y retrouvait pour digérer tranquillement, papoter, ou simplement se poser devant la télé. Ce soir-là, Marie-Jeanne était particulièrement apprêtée, et il ne faisait aucun doute qu’elle était en mission séduction.Elle portait une robe fluide en coton léger, moulante juste ce qu’il faut, mettant en valeur ses courbes généreuses sans en faire trop. Son décolleté en V laissait entrevoir le haut de sa poitrine rebondie, et le tissu épousait doucement la rondeur de ses hanches à chaque pas. Elle avait même mis un soupçon de gloss et détaché ses cheveux, ce qui chez elle signifiait clairement : je suis d’humeur à plaire.
Elle s’installa près de Jérémy avec un sourire confiant, jouant subtilement avec une mèche de cheveux, penchée vers lui comme pour mieux entendre ce qu’il disait. Ses gestes, pourtant simples, semblaient choisis : une main sur sa cuisse qu’elle effleure en riant, un regard appuyé, un compliment murmuré.
Moi, j’en profitai. Fatiguée, lourde de ma journée, je n’avais ni l’énergie ni l’envie de me mêler aux conversations du soir. Elle gérait l’ambiance, et cela me convenait parfaitement.Je quittai le salon discrètement, priant pour que personne ne me retienne. Une fois dans ma chambre, je poussai un soupir de soulagement. Je me glissai dans mon lit, laissant mes formes s’enfoncer dans le matelas encore tiède. Mon corps avait besoin de repos… mais mon esprit, lui, vagabondait ailleurs. Vers Cédric.
Le lendemain matin, juste avant le cours d’aquagym, je retrouvai Marie-Jeanne près des vestiaires. Elle avait l’air frustrée, son peignoir à moitié défait, les cheveux tirés en chignon à la va-vite. En la voyant, je ne pus m’empêcher de sourire.
— Alors ? lui lançai-je d’un ton malicieux.
Elle souffla, visiblement agacée.
— Pff… rien du tout.
Je plissai les yeux, étonnée.
— Et pourtant, t’avais sorti la panoplie complète hier soir.
— Oui bah apparemment, ça suffit pas. J’ai été trop soft, peut-être…
— T’aurais peut-être dû être un peu plus… salope. Juste ce qu’il faut.
— Tu sais quoi ? T’as peut-être raison. Faut que je revoie ma stratégie.
— Surtout avec un mec comme lui… il comprend que quand on lui montre très clairement les choses.
Marie-Jeanne hocha la tête, visiblement remotivée, puis on entra dans la piscine, prêtes à transpirer… autrement, pour l’instant.
L’eau clapote doucement autour de nous, le soleil matinal éclaire la surface avec des reflets presque apaisants. Cédric est là, dans le bassin, en short de bain noir, peau dorée, sourire franc. Comme toujours, il attire tous les regards sans même essayer.
Moi, je suis concentrée. Pas sur les exercices, non. Sur lui. Je me débrouille pour flotter à proximité, prétextant un problème de posture, une difficulté avec la flottaison… tout est bon pour glisser un petit mot, un regard, un sourire. Mais comme d’habitude, Jérémy me suit à la trace. Il est là, juste derrière moi, me parlant à l’oreille, me posant une main trop légère sur le bras. J’étouffe.
Et puis, Cédric annonce :
— On passe aux exercices à deux. Trouvez-vous un ou une partenaire.
Je vois tout le monde s’agiter. Et là, Marie-Jeanne bondit presque.
Elle s’approche de Jérémy, toute en courbes assumées dans son maillot flashy, un sourire malicieux aux lèvres.
— Tu fais équipe avec moi, grand beau ?
Jérémy rougit légèrement, pris de court mais clairement flatté. Il accepte d’un hochement de tête. Marie-Jeanne me jette un regard rapide, presque victorieux. Elle a pris sa cible. Et elle ne compte pas la lâcher.
Parfait. Ça me dégage le terrain. Profitant de l’occasion, je me tourne vers Cédric, sourire tranquille.— Il reste encore un peu de place pour moi ?
Il m’adresse un regard franc, un peu surpris peut-être, mais visiblement pas contre.
— Toujours. T’es prête à bosser ?
Je m’approche, frôlant légèrement son bras dans l’eau, et je réponds avec un sourire :
— Plus que jamais.
L’eau m’enveloppe comme un voile tiède, mais ma peau, elle, frémit à chaque fois que je frôle Cédric. On travaille un exercice d’équilibre : face à face, mains posées l’une contre l’autre, on se pousse légèrement pour renforcer les abdos et le gainage. Mais très vite, l’exercice devient un prétexte.
Ses paumes contre les miennes sont fermes, mais glissent doucement parfois, jusqu’à mes poignets. Quand je me déséquilibre légèrement, il me rattrape par les hanches — un geste professionnel en apparence, mais ses doigts s’attardent un peu trop sur mes fesses pour qu’il soit vraiment innocent.
Je ne dis rien. Je souris. À mon tour, je prends appui contre lui, et mes mains trouvent naturellement son caleçon. Je prétends chercher mon équilibre, mais j’explore, du bout des doigts, la chaleur de sa verge sous l’eau. Il ne recule pas. Au contraire.
Ses mains remontent sur mes flancs, épousent doucement mes courbes dans l’eau, comme s’il apprenait ma forme par réflexe. Ses doigts effleurent mes seins. Nos regards se croisent . Le mouvement devient presque instinctif. Mes doigts effleurent ses pectoraux, et je vois un frémissement dans son regard. Mais rien n’est précipité. Pas encore. Juste des regards, des gestes qui se croisent et une tension, douce, entre nous.
— Tu tiens bien l’équilibre, murmure-t-il.
— C’est que j’ai un bon coach, je souffle, le regard planté dans le sien.
Autour de nous, les autres rient, s’éclaboussent, mais dans notre bulle liquide, tout est lent, silencieux, suspendu.
Et pendant que Marie-Jeanne minaude du côté de Jérémy, moi, je sens que le vrai jeu vient de commencer.
La séance se termine, et tout le monde commence à sortir de l’eau. L’air frais me fait du bien, mais mon esprit reste un peu ailleurs. En rejoignant les vestiaires, je croise Marie-Jeanne qui semble particulièrement détendue. Je lui demande :
— Alors, comment ça s’est passé ?
Elle ne répond pas tout de suite, elle se contente de me fixer un moment, puis soupire légèrement, comme si elle pesait ses mots.
— Tu as raison, il en a une grosse, je l’ai touché sous l’eau .
Je hoche la tête, un léger sourire au coin des lèvres, comme pour confirmer ce qu’elle insinuait.
— Maintenant… va falloir assumer ses ardeurs.
Elle tourne la tête vers moi, un sourcil levé, mi-interloquée, mi-amusée.
— Qu’est-ce que tu veux dire ? me lance-t-elle d’un air faussement naïf.
Je ne réponds pas tout de suite. Je me contente de lisser mes cheveux humides, prenant mon temps. Puis, je glisse, l’air de rien :
— Disons qu’il n’est pas du genre à rester passif très longtemps… Il m a prise façon acteur porno.
Marie-Jeanne me dévisage, un sourire lentement étiré sur ses lèvres.
— Oups, on verra bien.
Je hoche la tête, doucement. Marie-Jeanne me lance un dernier regard complice avant de se glisser dans une cabine de douche. Je me demande alors, si elle est vraiment aussi sûre d’elle.
Le cours de diététique a déjà commencé depuis quelques minutes. Les participantes sont assises autour du plan de travail, en train d’émincer des légumes ou de noter des conseils sur leurs carnets. Moi, j’essaie de me concentrer sur la recette du jour, mais mon esprit vagabonde encore un peu… notamment vers Cédric. C’est à ce moment-là que la porte s’ouvre discrètement.
Marie-Jeanne entre, suivie de Jeremy. Tous les deux arrivent avec quelques minutes de retard, et ça se voit qu’ils ont fait un détour. Ils ont ce petit air… différent. Le genre de trouble qui ne vient pas d’une course dans les escaliers. Marie-Jeanne passe devant moi sans un mot, s’installe, mais je capte aussitôt son regard. Ses joues sont rosées, ses cheveux un peu ébouriffés malgré son chignon vite refait. Elle évite de croiser les yeux de l’intervenante et jette un rapide coup d’œil vers Jeremy qui, de son côté, garde un calme un peu trop parfait pour être naturel.
Elle se penche vers moi en feignant de chercher sa planche à découper.
— Je te raconterai tout à l’heure, souffle-t-elle, presque à bout de souffle, comme si elle sortait à peine d’un rêve éveillé.
Je lui glisse un regard intrigué. Pas besoin de mots pour comprendre qu’il s’est passé quelque chose.
Le cours terminé, je file me changer sans trop traîner. Je sais que Marie-Jeanne ne tiendra pas longtemps avant de vouloir tout me déballer.
Et ça ne manque pas. À peine suis-je de retour dans ma chambre qu’elle entre, referme doucement la porte derrière elle.
— Tu veux que je te dise ?
Je m’assieds sur le lit, les bras croisés, un petit sourire impatient aux lèvres.
— Je t’écoute. T’as mis le feu au cours de cuisine avec ton air absent… Dis-moi tout.
Elle lève les yeux au ciel, comme si elle n’en revenait pas elle-même.
— Je… je sais même pas par où commencer.
— Et alors ? Qu’est-ce qui s’est passé ?
Elle s’approche du lit, s’y laisse tomber en soupirant, le regard dans le vide.
— On s’est retrouvés seuls dans a chambre, à l’écart… et il a été… intense. Mais pas brusque. Juste… comme s’il avait lu dans ma tête ce que je n’osais même pas dire. C’était bon.
Elle me jette un regard encore surpris, presque vulnérable.
— Tu sais quand t’as l’impression que quelqu’un a appuyé pile sur le bon bouton ? Ben voilà. Je n’ai pas eu le temps de dire ouf qu’il ma prise en missionnaire. Son énorme bite raide m’a ramonée vaillamment jusqu’à l’orgasme, tu avais raison tel un acteur porno.
Je ris doucement, secouant la tête.
— Puis il a penché sa tête vers mon anus et il a craché de la salive dessus.
— Et tu as laissé faire ?
Elle regarde un instant le sol, puis soupire.
— Je n’ai pas osé dire non, mais c’était… compliqué. C’était tellement intense, si différent de tout ce que j’avais vécu avant. Mais je ne sais pas, je me sentais comme prise dans ce moment. Il a présenté sa queue devant mon anus et il a poussé son gland dedans.
— Tu as du le sentir passer !
— Oui, Il a commencé progressivement, en prenant soin de ne pas me faire mal avec son gros penis, en travaillant petit à petit ma rondelle pour s'assurer que chaque mouvement était précis et contrôlé. Ce n'est qu'une fois qu’il avait tout mit, certain que j'étais à l'aise qu'il s'est mis à faire de grands allers-retours, pilonnant mon rectum avec des gestes fluides et puissants.
— rhooo, veinarde j’adore l’anal.
— J'en avais mal au cul heureusement il a éjaculé, même après la sodomie, la douleur persistait. D'ailleurs, je suis encore dilatée maintenant.
— Tu m'étonnes, dis-je, avec la taille de sa bite, pas étonnant que tu ressentes encore des douleurs !
— J’ai honte on ne m’avait jamais sodomisée avant , et j’y ai prise du plaisir.
— Tu n’as aucune honte a avoir si tu as pris du plaisir.
On se regarde une seconde, puis on éclate de rire comme deux ados prises la main dans le sac.En sortant de la chambre pour aller déjeuner, mes pensées se tournaient vers Cédric. Je vous raconterai cela dans un autre récit.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Mmmhhhh 🔥🔥🔥😍
Merci Monique pour cette histoire hyper excitante



Texte coquin : La grosse Monique en cure d’amaigrissement
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Momonique

La grosse Monique et le routier 2 - Récit érotique publié le 09-05-2025
Les seins pleins de lait de la grosse Monique - Récit érotique publié le 06-05-2025
La grosse Monique en cure d’amaigrissement - Récit érotique publié le 03-05-2025
La grosse Monique au cinéma - Récit érotique publié le 30-04-2025
premier double pénétration de la grosse Monique - Récit érotique publié le 01-03-2025
Premier job de la grosse Monique épisode 2 - Récit érotique publié le 12-02-2025
Premier job de la grosse Monique épisode 1 - Récit érotique publié le 28-01-2025
Alice chez les nudiste suite 2 - Récit érotique publié le 21-01-2025
Alice en gite nudiste - Récit érotique publié le 06-01-2025
La grosse Monique et le Boulanger suite - Récit érotique publié le 07-12-2024