La maman de Céline...

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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La maman de Céline...
Ayant de bonnes relations avec Céline, cette dernière me demande s’il serait possible de rendre un service à sa mère.
- Oui j’ai maman qui a un problème avec son magnétoscope.
- Et tu ne sais pas ce qui ne va pas.
- Non… je n’ai même pas la moindre idée, pour tout te dire.
- Bon… je te promets de passer après ma journée de boulot.
- Merci… Alain.
Alors que je suis près de raccrocher, Céline rajoute :
- Alain… Alain…
- Oui, je t’écoute.
- Pas un mot à Pierre…
- Tu parles de qui là ?
- Merci… Alain. Je te revaudrai ça !
Sitôt le travail terminé, comme promis, je me mets derrière le volant de ma voiture et je prends la direction de l’adresse indiquée. L’endroit où habite la maman de Céline pendant la saison froide. D’ailleurs, sa voiture est garée devant le portail. Je me gare derrière. Je toque à la porte. Cette dernière s’ouvre très vite, comme si Gisèle attendait patiemment ma venue. Elle porte une jupe noire, fendue sur le côté, des collants fumés, un corsage rose. Après les bises d’usage, elle m’entraîne jusqu’au salon, là où se trouve un beau meuble télé.
- Et vous n’avez aucune idée, Gisèle, d’où vient le problème.
- Pas la moindre idée, mon beau… alors qu’elle met en tension la télévision. J’ai les chaînes comme tu peux le voir, mais, ajoute-t-elle en pianotant sur sa télécommande. Par contre, je ne peux pas visionner une cassette.
De mon côté j’appuie sur la touche lecture du magnétoscope, et effectivement rien ne se produit sur l’écran. Je me concentre sur le cordon péritel, mais rien n’y fait. À part le cordon, je ne vois pas ce qui ne marchait pas.
- Gisèle, vous n’auriez pas un autre cordon comme celui-là dans vos archives, je lui fais en exposant le câble.
- Non… je ne crois pas fait-elle.
- C’est un peu couillon, je suis sûr que la panne vient de là. Et dire que j’en ai plein la maison. Je mets ma main à couper que c’est ça. J’ajoute, en scrutant copieusement les fiches du cordon.
- Attends, je crois en avoir un. Oui, sur la télé de la chambre.
Elle disparaît dans le couloir quelques instants, et revient avec en main un cordon qu’elle me tend.
-Vous nous sauvez, Gisèle.
-J’espère que tu as raison ! Lâche-t-elle. Pendant ce temps-là, je vais préparer l’apéro. Tu l’auras bien mérité, surtout si grâce à toi, je peux visionner mon film préféré ce soir sur la grande télé.
- C’est comme si c’était fait ! Fais-je en riant, sûr de moi d’avoir trouvé la panne.
Et de nouveau, Gisèle disparaît de ma vue. Je profite de cet instant pour intervertir les cordons. Et miracle, sur l’écran une image m’apparaît. Une femme que je reconnais étant Gisèle. Dans son plus simple appareil.
Prenant une douche. Elle se savonne consciencieusement les seins, le ventre arrondi au-dessus d’un pubis abondamment touffu. Comme je les aime ! Cela se termine inévitablement par une masturbation débridée.
Je suis en extase devant ce qui ce joue devant mes yeux. Incapable de stopper le visionnage. Et cela à seulement quelques mètres de Gisèle, séparée par une simple cloison, qui prépare innocemment ou pas, l’apéro.
Sur l’écran, la même Gisèle relève une jambe sur le bord de la baignoire. Je distingue nettement ses doigts s’auto-pénétrer. Tout de suite, une érection se née dans mon pantalon. Je suis dans l’incapacité de détacher les yeux de l’écran.
Dont la maman de Céline se frotte le clitoris, se titille l’anus, s’y insère même carrément un doigt.
J’en aurais éjaculé dans mon slip tant tout cela été jouissif. La coquine dans la télé passe sa langue sur ses lèvres. Je ne sais depuis combien de temps cela dure, tant je suis captivé par ce qui se déroule sous mes yeux.
A présent Gisèle se tient sur le divan, en train de se goder avec une queue en silicone de bonne dimension. Elle va jusqu’à la faire disparaître presque totalement dans son fondement. Avec son autre main, elle plante deux doigts dans l’anus, qu’elle bouge au même rythme que son gode. Ses gémissements se transforment en cris.
Assez fort pour alerter l’héroïne de l’écran, qui accoure jusqu’au salon. Elle est altérée, anéantie.
- Coupe… coupe, Alain… Oh ! Quelle honte. Tu vas me prendre pour qui ? Fait-elle alors qu’elle se précipite jusqu’à la télé et la coupe.
- Oh ! Alain… ajoute-t-elle, je ne sais où me mettre. Jure-moi de ne rien dire à personne.
-Qui a filmé ?
-À ton avis…Charles (le mari)… lâche-t-elle en se tenant immobile sur le parquet ciré du salon, inerte !
Attisé par ce que je viens de voir, je laisse errer mon regard sur Gisèle. Principalement sur ses jambes gainées. Le silence, qui s’éternise, devient pesant, trop lourd pour mon avis personnel. Alors comme souvent chez moi, j’ironise :
-Il faut vraiment faire attention avec ce genre de film, à ne pas les laisser entre les mains de n’importe qui.
-Je veux bien te croire.
-Si cela peut vous rassurer, j’en possède aussi !
-Ah oui ! Sous la douche ?
-Non sur le lit, avec ma femme.
-En train de… enfin…
-Oui, comme vous pouvez le deviner.
-Mais personne…
-Oh là ! Lui fais-je en lui coupant la parole. Il m’arrive de les divulguer.
-Non… tu plaisantes là.
-Pas le moins du monde. Et tenez, pas plus tard que la semaine dernière, à mon beau-père.
-Non !
-Vous ne pouvez pas savoir le pied que je prends de le faire.
-Tu n’as pas honte après, de te retrouver devant lui ?
-Même pas. Au contraire ! Je bande…
-Cochon sans considération avec ça ! Et pourquoi tu fais cela ?
-Je suis un pervers, voilà tout.
-Non… je ne te crois pas Alain… fait Gisèle, en se mordant les lèvres, avant d’ajouter. En fait, pour la petite histoire, pas un mot à Céline…
Je l’interromps d’un geste de la main.
- Personne n’en saura rien, n’ayez crainte… mais pour cela, il va falloir être gentille avec moi.
Gisèle me regarde fixement.
- Comment ça, qu’est-ce que tu entends par être gentille ?
- Ne jouez pas la niaise, voulez-vous Gisèle… vous savez parfaitement où je veux en venir. Vous m’avez mis en appétit avec votre exhibition.
- Pense bien que ce n’était pas arrangé !
-Je n’ai jamais dit cela. Mais les faits sont là…
Je me sens alors délicieusement troublé. Une envie folle d’être sale !
-Je ne suis pas de la première jeunesse, tu sais.
-Ça tombe bien, j’adore cela !
-Tu as déjà… enfin fait ça avec…
-Une vieille femme, fais-je, lui coupant la parole. J’ai même pratiqué des relations sexuelles avec des dames bien plus vieilles que vous l’êtes, et j’ai toujours été enchanté. Fais-je, tout en m’avançant à pas lents jusqu’à toucher Gisèle.
Avec une ferveur presque mystique, je la pousse jusqu’au divan. Où je la fais s’asseoir. Je m’agenouille à ses pieds. De mes deux mains j’écarte ses genoux l’un de l’autre. Assez pour me permettre de voir ce qu’elle porte sous sa jupe. J’avance ma bouche entre les deux cuisses, et appuis ma bouche contre la douce tiédeur. De l’index, j’écarte sur le côté l’entrejambe de sa culotte en soie rose pour me permettre de me désaltérer à la source de vie. Je m’immobilise quelques instants, mes lèvres collées à la vulve suintante, dans l’attente d’un signe révélateur d’émoi de la part de Gisèle.
La réaction se produit de façon imperceptible. Elle cambre les reins afin d’accentuer la pression de ma bouche sur sa chatte avide. Répondant à sa demande de caresse, je fais tourner un moment ma langue autour du bouton, puis glisse mon doigt au cœur de la fente ouverte. Je sonde le vagin, d’abord d’un doigt, puis à deux doigts accolés, ensuite un troisième pénètre sans difficulté avec les autres. Je travaille le sexe en feu. J’ai envie de prendre mon temps. Je veux la mener au plaisir. Je lui ôte sa culotte. Sa chatte est comme à l’étal, offerte, ouverte dans un fouillis de poils. J’enfouis mon visage dans la broussaille de poils odorante. Je me mets alors à la lécher de bas en haut, consciencieusement.
J’étale ma langue autant que je le peux. Je lape sans vergogne. Elle émet des gémissements aigus. Elle ondule du bassin. Je lui enfonce la langue au plus profond de son con. Je répète le renflement du clitoris et vicieusement, je le dépiaute avec le pouce et l’index. Elle se cabre, donne une vraie ruade du cul. Je donne des coups de langue répétés, avec la pointe, sur le derme à vif.
Elle braille. Les mouvements de son bassin partent dans tous les sens. Le nez entre ses lèvres, j’embrasse et lèche doucement la fente humide et elle se met à dégorger en abondance. Elle se tortille. Encourage-moi à la tartiner de coups de langue. Je m’attaque à tous les recoins de chair. Le délire de Gisèle me réjouit, m’encourage. À ce que j’entends sortir de sa bouche, elle raffole de mes caresses buccales. Son désir est en effervescence. Son sexe s’ouvre, libérant de délicieuses odeurs.
Mes doigts s’aventurent plus bas. Sous ses fesses, je trouve la fameuse ouverture secrète. Celle dont j’en raffole. Sur laquelle j’appuie avec de plus en plus d’insistance. Saisie, elle ne se dérobe pas et facilite même docilement les choses. Elle écarte tant qu’elle peut ses jambes. Je les lève bien haut pour mieux présenter son orifice. J’en profite pour relever ses fesses, plaquer ses jambes sur son ventre. Elle se révèle, malgré son âge, aussi souple qu’une liane. J’ai devant les rétines son trou ridé. Que je m’empresse d’embrasser.
-Non…non Alain… pas ça… pas là, c’est dégoûtant !
-J’avoue que vous sentez fort du cul Gisèle… je pense que vous avez vraiment besoin d’une petite toilette intime…
Grisé par l’excitation que me procure ce genre de léchage, je me décide à passer à l’acte. Et sans plus attendre, je m’affaire avec ma langue à lui ôter tout relent. Je m’efforce de travailler ce passage encore clos à coup de léchage. Sous mes caresses, le conduit se dilate. Incapable de me contenir, j’y fourre un doigt. À peine entré, une contraction tente de le repousser à l’extérieur. Mais je m’accroche à mon délire. Enfonçant mon doigt plus loin, que je remue. Les contractions s’enchaînent. Je fais danser un deuxième doigt entre le bourrelet de chair, en le massant, pendant qu’elle me masse la queue à travers mon pantalon.
-J’aimerai bien la voir… me fait-elle.
Je m’installe de façon à bien m’exhiber. Avec des gestes sûrs, je fais jaillir ma verge de sa cachette. Qui comme une assoiffée de sexe, l’emprisonne entre ses doigts. Elle commence très doucement à me branler.
Je divague, tant ce qu’elle me fait est bon. Je m’entends grommeler des oui et des encore.
Emporté par mon élan, je colle mes lèvres sur son cou pour le picorer. Elle renverse la tête. Je n’es aucune hésitation à m’emparer de ses seins et à les dégager de leur prison de dentelle. Je me mets à lécher, mordiller ses nichons, tour à tour. Soumis à ce traitement, ils deviennent durs comme du marbre. Elle ferme les yeux et pose la main qui ne me branle pas sur mon crâne. M’encourageant ainsi de continuer. J’empoignais ses mamelons et les pétris en même temps que je tirai sur les pointes.
- Je veux ta queue, souffle-t-elle.
-Gisèle… vous n’êtes pas obligée !
-Aller Alain, je t’en prie ! Pense bien, que ce genre de scénario ne se répétera pas.
Ses paroles sont justes ! Je ne me fais pas prier et m’agenouille au-dessus d’elle. Sur la commode trône une photo du couple. Voir la tête de Pierre, alors que je m’apprête à baiser sa femme, m’excite terriblement. Je pointe ma verge près du vagin, savourant la délicieuse sensation procurée par la chair molle et gluante sur le bout de ma verge. Je me plante en elle. Autour de mon sexe, le fourreau brûlant se contracte. J’ai l’impression que le vagin m’asticote, moulant le volume de mon sexe.
Mais très vite, au fil de mes va-et-vient, la gaine se dilate, au point que ma queue se noie dedans. C’est alors, avec un gland lubrifié par la mouille, que je force l’anus chargé de ma salive dont les bords sont devenus plus rouges. Je pousse d’un coup de reins et enfonce ma queue dans le cul offert.
Elle pousse un cri animal, puis un gros soupir. Comme si ma queue était en train expulser l’air de son corps. Le conduit est lisse, graissé par ma salive. Je l’encule fort. Mes couilles tapant ses fesses. Je me penche pour saisir de nouveau les seins, qui ballottent sur sa poitrine sous mes coups de reins.
Elle a un orgasme au moment où, incapable de me retenir, je me vide dans ses intestins. Je suis tellement excité que j’ai l’impression d’éjaculer interminablement. Les sphincters se contractent sur ma verge, comme pour en extraire jusqu’à la dernière goutte ma jouissance. Quand je me retire, le trou du cul reste ouvert. Comme un entonnoir de chair à vif. Mon sperme s’écoule de l’orifice, pour finir sa glissade sur le coussin du divan. De son côté, Gisèle est encore secouée de spasmes violents. Je m’affale près d’elle, le souffle court. L’effort et l’excitation m’ont épuisé. Une fois le feu de l’excitation éteint. Gisèle me demande ce que j’en pense.
-Je pense que ma jouissance est là pour en témoigner, non ?
-Oui… mais plus encore…
-Eh bien, je ne serais pas contre un nouvel épisode.
-Voilà, c’est ce que je voulais entendre sortir de ta bouche…
Sur ce, je fais un clin d’œil au mari, sur la photo…
- Oui j’ai maman qui a un problème avec son magnétoscope.
- Et tu ne sais pas ce qui ne va pas.
- Non… je n’ai même pas la moindre idée, pour tout te dire.
- Bon… je te promets de passer après ma journée de boulot.
- Merci… Alain.
Alors que je suis près de raccrocher, Céline rajoute :
- Alain… Alain…
- Oui, je t’écoute.
- Pas un mot à Pierre…
- Tu parles de qui là ?
- Merci… Alain. Je te revaudrai ça !
Sitôt le travail terminé, comme promis, je me mets derrière le volant de ma voiture et je prends la direction de l’adresse indiquée. L’endroit où habite la maman de Céline pendant la saison froide. D’ailleurs, sa voiture est garée devant le portail. Je me gare derrière. Je toque à la porte. Cette dernière s’ouvre très vite, comme si Gisèle attendait patiemment ma venue. Elle porte une jupe noire, fendue sur le côté, des collants fumés, un corsage rose. Après les bises d’usage, elle m’entraîne jusqu’au salon, là où se trouve un beau meuble télé.
- Et vous n’avez aucune idée, Gisèle, d’où vient le problème.
- Pas la moindre idée, mon beau… alors qu’elle met en tension la télévision. J’ai les chaînes comme tu peux le voir, mais, ajoute-t-elle en pianotant sur sa télécommande. Par contre, je ne peux pas visionner une cassette.
De mon côté j’appuie sur la touche lecture du magnétoscope, et effectivement rien ne se produit sur l’écran. Je me concentre sur le cordon péritel, mais rien n’y fait. À part le cordon, je ne vois pas ce qui ne marchait pas.
- Gisèle, vous n’auriez pas un autre cordon comme celui-là dans vos archives, je lui fais en exposant le câble.
- Non… je ne crois pas fait-elle.
- C’est un peu couillon, je suis sûr que la panne vient de là. Et dire que j’en ai plein la maison. Je mets ma main à couper que c’est ça. J’ajoute, en scrutant copieusement les fiches du cordon.
- Attends, je crois en avoir un. Oui, sur la télé de la chambre.
Elle disparaît dans le couloir quelques instants, et revient avec en main un cordon qu’elle me tend.
-Vous nous sauvez, Gisèle.
-J’espère que tu as raison ! Lâche-t-elle. Pendant ce temps-là, je vais préparer l’apéro. Tu l’auras bien mérité, surtout si grâce à toi, je peux visionner mon film préféré ce soir sur la grande télé.
- C’est comme si c’était fait ! Fais-je en riant, sûr de moi d’avoir trouvé la panne.
Et de nouveau, Gisèle disparaît de ma vue. Je profite de cet instant pour intervertir les cordons. Et miracle, sur l’écran une image m’apparaît. Une femme que je reconnais étant Gisèle. Dans son plus simple appareil.
Prenant une douche. Elle se savonne consciencieusement les seins, le ventre arrondi au-dessus d’un pubis abondamment touffu. Comme je les aime ! Cela se termine inévitablement par une masturbation débridée.
Je suis en extase devant ce qui ce joue devant mes yeux. Incapable de stopper le visionnage. Et cela à seulement quelques mètres de Gisèle, séparée par une simple cloison, qui prépare innocemment ou pas, l’apéro.
Sur l’écran, la même Gisèle relève une jambe sur le bord de la baignoire. Je distingue nettement ses doigts s’auto-pénétrer. Tout de suite, une érection se née dans mon pantalon. Je suis dans l’incapacité de détacher les yeux de l’écran.
Dont la maman de Céline se frotte le clitoris, se titille l’anus, s’y insère même carrément un doigt.
J’en aurais éjaculé dans mon slip tant tout cela été jouissif. La coquine dans la télé passe sa langue sur ses lèvres. Je ne sais depuis combien de temps cela dure, tant je suis captivé par ce qui se déroule sous mes yeux.
A présent Gisèle se tient sur le divan, en train de se goder avec une queue en silicone de bonne dimension. Elle va jusqu’à la faire disparaître presque totalement dans son fondement. Avec son autre main, elle plante deux doigts dans l’anus, qu’elle bouge au même rythme que son gode. Ses gémissements se transforment en cris.
Assez fort pour alerter l’héroïne de l’écran, qui accoure jusqu’au salon. Elle est altérée, anéantie.
- Coupe… coupe, Alain… Oh ! Quelle honte. Tu vas me prendre pour qui ? Fait-elle alors qu’elle se précipite jusqu’à la télé et la coupe.
- Oh ! Alain… ajoute-t-elle, je ne sais où me mettre. Jure-moi de ne rien dire à personne.
-Qui a filmé ?
-À ton avis…Charles (le mari)… lâche-t-elle en se tenant immobile sur le parquet ciré du salon, inerte !
Attisé par ce que je viens de voir, je laisse errer mon regard sur Gisèle. Principalement sur ses jambes gainées. Le silence, qui s’éternise, devient pesant, trop lourd pour mon avis personnel. Alors comme souvent chez moi, j’ironise :
-Il faut vraiment faire attention avec ce genre de film, à ne pas les laisser entre les mains de n’importe qui.
-Je veux bien te croire.
-Si cela peut vous rassurer, j’en possède aussi !
-Ah oui ! Sous la douche ?
-Non sur le lit, avec ma femme.
-En train de… enfin…
-Oui, comme vous pouvez le deviner.
-Mais personne…
-Oh là ! Lui fais-je en lui coupant la parole. Il m’arrive de les divulguer.
-Non… tu plaisantes là.
-Pas le moins du monde. Et tenez, pas plus tard que la semaine dernière, à mon beau-père.
-Non !
-Vous ne pouvez pas savoir le pied que je prends de le faire.
-Tu n’as pas honte après, de te retrouver devant lui ?
-Même pas. Au contraire ! Je bande…
-Cochon sans considération avec ça ! Et pourquoi tu fais cela ?
-Je suis un pervers, voilà tout.
-Non… je ne te crois pas Alain… fait Gisèle, en se mordant les lèvres, avant d’ajouter. En fait, pour la petite histoire, pas un mot à Céline…
Je l’interromps d’un geste de la main.
- Personne n’en saura rien, n’ayez crainte… mais pour cela, il va falloir être gentille avec moi.
Gisèle me regarde fixement.
- Comment ça, qu’est-ce que tu entends par être gentille ?
- Ne jouez pas la niaise, voulez-vous Gisèle… vous savez parfaitement où je veux en venir. Vous m’avez mis en appétit avec votre exhibition.
- Pense bien que ce n’était pas arrangé !
-Je n’ai jamais dit cela. Mais les faits sont là…
Je me sens alors délicieusement troublé. Une envie folle d’être sale !
-Je ne suis pas de la première jeunesse, tu sais.
-Ça tombe bien, j’adore cela !
-Tu as déjà… enfin fait ça avec…
-Une vieille femme, fais-je, lui coupant la parole. J’ai même pratiqué des relations sexuelles avec des dames bien plus vieilles que vous l’êtes, et j’ai toujours été enchanté. Fais-je, tout en m’avançant à pas lents jusqu’à toucher Gisèle.
Avec une ferveur presque mystique, je la pousse jusqu’au divan. Où je la fais s’asseoir. Je m’agenouille à ses pieds. De mes deux mains j’écarte ses genoux l’un de l’autre. Assez pour me permettre de voir ce qu’elle porte sous sa jupe. J’avance ma bouche entre les deux cuisses, et appuis ma bouche contre la douce tiédeur. De l’index, j’écarte sur le côté l’entrejambe de sa culotte en soie rose pour me permettre de me désaltérer à la source de vie. Je m’immobilise quelques instants, mes lèvres collées à la vulve suintante, dans l’attente d’un signe révélateur d’émoi de la part de Gisèle.
La réaction se produit de façon imperceptible. Elle cambre les reins afin d’accentuer la pression de ma bouche sur sa chatte avide. Répondant à sa demande de caresse, je fais tourner un moment ma langue autour du bouton, puis glisse mon doigt au cœur de la fente ouverte. Je sonde le vagin, d’abord d’un doigt, puis à deux doigts accolés, ensuite un troisième pénètre sans difficulté avec les autres. Je travaille le sexe en feu. J’ai envie de prendre mon temps. Je veux la mener au plaisir. Je lui ôte sa culotte. Sa chatte est comme à l’étal, offerte, ouverte dans un fouillis de poils. J’enfouis mon visage dans la broussaille de poils odorante. Je me mets alors à la lécher de bas en haut, consciencieusement.
J’étale ma langue autant que je le peux. Je lape sans vergogne. Elle émet des gémissements aigus. Elle ondule du bassin. Je lui enfonce la langue au plus profond de son con. Je répète le renflement du clitoris et vicieusement, je le dépiaute avec le pouce et l’index. Elle se cabre, donne une vraie ruade du cul. Je donne des coups de langue répétés, avec la pointe, sur le derme à vif.
Elle braille. Les mouvements de son bassin partent dans tous les sens. Le nez entre ses lèvres, j’embrasse et lèche doucement la fente humide et elle se met à dégorger en abondance. Elle se tortille. Encourage-moi à la tartiner de coups de langue. Je m’attaque à tous les recoins de chair. Le délire de Gisèle me réjouit, m’encourage. À ce que j’entends sortir de sa bouche, elle raffole de mes caresses buccales. Son désir est en effervescence. Son sexe s’ouvre, libérant de délicieuses odeurs.
Mes doigts s’aventurent plus bas. Sous ses fesses, je trouve la fameuse ouverture secrète. Celle dont j’en raffole. Sur laquelle j’appuie avec de plus en plus d’insistance. Saisie, elle ne se dérobe pas et facilite même docilement les choses. Elle écarte tant qu’elle peut ses jambes. Je les lève bien haut pour mieux présenter son orifice. J’en profite pour relever ses fesses, plaquer ses jambes sur son ventre. Elle se révèle, malgré son âge, aussi souple qu’une liane. J’ai devant les rétines son trou ridé. Que je m’empresse d’embrasser.
-Non…non Alain… pas ça… pas là, c’est dégoûtant !
-J’avoue que vous sentez fort du cul Gisèle… je pense que vous avez vraiment besoin d’une petite toilette intime…
Grisé par l’excitation que me procure ce genre de léchage, je me décide à passer à l’acte. Et sans plus attendre, je m’affaire avec ma langue à lui ôter tout relent. Je m’efforce de travailler ce passage encore clos à coup de léchage. Sous mes caresses, le conduit se dilate. Incapable de me contenir, j’y fourre un doigt. À peine entré, une contraction tente de le repousser à l’extérieur. Mais je m’accroche à mon délire. Enfonçant mon doigt plus loin, que je remue. Les contractions s’enchaînent. Je fais danser un deuxième doigt entre le bourrelet de chair, en le massant, pendant qu’elle me masse la queue à travers mon pantalon.
-J’aimerai bien la voir… me fait-elle.
Je m’installe de façon à bien m’exhiber. Avec des gestes sûrs, je fais jaillir ma verge de sa cachette. Qui comme une assoiffée de sexe, l’emprisonne entre ses doigts. Elle commence très doucement à me branler.
Je divague, tant ce qu’elle me fait est bon. Je m’entends grommeler des oui et des encore.
Emporté par mon élan, je colle mes lèvres sur son cou pour le picorer. Elle renverse la tête. Je n’es aucune hésitation à m’emparer de ses seins et à les dégager de leur prison de dentelle. Je me mets à lécher, mordiller ses nichons, tour à tour. Soumis à ce traitement, ils deviennent durs comme du marbre. Elle ferme les yeux et pose la main qui ne me branle pas sur mon crâne. M’encourageant ainsi de continuer. J’empoignais ses mamelons et les pétris en même temps que je tirai sur les pointes.
- Je veux ta queue, souffle-t-elle.
-Gisèle… vous n’êtes pas obligée !
-Aller Alain, je t’en prie ! Pense bien, que ce genre de scénario ne se répétera pas.
Ses paroles sont justes ! Je ne me fais pas prier et m’agenouille au-dessus d’elle. Sur la commode trône une photo du couple. Voir la tête de Pierre, alors que je m’apprête à baiser sa femme, m’excite terriblement. Je pointe ma verge près du vagin, savourant la délicieuse sensation procurée par la chair molle et gluante sur le bout de ma verge. Je me plante en elle. Autour de mon sexe, le fourreau brûlant se contracte. J’ai l’impression que le vagin m’asticote, moulant le volume de mon sexe.
Mais très vite, au fil de mes va-et-vient, la gaine se dilate, au point que ma queue se noie dedans. C’est alors, avec un gland lubrifié par la mouille, que je force l’anus chargé de ma salive dont les bords sont devenus plus rouges. Je pousse d’un coup de reins et enfonce ma queue dans le cul offert.
Elle pousse un cri animal, puis un gros soupir. Comme si ma queue était en train expulser l’air de son corps. Le conduit est lisse, graissé par ma salive. Je l’encule fort. Mes couilles tapant ses fesses. Je me penche pour saisir de nouveau les seins, qui ballottent sur sa poitrine sous mes coups de reins.
Elle a un orgasme au moment où, incapable de me retenir, je me vide dans ses intestins. Je suis tellement excité que j’ai l’impression d’éjaculer interminablement. Les sphincters se contractent sur ma verge, comme pour en extraire jusqu’à la dernière goutte ma jouissance. Quand je me retire, le trou du cul reste ouvert. Comme un entonnoir de chair à vif. Mon sperme s’écoule de l’orifice, pour finir sa glissade sur le coussin du divan. De son côté, Gisèle est encore secouée de spasmes violents. Je m’affale près d’elle, le souffle court. L’effort et l’excitation m’ont épuisé. Une fois le feu de l’excitation éteint. Gisèle me demande ce que j’en pense.
-Je pense que ma jouissance est là pour en témoigner, non ?
-Oui… mais plus encore…
-Eh bien, je ne serais pas contre un nouvel épisode.
-Voilà, c’est ce que je voulais entendre sortir de ta bouche…
Sur ce, je fais un clin d’œil au mari, sur la photo…
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