La mansarde dans le Quartier Latin
Récit érotique écrit par Marcel1001 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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La mansarde dans le Quartier Latin
Ils s’étaient retrouvés là presque par hasard, à deux rues de la fac, au dernier étage d’un immeuble du Quartier Latin, dans une mansarde étroite où l’on ne tenait debout qu’au centre de la pièce. Il l’avait juste aidée à remonter sa pile de livres achetée pour ses révisions.
Un matelas au sol, une pile de livres, deux tasses encore tièdes sur le rebord d’un velux entrouvert. C’était début mai, et Paris avait cette chaleur douce qui délasse les épaules et éveille la peau.
Anna portait un jean élimé et un vieux sweat trop large, dont l’encolure béante laissait deviner un bout de clavicule et la naissance d’un sein. Julien la fixait. Il y avait chez elle cette lenteur féline, cette façon de ne pas combler le silence, de laisser les choses venir, même lui.
— Tu veux encore du thé ? murmura-t-elle.
— Non. Reste près de moi.
Elle s’était redressée. Leur proximité était maintenant palpable, presque tangible. La lumière de la fin d’après-midi glissait sur les poutres, dessinant des lignes obliques sur leur peau. Julien approcha sa main, hésita, puis effleura le rebord du sweat. Elle ne recula pas. Au contraire, elle l’aida à le retirer, dans un geste calme, presque solennel.
Sous le tissu, la peau d’Anna était tiède, laiteuse, parsemée de grains de beauté discrets qu’il eut envie de nommer un à un. Ses seins, ni petits ni provocants, semblaient simplement là, présents, naturels, comme si le jour les caressait à sa place. Ses tétons, rosés, se dressaient brûlants, plus sensibles à l’air qu’au regard.
Il se pencha, l’embrassa doucement, juste sous la mâchoire. Elle ferma les yeux. Son souffle se modula. Julien descendit lentement, embrassant la courbe de son épaule, la pente de son sternum. Ils faisaient glisser ses tétons entre ses doigts. Le jean glissa, dévoilant un string de coton clair, simple, qu’il écarta avec lenteur, du bout des doigts. Il découvrit un pubis épilé avec soin, sans affectation. La peau y était plus chaude, plus fine. Il sentit une odeur intime, légèrement musquée, mêlée de savon et de moiteur, comme un secret de fin de journée.
Anna, elle, le regardait maintenant avec une gravité douce. Elle déboutonna sa chemise à lui sans se presser. Ses mains glissèrent sur son torse, s’attardèrent sur les hanches. Quand elle atteignit la ceinture, elle s’arrêta. Le tissu tendu du pantalon ne cachait rien : la forme longue et ferme de sa verge y dessinait un relief sans équivoque. Elle approcha ses lèvres de son bas-ventre, effleurant la ligne fine de poils qui y menait, comme une invitation silencieuse.
Julien se déshabilla sans mot, lentement, et laissa leur peau se rejoindre. Mais Anna s’attarda. Elle glissa le pantalon le long de ses cuisses. Le tissu de son slip résista un instant, puis céda. Sa verge se libéra alors lentement, redressée, lourde de sang, massive, dressée dans la lumière tamisée de la fin d’après-midi.
Elle surgit brusquement, comme une évidence, naturelle, présente, vivante. La peau y était tendue, légèrement veinée, d’une teinte plus sombre que le reste de son corps. Le gland, presque nu, luisait à peine. Il s’imposait par sa taille, par sa netteté, sa forme pleine, équilibrée, cette tension paisible du corps prêt à aimer sans se hâter.
Anna resta un instant immobile, le regard posé sur lui, sans mot, comme si elle contemplait une chose rare, une beauté singulière, sans fard. Elle tendit la main, effleura la base, la courbe, puis le poids, cette chaleur là, dans la paume.
Puis elle s’assit, tenant toujours sa verge dans sa main, chaude et palpitante, encore tendue d’un désir patient. Du bout du pouce, elle fit coulisser la peau du prépuce, révélant mieux le gland avec lenteur, dans un mouvement régulier, presque méditatif. La membrane glissait comme une paupière sur un œil, dévoilant à chaque passage un peu plus de cette chair lisse, d’un rose dense, presque fragile.
Elle effleura le méat du bout de l’index, très légèrement. Julien frissonna, les yeux mi-clos, son souffle suspendu. Elle recommença, explorant la sensibilité du moindre repli, attentive à chaque tressaillement, chaque soupir. Elle ne cherchait pas à le faire jouir, pas encore. Elle l’apprenait et lui, entre ses mains, se laissait faire.
Le rythme s’était suspendu. Tout semblait tenir dans l’espace ténu entre son souffle et ses gestes. Puis, dans un tressaillement discret mais profond, la vague monta. Il eut un frisson, un souffle plus rauque, son bassin se tendit sous sa paume. Elle ne s’interrompit pas, tenant sa verge comme un calice, dans cette attente tranquille. Et alors, doucement, sa semence jaillit.
Pas en geyser, mais en pulsations lentes, épaisses, presque solennelles. Le premier jet fendit l’air, tiède et blanc, avant de retomber sur le bas de son ventre. D’autres suivirent, plus courts, plus denses, qui perlaient au bord du méat, glissant le long du gland, s’étalant dans les plis de sa peau.
Anna resta là, immobile, tenant toujours sa verge, vibrante comme un cœur apaisé. Elle observa la semence qui s’étalait doucement, opaline, vivante, et d’un geste lent, elle en suivit le tracé du bout du doigt.
Puis, penchée vers lui, elle approcha ses lèvres. Sa langue effleura le bas du ventre, là où quelques gouttes s’étaient posées. Le contact fut presque imperceptible. Elle remonta, explorant la peau avec lenteur, goûtant chaque trace, chaque perle de plaisir.
Arrivée au gland, elle déposa un baiser. Puis, du bout de la langue, elle effleura le méat, là où une ultime goutte hésitait encore. Elle la recueillit sans hâte, laissa sa bouche s’attarder une seconde, comme pour sceller un secret.
Alors seulement, elle releva les yeux. Il y avait dans son regard une lueur calme, profonde, presque grave. Julien lui sourit, sans dire un mot. Tout avait été dit par les corps.
Leurs corps s’étaient tus, encore haletants de la première vague. La lumière avait changé, dorée comme du miel épais, filtrée par le velux entrouvert. La ville, en contrebas, semblait s’être retirée, comme pour leur offrir un silence rare.
Anna était couchée sur le flanc, nue, un bras sous sa tête, l’autre posé nonchalamment sur sa hanche. Son dos dessinait une courbe douce, presque végétale. Julien s’était rapproché d’elle, ses doigts effleurant le bas de son ventre, à la lisière de la toison.
Il n’y avait aucune urgence. Juste ce besoin calme de la redécouvrir. Il s’installa entre ses cuisses, qu’elle écarta lentement, sans mot, en confiance. La chaleur qui s’échappait d’elle le frappa comme un souffle. Sa main glissa jusqu’à la jointure, et là, il s’arrêta un instant. Non pour hésiter, mais pour regarder.
La vulve d’Anna était entrouverte, comme un fruit à peine mûr. Les grandes lèvres, douces et pleines, semblaient garder en elles une tension paisible. Il les caressa du dos de l’index, les effleurant plus qu’il ne les touchait, et sentit la peau réagir sous ses doigts, s’offrir légèrement, vivante. À mesure qu’il s’aventurait, les lèvres s’humidifiaient, un peu, comme un soupir que le corps ne retient plus.
Il écarta lentement les grandes lèvres pour révéler les petites, plus foncées, plus fragiles, plissées comme un pétale tremblant. Sa main gauche restait posée à plat sur sa cuisse, pour la rassurer, pour dire je suis là, je ne presse rien. Puis son pouce remonta, très lentement, jusqu’à trouver le capuchon du clitoris, discret et nerveux, qui battait à peine sous la pulpe.
Il ne le toucha pas tout de suite. Il dessina d’abord un cercle autour, effleurant les bords, jouant avec la tension du repli, avec le frémissement des muscles autour. Anna avait fermé les yeux. Sa respiration s’était ralentie, plus profonde, plus basse, comme si chaque caresse pénétrait plus loin qu’un mot n’aurait pu le faire.
Julien glissa deux doigts plus bas, entre les lèvres, à l’entrée même de son sexe. Il sentit l’humidité tiède qui s’y formait, douce, accueillante, presque timide. Il l’explora du bout des doigts, lentement, comme on explore un passage secret. Son index effleura l’orifice, et elle eut un léger soubresaut, un soupir retenu.
Alors seulement, il revint au clitoris, cette fois plus franchement, mais sans violence. Il le découvrit du bout du doigt, comme une pierre chaude sous la peau. Il alternait caresses lentes et pauses, variations et silences, apprenant son rythme, comme on apprivoise une musique. Chaque mouvement faisait naître une vague, puis une autre. Anna se cambrait à peine, sa cuisse frémissait sous sa main, son ventre vibrait d’un souffle contenu.
Il approcha sa bouche. Y posa ses lèvres, son souffle. Puis sa langue, chaude et souple, glissa contre elle. Il ne la prit pas : il l’effleura, juste ce qu’il faut pour que son plaisir monte sans se briser. Un geste, une attente. Une pulsation. Un soupir.
Quand elle ouvrit les yeux, il était là, encore, ses doigts mouillés, son regard plongé dans le sien, comme pour lui dire : je t’ai entendue. Pas seulement ton corps. Toi.
Et dans la chaleur de la mansarde, alors que le soir tombait lentement sur les toits de Paris, elle se laissa aller, contre lui, à lui. Sans cri. Juste ce souffle long, tremblé, que seuls les amants attentifs savent provoquer.
Elle rit doucement, enfouit son visage contre son torse. Et ils restèrent là, encore un moment, sans rien ajouter.
Un matelas au sol, une pile de livres, deux tasses encore tièdes sur le rebord d’un velux entrouvert. C’était début mai, et Paris avait cette chaleur douce qui délasse les épaules et éveille la peau.
Anna portait un jean élimé et un vieux sweat trop large, dont l’encolure béante laissait deviner un bout de clavicule et la naissance d’un sein. Julien la fixait. Il y avait chez elle cette lenteur féline, cette façon de ne pas combler le silence, de laisser les choses venir, même lui.
— Tu veux encore du thé ? murmura-t-elle.
— Non. Reste près de moi.
Elle s’était redressée. Leur proximité était maintenant palpable, presque tangible. La lumière de la fin d’après-midi glissait sur les poutres, dessinant des lignes obliques sur leur peau. Julien approcha sa main, hésita, puis effleura le rebord du sweat. Elle ne recula pas. Au contraire, elle l’aida à le retirer, dans un geste calme, presque solennel.
Sous le tissu, la peau d’Anna était tiède, laiteuse, parsemée de grains de beauté discrets qu’il eut envie de nommer un à un. Ses seins, ni petits ni provocants, semblaient simplement là, présents, naturels, comme si le jour les caressait à sa place. Ses tétons, rosés, se dressaient brûlants, plus sensibles à l’air qu’au regard.
Il se pencha, l’embrassa doucement, juste sous la mâchoire. Elle ferma les yeux. Son souffle se modula. Julien descendit lentement, embrassant la courbe de son épaule, la pente de son sternum. Ils faisaient glisser ses tétons entre ses doigts. Le jean glissa, dévoilant un string de coton clair, simple, qu’il écarta avec lenteur, du bout des doigts. Il découvrit un pubis épilé avec soin, sans affectation. La peau y était plus chaude, plus fine. Il sentit une odeur intime, légèrement musquée, mêlée de savon et de moiteur, comme un secret de fin de journée.
Anna, elle, le regardait maintenant avec une gravité douce. Elle déboutonna sa chemise à lui sans se presser. Ses mains glissèrent sur son torse, s’attardèrent sur les hanches. Quand elle atteignit la ceinture, elle s’arrêta. Le tissu tendu du pantalon ne cachait rien : la forme longue et ferme de sa verge y dessinait un relief sans équivoque. Elle approcha ses lèvres de son bas-ventre, effleurant la ligne fine de poils qui y menait, comme une invitation silencieuse.
Julien se déshabilla sans mot, lentement, et laissa leur peau se rejoindre. Mais Anna s’attarda. Elle glissa le pantalon le long de ses cuisses. Le tissu de son slip résista un instant, puis céda. Sa verge se libéra alors lentement, redressée, lourde de sang, massive, dressée dans la lumière tamisée de la fin d’après-midi.
Elle surgit brusquement, comme une évidence, naturelle, présente, vivante. La peau y était tendue, légèrement veinée, d’une teinte plus sombre que le reste de son corps. Le gland, presque nu, luisait à peine. Il s’imposait par sa taille, par sa netteté, sa forme pleine, équilibrée, cette tension paisible du corps prêt à aimer sans se hâter.
Anna resta un instant immobile, le regard posé sur lui, sans mot, comme si elle contemplait une chose rare, une beauté singulière, sans fard. Elle tendit la main, effleura la base, la courbe, puis le poids, cette chaleur là, dans la paume.
Puis elle s’assit, tenant toujours sa verge dans sa main, chaude et palpitante, encore tendue d’un désir patient. Du bout du pouce, elle fit coulisser la peau du prépuce, révélant mieux le gland avec lenteur, dans un mouvement régulier, presque méditatif. La membrane glissait comme une paupière sur un œil, dévoilant à chaque passage un peu plus de cette chair lisse, d’un rose dense, presque fragile.
Elle effleura le méat du bout de l’index, très légèrement. Julien frissonna, les yeux mi-clos, son souffle suspendu. Elle recommença, explorant la sensibilité du moindre repli, attentive à chaque tressaillement, chaque soupir. Elle ne cherchait pas à le faire jouir, pas encore. Elle l’apprenait et lui, entre ses mains, se laissait faire.
Le rythme s’était suspendu. Tout semblait tenir dans l’espace ténu entre son souffle et ses gestes. Puis, dans un tressaillement discret mais profond, la vague monta. Il eut un frisson, un souffle plus rauque, son bassin se tendit sous sa paume. Elle ne s’interrompit pas, tenant sa verge comme un calice, dans cette attente tranquille. Et alors, doucement, sa semence jaillit.
Pas en geyser, mais en pulsations lentes, épaisses, presque solennelles. Le premier jet fendit l’air, tiède et blanc, avant de retomber sur le bas de son ventre. D’autres suivirent, plus courts, plus denses, qui perlaient au bord du méat, glissant le long du gland, s’étalant dans les plis de sa peau.
Anna resta là, immobile, tenant toujours sa verge, vibrante comme un cœur apaisé. Elle observa la semence qui s’étalait doucement, opaline, vivante, et d’un geste lent, elle en suivit le tracé du bout du doigt.
Puis, penchée vers lui, elle approcha ses lèvres. Sa langue effleura le bas du ventre, là où quelques gouttes s’étaient posées. Le contact fut presque imperceptible. Elle remonta, explorant la peau avec lenteur, goûtant chaque trace, chaque perle de plaisir.
Arrivée au gland, elle déposa un baiser. Puis, du bout de la langue, elle effleura le méat, là où une ultime goutte hésitait encore. Elle la recueillit sans hâte, laissa sa bouche s’attarder une seconde, comme pour sceller un secret.
Alors seulement, elle releva les yeux. Il y avait dans son regard une lueur calme, profonde, presque grave. Julien lui sourit, sans dire un mot. Tout avait été dit par les corps.
Leurs corps s’étaient tus, encore haletants de la première vague. La lumière avait changé, dorée comme du miel épais, filtrée par le velux entrouvert. La ville, en contrebas, semblait s’être retirée, comme pour leur offrir un silence rare.
Anna était couchée sur le flanc, nue, un bras sous sa tête, l’autre posé nonchalamment sur sa hanche. Son dos dessinait une courbe douce, presque végétale. Julien s’était rapproché d’elle, ses doigts effleurant le bas de son ventre, à la lisière de la toison.
Il n’y avait aucune urgence. Juste ce besoin calme de la redécouvrir. Il s’installa entre ses cuisses, qu’elle écarta lentement, sans mot, en confiance. La chaleur qui s’échappait d’elle le frappa comme un souffle. Sa main glissa jusqu’à la jointure, et là, il s’arrêta un instant. Non pour hésiter, mais pour regarder.
La vulve d’Anna était entrouverte, comme un fruit à peine mûr. Les grandes lèvres, douces et pleines, semblaient garder en elles une tension paisible. Il les caressa du dos de l’index, les effleurant plus qu’il ne les touchait, et sentit la peau réagir sous ses doigts, s’offrir légèrement, vivante. À mesure qu’il s’aventurait, les lèvres s’humidifiaient, un peu, comme un soupir que le corps ne retient plus.
Il écarta lentement les grandes lèvres pour révéler les petites, plus foncées, plus fragiles, plissées comme un pétale tremblant. Sa main gauche restait posée à plat sur sa cuisse, pour la rassurer, pour dire je suis là, je ne presse rien. Puis son pouce remonta, très lentement, jusqu’à trouver le capuchon du clitoris, discret et nerveux, qui battait à peine sous la pulpe.
Il ne le toucha pas tout de suite. Il dessina d’abord un cercle autour, effleurant les bords, jouant avec la tension du repli, avec le frémissement des muscles autour. Anna avait fermé les yeux. Sa respiration s’était ralentie, plus profonde, plus basse, comme si chaque caresse pénétrait plus loin qu’un mot n’aurait pu le faire.
Julien glissa deux doigts plus bas, entre les lèvres, à l’entrée même de son sexe. Il sentit l’humidité tiède qui s’y formait, douce, accueillante, presque timide. Il l’explora du bout des doigts, lentement, comme on explore un passage secret. Son index effleura l’orifice, et elle eut un léger soubresaut, un soupir retenu.
Alors seulement, il revint au clitoris, cette fois plus franchement, mais sans violence. Il le découvrit du bout du doigt, comme une pierre chaude sous la peau. Il alternait caresses lentes et pauses, variations et silences, apprenant son rythme, comme on apprivoise une musique. Chaque mouvement faisait naître une vague, puis une autre. Anna se cambrait à peine, sa cuisse frémissait sous sa main, son ventre vibrait d’un souffle contenu.
Il approcha sa bouche. Y posa ses lèvres, son souffle. Puis sa langue, chaude et souple, glissa contre elle. Il ne la prit pas : il l’effleura, juste ce qu’il faut pour que son plaisir monte sans se briser. Un geste, une attente. Une pulsation. Un soupir.
Quand elle ouvrit les yeux, il était là, encore, ses doigts mouillés, son regard plongé dans le sien, comme pour lui dire : je t’ai entendue. Pas seulement ton corps. Toi.
Et dans la chaleur de la mansarde, alors que le soir tombait lentement sur les toits de Paris, elle se laissa aller, contre lui, à lui. Sans cri. Juste ce souffle long, tremblé, que seuls les amants attentifs savent provoquer.
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