La petite voleuse

- Par l'auteur HDS CDuvert -
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Récit libertin : La petite voleuse Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La petite voleuse
La nuit pesait, lourde. Dans le duplex sombre, seul le tic-tac d'une horloge brisait le silence. Marc pianotait des ordres d’achat sur son portable, en chemise et en jean. Un craquement l'arrêta net. Il se redressa. Un autre bruit, du salon. Quelqu'un était là.

Il se leva, pieds nus sur le parquet froid, saisit une lampe. Son cœur cognait mais il avançait, prudemment. Dans l'obscurité, une silhouette fine fouillait près de la fenêtre. Une femme. Jeune, nerveuse. Elle ne l'avait pas vu.

— Qui es-tu, bordel ? gronda-t-il.

La silhouette sursauta, laissa tomber un objet métallique. Elle se retourna. La lueur de la rue éclaira un visage juvénile, des yeux écarquillés de peur mais déterminés. Cheveux bruns en désordre, traits délicats, lèvres tremblantes.

— Je voulais pas... bégaya-t-elle, mains levées. S'il vous plaît, ne criez pas.

Marc s'approcha, la saisit par le bras, la plaqua contre le mur. Son souffle était court. Il sentait la chaleur de son corps sous le tissu fin.

— Tu crois que tu peux entrer chez les gens comme ça ? T'as cinq secondes avant que j'appelle les flics.

Elle grimaça sous sa poigne, mais ses yeux cherchèrent les siens, brillants de désespoir.

— Attendez... on peut s'arranger. Je ferai ce que vous voulez. Tout. Mais ne me livrez pas.

Marc fronça les sourcils, relâcha sa prise. Les mots résonnaient, lourds de sous-entendus. Il la détailla. Jeune, oui, mais son regard portait une maturité forcée, une dureté qui contrastait avec ses traits. Son pouls s'accéléra, non de colère, mais d'une curiosité malsaine qui montait, insidieuse.

— Ce que je veux ? répéta-t-il, sourire narquois. Et qu'est-ce que tu crois que je veux, gamine ?

Elle déglutit, ne détourna pas les yeux. Sa respiration était saccadée, il voyait sa poitrine se soulever sous le sweat. Elle passa une langue nerveuse sur ses lèvres.

— Je peux me donner à vous, murmura-t-elle. Si vous me laissez partir après. Pas de flics. Juste... ça.

Le silence fut électrique. Marc sentit une chaleur traîtresse envahir son bas-ventre. Il savait qu'il aurait dû refuser, appeler la police. Mais quelque chose dans sa voix, son regard, le clouait. Une promesse. Une tentation. Il relâcha son bras sans reculer. Il la dominait de toute sa hauteur, l'odeur de sa peau - sueur et fragrance féminine - le frappa.

— Tu crois que c'est si simple ? dit-il, voix plus basse, rauque. Tu penses que je vais accepter ton marché sans rien vérifier ? Je veux voir ce que tu proposes. Déshabille-toi. Lentement.

Elle tressaillit, joues s'empourprant. Mais elle ne protesta pas. Ses doigts tremblants saisirent le bas de son sweat. Elle hésita, chercha une échappatoire, puis se résigna. Elle releva le tissu, dévoilant un ventre plat, peau hâlée, marquée d'une cicatrice près du nombril. Marc sentit sa gorge se serrer. Ce geste si banal faisait monter en lui une vague de désir brut.

— Continue, ordonna-t-il, ton sec mais chargé de tension.

Elle obéit, retira le sweat. Dessous, un soutien-gorge noir usé mais moulant soulignait la courbe de ses seins. Sa respiration était plus rapide, chair de poule sur ses bras. Peur ? Honte ? Autre chose ? Il voulait le découvrir.

— Le reste, dit-il, bras croisés, regard rivé au sien. Je veux tout voir.

Elle baissa les yeux, mains descendant vers sa ceinture. Le son de la boucle métallique résonna, assourdissant dans le silence. Marc sentit son souffle s'alourdir. Cette lenteur, cette soumission le fascinait. Il lisait le conflit sur son visage, la lutte entre peur et nécessité. Et pourtant, elle continuait.

Le jean glissa le long de ses cuisses, révélant des jambes fines mais musclées. Elle se tenait en sous-vêtements, vulnérable, exposée sous son regard perçant. L'air était épais, chargé de tension. Marc s'approcha, son ombre la recouvrant. Il sentait la chaleur de son corps, entendait le tremblement de son souffle.

— Tourne-toi, murmura-t-il, voix presque un grognement.

Elle obéit, pivotant lentement, lui offrant son dos, la courbe de ses hanches, la ligne de sa colonne vertébrale. Il serra les poings pour se retenir de la toucher. Pas encore. Il voulait prolonger ce moment, savourer cette montée d'adrénaline, ce pouvoir qu'il avait sur elle. Quelque chose en lui, une part sombre, s'éveillait, affamée.

— Alors, qu'est-ce que t'en penses ? demanda-t-elle soudain, voix brisée mais teintée de défi. Tu veux toujours appeler les flics ?

Marc ne répondit pas. Il la regardait, détaillant chaque centimètre de sa peau, chaque frisson qui la parcourait. Son esprit était un chaos de pensées contradictoires. Colère, désir, curiosité. Il jouait avec le feu, mais n'était pas prêt à éteindre les flammes.

L'air s'était épaissi encore. Marc se tenait face à la jeune femme, son regard dur troublé par une lueur de curiosité malsaine. Elle, à demi dévêtue, se tenait immobile, bras croisés sur sa poitrine. Le silence pesait, brisé seulement par leurs respirations courtes.

— Comment tu t'appelles ? demanda-t-il soudain, voix basse, murmure teinté d'autorité. Et t'as quel âge ?

Elle releva la tête, ses yeux rencontrant les siens. Pas un regard fuyant, non, mais un défi, une tentative de reprendre contrôle dans cette situation où elle n'en avait aucun. Ses pupilles, d'un brun profond, brillaient de peur contenue mais aussi d'une résilience qui le déstabilisait. Ce regard le troublait. Il y lisait une vulnérabilité brute, mais aussi une force inattendue. Il se demanda ce qui l'avait poussée à entrer chez lui, à risquer tout ça. Désespoir ? Nécessité ? Ou quelque chose de plus sombre encore ?

— Je m'appelle Lila, répondit-elle, voix tremblante mais claire, sans détourner les yeux. J'ai dix-neuf ans.

Elle le fixait toujours, et Marc sentit une chaleur traîtresse monter en lui. Pas seulement son apparence, mais cette intensité dans son regard, ce mélange de crainte et de défi qui semblait le provoquer. Il s'imagina ce qu'elle cachait derrière ces yeux, quelles histoires, quels secrets. Son esprit s'égarait, il se força à revenir au moment présent, à cette pièce sombre où l'odeur de la nuit et de leur tension mêlées flottait.

— Dix-neuf ans, répéta-t-il, sourire narquois. T'es jeune pour ce genre de jeu, Lila.

Il recula d'un pas, croisa les bras, son regard glissant sur elle avec une lenteur délibérée. Il voyait la chair de poule sur ses bras, ses épaules qui se crispaient sous son examen. Une part de lui savourait ce pouvoir, cette domination qu'il exerçait. Mais une autre part, plus enfouie, se demandait jusqu'où il était prêt à aller. Était-ce vraiment un marché ? Ou juste une excuse pour céder à des pulsions qu'il n'osait nommer ?

— Enlève le reste, ordonna-t-il, voix plus rauque qu'il ne l'aurait voulu, trahissant une émotion qu'il peinait à masquer. Tout. Je veux te voir nue.

Lila tressaillit, joues s'empourprant davantage. Ses doigts hésitèrent, tremblants, alors qu'elle portait les mains à l'agrafe de son soutien-gorge. Marc sentit son pouls s'accélérer, une vague de désir brut le traversant, mêlée à une pointe de culpabilité qu'il repoussa. Il voulait la voir, oui, mais il y avait aussi ce besoin de la pousser dans ses retranchements, de tester ses limites. Pour la punir d'être entrée chez lui ? Ou pour s’offrir quelque chose à lui-même ? Il ne savait pas, mais ne pouvait détourner les yeux.

Elle dégrafa le soutien-gorge avec une lenteur douloureuse, comme si chaque mouvement lui coûtait un effort immense. Le tissu glissa de ses épaules, révélant de petits seins fermes, à peine galbés, d'une délicatesse qui contrastait avec la dureté de son regard. Ses mamelons, d'un rose pâle, se dressaient sous l'effet du froid ou de la honte. Il déglutit, son regard s'attardant sur cette peau exposée, si vulnérable sous la lumière tamisée. Il voyait les fines veines bleutées sous la surface, la douceur apparente de cette chair qu'il n'avait pas encore touchée. Une chaleur sourde montait en lui, un désir qu'il ne pouvait nier, mais qu'il contenait encore, savourant cette attente.

— Continue, le bas, grogna-t-il, ton plus sec, presque impatient.

Lila baissa les yeux cette fois, incapable de soutenir son regard. Ses mains descendirent vers sa culotte, un simple morceau de tissu noir, usé. Elle hésita, doigts tremblant sur l'élastique, et Marc sentit une tension nouvelle s'installer, un mélange de pouvoir et de malaise. Elle ne voulait pas faire ça, c'était évident, mais elle n'avait pas le choix. Et lui, il le savait. Une part de lui s'en délectait, l'autre s'en méprisait.

Elle fit glisser le tissu le long de ses hanches, révélant une toison pubienne sombre, soigneusement taillée mais naturelle, un triangle discret qui contrastait avec la pâleur de sa peau. Marc sentit son souffle se couper. Il y avait quelque chose de brut, d'organique dans cette vision, quelque chose qui le ramenait à des instincts qu'il préférait ignorer. Ses cuisses, fines mais musclées, portaient des marques de vie, petites cicatrices ici et là, traces d'une existence à la dure. Sa peau, légèrement hâlée, semblait douce malgré tout, et il voyait un frisson la parcourir, mélange de froid et de honte.

Son ventre, plat mais pas parfaitement lisse, montrait une petite rondeur naturelle sous le nombril, détail qui la rendait plus réelle, plus humaine. Ses hanches, étroites, formaient une courbe subtile qui attirait le regard vers le bas, vers cette intimité qu'elle dévoilait à contrecœur. Marc détaillait chaque centimètre, chaque imperfection, et pourtant, c'était précisément cela qui attisait son désir. Ce n'était pas une image idéalisée, mais une femme, là, devant lui, vulnérable et exposée. Il entendait le froissement du tissu tombant au sol, le son de sa respiration hachée, et l'odeur de sa peau, mélange de sueur et de quelque chose de plus intime, flottait jusqu'à lui.

— Tourne-toi encore, dit-il, voix plus basse, presque un murmure, mais chargée d'intensité.

Lila obéit, mouvements lents, presque mécaniques. Son dos se dévoila à nouveau, la ligne de sa colonne vertébrale descendant jusqu'à la courbe de ses fesses, petites mais rondes, marquées par de légères stries, traces de croissance ou de vie. Marc sentit une pulsion le traverser, un besoin de toucher, de posséder, mais il se retint, poings serrés. Il voulait prolonger ce moment, cette tension qui montait entre eux, ce jeu de pouvoir et de soumission qui semblait les lier malgré eux.

— Alors, t'es content ? lança-t-elle soudain, voix brisée mais teintée de sarcasme, comme si elle tentait de reprendre un semblant de dignité. Ça te suffit pour me laisser partir ?

Marc ne répondit pas. Il la regardait, immobile, bousculé par un chaos de pensées contradictoires. Le désir, oui, mais aussi une forme de respect pour sa ténacité, pour cette façon qu'elle avait de ne pas se briser complètement sous son regard. Il jouait un jeu dangereux, mais n'était pas prêt à y mettre fin.

— On verra, murmura-t-il enfin, sourire sombre. On n'a pas encore fini de discuter, toi et moi.

L'atmosphère était devenue irrespirable, saturée d'une tension qui vibrait entre eux. Marc faisait face à Lila, son regard ne quittant pas le corps dénudé. Il sentait son propre cœur battre plus fort, une chaleur sourde envahissant chaque fibre de son être. Il fit un pas vers elle, sa voix descendant d'un ton, rauque et chargée d'honnêteté brute.

— Lila, faut que je te dise un truc, murmura-t-il, ses yeux plongeant dans les siens. Tu me plais. Vraiment. Ton corps... putain, il me rend dingue. Je peux pas m'empêcher de te regarder, de vouloir te toucher.

Lila tressaillit, joues s'empourprant sous l'intensité de ses mots. Ses yeux glissèrent instinctivement vers le bas, elle remarqua la bosse évidente sous le tissu du pantalon de Marc. Une vague de chaleur inattendue la traversa, mêlée à une pointe de gêne. Elle releva les yeux, croisant à nouveau son regard, et un frisson la parcourut. Elle ne savait pas si c'était de la peur, de la honte, ou autre chose, quelque chose de plus trouble.

— Je... je vois ça, balbutia-t-elle, voix tremblante mais teintée d'une curiosité qu'elle ne pouvait masquer. T'es pas discret, tu sais.

Marc esquissa un sourire, rictus presque prédateur, mais ses yeux trahissaient une vulnérabilité qu'il ne montrait pas souvent. Il passa une main dans ses cheveux, puis ses doigts descendirent vers les boutons de sa chemise.

— Alors, laisse-moi t’en montrer un peu plus, dit-il, voix basse, presque un grognement. Si t'es d'accord pour jouer à ce jeu, autant qu'on soit à égalité.

Il défit les boutons un à un, avec une lenteur délibérée, laissant le tissu s'ouvrir peu à peu. Sa poitrine musclée se dévoila, marquée par une fine toison brune qui plongeait en une ligne sombre vers son ventre. Ses épaules larges et ses bras puissants trahissaient une force contenue, et chaque mouvement faisait jouer ses muscles sous la lumière tamisée. L'odeur de sa peau, mélange de sueur et de fragrance masculine brute, flottait jusqu'à Lila, ajoutant une couche de réalité crue à ce moment.

Lila eut soudain le souffle court. Elle ne voulait pas l'admettre, mais une part d'elle, enfouie sous la peur et la méfiance, était attirée par cet homme. Par cette force qu'il dégageait, par cette assurance mêlée à une tension palpable. Par cette promesse de sécurité qui émanait de lui. Ses yeux parcouraient son torse, s'attardant sur chaque détail, et une chaleur traîtresse naquit au creux de son ventre. Elle se mordit la lèvre, luttant contre cette sensation. Voulait-elle encore partir ? Elle n'en était plus si sûre. L'idée de fuir s'effaçait peu à peu, remplacée par une curiosité malsaine, un désir de voir jusqu'où cela pourrait aller. Mais elle se taisait, incapable de formuler ce trouble qui l'envahissait.

Marc, percevant son hésitation, s'approcha d'un pas. Sans un mot, il tendit les mains et saisit ses poignets avec une fermeté qui ne laissait aucune place à la résistance. Il la plaqua contre le mur, le froid de la surface contrastant avec la chaleur de son corps. Lila laissa échapper un petit hoquet, surprise par la soudaineté du geste, mais elle ne se déroba pas. Ses yeux cherchaient les siens, brillants d'un mélange de crainte et d'anticipation.

Puis, sans lui laisser le temps de réagir, Marc se pencha et l'embrassa. Ce n'était pas un baiser tendre, mais un baiser vorace, chargé d'une urgence brute. Ses lèvres s'écrasèrent contre les siennes, dures et exigeantes, tandis que sa langue forçait le passage, explorant sa bouche avec une intensité qui la fit frissonner. Il y avait dans ce contact une faim presque animale, un besoin de posséder, de goûter. Lila sentit son corps répondre malgré elle, ses lèvres s'entrouvrant sous la pression, un gémissement étouffé lui échappant tandis que ses hanches se tendaient contre les siennes. Le goût de sa bouche, légèrement salé, mêlé à une pointe d'amertume, l'envahissait, et elle sentait la chaleur de son souffle contre sa peau.

Leurs corps se pressaient l'un contre l'autre, poitrine contre poitrine, la friction de leurs peaux envoyant des décharges électriques à travers elle. Ses mamelons sensibles s'écrasaient contre son torse dur, et elle sentait chaque mouvement de ses muscles, chaque battement de son cœur. La chaleur de son corps semblait l'envelopper, contrastant avec le froid du mur dans son dos. Ses poignets, toujours prisonniers des mains masculines, étaient maintenus au-dessus de sa tête, ajoutant une dimension de soumission à ce moment intense. L'odeur de sa peau, plus forte maintenant qu'ils étaient si proches, l'enivrait, mélange de musc et de désir brut.

Marc s'écarta enfin, rompant le baiser, mais son visage restait à quelques centimètres du sien. Ses yeux, sombres et brûlants, la scrutaient, cherchant une réponse dans son regard. Sa respiration était lourde, saccadée, et une fine pellicule de sueur brillait sur son front. Il relâcha légèrement ses poignets, mais ne recula pas, son corps toujours pressé contre le sien, comme s'il ne pouvait se résoudre à briser ce contact.

— Alors, Lila, murmura-t-il, voix rauque, presque un grondement. T'es d'accord pour continuer ? Ou tu préfères partir maintenant ?

Il y avait dans sa question une tension palpable, un mélange de défi et d'attente. Lila sentit son cœur s'emballer, son esprit un chaos de pensées contradictoires. La peur était toujours là, mais elle était noyée sous une vague de désir qu'elle ne pouvait ignorer. Ses lèvres, encore humides de leur baiser, tremblaient légèrement, et elle sentait la chaleur de son corps contre le sien, une promesse de quelque chose de plus, de plus intense. Que voulait-elle vraiment ? Elle ne savait pas, mais une chose était sûre : elle n'était pas prête à mettre fin à ce moment.

Sans réfléchir, elle se précipita contre Marc, ses bras fins entourant son torse musclé, ses doigts s'agrippant à sa peau chaude comme si elle cherchait un ancrage. Elle colla sa joue contre sa poitrine, sentant la fermeté de ses muscles sous sa peau, le battement sourd de son cœur résonnant contre son visage. Une odeur masculine, mélange de sueur et de quelque chose de plus profond, l'enveloppa, et elle ferma les yeux un instant, laissant cette chaleur l'apaiser.

Marc, surpris par ce geste soudain, resta figé une seconde. Il ne s'attendait pas à cette tendresse, à cette reddition soudaine. Puis, il comprit. Ce n'était pas seulement du désir ou de la peur. C'était un manque, un besoin d'affection, d'être tenue, d'être acceptée. Une douleur ancienne qu'il pouvait presque sentir à travers ce contact. Lentement, il referma ses bras autour d'elle, la serrant contre lui avec une tendresse qui le surprit lui-même. Ses mains, larges et puissantes, caressaient le dos nu de la jeune femme, effleurant la courbe de sa colonne vertébrale, et il sentit son propre souffle se calmer, comme si ce moment suspendait la tension brute qui les avait dominés jusque-là.

Lila ne resta pas immobile longtemps. Sans échapper à son étreinte, elle fléchit les jambes doucement, et glissa contre lui, son visage descendant le long de sa poitrine, frôlant la ligne de poils bruns qui traçait un chemin vers son ventre. Ses joues, encore humides d'émotion, effleuraient sa peau, et Marc sentit un frisson le traverser. Ses doigts, tremblants mais déterminés, atteignirent la ceinture de son jean. Elle défit la boucle avec une maladresse touchante, le cliquetis métallique résonnant dans le silence.

Marc, le souffle court, posa une main sur la sienne, l'aidant à abaisser la fermeture éclair. Le son du zip, lent et délibéré, semblait amplifier la tension qui montait à nouveau entre eux. Il écarta les pans de son jean, puis fit glisser son caleçon, libérant son sexe déjà dur, tendu par le désir qu'il ne pouvait plus contenir. Lila, à genoux maintenant, leva les yeux vers lui un instant, son regard brillant d'un mélange de nervosité et d'une curiosité presque enfantine. Elle déglutit, ses lèvres s'entrouvrant légèrement, et Marc sentit une vague de chaleur l'envahir devant cette image, cette soumission qu'elle offrait sans un mot.

Elle tendit une main hésitante, ses doigts fins effleurant d'abord la base de son membre, explorant sa texture, sa chaleur. Marc laissa échapper un grognement sourd, ses muscles se crispant au contact. Lila, encouragée par sa réaction, resserra légèrement sa prise, fit glissser ses doigts le long de sa longueur avec une lenteur qui semblait presque calculée. Elle sentait les veines sous sa peau, la pulsation de son désir, et une chaleur traîtresse naquit au creux de son propre ventre. L'odeur de son intimité, musquée et brute, l'enveloppait, ajoutant une couche de réalité crue à ce moment de découverte.

Puis, elle se pencha en avant, ses lèvres frôlant d'abord le bout, un contact timide mais chargé d'intentions. Marc serra les poings, luttant pour garder le contrôle alors qu'une décharge de plaisir le traversait. Lila, plus assurée maintenant, ouvrit la bouche, le prenant lentement, sa langue effleurant la peau sensible du gland avec une douceur qui contrastait avec l'intensité de son désir. Elle commença à bouger, ses lèvres glissant le long de lui, d'abord hésitantes, puis plus confiantes, trouvant un rythme. Le son humide de sa bouche, mêlé à ses propres respirations hachées, emplissait la pièce, un écho cru de leur intimité.

Marc sentit son souffle se raccourcir, ses hanches se crisper sous la chaleur humide de sa bouche. Il baissa les yeux, captivé par la vision des cheveux bruns de Lila tombant en mèches désordonnées autour de son visage, par la façon dont ses lèvres s'étiraient autour de lui, par la concentration appliquée dans ses mouvements. Elle alternait entre des caresses lentes, presque taquines, et des succions plus profondes, plus intenses, ses mains venant soutenir son geste, pressant la base de son sexe avec une fermeté qui le faisait gémir. Chaque sensation était amplifiée, chaque frôlement de sa langue, chaque vibration de ses petits soupirs contre sa peau, le poussant un peu plus près du bord.

Lila, malgré elle, sentit une satisfaction monter en elle. Elle mesurait son pouvoir à la façon dont il réagissait à chacun de ses gestes, dans les grognements rauques qu'il laissait échapper. Ses propres joues étaient brûlantes, son souffle court, et une humidité traîtresse se formait entre ses cuisses, un désir qu'elle ne voulait pas nommer mais qui était bien là. Elle accéléra légèrement, ses lèvres et sa langue travaillant en tandem, explorant chaque réaction de son corps, chaque frisson qu'elle provoquait.

Marc, sentant la tension atteindre un point critique, posa une main sur sa tête, ses doigts s'enfonçant dans ses cheveux. Il grogna, sa voix rauque et brisée.

— Stop... attends, murmura-t-il, repoussant doucement mais fermement sa tête en arrière juste avant de céder.

Lila s'écarta, le souffle court, ses lèvres humides et légèrement gonflées, ses yeux levés vers lui avec une lueur de confusion et d'anticipation. Marc respirait lourdement, son torse se soulevant à un rythme rapide, une fine pellicule de sueur brillant sur sa peau. Il la regardait, luttant pour reprendre le contrôle, son désir toujours palpable, mais contenu, pour l'instant. L'air vibrait entre eux, chargé de la promesse de ce qui allait suivre, et qu'aucun des deux ne pouvait ignorer.

Marc, encore haletant, posa une main ferme mais douce sur l'épaule de Lila. Il la guida lentement vers le canapé, ses doigts effleurant sa peau nue, envoyant des frissons le long de son bras. La pièce, baignée dans une lumière tamisée, vibrait d'une tension toujours palpable, l'odeur de leurs corps mêlés flottant dans l'air. Il la fit s'allonger à moitié sur le dos, ses jambes légèrement écartées, son torse incliné contre les coussins usés. Elle le regardait, ses yeux bruns brillant d'un mélange de nervosité et d'anticipation, ses lèvres encore humides de leur échange précédent.

Il s'agenouilla près d'elle, son regard sombre parcourant chaque courbe de son corps exposé. Puis, sa voix rauque brisa le silence, chargée d'une promesse lourde de désir.

— Je veux que tu jouisses d'abord... pour prix d'avoir accepté de rester, murmura-t-il, ses mots pesant dans l'air comme une caresse.

Lila déglutit, ses joues s'empourprant davantage. Elle sentit une chaleur traîtresse envahir son bas-ventre, mélange de gêne et d'excitation face à cette déclaration si directe. Elle passa une langue nerveuse sur ses lèvres, cherchant ses mots, sa voix tremblante mais teintée d'une curiosité qu'elle ne pouvait masquer.

— D'accord... fais-moi ce que tu veux, répondit-elle, presque un chuchotement, ses yeux cherchant les siens comme pour s'assurer qu'elle pouvait lui faire confiance dans ce moment de vulnérabilité.

Marc esquissa un sourire, rictus à la fois tendre et prédateur. Il se pencha sur elle, ses mains glissant le long de ses cuisses, écartant doucement ses jambes pour s'installer entre elles. Il sentait la chaleur de sa peau, la tension dans ses muscles, et l'odeur intime de son excitation, un parfum brut et enivrant qui le frappait de plein fouet. Il commença par effleurer l'intérieur de ses cuisses, ses lèvres frôlant la peau sensible, déposant des baisers légers qui faisaient frissonner Lila. Chaque contact était délibéré, lent, comme s'il voulait prolonger l'anticipation, faire monter le désir en elle avant de s'aventurer plus loin.

Puis il poursuivit vers le haut, son souffle chaud caressant l’intimité de Lila avant que sa bouche ne se pose sur elle. Sa langue, d'abord timide, explora les plis de sa chair, goûtant la saveur légèrement salée de sa peau, un mélange unique qui l'enivrait. Il traça des cercles lents autour de son clitoris, prenant soin de ne pas aller trop vite, de ne pas brusquer les sensations. Lila laissa échapper un soupir, ses mains se crispant sur les coussins, ses hanches se tendant instinctivement vers lui. La chaleur de sa bouche, la douceur humide de sa langue contre sa chair intime, envoyait des vagues de plaisir à travers son corps, chaque mouvement amplifiant la tension qui montait en elle.

Marc resserra sa prise sur ses cuisses, ses doigts s'enfonçant légèrement dans sa peau, la maintenant en place alors qu'il intensifiait ses caresses. Sa langue alternait entre des mouvements lents, presque taquins, et des pressions plus fermes, plus insistantes, explorant chaque réaction de son corps. Il entendait ses soupirs se transformer en gémissements étouffés, sentait ses muscles se tendre sous ses mains, et cela ne faisait qu'attiser son propre désir. Il glissa un doigt en elle, doucement, testant sa réaction, et le combina avec les mouvements de sa langue, cherchant ce point précis qui la ferait basculer.

Lila sentit son souffle se raccourcir, une chaleur intense se propageant depuis son bas-ventre jusqu'à chaque extrémité de son corps. Chaque caresse de sa langue, chaque pression des doigts, semblait déverrouiller quelque chose en elle, une tension qui montait inexorablement. Ses mains lâchèrent les coussins pour s'agripper aux cheveux de Marc, tirant légèrement, un geste instinctif qui trahissait son besoin de plus, de tout. La sensation était presque trop forte, mélange de plaisir et de vulnérabilité qui la laissait pantelante. Elle entendait le son humide de la bouche qui la dévorait, le frottement de ses propres hanches contre le tissu du canapé, et l'odeur de leur intimité mêlée semblait remplir la pièce.

Enfin, la vague déferla. Son corps se tendit d'un sursaut, un cri rauque s'échappant de sa gorge alors que l'orgasme la transperçait, violent et libérateur. Des spasmes secouèrent ses cuisses, ses mains se crispèrent dans les cheveux de Marc, et une chaleur liquide sembla se répandre en elle, la laissant tremblante et essoufflée. Marc ralentit ses mouvements, prolongeant les dernières ondes de plaisir avec des caresses plus douces, sa langue effleurant à peine sa chair hypersensible. Il releva enfin la tête, ses lèvres humides brillant dans la lumière tamisée, un sourire taquin se dessinant sur son visage alors qu'il observait son expression, ses yeux mi-clos, son souffle encore irrégulier.

Il se redressa et s'allongea à ses côtés sur l'étroit canapé, leurs corps collés l'un contre l'autre dans cet espace exigu. La chaleur de sa peau contre la sienne était presque suffocante, mais étrangement réconfortante. Marc passa un bras autour d'elle, la serrant tendrement contre lui, ses doigts caressant doucement son épaule. Lila, encore sous le choc de l'intensité de ce qu'elle venait de vivre, posa sa tête contre son torse, écoutant le battement régulier de son cœur. Puis, d'un geste hésitant mais déterminé, elle glissa une main vers le bas, ses doigts fins se refermant autour de son sexe encore dur, commençant à le caresser avec une lenteur presque provocante. Elle sentait sa chaleur, sa pulsation sous sa paume, et une nouvelle vague de désir, plus douce mais tout aussi présente, naquit en elle.

Marc laissa échapper un grognement sourd, ses muscles se crispant sous son toucher. Il baissa les yeux vers elle, son regard chargé d'une tendresse inattendue mêlée à une tension sexuelle toujours vive. Sa voix, rauque mais douce, brisa le silence.

— Tu as choisi de rester, mais ce que je t'offre, c'est de rester pour de bon, murmura-t-il, ses doigts resserrant légèrement leur prise sur son épaule. Veux-tu rester vivre avec moi ?

Lila sentit son cœur s'emballer, une chaleur différente, plus profonde, envahissant sa poitrine. Ses doigts s'immobilisèrent un instant autour de lui, comme si elle pesait ses mots, ses implications. Elle releva les yeux vers lui, cherchant une vérité dans son regard, une sincérité derrière cette proposition si soudaine. La tension sexuelle entre eux était toujours là, palpable dans la façon dont leurs corps se pressaient l'un contre l'autre, dans la chaleur de sa main sur lui, mais il y avait aussi une douceur, une vulnérabilité dans sa voix qui la touchait d'une manière qu'elle n'attendait pas.

Elle ne répondit pas tout de suite, ses lèvres s'entrouvrant légèrement, son souffle court. Ses doigts reprirent leur mouvement, plus lents, presque tendres, comme si elle cherchait à prolonger ce moment suspendu entre désir et émotion. L'air vibrait autour d'eux, chargé d'une promesse, d'une question qui pesait bien plus lourd que les actes qu'ils venaient de partager.

Lila, encore enveloppée dans la chaleur de leurs corps collés l'un contre l'autre, se souleva légèrement sur le canapé étroit. Ses yeux, brillants d'une lueur mêlant désir et une douceur nouvelle, cherchaient ceux de Marc. D'un geste hésitant mais décidé, elle guida de sa main le sexe de Marc, toujours dur et pulsant de désir, vers l'entrée de son vagin. Elle frotta doucement le gland contre ses lèvres intimes, un contact léger mais électrisant qui fit frissonner leurs deux corps. La sensation, humide et chaude, envoya une vague de chaleur à travers elle, et elle sentait son propre désir renaître, plus profond, plus urgent.

Marc, le souffle court, posa une main sur sa hanche, ses doigts s'enfonçant légèrement dans sa chair. Il la regardait, cherchant une confirmation dans ses yeux, une assurance qu'elle voulait vraiment aller plus loin. Sa voix, rauque mais teintée d'une tendresse inattendue, brisa le silence.

— Tu veux bien ? murmura-t-il, son regard intense ne quittant pas le sien.

Lila déglutit, un sourire timide se dessinant sur ses lèvres. Elle hocha la tête, sa voix à peine audible mais ferme.

— Oui.

Marc avança les reins, lentement, avec une retenue qui contrastait avec l'intensité brute de leurs échanges précédents. Il la pénétra doucement, centimètre par centimètre, laissant leurs corps s'habituer à cette union. Lila laissa échapper un soupir, ses yeux se fermant un instant sous la sensation de plénitude qui l'envahissait. Ils étaient allongés côte à côte, sur le flanc, leurs corps parfaitement alignés, comme deux égaux partageant un moment d'intimité profonde. Ses jambes s'entrelacèrent aux siennes, sa poitrine pressée contre son torse, et chaque mouvement semblait synchronisé, naturel, presque instinctif.

Marc commença à bouger, ses hanches ondulant avec une lenteur délibérée, chaque poussée profonde mais mesurée, comme s'il voulait savourer la moindre seconde de ce contact. Lila sentit son souffle se raccourcir, ses mains s'agripper à ses épaules, ses ongles s'enfoncer dans sa peau. La sensation de son sexe en elle, dur et chaud, la remplissait d'une chaleur qui se propageait à tout son être. Chaque frottement, chaque glissement, envoyait des vagues de plaisir à travers son bas-ventre, une montée progressive qui contrastait avec l'urgence de leurs premiers échanges. L'odeur de leurs corps, mélange de sueur et d'intimité, flottait autour d'eux, ajoutant une couche de réalité crue à ce moment tendre.

Marc, lui, ressentait chaque détail avec une acuité presque douloureuse. La chaleur humide de la jeune femme autour de lui, la façon dont ses muscles se contractaient à chaque mouvement, le son de ses soupirs contre son oreille, tout cela attisait un désir qu'il contenait avec peine. Mais il y avait aussi une émotion plus profonde, une douceur qu'il n'avait pas anticipée. Il glissa une main sous sa nuque, la soutenant, ses doigts caressant lentement ses cheveux tandis qu'il continuait à bouger en elle, ses lèvres effleurant son front dans un geste de tendresse inattendu. Il voulait lui donner du plaisir, oui, mais aussi quelque chose de plus, une sécurité, une présence dont il la sentait en manque.

Lila, les yeux mi-clos, se laissait emporter par les sensations. Chaque poussée de Marc touchait un point précis en elle, une zone de plaisir qui faisait monter la tension à un rythme inexorable. Ses hanches répondaient aux siennes, un mouvement instinctif, presque désespéré, cherchant à approfondir ce contact. Elle sentait son torse contre ses seins, la friction de leurs peaux nues, et une chaleur liquide se formait au creux de son ventre, un signe qu'elle approchait du bord. Ses gémissements, d'abord étouffés, devinrent plus audibles, des sons rauques qui trahissaient l'intensité de ce qu'elle ressentait.

Marc sentit son propre contrôle vaciller, la tension montant en lui comme une vague prête à déferler. Il accéléra légèrement, ses mouvements toujours profonds mais plus insistants, ses grognements se mêlant à ses soupirs. Il la sentait proche elle aussi, ses muscles se resserrant autour de lui, ses mains s'agrippant plus fort à ses épaules. Il murmura son nom “Lila”, presque un grondement, comme pour l'encourager à lâcher prise.

Lila cria, un son aigu et désespéré. « Oui ! oui ! » Ses jambes tremblaient, ses muscles se contractaient autour de lui, et Marc sentit qu’elle était au bord du gouffre.

Il se pencha en avant, son torse collé à son dos, et mordilla la peau de son épaule, laissant une marque rouge. « Laisse-toi venir », murmura-t-il à son oreille, son souffle chaud contre sa nuque. A ces mots, l’orgasme la frappa comme une vague déferlante. Lila se tendit contre lui, son corps entier raidi de jouissance, un cri strident s’échappant de sa gorge. Ses parois internes se resserrèrent violemment autour de la queue de Marc, l’enserrant dans une pulsation rythmée, presque douloureuse tant c’était intense.

Des spasmes incontrôlables secouèrent son corps, ses cuisses tremblantes, ses doigts griffant les coussins comme pour s’ancrer à quelque chose. Une chaleur explosive se répandit en elle, partant de son bas-ventre pour irradier jusqu’à ses orteils, la laissant pantelante, à bout de souffle. « Oh mon Dieu… oh mon Dieu… », répétait-elle, la voix brisée, tandis que des larmes de plaisir perlaient au coin de ses yeux.

Marc, lui, ne pouvait plus tenir. La sensation de son sexe qui se contractait autour de lui, ces pulsations brûlantes, c’était trop. Il lâcha un grognement rauque, guttural, qui résonna dans la pièce comme un cri primal. Ses mains se crispèrent sur les hanches de Lila, ses ongles s’enfonçant dans sa peau, et il se libéra en elle. De longues giclées chaudes jaillirent, inondant son intérieur, chaque jet accompagné d’une vague de plaisir si intense qu’il en tremblait. Ses hanches continuaient de bouger par réflexe, prolongeant l’extase, chaque mouvement arrachant un frisson à son corps épuisé. « Mon amour… Lila… », murmura-t-il, la voix cassée, alors que son orgasme semblait ne jamais vouloir s’arrêter, le vidant de toute énergie.

Leurs corps restèrent collés l’un à l’autre, soudés par la sueur et le désir. La respiration de Lila était hachée, entrecoupée de petits gémissements alors qu’elle redescendait lentement de son nuage. Marc, toujours en elle, ne bougeait plus, savourant la sensation de son sexe encore dur, baignant dans leur mélange de fluides.

Pendant un long moment, ils ne bougèrent pas, encore enveloppés dans la chaleur de l'orgasme partagé. Puis, Marc glissa une main le long de son dos, caressant doucement la peau encore frémissante de Lila. Il déposa un baiser léger sur son front, un geste tendre qui contrastait avec la passion brute qu'ils venaient de vivre. Lila, les yeux encore fermés, se blottit contre lui, sa tête reposant contre son torse, ses doigts traçant des cercles paresseux sur sa peau. Une paix s'installa entre eux, mélange de satisfaction physique et d'une connexion émotionnelle qu'aucun des deux n'avait anticipée.

Enfin, Lila releva les yeux vers lui, son regard doux mais déterminé. Sa voix, encore tremblante d'émotion, brisa le silence.

— Je veux rester avec toi, murmura-t-elle, en articulant ses mots. Aussi longtemps que tu voudras de moi.

Marc la regarda, un sourire tendre se dessina sur ses lèvres. Il resserra son étreinte autour d'elle, ses doigts caressant ses cheveux avec une douceur presque possessive. Sa voix, rauque mais chargée d'une promesse, répondit à son tour.

— Alors, pour toujours, dit-il simplement, ses yeux ne quittant pas les siens.

L'air entre eux semblait vibrer d'une nouvelle énergie, mélange de tendresse et d'une certitude naissante. Ils restèrent ainsi, enlacés sur le canapé étroit, leurs corps encore collés, leurs respirations se calquant l'une sur l'autre, comme si le monde extérieur avait cessé d'exister, ne laissant que ce moment, ce serment qu'ils venaient de sceller.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très joli texte toutes les descriptions sont incroyables de vérité. Cette histoire de sexe sans vulgarité nous emmène et nous fait vivre l’orgasme ressenti. A relire pour en apprécier chaque détail. Daniel



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Histoire sexe : Une rose rouge
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