la poilue!

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : la poilue! Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
la poilue!
À mon arrivée, Élodie se tient sur sa chaise comme d’habitude, à un détail près, elle a là les cuisses écartées. La blouse remontée jusqu’aux hanches. Elle ne bouge pas, ne fait pas le moindre mouvement pour cacher sa culotte. Au lieu de détourner le regard, comme l’aurait toute personne bien élevée, et bien moi, je me place en face de son sexe.
Je dois me contenir pour ne pas profiter de la situation, pour me jeter dessus. Pour ma plus grande satisfaction, voilà qu’Élodie se cale bien en arrière sur son fauteuil. Posant les deux jambes en appui sur les accoudoirs. Tendant la culotte sur le côté. Exhibant son anus. Une auréole bistre, éraflée au milieu d’un fin plumet. La voir ainsi dans une position d’abandon et de soumission qui contredise son arrogance naturelle me tord le ventre.
La situation m’excite tellement que j’ai une furieuse envie de foutre. J’aurais pu me masturber dix fois et avoir autant d’orgasmes sans pour ça pouvoir relâcher ma tension sexuelle !
Tout cela a tendance à bien plaire à Élodie. Avec une souplesse que je lui soupçonnais, la voilà qu’elle replie ses jambes. Ses genoux touchent ses épaules. Exhibant de la sorte, entre ses cuisses écartées son ventre bombé orné d’un immense triangle noir aux contours à le sauvage. Je devine chez elle une pilosité luxuriante qui me fait grande impression.
- J’aime qu’on me regarde… Tu sais ?
- Oui, je vois ça !
- Alors regarde-moi ! Rince-toi les yeux.
Je la trouve plus rayonnante que jamais.
- Je pense que ce n’est pas pour cela que tu m’as dit de venir ?
- va savoir ?
- Non, c’est une blague ?
- Non ! Au boulot.
Sous sa direction, nous chamboulons tout son espace de travail. Les deux machines à coudre d'un côté avec en face un alignement de tables pour poser les pièces de tissu qu'elle doit assembler. Ceci fait, je lui demande si elle a encore besoin de mes services.
- Si cela n’est pas abusé de ta gentillesse. Ajoute-t-elle.
Elle éblouit avec sa silhouette élancée. Quand elle se retourne pour travailler, je reluque ses fesses rebondies. Elle est vraiment attirante. Avec ses yeux noirs, un petit nez mutin et surtout une bouche cerise, une bouche gourmande. Toujours un sourire pour chacun, brodant inlassablement sur un sujet. Elle doit avoir la quarantaine, pas plus. Quand c’est possible, je m’efforce de reluquer ses pieds gainés sur lesquelles je rêve de poser mes lèvres, voir mon nez pour en humer la sudation qu’ils dégagent.
Juste à cette pensée, le battement du sang dans mon sexe tend dans le pantalon, affamé de sexualité. Je sens peu à peu le désir augmentait. Alors je me libère avec un cri de bête. La tête bourdonnante, ayant perdu pendant quelques secondes toute conscience du monde extérieur. Guidé par l’instinct et le désir, je me permets d’avancer jusqu’à elle alors qu’elle me tourne le dos. Je la retourne, j’écarte dans l’élan, sa culotte sur le côté.
Jaillis alors à ma vue, des poils noirs, très denses et très longs. Ils sortent de partout, par le haut, ils atteignent le milieu de son abdomen, menacent d’encercler le nombril. Ils débordent aussi sur les côtés, épais, compacts, ils envahissent le haut des cuisses. Une véritable marée noire. J’avoue que la vue m’émeut.
Je me penche entre ses cuisses pour l’embrasser. Son odeur moite me monte aux narines. Je respire à pleins poumons. Sous l’emprise de cette drogue, je n’ai aucun mal à pousser plus loin mon exploration. Sa peau humide sous les poils est un régal sous mes lèvres. Ma langue s’immisce dans sa fente. Son goût est personnel, robuste au point d’envahir toute ma bouche. À peine l’ai-je savouré que j’en veux davantage. Je la force à s’ouvrir un peu plus et je me mets à laper sa chatte avec une dévorante gourmandise. Je l’entends émettre un gémissement de plaisir. Grisé par un divin nectar. J’enfouis mon visage entre ses cuisses. Je la hume, je la bois sans pouvoir m’en rassasier.
Ma langue rencontre une bille renflée, toute rose et luisante. Elle a un sautillement. Je joins mes lèvres à son bourgeon qui palpite. Élodie renverse la tête en arrière. Je lèche de toute mon expérience. Explorant sa fente pour ne rien perdre d’elle. Fouillant les moindres replis de sa chatte jusque son vagin pour me repaître à la source.
- Tu as une bouche pour faire plaisir aux femmes.
Élodie se met à onduler contre ma figure. Elle plaque une main sur l’arrière de mon crâne et me soude plus fermement à sa cicatrice. Elle jouit sous mes coups de langue. Une fois, deux fois, trois fois, avant de me mettre dehors.
-J’ai du boulot ! Me lâche-t-elle avant de me fermer la porte au nez.
Le lendemain, sitôt arrivé, la voilà qui m’invite de la suivre jusqu’à son antre.
-Tu n’as pas de boulot ? Lui fais-je.
-J’ai encore besoin de tes services, si cela ne te gêne pas !
Devinant chez elle le sens de rendre service, cela me propulse au summum de l’excitation. J’étais prêt à la dévorer. Entre mes jambes, ma queue s’emballe, au point que j’ai cru que j’allais éjaculer tout seul.
Aussitôt la porte verrouillée, elle se positionne. La vue de sa fourrure extravagante, au centre de laquelle je devine la tendre fissure, m’émeus. Il émane de sa caverne une odeur plutôt âpre qui me prend de suite à la gorge. Elle sent la jeune fille négligée, sauf que, dans son cas, ce serait plutôt la vieille fille négligée. Quel fumet ! Pour entêtantes qu’elles soient, elles ne sont pas franchement désagréables, juste surprenantes au premier abord.
- Alors, elle sent bon ma chatte ?
- Elle pue la marée !
- C’est ce que tu aimes, non ? Me lâche-t-elle en pressant un peu plus ma tête entre ses cuisses, pour bien plus m’en donner, au risque de m’étouffer.
- Avoue que c’est la meilleure !
- Oui Élodie, tu pues.
- Et alors ? Ça te rebute tant que ça mon odeur de pisse ?
- Non.
- Au contraire, je pense que ça t’excite de respirer mes effluves. Je me trompe ?
- Non.
- Très bien. Alors, vas-y, ouvre bien grand les narines. Et respire-moi à pleins poumons.
Elle me retient un long moment dans cette position pour me faire bien profiter de son odeur si particulière. C’est une véritable drogue : plus je sens sa chatte et plus j’ai envie de la sentir. Je deviens vraiment accro à son fumet !
Elle se recule un peu et me regarde de la tête aux pieds. De mon côté, j’ai les yeux rivés sur les longs poils de son pubis.
- Oh, quel petit cochon ! C’est ma puanteur qui t’excite comme ça ? Demande-t-elle en observant ma trique.
- C’est ton odeur de pisse, cochonne.
Elle prend cela à la dérision, alors que je passe ma langue partout, sur ses poils, dans sa raie, dans le creux de ses cuisses, je lèche, je lape, j’aspire, je me déchaîne sur ce sexe que je trouve décidément très appétissant, et son odeur forte m’enivre.
- Lèche-les bien, tous ses poils, fais-les reluire avec votre salive.
Avec le bout du nez, j’écarte sa vulve moite, puis introduis ma langue dans son trou. Son jus, épicé inonde immédiatement ma bouche. Je lui pelote les fesses tout en lui titillant le clitoris. Parfois, elle me tire par les cheveux, pour réfréner ma fièvre.
Les joues chauffées par le frottement de ses cuisses, je niche ma langue le plus que je peux dans son orifice. Les parois souples de son vagin se dilatent, j’aspire son bouton. Son sexe fond dans ma bouche, ma salive se mêle à ses sécrétions.
Elle fait onduler sa chatte contre ma figure tandis que le siège couine sous mes assauts fougueux. Puis ses cuisses claquent contre mes oreilles. Leur pression est si forte que je ne peux plus fermer les lèvres ni remuer la langue. Elle n’en finit pas de gémir de plaisir. Les convulsions provoquées par l’orgasme contractent les parois de son vagin, ne faisant ainsi pas participer à sa jouissance. Quand la tension de son sexe se relâche, elle s’affale sur son siège.
- Regarde, même ici, je suis nature.
Ce disant, Élodie lève les bras au ciel, dévoilant les longs poils qui ornent ses aisselles.
- Ça te plaît à tous ses poils ?
- Je suis un grand fan des poils !
Elle fait friser ses poils, elle les étire avec ses doigts, je n’en crois pas mes yeux !
- Tu as vu comme ils sont longs ! Affirme-t-elle presque naïvement. Ça te plaît de renifler ma chatte ?
- C’est toujours un plaisir de la voir à porter du nez… Réponds-je.
- J’ai cru comprendre cela !
Elle se recule, et laisse tomber :
- T’en veux encore ?
- Je ne dis pas non…
- Alors bon appétit !
Je la lèche ainsi un bon moment, avant de m’occuper du voisin du bas. Une odeur tout aussi forte s’en dégage ! J’écarte ses globes fessiers pour dévoiler sa raie. Je renifle, j’en prends plein les narines de ces senteurs très âcres. Son petit trou brun frotte sur mon nez. C’est une invitation à le lécher. Au point où j’en suis, je suis prêt à tout pour la satisfaire. Je lèche consciencieusement sa raie avant de m’attaquer à son anus. Ma langue dardée glisse au plus profond en elle.
- Humm, ce que tu fais ça bien… Enfonce bien votre langue tout au fond de mon cul, j’adore me faire sucer l’anus.
Je me déchaîne avec ma langue entre ses fesses. J’écarte ses chairs avec mes doigts, ce qui a pour effet de faire bâiller sa chatte. Je le dévore à pleine bouche sans négliger le bouton érigé. Ma langue glisse dans son puits. J’aspire la mouille qui s’en échappe avant de pénétrer encore plus loin dans le boisseau bien humide.
Élodie est très demandeuse. Pour ma part, je ne me lasse pas de la dévorer. Je suis prêt à la manger autant qu’elle le souhaite, et quand elle le désire !
Comme il n’est pas question de pénétration entre elle et moi, nous avons finie notre séance par une masturbation.
J’astique ma queue en la regardant se doigter et elle se doigte en me regardant m’astiquer. Elle n’y va pas par quatre chemins, elle mouille ses doigts et les enfonce très loin dans sa grotte en transperçant son épais buisson. L’odeur particulièrement forte de sa culotte me met dans tous mes états et je me branle comme un malade avant de juter sur le lit à gros bouillons. En ce qui la concerne, je la vois qui s’active aussi de plus en plus vite. Le flic-flac de son jus remplit désormais la pièce de bruits incongrus. J’ai l’impression que ça l’excite plus encore. Du coup, elle se frotte toujours plus vite, toujours plus fort, à la recherche des bruits les plus obscènes, avant d’être elle-même terrassée par la jouissance. Elle pousse alors un cri de bête qui résonne au-delà de la case.
Mais elle n’en a pas tout à fait terminé. À quatre pattes sur le lit, elle se dirige alors vers l’endroit où j’ai craché mon foutre et se met à lécher partout les draps, aspirant la moindre trace de ma souillure avec délectation.
- Bon, maintenant, ça suffit, il est temps de se mettre au travail.
-Je suis tout à fait d’accord avec toi Elodie ! Je lui réponds, la bouche et le nez remplie de ses odeurs intimes.

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