La premiere cocufication de la grosse Monique
Récit érotique écrit par Momonique [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-08-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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La premiere cocufication de la grosse Monique
A l’âge de quarante ans j’avais déjà quinze années de mariage derrière moi. Pendant tout ce temps, je n’avais jamais trompé mon mari. Cependant,il devenait de moins en moins entreprenant avec moi et il avait un petit sexe. Il avait un fantasme qui le hantait: il rêvait de me voir dans les bras d’un autre homme, ou plus précisément de me voir le tromper. Cette idée le stimulait lorsqu’on en parlait. Pourtant mais jusqu’à présent, cette perspective ne m’avait jamais tentée.
À l'époque, je travaillais pour une entreprise de services à domicile, spécialisée dans des tâches comme le ménage et le repassage. Depuis trois mois, j'étais assignée à la maison d'un couple d'une soixantaine d'années. La femme, plutôt rondelette, avait des traits physiques curieusement semblables aux miens. Chaque mardi après-midi et vendredi, je me rendais chez eux pour effectuer mes tâches. Leur maison était spacieuse et décorée avec goût, ce qui rendait mon travail plus agréable.
Le mari, Alexandre, était toujours prévenant avec moi. Il n'était jamais loin, me demandant régulièrement si je n'avais besoin de rien ou si j'avais soif. Parfois, il engageait la conversation, parlant de sujets variés pour briser la glace. Je le trouvais charmant et attentionné, ce qui rendait mes visites chez eux d'autant plus plaisantes.
C'était l'été et il faisait chaud. J'avais enfilé une robe légère à bretelles, laissant entrevoir la naissance de mes seins. En train de laver le sol, je me penchais souvent ,relevant ainsi mon postérieur rond et dodue bien en vue pour essorer la serpillère.
Soudain je sentais une présence derrière moi.Mon instinct ne me trompait pas : en levant les yeux vers le miroir d’une commode, j’aperçus Alexandre me regarder avec insistance. Son regard ne laissait aucun doute sur ses pensées. Pris sur le fait, il feignit d'entrer dans la pièce pour chercher quelque chose dans un tiroir; jouant la comédie d’une fausse indifférence.
Désormais je pliais les genoux et m’accroupissais pour essorer la serpillère redoutant qu’il soit derrière moi. Mais a ma grande surprise je le trouvai devant moi, regardant fixement dans mon décolleté pendant que j’étais penchée au dessus du seau.
"Ils ont l'air beaux," dit-il, les yeux rivés sur mon décolleté.
"Ils sont gros et lourds," répondis-je en souriant, sans bouger. "Mais pas touche."
"Vous pourriez me les montrer," osa-t-il demander.
Rougissante, je répondis : "Vous êtes bien cavalier."
"Allez, Monique, s'il vous plaît."
Sans vraiment comprendre ce qui me prenait, je me relevai, je sortais mes deux seins du soutien gorges. Je les maintenais par le dessous avec chaque mains
Il s’avançait vers moi, désireux de les toucher. Je reculais rapidement et remis tout en place. -Voilà, la fête est finie, dis-je fermement.
-Non, s'il vous plaît, on aurait dit un enfant.
-Bon d’accord, je resterai loin , mais sortez les que je puisse encore admirez.
-Votre femme est en bas!
-Elle n’en saura rien. Rien que un petit peu en faisant le ménage. S’il vous plaît.
Je baissais le haut de ma robe et j‘enlevais mon soutien gorges. Mon dieu qu’est ce que j’étais en train de faire.Il m'admirait pendant que je terminais de nettoyer la pièce, se tenant derrière le pas de la porte. Lorsque je voulus sortir, il s'agenouilla devant moi et me serra par les hanches, et il me téta un sein.
Je me laissais faire sur le moment, puis, prise de remords, je le repoussai violemment, le faisant tomber en arrière. Je me rhabillai rapidement et quittai la pièce en vitesse, claquant la porte derrière moi. Je me hâtais vers mon domicile, honteuse de m'être laissée faire, mais avec une tentation persistante de franchir le pas.
Le mardi suivant, il faisait toujours aussi chaud lorsque je me rendis chez eux. Cette fois, j'avais opté pour une robe moins décolletée plus longue un gros sloggi et un bon gros soutient gorges .
Cependant le soutif remontait mes seins, on aurait dit deux pyramides tant l’effet était accentué par les tétines.
Je saluais le couple, et la femme me dit : "Monique, aujourd'hui vous allez changer les rideaux. Alexandre va vous fournir un escabeau et tout le nécessaire pour les remplacer."
Je montai à l'étage et m'affairai à changer les tentures. C'était la troisième pièce que je traitais. Alexandre entra dans la grande chambre aux plafonds très hauts. J'avais du mal à décrocher les rideaux dans cette maison de maître.
Je me trouvais sur la dernière marche de l'escabeau, presque sur la pointe des pieds, lorsque Alexandre entra dans la pièce.
"Attendez, Monique, je vais vous aider." Sans arrière-pensée et concentré sur ma tâche, je répondais simplement : "Oui, s'il vous plaît."
Il s’approcha de moi et glissa sa main sous ma robe, se dirigeant vers mes cuisses.Je ne pouvais pas échapper a la situation. J'étais surprise et désorientée, tandis que ses mains délicates me caressaient. Après un moment d’hésitation, je décidai de me laisser aller et relâchai l’étreinte de mes cuisses. J’étais toujours debout sur l ‘escabeau et il me baissait la culotte. Il embrassa mes fesses, je me cambrai pour mieux lui offrir. Il glissa sa main essayant d’atteindre mon sexe.
La position sur l'escabeau n'était pas confortable, alors il me faisait descendre. Je tombai dans ses bras, et il m'embrassa passionnément. Il m’allongea délicatement sur le lit. Il descendit son pantalon et son caleçon rapidement. Son sexe était bien raide et veineux. Il leva ma robe jusqu’au niveau des seins. J’écartais les cuisses , il se coucha sur mon ventre et me pénétra. Je sentais son sexe en moi faire des va et viens. Je me mis à gémir.
-Chut ma femme va nous entendre.
-Continu c’est trop bon.
-Je le vois que tu apprécies ta chatte est trempée.
Il mit mes chevilles autour de son coup me prenant dans la position de l’enclume. Cette position profonde me fit encore plus mouillée. Avant de crier, je saisis le coussin à côté de ma tête pour hurler dedans. La situation m’avait procurer une forte jouissance. Il accélérait la cadence , je sentais sa bite faire des spasmes en moi, il avait éjaculer. Malgré cela il continuait un peu a entrer et sortir. Un flux humide mouillait mes fesses , son jus coulait hors de moi. Je réalisait alors :
-Mince on a pas mis de préservatifs !
-C’est pas grave ça fait très longtemps que je n’ai pas trompé ma femme. Tu as un moyen de contraception ?
-Oui j’ai la pilule.
Il se retira de moi.
-Oups tu avais un bout de robe sous tes fesses.
-wha elle est mouillée .Tu as fait une grosse éjaculation.
Il y avait un gros placard de sperme et de cyprine a l’arrière de ma robe.
-J’ai toujours fait des grosses giclées!
-Comment je vais faire? Je ne peux pas changer les rideaux du bas devant ta femme comme ça !
Le couvre lit est aussi taché.
-Pour le lit c’est pas grave ça va sécher, pour ta robe laisse moi réfléchir.
On entendit sa femme depuis le rez-de-chaussée :
-Cheri?
-Oui ! répondit-il.
-Je vais faire des courses, j'en ai pour un moment.
-Ok, pas de soucis.
Je lui dis :
-Nous voila sauvés.
-Termine les rideaux , je vais te prêter des vêtements de ma femme pendant que je sèche ta robe avec un sèche-cheveux.
Je terminai mon travail avec une vielle robe de sa femme. Alexandre me redonna mon vêtement sec mais l’auréole de nos ébats se voyait toujours.
-Ça n’est pas grave dis-je cela se verra moins pour rentrer.
-Pourrons nous recommencer une autre fois ?
-Oui. Mais dans d’autres conditions.
J’y avais réfléchi pendant que je terminais ma tâche, et je me suis dis après tout pourquoi pas. C’est le rêve de mon mari d’être cocu et de me voir faire l’amour devant lui.
Alexandre :
-Oui d’accord.
-je vais y aller maintenant.
-Au revoir ma belle.
Il me saisit par la taille pour m’embrasser éperdument. Puis lorsque je me rendis à ma voiture, il ne quitta pas le pas de la porte me saluant et me regardant encore.
Pendant le trajet de retour à mon domicile, je me demandais comment j'allais annoncer à mon mari que je venais de réaliser son fantasme d'être cocu. Mais ceci est une autre histoire.
À l'époque, je travaillais pour une entreprise de services à domicile, spécialisée dans des tâches comme le ménage et le repassage. Depuis trois mois, j'étais assignée à la maison d'un couple d'une soixantaine d'années. La femme, plutôt rondelette, avait des traits physiques curieusement semblables aux miens. Chaque mardi après-midi et vendredi, je me rendais chez eux pour effectuer mes tâches. Leur maison était spacieuse et décorée avec goût, ce qui rendait mon travail plus agréable.
Le mari, Alexandre, était toujours prévenant avec moi. Il n'était jamais loin, me demandant régulièrement si je n'avais besoin de rien ou si j'avais soif. Parfois, il engageait la conversation, parlant de sujets variés pour briser la glace. Je le trouvais charmant et attentionné, ce qui rendait mes visites chez eux d'autant plus plaisantes.
C'était l'été et il faisait chaud. J'avais enfilé une robe légère à bretelles, laissant entrevoir la naissance de mes seins. En train de laver le sol, je me penchais souvent ,relevant ainsi mon postérieur rond et dodue bien en vue pour essorer la serpillère.
Soudain je sentais une présence derrière moi.Mon instinct ne me trompait pas : en levant les yeux vers le miroir d’une commode, j’aperçus Alexandre me regarder avec insistance. Son regard ne laissait aucun doute sur ses pensées. Pris sur le fait, il feignit d'entrer dans la pièce pour chercher quelque chose dans un tiroir; jouant la comédie d’une fausse indifférence.
Désormais je pliais les genoux et m’accroupissais pour essorer la serpillère redoutant qu’il soit derrière moi. Mais a ma grande surprise je le trouvai devant moi, regardant fixement dans mon décolleté pendant que j’étais penchée au dessus du seau.
"Ils ont l'air beaux," dit-il, les yeux rivés sur mon décolleté.
"Ils sont gros et lourds," répondis-je en souriant, sans bouger. "Mais pas touche."
"Vous pourriez me les montrer," osa-t-il demander.
Rougissante, je répondis : "Vous êtes bien cavalier."
"Allez, Monique, s'il vous plaît."
Sans vraiment comprendre ce qui me prenait, je me relevai, je sortais mes deux seins du soutien gorges. Je les maintenais par le dessous avec chaque mains
Il s’avançait vers moi, désireux de les toucher. Je reculais rapidement et remis tout en place. -Voilà, la fête est finie, dis-je fermement.
-Non, s'il vous plaît, on aurait dit un enfant.
-Bon d’accord, je resterai loin , mais sortez les que je puisse encore admirez.
-Votre femme est en bas!
-Elle n’en saura rien. Rien que un petit peu en faisant le ménage. S’il vous plaît.
Je baissais le haut de ma robe et j‘enlevais mon soutien gorges. Mon dieu qu’est ce que j’étais en train de faire.Il m'admirait pendant que je terminais de nettoyer la pièce, se tenant derrière le pas de la porte. Lorsque je voulus sortir, il s'agenouilla devant moi et me serra par les hanches, et il me téta un sein.
Je me laissais faire sur le moment, puis, prise de remords, je le repoussai violemment, le faisant tomber en arrière. Je me rhabillai rapidement et quittai la pièce en vitesse, claquant la porte derrière moi. Je me hâtais vers mon domicile, honteuse de m'être laissée faire, mais avec une tentation persistante de franchir le pas.
Le mardi suivant, il faisait toujours aussi chaud lorsque je me rendis chez eux. Cette fois, j'avais opté pour une robe moins décolletée plus longue un gros sloggi et un bon gros soutient gorges .
Cependant le soutif remontait mes seins, on aurait dit deux pyramides tant l’effet était accentué par les tétines.
Je saluais le couple, et la femme me dit : "Monique, aujourd'hui vous allez changer les rideaux. Alexandre va vous fournir un escabeau et tout le nécessaire pour les remplacer."
Je montai à l'étage et m'affairai à changer les tentures. C'était la troisième pièce que je traitais. Alexandre entra dans la grande chambre aux plafonds très hauts. J'avais du mal à décrocher les rideaux dans cette maison de maître.
Je me trouvais sur la dernière marche de l'escabeau, presque sur la pointe des pieds, lorsque Alexandre entra dans la pièce.
"Attendez, Monique, je vais vous aider." Sans arrière-pensée et concentré sur ma tâche, je répondais simplement : "Oui, s'il vous plaît."
Il s’approcha de moi et glissa sa main sous ma robe, se dirigeant vers mes cuisses.Je ne pouvais pas échapper a la situation. J'étais surprise et désorientée, tandis que ses mains délicates me caressaient. Après un moment d’hésitation, je décidai de me laisser aller et relâchai l’étreinte de mes cuisses. J’étais toujours debout sur l ‘escabeau et il me baissait la culotte. Il embrassa mes fesses, je me cambrai pour mieux lui offrir. Il glissa sa main essayant d’atteindre mon sexe.
La position sur l'escabeau n'était pas confortable, alors il me faisait descendre. Je tombai dans ses bras, et il m'embrassa passionnément. Il m’allongea délicatement sur le lit. Il descendit son pantalon et son caleçon rapidement. Son sexe était bien raide et veineux. Il leva ma robe jusqu’au niveau des seins. J’écartais les cuisses , il se coucha sur mon ventre et me pénétra. Je sentais son sexe en moi faire des va et viens. Je me mis à gémir.
-Chut ma femme va nous entendre.
-Continu c’est trop bon.
-Je le vois que tu apprécies ta chatte est trempée.
Il mit mes chevilles autour de son coup me prenant dans la position de l’enclume. Cette position profonde me fit encore plus mouillée. Avant de crier, je saisis le coussin à côté de ma tête pour hurler dedans. La situation m’avait procurer une forte jouissance. Il accélérait la cadence , je sentais sa bite faire des spasmes en moi, il avait éjaculer. Malgré cela il continuait un peu a entrer et sortir. Un flux humide mouillait mes fesses , son jus coulait hors de moi. Je réalisait alors :
-Mince on a pas mis de préservatifs !
-C’est pas grave ça fait très longtemps que je n’ai pas trompé ma femme. Tu as un moyen de contraception ?
-Oui j’ai la pilule.
Il se retira de moi.
-Oups tu avais un bout de robe sous tes fesses.
-wha elle est mouillée .Tu as fait une grosse éjaculation.
Il y avait un gros placard de sperme et de cyprine a l’arrière de ma robe.
-J’ai toujours fait des grosses giclées!
-Comment je vais faire? Je ne peux pas changer les rideaux du bas devant ta femme comme ça !
Le couvre lit est aussi taché.
-Pour le lit c’est pas grave ça va sécher, pour ta robe laisse moi réfléchir.
On entendit sa femme depuis le rez-de-chaussée :
-Cheri?
-Oui ! répondit-il.
-Je vais faire des courses, j'en ai pour un moment.
-Ok, pas de soucis.
Je lui dis :
-Nous voila sauvés.
-Termine les rideaux , je vais te prêter des vêtements de ma femme pendant que je sèche ta robe avec un sèche-cheveux.
Je terminai mon travail avec une vielle robe de sa femme. Alexandre me redonna mon vêtement sec mais l’auréole de nos ébats se voyait toujours.
-Ça n’est pas grave dis-je cela se verra moins pour rentrer.
-Pourrons nous recommencer une autre fois ?
-Oui. Mais dans d’autres conditions.
J’y avais réfléchi pendant que je terminais ma tâche, et je me suis dis après tout pourquoi pas. C’est le rêve de mon mari d’être cocu et de me voir faire l’amour devant lui.
Alexandre :
-Oui d’accord.
-je vais y aller maintenant.
-Au revoir ma belle.
Il me saisit par la taille pour m’embrasser éperdument. Puis lorsque je me rendis à ma voiture, il ne quitta pas le pas de la porte me saluant et me regardant encore.
Pendant le trajet de retour à mon domicile, je me demandais comment j'allais annoncer à mon mari que je venais de réaliser son fantasme d'être cocu. Mais ceci est une autre histoire.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
... j'aime beaucoup ce genre de rencontre.
Et il n'y a pas de mal a se faire du bien
Et il n'y a pas de mal a se faire du bien
Cc Super histoire dommage que tu mets pas Une adresse mail