La premiere sodomie de la grosse Monique
Récit érotique écrit par Momonique [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-08-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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La premiere sodomie de la grosse Monique
Ce récit est la continuation de l’histoire précédemment intitulée Ma première cocufication, également tirée de faits réels.
Je me rendais donc chez Alexandre et sa femme tous les mardis et vendredis après-midi pour faire le ménage. Alexandre était devenu mon amant depuis trois mois. Sans se douter de quoi que ce soit, sa femme nous laissait encore plus de liberté chaque vendredi après-midi, car elle partait faire des courses. Craignant de me laisser seule dans sa maison, elle préférait confier son mari à ma présence.
Au fil du temps, une complicité grandissante s’installait entre nous. Je me soumettais à ses désirs, faisant des choses que je n’avais jamais faite avec mon mari. Il m’encourageait à porter des bas, alors que je n’avais toujours porté que des collants. Il est même allé jusqu’à m’acheter de la lingerie avec un porte-jarretelles, un accessoire que je n’avais jamais osé porter. Souvent il me demandait de venir sans culotte, simplement vêtue de ces jarretières.
On dit qu'une femme se laisse encore plus aller avec son amant, et je peux le confirmer : Alexandre me libérait complètement. Il a été le premier à me faire avaler son sperme. Ce geste est rapidement un rituel entre nous.
Ce vendredi, nous étions seuls. Je nettoyais les fenêtres de leur maison qui étaient assez hautes, nécessitant l’utilisation d’un escabeau. Alex prenait plaisir à m’admirer sur cet escabeau. Je m’occupait des vitres de la porte fenêtre du salon, donnant sur leur immense propriété, lorsqu’il me demanda d’ôter ma jupe. Il s’approchait pour me caresser mes jambes gainées de nylon.
Il reculait doucement, revenait pour déposer des baisers sur mes cuisses, s’éloignait à nouveau pour me contempler, puis revenait encore, me caressant et s’imprégnant de mon odeur.
Alors que j'étais sur la dernière marche, il s'arrêta soudainement et me dit :
-Tu as vraiment de belles grosses fesses, comme j'aime.
-Merci, regarde je les fais bouger.
-Tu es vraiment audacieuse ! Tes formes sont très attirantes. J’éprouve un désir profond de te sodomiser.
-Je ne l’ai encore jamais pratiquer.
-Tu aimerais?
Je pris un moment pour réfléchir profondément avant de répondre :
-Oui, pourquoi pas !
-Vraiment ? dit il surprit.
-Oui, essayons.
-Tu me ferais un grand honneur, car pour moi aussi ce serait une première.
-Alors qu’attendons nous?
Il m’aida a descendre de l’escabeau et m’accompagnasse jusqu’à la chambre d’amis. Un fois là, il m’allongea sur le lit et commença des préliminaires prolongés, tout en nous déshabillant progressivement. Il était en train de me faire un long cunnilingus; j’étais prête lorsque finalement , il fit l’amour avec moi en position de missionnaire.
Cela se prolongeait, et je voyais qu'il hésitait. Finalement, je l'arrêtai doucement et me mis sur le côté. J’écartai une fesse lui offrant mon anus. Il sortit du gel du tiroir de la table de nuit et en appliqua sur son sexe ainsi que sur mon petit trou. Il tenta de me pénétrer, mais chaque essais me causait de la douleur, malgré ses efforts pour trouver différents angles. Un peu agacé il me mit en position de levrette, avec la croupe bien offerte et le dos cambré. Alex avait un sexe d’une taille normale mais son gland était particulièrement remarquable: Il était beaucoup plus large que le reste de son sex, avec une forme évasée qui rappellait une fraise, fin a l’avant et extrêmement large a l’arrière. De plus , au repos, sa peau ne parvenait pas à recouvrir entièrement son gland et restait en dessous de celui ci.
Il remit du gel et en introduisit du bout du doigt dans mon anus. Il approcha son sexe du bord de mon sphincter et poussa lentement son gland. Cette fois ci, je le sentais entrer en moi sans douleur. Son gland particulièrement large était bien en place , et je ressentais mon anus se resserrer pour l’accueillir. Il commença alors a faire des petits va et viens, s’enfonçant progressivement et stimulant mon intestin avec le bout de sa verge. La sensation était très agréable. Finalement je sentais ses testicules se presser contre mes fesses, signalant qu’il était complètement en moi. Au fur et à mesure, ses mouvements devenaient de plus en plus rapides, et on entendait son corps battre mes fesses à chaque coup.
Il se retira et plongea sa queue dans ma chatte , son assaut était tel que mes bras cédèrent et je me retrouvait la tête dans l’oreiller et le cul en l‘air. On aurai cru un burineur, je me mis à crier d’orgasme. Quand je fini de gueuler il retourna dans mon cul. J’écartai mes deux fesses avec les mains pour lui faciliter le travail. Comme un hussard il était presque debout derrière mon postérieur le pilonnant , c’était exquis je me mis a mouiller du cul. Il se termina au fond de mes intestins , lâchant son jus et me maintenant par les cuisses en lâchant un râle de soulagement.
Je sentais les spasmes de son membre gonflé en moi, par à-coups presque incontrôlables.
Il était certain que je venais de recevoir une décharge intense de sperme en moi.
Il se coucha à côté de moi, le corps en sueur, essayant de reprendre son souffle. Je lui dis en souriant : « Doucement, mon cœur, tu vas finir par faire un malaise cardiaque. » Malgré tout, je continuais à branler sa bite, comme si je décontractais les muscles d’un athlète après l’effort. Je sentais son chibre se ramollir peu à peu, mais je continuais, presque par gratitude, pour prolonger ce moment de calme après l’intensité. Nous nous fîmes un câlin tendre avant de nous rhabiller.
Au cour de l heure qui suivit, alors que je terminais mon travail, je dus m’essuyer plusieurs fois les fesses, car son sperme coulait hors de moi.
J'avais terminé ma besogne, et nous prîmes le café face à face dans la cuisine. Je lui dis en souriant : « Tu m’as vraiment mis une sacrée dose, ça dégouline encore. »
Lui, avec un air satisfait :
-Oui, je me suis tout vidé, ça faisait longtemps que je n’avais plus joui autant. Je sentais mon bite essayer de vider mon sac, mais il n'y avait plus une goute dans mes bourses. Ma queue s'efforçait de tout extraire, se contractant et se décontractant, mais sans y parvenir.
-C’était excellent, tu as été parfait. J’ai atteint le nirvâna. Moi aussi, cela faisait longtemps que je n’avais pas connu une telle jouissance.
Nous fûmes interrompus par le bruit de la clé dans la serrure, car son épouse rentrait à la maison, les bras chargés de courses. Elle dit : « Alex, tu viens m’aider à porter les courses ? » Je mis ma veste, saluai Alex et sa femme, puis partis. Je ne comprenais pas pourquoi elle me regardait bizarrement jusqu'à ce que je m'asseye au volant de ma voiture et remarque qu'un bas était tout boudiné et descendait jusqu'à mon genou. J'avais sans doute oublier de bien le fixer au porte-jarretelles.
Plus tard dans la soirée, je reçus un SMS d'Alex : « Ma femme a remarqué que tu portais des bas et trouve cela étrange pour venir travailler. Elle est immédiatement allée vérifier dans notre chambre. Heureusement, nous avons fait cela dans la chambre d'amis, et tu avais refait le lit parfaitement. »
Je me rendais donc chez Alexandre et sa femme tous les mardis et vendredis après-midi pour faire le ménage. Alexandre était devenu mon amant depuis trois mois. Sans se douter de quoi que ce soit, sa femme nous laissait encore plus de liberté chaque vendredi après-midi, car elle partait faire des courses. Craignant de me laisser seule dans sa maison, elle préférait confier son mari à ma présence.
Au fil du temps, une complicité grandissante s’installait entre nous. Je me soumettais à ses désirs, faisant des choses que je n’avais jamais faite avec mon mari. Il m’encourageait à porter des bas, alors que je n’avais toujours porté que des collants. Il est même allé jusqu’à m’acheter de la lingerie avec un porte-jarretelles, un accessoire que je n’avais jamais osé porter. Souvent il me demandait de venir sans culotte, simplement vêtue de ces jarretières.
On dit qu'une femme se laisse encore plus aller avec son amant, et je peux le confirmer : Alexandre me libérait complètement. Il a été le premier à me faire avaler son sperme. Ce geste est rapidement un rituel entre nous.
Ce vendredi, nous étions seuls. Je nettoyais les fenêtres de leur maison qui étaient assez hautes, nécessitant l’utilisation d’un escabeau. Alex prenait plaisir à m’admirer sur cet escabeau. Je m’occupait des vitres de la porte fenêtre du salon, donnant sur leur immense propriété, lorsqu’il me demanda d’ôter ma jupe. Il s’approchait pour me caresser mes jambes gainées de nylon.
Il reculait doucement, revenait pour déposer des baisers sur mes cuisses, s’éloignait à nouveau pour me contempler, puis revenait encore, me caressant et s’imprégnant de mon odeur.
Alors que j'étais sur la dernière marche, il s'arrêta soudainement et me dit :
-Tu as vraiment de belles grosses fesses, comme j'aime.
-Merci, regarde je les fais bouger.
-Tu es vraiment audacieuse ! Tes formes sont très attirantes. J’éprouve un désir profond de te sodomiser.
-Je ne l’ai encore jamais pratiquer.
-Tu aimerais?
Je pris un moment pour réfléchir profondément avant de répondre :
-Oui, pourquoi pas !
-Vraiment ? dit il surprit.
-Oui, essayons.
-Tu me ferais un grand honneur, car pour moi aussi ce serait une première.
-Alors qu’attendons nous?
Il m’aida a descendre de l’escabeau et m’accompagnasse jusqu’à la chambre d’amis. Un fois là, il m’allongea sur le lit et commença des préliminaires prolongés, tout en nous déshabillant progressivement. Il était en train de me faire un long cunnilingus; j’étais prête lorsque finalement , il fit l’amour avec moi en position de missionnaire.
Cela se prolongeait, et je voyais qu'il hésitait. Finalement, je l'arrêtai doucement et me mis sur le côté. J’écartai une fesse lui offrant mon anus. Il sortit du gel du tiroir de la table de nuit et en appliqua sur son sexe ainsi que sur mon petit trou. Il tenta de me pénétrer, mais chaque essais me causait de la douleur, malgré ses efforts pour trouver différents angles. Un peu agacé il me mit en position de levrette, avec la croupe bien offerte et le dos cambré. Alex avait un sexe d’une taille normale mais son gland était particulièrement remarquable: Il était beaucoup plus large que le reste de son sex, avec une forme évasée qui rappellait une fraise, fin a l’avant et extrêmement large a l’arrière. De plus , au repos, sa peau ne parvenait pas à recouvrir entièrement son gland et restait en dessous de celui ci.
Il remit du gel et en introduisit du bout du doigt dans mon anus. Il approcha son sexe du bord de mon sphincter et poussa lentement son gland. Cette fois ci, je le sentais entrer en moi sans douleur. Son gland particulièrement large était bien en place , et je ressentais mon anus se resserrer pour l’accueillir. Il commença alors a faire des petits va et viens, s’enfonçant progressivement et stimulant mon intestin avec le bout de sa verge. La sensation était très agréable. Finalement je sentais ses testicules se presser contre mes fesses, signalant qu’il était complètement en moi. Au fur et à mesure, ses mouvements devenaient de plus en plus rapides, et on entendait son corps battre mes fesses à chaque coup.
Il se retira et plongea sa queue dans ma chatte , son assaut était tel que mes bras cédèrent et je me retrouvait la tête dans l’oreiller et le cul en l‘air. On aurai cru un burineur, je me mis à crier d’orgasme. Quand je fini de gueuler il retourna dans mon cul. J’écartai mes deux fesses avec les mains pour lui faciliter le travail. Comme un hussard il était presque debout derrière mon postérieur le pilonnant , c’était exquis je me mis a mouiller du cul. Il se termina au fond de mes intestins , lâchant son jus et me maintenant par les cuisses en lâchant un râle de soulagement.
Je sentais les spasmes de son membre gonflé en moi, par à-coups presque incontrôlables.
Il était certain que je venais de recevoir une décharge intense de sperme en moi.
Il se coucha à côté de moi, le corps en sueur, essayant de reprendre son souffle. Je lui dis en souriant : « Doucement, mon cœur, tu vas finir par faire un malaise cardiaque. » Malgré tout, je continuais à branler sa bite, comme si je décontractais les muscles d’un athlète après l’effort. Je sentais son chibre se ramollir peu à peu, mais je continuais, presque par gratitude, pour prolonger ce moment de calme après l’intensité. Nous nous fîmes un câlin tendre avant de nous rhabiller.
Au cour de l heure qui suivit, alors que je terminais mon travail, je dus m’essuyer plusieurs fois les fesses, car son sperme coulait hors de moi.
J'avais terminé ma besogne, et nous prîmes le café face à face dans la cuisine. Je lui dis en souriant : « Tu m’as vraiment mis une sacrée dose, ça dégouline encore. »
Lui, avec un air satisfait :
-Oui, je me suis tout vidé, ça faisait longtemps que je n’avais plus joui autant. Je sentais mon bite essayer de vider mon sac, mais il n'y avait plus une goute dans mes bourses. Ma queue s'efforçait de tout extraire, se contractant et se décontractant, mais sans y parvenir.
-C’était excellent, tu as été parfait. J’ai atteint le nirvâna. Moi aussi, cela faisait longtemps que je n’avais pas connu une telle jouissance.
Nous fûmes interrompus par le bruit de la clé dans la serrure, car son épouse rentrait à la maison, les bras chargés de courses. Elle dit : « Alex, tu viens m’aider à porter les courses ? » Je mis ma veste, saluai Alex et sa femme, puis partis. Je ne comprenais pas pourquoi elle me regardait bizarrement jusqu'à ce que je m'asseye au volant de ma voiture et remarque qu'un bas était tout boudiné et descendait jusqu'à mon genou. J'avais sans doute oublier de bien le fixer au porte-jarretelles.
Plus tard dans la soirée, je reçus un SMS d'Alex : « Ma femme a remarqué que tu portais des bas et trouve cela étrange pour venir travailler. Elle est immédiatement allée vérifier dans notre chambre. Heureusement, nous avons fait cela dans la chambre d'amis, et tu avais refait le lit parfaitement. »
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour Monique
La lecture fut pour moi excitante, ayant un faible pour les femmes rondes.. j imagine que votre initiation anale à du continuer... j adorerai lire la suite...
Au plaisir de cette lecture
La lecture fut pour moi excitante, ayant un faible pour les femmes rondes.. j imagine que votre initiation anale à du continuer... j adorerai lire la suite...
Au plaisir de cette lecture
Merci Monique pour cette magnifique histoire très excitante
Cyrille
Cyrille
J'espère d'autres récits.
Bravo et merci.
.. profite de tou tout les plaisirs
Le temps passe si vite.
Rudy
Bravo et merci.
.. profite de tou tout les plaisirs
Le temps passe si vite.
Rudy
Il ne faut pas aller de lanus vers le vagin, il y a un gros risque d’infection !