La pulpeuse Nathalie : la serveuse est une petite vicieuse (partie 3/9)

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Auteur homme.
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Récit libertin : La pulpeuse Nathalie : la serveuse est une petite vicieuse (partie 3/9) Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La pulpeuse Nathalie : la serveuse est une petite vicieuse (partie 3/9)
Après la mort de Nicolas, Nathalie ne pensait plus aimer un jour, elle avait accusé le coup mais elle avait un manque. Malgré sa jeunesse, il lui manquait le sexe. Elle en était devenue dépendante, ses pulsions sexuelles étaient très fortes. Malheureusement, au lycée, elle n’avait que très peu d’amis, mais comme il lui fallait faire l’amour, elle avait essayé avec Jimmy, un garçon que toutes les filles adulaient. Celui-ci céda rapidement à ses avances, il était fou de sa poitrine qu’elle osait exhiber par ses larges décolletés. Comme à son habitude, la première fois Jimmy eut la chance de connaitre la fellation dans les toilettes. Elle l’avait conquis mais lorsqu’il s’était retrouvé avec elle dans sa voiture, Jimmy ne fut pas à la hauteur. Si lui, avait pris son pied, il n’était pas parvenu à la faire jouir.

Après quelques essais infructueux, lorsqu’elle l’avait plaqué, il n’avait pas accepté et avait fait courir la rumeur qu’elle n’était autre qu’une avaleuse de bites. Il avait très mal agi car Nathalie se vengea et la rumeur fut tout autre, à son encontre. Elle avait fait courir le bruit : « Jimmy avait un tout petit pénis et il était un éjaculateur précoce. » Il n’en avait pas fallu plus pour que, peu à peu, les filles se détournent de lui.

Après cet épisode calamiteux, elle se décida de ne plus jamais coucher avec un garçon de 18-20 ans. L’année de son BAC, elle s’était bien rendu compte que son prof de gym était toujours auprès d’elle, il était toujours prêt à l’aider et à la toucher dès qu’il en avait la possibilité. Ce mardi soir, après la dernière heure passée au gymnase, elle s’était changée et avait attendu dans les toilettes que tous les élèves de sa classe soient sortis pour aller trouver son prof dans son bureau. Comme elle s’y était préparée, Rénald lui fit la cour et très vite ils s’étaient embrassés. Après une savante fellation, ce prof de 32 ans marié venait de tromper sa femme pour la première fois. Toutes les semaines en fin de cours, jusqu’à son examen, Nathalie renouvelait le même stratagème pour se retrouver seule avec lui afin de baiser comme une folle avec cet étalon qui lui faisait prendre des orgasmes fulgurants. Ce fut avec lui qu’elle connut la sodomie à 18 ans.

Après le Bac, elle devait poursuivre ses études afin d’obtenir un BTS secrétariat, compta/gestion. Voulant passer le permis, elle avait besoin de travailler pendant ses congés. Nathalie connaissait par l’intermédiaire de sa mère Viviane, une jeune femme d’affaire très belle qui faisait même quelques publicités à la télévision. Elle possédait un hôtel dans le var, elle avait un petit appartement attenant où elle aimait venir s’y reposer. Cette femme travaillait beaucoup et était très souvent sur les quatre chemins laissant son mari un peu trop seul. Madame Marchal lui proposa un poste comme serveuse dans son hôtel de charmes pour tout l’été. Elle lui avait confié également la surveillance d’Antoine son époux qu’elle soupçonnait de la tromper.

Nathalie avait trouvé Antoine complètement craquant. Il était grand, plus de 1,82m, ses cheveux bruns, courts, taillés presqu’en brosse le rajeunissait. Ses yeux étaient verts, un nez légèrement épaté, il avait une grande bouche et de belles lèvres. Quand il souriait, il montrait la blancheur de sa dentition. Son corps était celui d’un sportif accompli. Il était très large d’épaule, avait un torse imposant et des bras musclés. Son physique faisait de lui, un vrai playboy.

Il vivait pratiquement seul tout l’été à Brignoles, en fin d’après-midi, lorsqu’il prenait un moment de détente à la piscine, de nombreux regards féminins le scrutaient de la tête aux pieds. C’était un homme qui faisait rêver beaucoup de femmes. Il n’avait qu’à lever le petit doigt pour avoir l’une d’elle dans son lit. Dès qu’il les avait convaincues, elles attendaient de ne pas être observées pour aller le rejoindre dans son petit appartement. En général, elles ressortaient toujours avec le sourire, elles donnaient l’impression de prendre leurs pieds avec lui. Il s’efforçait de rester discret afin de paraitre le plus fidèle des hommes. Il pensait qu’il devait être surveillé par le personnel, ce qui n’était pas faux, Nathalie l’espionnait pour le compte de sa patronne mais également pour une autre raison. Elle avait envie de lui, elle attendait qu’il se montre avec une autre femme que la sienne. C’était pourquoi, elle ne l’avait jamais surpris en flagrant délit d’adultère.

Elle faisait tout, pour qu’il la remarque, sans succès jusqu’à présent. Il était prévu qu’il mange en salle, mais elle avait accepté sa demande d’être servi à son domicile. Cela arrangeait Nathalie qui pensait qu’il ferait forcément attention à elle. Ce jour-là, le croyant seul, elle vint apporter le déjeuner à Antoine comme elle le faisait personnellement dès son arrivée dans l’établissement mais ce fut Madame Marchal qui ouvrit la porte et l’accueillit :— Bonjour Nathalie, que fais-tu ? Nous mangeons au restaurant.
— Bonjour, Madame… J’ai pensé que Monsieur Marchal n’avait pas le temps de déjeuner en salle. C’est pourquoi je me suis permise… Je ne vous avais pas vu arriver.
En remplacement du 3 e Annie Merci
Elle était arrivée à trouver la parade, elle avait eu peur que sa patronne eût un doute. Elle ne remarqua rien mais Antoine avait compris ce jour-là, que Nathalie pouvait désormais finir dans son lit. Ils finirent de se préparer et allèrent déjeuner.
Si Antoine faisait fureur auprès des dames, les hommes s’égaraient dans leurs pensées, en admirant son épouse, cette sirène, sortie tout droit des eaux. Pourtant elle était vêtue de la manière la plus simple mais ses formes ressortaient sous son teeshirt moulant et dans son mini short. Elle aimait être sexy afin qu’on la désire. Elle était reconnue, de nombreux enfants étaient venus lui dire qu’ils l’avaient vue à télé pour une publicité. Bien entendu, les hommes en profitaient pour l’aborder. Leurs femmes n’appréciaient pas toujours.

Après le repas, il était temps d’aller faire leur sieste crapuleuse avant d’aller faire un plongeon à la piscine. Un peu de bronzage dans la soirée lorsque le soleil était moins intense. Le dîner devrait être plus léger, afin de garder quelques forces à dépenser sous les draps avant de s’endormir.

Ce fut au bord de la piscine que Nathalie s’aperçu de l’effet que faisait Antoine auprès des jeunes et moins jeunes femmes qui essayaient de cacher leur regard derrière leurs lunettes de soleil. Sa femme ne restait jamais très longtemps, elle était toujours sur la route, Antoine ne supportait plus d’être seul. Il céda, une nouvelle fois à une femme qui était à ses côtés sur la plage de la piscine. Cette femme la quarantaine était mariée. Elle sortait de l’eau avec mon maillot deux pièces, elle était bien faite et n’hésitait pas de le montrer. Elle vint s’installer sur le lit de plage à sa gauche. Elle se mit assise face à lui et enleva le haut du maillot devant ses yeux avant de s’allonger sur son transat.

Antoine n’étant pas timide, entama la conversation et sut rapidement que son mari était au boulodrome pendant encore une bonne partie de l’après-midi et que cette dame s’ennuyait à mourir. Ni une ni deux il l’invita à le suivre, dans son appartement.
— Je rentre à mon appartement, si vous avez envie de me suivre, n’hésitez pas à me rejoindre. Si vous voulez un peu de plaisir, attendez quelques minutes. Je vous attendrai et nous passerons un très bon moment ensemble.

Nathalie, qui observait souvent Antoine, comprit ce qui se passait réellement quand elle avait aperçu cette femme pénétrer discrètement dans son appartement. Suis-je bête. « Bien sûr qu’il n’est pas si fidèle que cela. » Se dit-elle. Elle était jalouse, de cette dame, pourtant elle n’avait rien à lui envier, elle était bien plus jolie qu’elle. Il aimait peut-être les femmes mûres. Elle aussi le voulait, mais pas de cette façon. Elle pourrait en profiter plus souvent et plus régulièrement que ces femmes qu’il baisait qu’une seule fois. Elle se promit de faire le nécessaire un de ces midis, en lui apportant son déjeuner, lorsque son copain sera au travail. « Il est trop top ce type, je veux baiser avec lui. » Se dit-elle. Une bonne demie heure plus tard, elle vit la femme, sortir de l’antre d’Antoine. « Il a dû lui donner du plaisir pour avoir un visage aussi rayonnant. »
Le jour suivant, Antoine se trouvait devant son écran, lorsqu’on frappa à la porte. Ce devait être Nathalie qui venait apporter le déjeuner. Elle s’était préparée à lui démontrer son pouvoir de séduction. Elle portait un chemisier blanc uni très simple, mais enleva les trois premiers boutons avant de pénétrer chez lui. Elle dévoilait une bonne partie de sa poitrine qui poussait vars l’avant, prêt à sortir du corsage. Elle avait mis une petite jupe noire très courte qui mettait en évidence ses belles jambes. Au-dessus elle portait un petit tablier rouge et blanc. Elle était ravissante. Ses cheveux étaient relevés en les maintenant à l’aide d’un chouchou formant une queue de cheval. Son visage ainsi découvert était radieux. Une vraie soubrette élégante et super sexy. C’était à elle de jouer le jeu de la séduction.

En ouvrant après avoir frappé, elle avait pris son plus beau sourire. Quand Antoine l’aperçut ainsi dans l’encadrement de la porte, il en restait scotché à sa chaise, les yeux écarquillés. Elle qui était habituellement d’une sobriété due à son poste, il l’avait trouvé craquante, un brin, provocatrice.
Elle s’approcha de lui et posa le plateau sur la table basse ce qui eut pour effet de dévoiler encore plus sa poitrine. Antoine n’en perdit pas une miette.
— Excusez-moi Monsieur Antoine mes boutons se sont défaits, je les remets en place.
— Non, Nathalie ! Tu es merveilleuse ainsi. Tu as une telle poitrine qu’elle me donne envie de la toucher et de la caresser.

Elle fut toutefois surprise de sa réaction soudaine, il n’y était pas allé de mains mortes, elle ne put répondre. Il se leva et s’approcha d’elle. Elle avait une grande appréhension, c’était la première fois qu’elle était autant impressionnée devant un homme. Pourtant, ce n’était pas le premier mais avec Antoine, elle ne savait plus quoi faire. Elle décida de ne pas bouger. Elle tremblait pendant qu’il enlevait le quatrième puis le cinquième bouton. Il passa ses mains à l’intérieur du chemisier et lui caressa les seins, ses tétons pointaient déjà. Elle ferma les yeux, ce fut à cet instant qu’elle reprit un peu l’initiative, elle le caressa aussi, elle sentit sous son short son sexe qui s’enflait et se durcissait, il était énorme se disait-elle, cela lui rappela celui de Nicolas son premier amour. Puis il fit descendre la fermeture éclair sur le côté de sa jupe qui tomba au sol. Il l’admira, son corps de jeune femme l’excita beaucoup.

Après un baiser ardent, il la coucha sur le bureau. Elle était à plat ventre sur la plaque de verre, elle ressentit la fraicheur du verre sur ses seins nus. Elle était bien, il s’était baissé et lui léchait l’entrejambe qui s’était bien humidifié avec l’excitation. Après ses coups de langues bien placés et son doigté efficace, elle prit son premier orgasme en éjaculant quelques flots qui coulèrent sur sa bouche et le trop plein sur ses cuisses.

Ce fut le moment qu’elle avait choisi, pour se relever, se retourna puis s’accroupi devant lui, sa timidité avait entièrement disparu. Elle lui baissa son short de bain et avala sa puissante queue. Oui ! Elle ne s’était pas trompée, il était monté comme un poney. Après une savante fellation où il put remarquer qu’elle était une experte en la matière, il la fit se recoucher sur le bureau et s’engagea en elle sans brutalité, il voulait qu’elle prenne de nouveau du plaisir. Elle était tellement en manque qu’il n’avait pas été difficile de lui en procurer. Elle jouit lorsqu’il la pénétra en lâchant quelques nouvelles effluve liquides qui s’échappaient de son vagin. Il la retourna, et recommença par de longs va et vient puis se vida en elle quand elle jouit à nouveau. Elle connut ce jour-là le prince de l’amour que de nombreuses femmes qu’il avait possédées, attendaient encore.

Il la souleva et l’emmena sur le lit. Elle prit un plaisir immense, de lui faire une nouvelle fellation digne de ce nom, il ne pensait plus qu’à la reprendre, elle méritait d’en avoir encore. Rapidement avec la langue de Nathalie autour de son gland, sa verge était parvenue à une érection digne de ce nom :— Comment veux-tu que je te prenne Nath ?

Antoine était capable de prendre une femme sauvagement comme il l’avait fait avec la dame de la piscine qui ne désirait que cela ou d’apporter du bonheur jusqu’à la jouissance en étant doux, tendre et plein d’affection comme avec elle :— Apprends-moi, fait de moi ce que tu veux.

Il était le prince de l’amour, en effet, elle jouit plusieurs fois sous les coups de boutoir qu’il lui avait affligés.
— Tu es merveilleux Antoine, je n’ai jamais connu cela. Je n’oublierai jamais cet instant d’euphorie et de bien être que tu m’as apportée. Merci. Il faut que je me dépêche, mes chefs vont s’impatienter.
Ils s’embrassèrent rapidement puis elle disparut.
— Ta femme m’a prévenue qu’elle venait ce weekend, je ne te verrai pas avant lundi. Bisous Antoine.

Ce fut ainsi que le reste de l’été, Nathalie fit l’amour avec le mari de sa patronne, le matin au petit déjeuner, le midi au déjeuner et le soir au dîner, il n’avait plus à chercher une autre partenaire, Nath était à lui tout entier, elle l’épuisait sauf bien entendu lorsque sa femme était présente.


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