La pulpeuse Nathalie : Vient d’être cocue devant ses yeux ! elle se venge immédiatement avec le meil

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Auteur homme.
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Récit libertin : La pulpeuse Nathalie : Vient d’être cocue devant ses yeux ! elle se venge immédiatement avec le meil Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-04-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La pulpeuse Nathalie : Vient d’être cocue devant ses yeux ! elle se venge immédiatement avec le meil
À publier le mardi 7 avril svp
Nathalie, cette secrétaire comptable de 35 ans était une femme que l’on peut décrire comme moderne. Avec son BTS secrétariat, compta/gestion, elle fut embauchée depuis une dizaine d’année chez « EMDEC & associés » un cabinet d’expertise comptable. Elle était mariée depuis 7 ans à Vincent son patron, un homme de 40 ans associé à Richard du même âge et de Florence l’amie de ce dernier.

Nathalie était pulpeuse, elle n’était pas une femme ronde comme l’on entend souvent, se terme utilisé et galvaudé pour désigner des filles dites pulpeuses. Non ! Nathalie était mince avec des formes généreuses bien reparties et formant un corps bien équilibré et tout en féminité. Tout le contraire d’une silhouette très musclée et avec peu de hanches, ou par opposition d’une silhouette ronde et sans forme. Sa poitrine se voulait généreuse avec ses bonnets de 90C, sa taille était plutôt fine contrastant avec ses fesses bien rebondies. Ses longues jambes étaient surmontées par des cuisses épaisses mais bien galbées ne tassant pas sa silhouette. Au final loin d’avoir des mensurations parfaites de mannequin, son corps était plutôt féminin, bien proportionné, et très sexy.

Son visage rond et sa coupe de cheveux au carré, auburn asymétrique arrivant à peine à ses épaules, avec une large frange tombant sur le côté droit du front lui donnait l’allure d’une femme jeune et dynamique. Sa bouche était l’un des éléments les plus appréciés des filles pulpeuses. Elle était charnue, gourmande et souriante, un peu comme celle d’une bimbo de la télévision. Ses yeux étaient profond d’un bleu nuit, surmonté de sourcils épais mais bien épilés, le tout sur un petit nez légèrement en trompette. Elle était tout simplement, ravissante.

Comme son mari d’ailleurs qui était un homme, large d’épaule mesurant 1,83 m. Avec l’âge, ne pratiquant plus de sport régulièrement, il avait pris quelques kilos. Il avait un peu de ventre et avait des petites bouées sur les hanches mais rien de bien catastrophique. Surtout que son visage était resté assez jeune et plutôt joli. Avec une tête carrée, une fossette au menton, des lèvres fines bien dessinées et un nez grec, il donnait cette impression de virilité qui plaisait beaucoup aux femmes. Ce couple s’aimait, ils étaient toujours ensemble et s’entendaient à la perfection tant sur le plan professionnel que sentimental. Sexuellement parlant, Vincent avait tout appris avec l’expérience de Nathalie. Avec lui, elle s’était totalement transformée et était devenue une femme aimante et douce.

Ils avaient depuis toujours, un couple d’amis très proches, Richard et son amie Florence tous les deux associés de Vincent chez « EMDEC & associés ». Ils se retrouvaient régulièrement à de nombreux repas, sorties diverses et pendant certaines vacances. Richard était l’ami d’enfance de Vincent, il était orphelin et fut élevé avec lui, autant dire qu’ils se considéraient comme deux frères. D’ailleurs, ils se ressemblaient beaucoup et avaient à peu de chose près, le même physique. Pourtant ces dernières semaines, leur couple battait de l’aile, depuis leur dernière sortie du samedi 10 mars 2018.

Tout avait commencé au restaurant, Florence la belle bourgeoise la compagne de Richard avec lequel, elle vivait en couple depuis sept ans, n’avait pas arrêté de faire les yeux doux à Vincent pendant tout le repas. Son ami s’en ayant aperçu, lui avait fait quelques remarques discrètes, sans faire d’esclandre. Il ne pouvait et ne voulait pas se disputer avec Vincent, ils s’appréciaient beaucoup trop pour en arriver là.

Par la suite, dans un club huppé de la ville, ils étaient installés tous les quatre sur un canapé autour d’une table basse depuis un moment en buvant un verre, lorsque Richard se disputa franchement avec Florence. Il quitta la table et alla au bar retrouver quelques connaissances. Comme son amie était triste et faisait la tête dans son coin, Nathalie, bonne pâte qu’elle était, demanda à son mari de l’inviter à danser pour lui changer les idées. C’était une série de slow. Vincent invita Florence qui n’avait pas hésité une seule seconde à le suivre sur la piste. Un homme de la cinquantaine s’était présenté devant Nathalie, il voulait danser, se retrouvant seule, elle accepta.

La salle étant plongée dans l’obscurité, il était difficile de voir à plus de deux mètres, Nathalie ne faisait pas attention aux paroles de son cavalier, elle cherchait du regard, Florence aux bras de Vincent. Les ayant aperçus, elle menait la danse dans leur direction, au fur et à mesure qu’ils dansaient, elle vit les mains de son mari se glisser peu à peu vers les fesses de sa cavalière. Florence semblait apprécier, elle s’efforçait à jouer le jeu, elle ne réagissait pas et le laissait faire, elle prenait même du plaisir à se sentir désirer, elle devait commencer à mouiller sa petite culotte car sa réaction vint, lorsqu’elle posa sa tête sur l’épaule de Vincent qui lui caressait le bas des reins. Voyant cela, il persévéra et s’était enhardi, il lui pelotait une fesse de sa main droite, en la plaquant bien contre son ventre où elle devait ressentir son sexe commençant à se mettre en érection, pendant que sa main gauche s’était emparée d’un de ses deux seins qu’il caressait à travers son chemisier.

Nathalie ne voulait pas trop s’approcher, elle ne voulait pas se faire repérer. À la fin de la première danse, elle abandonna le quinquagénaire et resta au bord de la piste à proximité du couple continuant à danser. La série de slow n’était pas encore terminée, les caresses et le mouvement du bassin de Vincent se poursuivait, Florence pleine de désir, se frottait contre lui en l’excitant un maximum, pendant la deuxième chanson langoureuse. Lui avait sa verge contre le ventre de sa cavalière et il ne se cachait pas de lui faire ressentir en l’appuyant fortement sur son bas ventre dans des mouvements de hanches, les mains toujours occupées à lui caresser les fesses et la poitrine. Au début du dernier slow de la série, il se pencha et lui murmura à son oreille.

Malheureusement, Nathalie ne pouvait pas entendre leur conversation, mais ce n’était probablement pas de travail dont ils parlaient. Elle devinait qu’ils mourraient d’envie de baiser, elle se laissait peloter comme une adolescence devant tout le monde, ce n’était pas possible qu’elle puisse lui refuser. Tout en dansant, ils s’étaient dirigés dans le fond de la salle du dancing où il faisait encore plus sombre et où très peu de monde s’y trouvait. Vincent pencha son visage, embrassa Florence, elle tendit sa bouche et accepta son baiser. Le couple d’adultère, se mit un peu plus à l’écart, croyant ne pas être remarqué, dans ce recoin à l’abri des regards. Ils se trouvaient dans un petit couloir accédant à une sortie de secours, éclairée uniquement pas la petite lumière verte au-dessus de la porte. Nathalie placée derrière un couple qui s’embrassait, ne pouvait être vu par les deux amants. Vincent l’avait plaquée contre le mur et avait retroussé sa jupe par devant pour venir glisser sa main sous son string. Il enfonça sans ménagement ses doigts entre les deux lèvres de son vagin et la triturait sans retenu en faisant quelques va et vient.

Leurs bouches restaient collées, les bras de Florence venaient se nouer derrière la nuque de Vincent dont son corps se pressa immédiatement sur l’entrejambe de sa maitresse. Nathalie connaissait bien son mari, elle imaginait son énorme érection qui devait lui faire mal, tant elle était forte emprisonnée dans son pantalon.

Florence s’en rendait compte et était bien consciente de l'émoi qu’elle provoquait chez son associé, quand ses hanches se mettaient à onduler, faisant danser son bassin contre son sexe dressé en son honneur. Ce fut elle qui prit les initiatives, elle lui prit ses mains afin qu’il lui caresse les hanches en douceur, puis l'une d'elle remonta le long de sa taille avant de glisser dans son dos, caressant sa peau nue. De voir ce couple en train de baiser à quelques mètres d’elle, Nathalie était fâchée et très déçue surtout, elle voulait intervenir avant qu’ils n’aillent plus loin, mais le mal était fait et la situation l’excitait en définitive, il la trompait en sa présence, elle mouillait sa petite culotte, elle était à deux doigts de se caresser.

Pendant ce temps, Vincent prit son autre main et la fit glisser sur le long de la jambe, retroussant sa robe jusqu'à découvrir le galbe d'une cuisse gainée de nylon qu’il caressa délicatement, la faisant remonter de plus en plus haut jusqu'à sentir sa jarretelle puis la peau nue pour faciliter ses caresses.

Lorsque la hauteur atteinte par la robe le permit, elle enroula une jambe autour de sa taille, la dégageant de tout tissu, lui permettant ainsi de la caresser sensuellement du genou jusqu'aux fesses. Il sentit la dentelle de sa petite culotte et y glissa sa main dessous afin de caresser son intimité déjà bien humide de son désir et son excitation. Ils s’embrassaient toujours entre leurs caresses car depuis longtemps, elle effleurait à travers le tissu, du bout de ses doigts, son pénis qu’elle devait sentir dur comme de la pierre. Elle déboucla sa ceinture, et descendit le zip de sa fermeture éclair, elle masturba son long sexe en l’embrassant à pleine bouche. Un soupir s'échappa de ses lèvres pendant que sa langue se mêlait à la sienne.
— OUI ! Vincent, prends-moi là tout de suite.

Il remonta sa robe jusqu’à la taille, en déposant un baiser dans son cou, la jambe de la maitresse accrochée à sa hanche l’empêchant de redescendre. Puis, il en profita pour venir caresser d’une main ses seins fermes, de l’autre, il laissa choir son pantalon sur le sol, bientôt suivi de son boxer. Elle fit de même, elle glissa son string le long de ses cuisses avant de guider le membre de son amant, jusqu’à son vagin tandis qu’elle se cambrait pour venir au-devant de sa verge érigée. Elle releva sa deuxième jambe et fit comme un nœud derrière le dos de Vincent qui la maintenait sous les fesses, il fléchit les genoux et d’une poussée lente et régulière, il s’enfonça en elle, jusqu’à la garde, lui arrachant un râle de plaisir. Debout, face à face, ils faisaient l’amour :— ?Humm... Oui ! comme ça, c’est bon ! Doucement tu es gros.

Les mains sous ses fesses, il la monta un peu plus contre le mur, afin de rester debout et faciliter ses va et vient. Florence se cambrait afin que son sexe puissant puisse coulisser à sa guise entre ses lèvres ouvertes en grand.
Ainsi accrochés l’un à l’autre, il allait et venait entre ses cuisses, de toute sa longueur, variant le rythme et l’angle de ses pénétrations, il ressortait entièrement, ne faisant glisser que son gland dans ma vulve, titillant son clitoris, puis la pénétrait à nouveau lentement, s’enfonçant jusqu’à disparaitre dans son ventre. Ses gémissements l’encourageaient à prolonger leur étreinte. Mais il était trop tard Florence jouit :— Je viens...Je jouis...Oui...C'est bon... J’aime...
Avec ses mots, Vincent éjacula en elle, il n’avait même pas pris la précaution de se protéger.

Nathalie se tourna et vint rejoindre Richard au bar, elle était furieuse, il le remarqua et ne voulut pas lui demander pourquoi, il se doutait de ce qu’il venait de se passer. il lui demanda simplement pour faire descendre la pression, ce qu’elle voulait boire, puis Nathalie enchaina :— Pourrais-tu me dire pourquoi vous disputiez-vous avec Florence ?
— Ce n’est rien Nath, il ne faut pas t’inquiéter.
— Dis-moi, c’est au sujet de Vincent ? J’en suis sûre. Tu as vu comment ils se regardaient tout à l’heure ?
— Je te dis que ce n’est rien…— Bon écoute Richard ! Ils viennent de baiser ensemble, j’ai tout vu, alors arrête tes cachoteries, je sais que tu es vraiment proche de lui mais il ne faut pas te voiler la face. Nous sommes cocus, c’est tout.

Richard la prit par le cou et lui expliqua toute l’histoire. La relation sexuelle entre Vincent et Florence ne datait pas d’hier mais durait depuis plus de dix ans, bien avant leur association et avant leur mariage. Lorsque Florence s’était installée avec Richard, c’était par amour et elle ne lui avait jamais caché qu’elle avait Vincent comme amant et qu’elle ne voulait pas rompre leur relation qui était que de temps en temps et jamais publiquement surtout devant lui ou pouvant être dévoilée à Nathalie. Florence avait besoin de la tendresse et de la sensualité de Vincent alors que Richard était bien plus brutal et cru lors de leurs rapports. Elle lui avait donc promis de ne jamais faire quoique ce soi en sa présence ou devant Nathalie :— Tu vois, c’est pour cette raison que je me suis disputé avec elle ce soir, je voyais bien qu’elle avait envie de lui, elle ne l’avait pas vu depuis quinze jours.

Assise à côté de Richard, la tête de Nathalie vint se poser sur l’épaule de son ami. Richard passa son bras autour de son cou et l’embrassa sur le front d’un baiser tendre et affectueux :— Je suis désolé, nous aurions dû te le dire, ça fait longtemps que j’avais dit à Vincent de le faire. Je t’apprécie beaucoup Nath…Tu le sais, nous nous disons tout, j’aurais dû t’en parler mais tu aurais pensé que je voulais baiser avec toi.
— Tu veux que je te dise… Moi aussi, tu me plais Richard et tu le sais, pourquoi ne ferions-nous pas la même chose ? Je n’aurais jamais dû refuser tes propositions, à l’époque.
— Ce que l’on a choisi, était la meilleure des solution Nath, tu me plais énormément.

Nathalie tourna la tête vers le visage de son voisin et ils s’embrassèrent, longuement bouche contre bouche.
— Viens, suis-moi, prenons notre revanche. Dit Richard à Nathalie qui se leva et le suivit.
Ce fut le début d’une grande aventure, Nathalie ne s’était pas séparée de Vincent son mari, ce qu’elle s’était juré de faire au départ, mais c’est de cette manière que Richard était devenu son amant du jeudi après-midi.

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