La randonnée surprise - histoire érotique

Pensez à lire mes histoires précédentes et n’hésitez pas à me faire part de vos critiques, positives ou pas.

Aline et moi nous sommes retrouvés après de longues années où on s’était perdus de vue. Après quelques épisodes que vous pouvez lire dans mes précédentes histoires, nous sommes maintenant officiellement en couple et on en profite pleinement.

Originaires des alpes, nous aimons beaucoup randonner et découvrir de nouveaux endroits. Il y a peu, nous avons décidé de passer quelques jours en Suisse voisine afin de nous changer un peu les idées et découvrir de nouveaux lieux.

Nous avons donc loué un petit chalet dans un endroit plutôt isolé, au cœur des montagnes, lieu idéal pour un départ de randonnée.

Comme prévu, nous nous sommes préparés pour la marche. Pour ma part, caleçon, short, t-shirt et un haut un peu plus chaud pour le matin. Il faut dire qu’il fait frais au lever du soleil à cette altitude ! Aline a enfilé un string, un leggins, une brassière et un t-shirt. Je l’admire avant qu’elle n’ajoute un pull à son attirail. Elle est incroyablement sexy avec son bas moulant qui fait ressortir ses jolies fesses et son ventre plat. Je sens déjà des envies poindre en moi.

Je prépare le sac à dos pendant qu’Aline finit de se préparer et de concocter des sandwichs pour le repas. J’ajoute des vêtements plus chauds, une couverture de survie, deux lampes frontales des snacks et de l’eau. Je glisse également un petit « extra » que j’espère pouvoir sortir pendant notre randonnée. Les sandwichs terminés, je les ajoute au matériel et nous sommes prêts à partir.

La première partie se déroule dans la forêt, le long d’une route. Nous discutons joyeusement de tout et de rien. Il fait beau, frais et on ne croise personne. Nous arrivons ensuite à un pont métallique qui surplombe une rivière. Le pont est large et servait autrefois à la construction d’un tunnel. Le passage est impressionnant. Les grilles sous nos pieds laissent entrevoir les presque 100m de vide. Bien qu’excellente marcheuse, Aline n’aime pas le vide et s’agrippe à moi. Toujours en rigolant, je lui propose donc de s’accrocher à mon cou et de la porter pour traverser. Elle ne refuse pas et se lance dans mes bras. Elle m’entoure de ses jambes et je passe mes mains sous ses fesses pour la soutenir (oui oui, vous croyez quoi ?!). On traverse ainsi. Elle en profite pour m’embrasser dans le cou et je sens déjà l’excitation monter. J’en profite également pour lui caresser les fesses tout en la maintenant contre moi.

- Hé profiteur ! Tu dois faire la mule pour m’aider à traverser, pas pour me tripoter
- Désolé, mais je n’ai pas beaucoup de prise et mes mains glissent
- Comme par hasard, ouais…
Le pont traversé, je repose Aline qui m’embrasse fougueusement. Je réponds à son baiser et ses mes parcourent mon corps, trouve mon sexe qui a déjà pris un peu de volume et le caresse à travers mon short. Il prend encore du volume. Je caresse également ses fesses, ses seins. Tout d’un coup elle se détache de moi et reprend le chemin.

- Bon c’est pas tout, mais faut qu’on avance un peu, sinon on n’arrivera jamais au bout
- Quoi ? Et tu me laisses en plan, là, comme ça ? Tu m’allumes et pouf, plus rien ?
- Je t’ai pas allumé, c’était juste pour te remercier pour ton aide pour la traversée. Faut pas déconner, l’effort était pas non plus si énorme qu’il méritait une meilleure récompense, si ?! Allez zou, on y va !
-
Je reste sur ma faim, mais je la connais. Elle aime jouer avec moi, comme j’aime jouer avec elle. La journée s’annonce animée, comme je les aime !

La route est devenue un sentier qui s’enfonce dans la forêt. La montée est rude mais le paysage est envoûtant. On n’entend que le chant des oiseaux et on aperçoit un écureuil qui fuit devant notre arrivée.

Le paysage est d’autant plus beau pour moi, car je suis Aline dans ses efforts. Comme la montée est raide, son postérieur se retrouve à hauteur de vue. Je le vois se balancer au rythme de ses pas. Le spectacle est des plus agréables et je le lui fais remarquer.

- La vue est quand même incroyable
- Oui, c’est joli cette forêt
- Oui la forêt est sympa. Bon, j’avoue que je ne regarde pas que la forêt, si tu vois ce que je veux dire.
- Petit cochon
- En même temps c’est toi qui me mets ton petit popotin à hauteur d’yeux. Et vu comme tu m’as chauffé tout à l’heure, je me gêne pas de regarder. Je vois même le dessin de ton string en dessous.
- Ha zut, j’aurais dû l’enlever alors
- Ç’aurait été bien oui. Bon, après on n’est pas à l’abri d’un accident. Une culotte est si vite perdue…
- N’y pense même pas…

Et pourtant oui, j’y pensais. J’y pensais clairement, même…

Fin de la montée la plus raide. On se retrouve à la limite supérieure de la forêt, avec une vue dégagée sur les montagnes. Le paysage est magnifique. Une table avec des bancs en bois nous attendent. Ils sont bienvenus pour nous offrir une pause bien méritée. Je sors l’eau, un snack chacun et on se pose pour profiter de la vue. Nous sommes collés l’un à l’autre et Aline pose sa tête sur mon épaule. Nous profitons de cette pause pour reprendre quelques forces et discuter.

- Tu sais, c’est quand même dommage cette marque de string sous ton leggins.
- Ben en même temps c’est facile à dire, toi avec ton gros caleçon.
- Ouais mais moi on le voit pas. Bon, chiche. Si tu enlèves ton string, je l’enlève aussi.
- Ok

Un petit tour sur elle-même pour vérifier les alentours et voilà qu’elle retire son bas. Elle fait glisser le string le long de ses jambes fines et musclées. Je m’approche d’elle pour la caresser.

- Tututututu. Pas touche ! On regarde avec les yeux, pas avec les mains. Surtout que tu as promis quelque chose !

Je suis comme un fou. J’aimerais la prendre là, tout de suite, sur cette table de pic-nic. Mais le chemin est potentiellement fréquenté. Chose promise, chose due, je retire à mon tour mon short et mon boxer. La coquine s’était entre-temps empressée de remettre son bas. Je finis de remettre mon short pendant qu’Aline remet nos vêtements « perdus » dans le sac à dos et nous reprenons notre route.

La situation, savoir qu’elle ne porte rien d’autre sous ce tissus moulant, mon sexe qui n’est protégé que par mon short (je n’ai pas l’habitude de ne pas mettre de caleçon) font que je n’ai qu’une envie, trouver un endroit à l’abri des regards et provoquer à nouveau une situation compromettante.

Le chemin se fait plus rocailleux, plus technique aussi. Mais les paysages sont toujours autant magnifiques. Nous marchons quelques temps sans « incident », mais je ne peux m’empêcher de penser à ma belle qui a accepté de rentrer dans mon jeu. Dans une petite descente sur une centaine de mètres, je vois un gros caillou au loin, légèrement à l’écart du sentier.

- Le premier arrivé peut donner un gage à l’autre
- N’importe quel gage ?
- Oui, du moment que ça reste légal et que ça reste dans la limite de ce que toi et moi sommes d’accord de faire
- Ok !
- Ok…
- 3, 2, 1, gooooo !

Avec ce défi, je pensais gagner car je suis généralement plus à l’aise techniquement qu’Aline dans les descentes. Mais pas cette fois. Non, je ne sais pas comment, mais elle a avalé les difficultés à une vitesse folle et est arrivée au rocher quelques secondes avant moi. Après avoir repris notre souffle, je la retrouve illuminée d’un grand sourire.

- Tu as voulu jouer, j’espère que tu assumes…
- J’ai un peu peur, mais vas-y
- Ok, va derrière le rocher, ça sera un peu plus discret, au cas où… J’arrive dans 20 secondes.
- Mhhhh

Je contourne le rocher et elle me suit de près. Elle commence à m’embrasser langoureusement, à passer ses mains sur mon corps. J’adore sa manière de m’allumer, et ça marche à chaque fois à merveille.

- Tourne-toi !

Le ton est autoritaire. Sa prise de pouvoir m’excite vraiment et j’ai hâte de voir la suite. Elle m’embrasse le cou, se colle contre moi, me caresse sous mon t-shirt, vient frôler mon sexe.

- Baisse ton short !

Je jette quand même un œil autour de moi, mais elle me rappelle à l’ordre.

- T’occupes pas de ce qu’il se passe autour, c’est moi qui gère. Tu as perdu, tu assumes.
- Ok ok mais je suis quand même pas serein.

Elle s’adoucit un peu et me murmure à l’oreille de me détendre et qu’elle s’occupe de tout. J’écoute donc son conseil et baisse mon short pour me retrouver nu dans cette belle nature. Elle me force à le retirer complètement. Je suis déjà excité par la situation et mon sexe est tendu.

Aline reprend ses caresses. Elle passe ses mains sur tout mon corps en embrassant mon cou, mes épaules, le lobe de l’oreille. Sa main gauche saisit mon sexe et le branle doucement. Son genou vient se loger entre mes jambes et me pousse à les écarter un peu. Elle passe ensuite sa main droite entre mes jambes pour me saisir les testicules. Décidément, ce gage me plaît de plus en plus.

Elle continue ses carasses quelques temps, puis sa main droite remonte pour me caresser le périnée. Je gémis doucement sous ses caresses alors que le plaisir commence à monter.

Elle continue ses mouvements, et petit à petit elle se rapproche de mon anus. Plus elle s’approche, plus je me tends.

- chérie, je n’ai jamais fait ça et je sais pas trop si l’idée me plaît
- rappelle-toi, tu as perdu. Je te conseille donc de te détendre et de me faire confiance. Et si ça ne va pas, on arrêtera tout.
- Ok, ça me va. Je t’aime !

Elle reprend son exploration tout en me branlant tout doucement. Sa délicatesse et la douceur de ses gestes finissent par me détendre. J’apprécie ces caresses et elle s’approche de plus en plus de mon entrée interdite. Lorsqu’elle atteint la rondelle, la sensation est douce et agréable. Je lui fais savoir par de petits gémissements qui l’encouragent. Elle continue, appuie de plus en plus. Je sens qu’elle lubrifie son doigt avec de la salive et insiste de plus en plus sur l’entrée. Petit à petit, son majeur s’enfonce dans mon cul. Elle ajoute lentement un autre doigt et va de plus en plus profondément. D’un coup, je sens une sensation totalement inconnue. Elle vient d’atteindre ma prostate. Je sens qu’elle bouge ses doigt à l’intérieur et la sensation est délicieuse. Elle retire ses doigts et je sens un objet froid se poser sur ma rondelle.

- Hé, qu’est-ce que tu fais ?!
- Je sais pas, j’ai trouvé ça dans le sac à dos quand j’y ai rangé nos sous-vêtements. Je pensais que c’était pour toi ?
- Quoi ? Non mais non. Bien sûr que non. Le plug c’était pour toi.
- Ha ben fallait pas jouer alors.

Tout en murmurant ces mots, elle enfonce l’objet dans mon anus. Mes protestations sont pour la forme. Franchement, là, dans cet état d’excitation, elle peut me faire ce qu’elle veut. J’ai une totale confiance en elle et je veux me livrer pleinement à elle.

Lorsque l’objet est totalement inséré, la sensation est étrange. Mi-gênante, mi-agréable.

- Ben voilà ton gage mon chéri. Maintenant tu te rhabilles et on continue notre chemin
- Avec ça là ?
- Ben oui, avec ça, là.

Bon joueur, j’accepte ma sentence. Mais en passant, c’est déjà la 3ème fois que je suis frustré aujourd’hui. Dire que j’avais pris ce jouet pour la « forcer » à le mettre pendant la randonnée. Tel est pris qui croyait prendre.

On continue donc notre chemin. La pente montante est douce et le sentier agréable. Le plug ne me gêne plus. Au contraire, j’aime les sensations qu’il me procure pendant que je marche. Cela maintient une sorte d’excitation constante, me rappelant à chaque pas ce qu’il s’est passé, me rappelant également que je suis quand même sacrément frustré.

On arrive doucement au point culminant de notre randonnée, un col séparant deux petites vallées. Une croix, sellée dans un socle en béton, y trône fièrement. Ça sera un point idéal pour notre repas de midi. Au fil des minutes, j’avais quelque peu oublié la présence du plug dans mon postérieur. Lorsque je me suis assis, cela a provoqué une décharge sur ma prostate qui m’a surpris et m’a fait bondir.

- Ça va ? t’as vu un serpent ?
- Non non c’est heu… enfin tu vois. Quand je me suis assis quoi.
- Oui oui je vois. D’ailleurs, je le voyais aussi bien bouger sous ton short quand je te suivais tout à l’heure. Ça m’a bien chauffée. Tu veux voir ?

Elle passe sa main dans son leggings et la ressort. Elle approche ses doigts de ma bouche. Je lèche ses doigts et le goût de sa cyprine me rallume encore une fois.

- T’as vraiment décidé de m’achever aujourd’hui
- C’est toi qui est parti avec des idées lubriques en tête
- C’est vrai, mais là ç’en est trop !

Je l’agrippe par la taille et l’embrasse avec fougue. Je la caresse, serre ses fesses, palpe, pelote, lèche. J’enlève son leggings et caresse son sexe. Il est déjà trempé.

- T’es fou, on pourrait nous voir là
- Rien à foutre. Il pourrait y avoir tes parents et les miens qui mangent à côté que je pourrais pas m’arrêter.

Je baisse mon short et elle prend mon sexe en main. Pas besoin de beaucoup l’exciter, il est déjà raide.

Je la soulève et elle enroule ses jambes autour de ma taille. Je la laisse redescendre gentiment jusqu’à sentir la chaleur moite de son sexe sur le miens. Je le saisis et le dirige vers l’antre d’Aline. Entre la chaleur de son sexe, le plug qui décuple mon plaisir car pour la porter je dois me contracter, les sensations sont extraordinaires.

Dans ma tête, je me fais un bref arrêt sur image : moi, là, sur une montagne au milieu de rien, entourés de rocaille, sans un bruit, qui porte ma femme dans mes bras pour lui faire l’amour, qui plus est avec un nouveau jouet en moi qui m’apporte des sensations supplémentaires. Je fais une photo mentale de cette scène car je pense que je risque de m’en servir pour des plaisirs solitaires.

Bref, accrochée à mon cou, les jambes enroulées autour de mes hanches, Aline s’agite pour monter et descendre le long de mon chibre. Mes mains, posées sur ses fesses pour la maintenir et l’aider dans ses mouvements, se rapprochent de son sillon fessier. Pendant qu’elle continue à me chevaucher, je recueille un peu de sa mouille sur mes doigts et lubrifie son anus. Elle gémit en réponse à cette caresse et m’encourage à approfondir mon exploration.

L’excitation, les frustrations précédentes et le plug dans mon cul m’emmènent à l’orgasme bien plus vite que ce que j’aurais voulu. Aline semble toutefois très excitée et je lui dis que je vais bientôt jouir.

- Ho oui vas-y, vas-y, je vais bientôt jouir aussi

J’accélère encore un peu le mouvement et j’explose littéralement en elle. Mon orgasme déclenche le sien et elle me mord l’épaule pour ne pas crier. Mes jambes tremblent et je dois m’appuyer à la croix pour ne pas tomber.

- Tu crois qu’ils ont mis cette croix dans ce but-là ?
- Je sais pas, mais en tout cas si c’est le cas, c’est des génies !

Nous restons encore quelques secondes debout, emboités. Je dois finalement m’assoir car je suis un peu à bout de forces. Le plug appuie à nouveau sur ma prostate et fait sortir encore un peu de sperme.

- Est-ce que le gage est terminé ? je crois qu’il va commencer à me faire mal si je le garde.
- Oui il est terminé, tu l’as réussi avec brio.
- Merci de m’avoir fait découvrir ces nouvelles sensations. Merci d’être aussi douce. Merci d’être aussi joueuse.
- Merci à toi d’avoir accepté ce nouveau jeu. A priori, on pourra retenter à l’occasion
- Ho oui, avec plaisir

Nous avons ensuite fini la randonnée en longeant une crête, puis une descente dans un pierrier, puis le retour de la forêt.

Arrivés au chalet, nous avons allumé un feu, fait à manger et nous sommes couchés sur le canapé. On a reparlé de cette journée, de ce que nous avions aimé (ou pas, ou moins), puis nous nous sommes endormis nus, l’un contre l’autre.

Cette femme, je l’aime vraiment de tout mon cœur.