LA RENOVATION (6/8) - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Hamed avait dit que je ramasserais. Pour ramasser, j’en ai ramassé, jusqu’à deux morceaux de manche de pioche que le sadique du groupe m’a fiché dans ma chatte et mon cul sans compter les dizaines de bites que les hommes m’ont offertes avec une générosité sans pareille.

C’est dans la baignoire que je réintègre Yasmina me frottant tendrement l’entre jambes où j’ai mal même si elle me touche avec délicatesse.
Ousman esr derrière elle, semblant attendre les ordres de la petite.

• Tu reviens sur terre, Ousman t’a pris dans ses bras pour te conduire jusqu’ici.
• Et les manches de pioche.
• Excusez-moi de te le dire, il t’a remonté avec. Ils sont dans la chambre.
Comme tu me l’as demandé, j’ai fait de belles photos.
Avec les hommes, la pièce où vous étiez est au rez-de-chaussée, j’en ai fait par la fenêtre et dès que tu as été dans la chambre avec les manches.
J’espère en avoir des explicites des sévices qu’il te fait subir. Il en faut avec Hamed et ton dossier sera près.
• Il en faudra plus que cela pour qu’elle sache, quel salop est son mari.
Aidez-moi à sortir de l’eau, l’heure avance. Nous avons la chance ce soir d’être réuni et il faut que vous fassiez ce qu’il faut pour t’éviter ce mariage humiliant pour toi.

Ousman m’aide à me lever et me conduit dans la chambre.

• Yasmina enlève ta chemise de nuit et tu t’allonges près de moi.
Avant, donne-moi l’appareil photo ?

Elle s’exécute et est prête pour notre vengeance.

• C’est bien, maintenant demande à Ousman de se déshabiller.

Elle lui parle en arabe et dès qu’il est près, je prends la première photo.

• Dis-lui de venir sur toi et de te faire l’amour pendant que je vous prends en photo.
• Tu es folle, je suis encore vierge.
• Oui, et après fini le mariage, tu auras perdu ton pucelage donc tu seras juste à jeter au chien et ton oncle vivra le déshonneur de n’avoir su, protéger ton hymen. Son frère lui en voudra jusqu'à la fin de sa vie.
Les photos que tu fais sur sa façon de me traiter serviront de monnaies d’échange pour qu’il te rende ta liberté.
• Tu es diabolique, surtout que depuis que j’ai croisé Ousman, j’aie envie de lui.
• Tu vas voir, c’est un très bon amant.
• Comment tu le sais, dans leur pièce lorsque tous ces hommes te prenaient, tu sentais qu’il était un bon amant ?
• Non, depuis plusieurs jours il me rejoint la nuit lorsque ton oncle est parti et que les autres dorment et il me fait merveilleusement l’amour.
• S’il me dépucelle, je vais être jalouse.
• Non, tu n’as rien à craindre, j’ai Patrick et lorsque tout sera revenu dans l’ordre, je lui serais fidèle jusqu’à notre mort.
Aller commande Ousman, les photos que je vais faire seront des souvenirs pour vos vieux jours.

Encore des ordres et pendant que le flash crépite, Ousman sans se poser de questions enfonce sa verge.
Elle prend rapidement du plaisir et les gros plans, que je fais, serai magnifique à regarder, lorsqu’un très bel orgasme lui déchire le ventre.
Je sens que les amants ont envie de savourer le moment, mais je reste dans mon action alors je lui demande de commander à son amant de sortir doucement de son sexe pour que je prenne la verge maculée de sang.
Je cadre l’organe sans oublier que l’on voit leurs visages.

• Merci, faire l’amour est divin, je veux recommencer.
• Plus tard ma belle, tu auras toute la vie pour qu’il te baise et te fasse des enfants. Jusqu’à la réalisation de notre vengeance pas question de prendre des risques. Demande-lui d’aller se coucher.

Elle le fait, m’enlace nu et nous nous endormons.

Au matin panique et coup de chance lorsqu’elle se lève pour aller à la salle de bains, mon regard est attiré par de la couleur sur les draps. C’est une tache de sang suite à la perte du pucelage de la petite, je retire les draps et les mets dans la machine à laver, car son oncle est toujours incontrôlable et il manquerait qu’il vienne dans la chambre et mette mon plan parterre.

Lorsqu’il arrive, je suis nu pourquoi attirer les foudres de mon tortionnaire.
Tous les ouvriers sont partis soit à l’extérieur soient sur le toit des six chambres qu’ils ont attaqué à rénover et qui avance bien.
Les colliers autour de mes seins sont les seules choses qui me posent problème à double titre, Hamed acceptera-t-il de les enlever lorsque Patrick reviendra en week-end où alors que puis-je lui faire croire.

• Mon chéri, j’ai fait un pari avec la nièce d’Hamed et j’ai perdu.

Qui pourrait croire à une fable pareille ?
Dire la vérité et le perdre alors que la solution est proche si je réussis à faire tomber mon tortionnaire.

• Va t’habiller, nous partons à la banque, elle ouvre à 9 heures.

Je me dépêche et je mets mon chemisier le plus transparent.
Les colliers vert et rouge ressortent, je mets ma jupe la plus courte possible et mes chaussures à haut talon.
Je descends et je vais dans le bureau d’Hamed.

• Tu t’habile comme une pute pour aller voir ton banquier ?
C’est la première fois que je vais dans cette agence, mais là où nous habitons chaque fois que j’ai eu besoin d’un prêt, cette tenue m’a porté chance.
Comme tu vas jouer le rôle de mon mari, je veux qu’il t’envie d’avoir une femme aussi salope qui affiche ses tendances en ayant les seins cerclés par des colliers.

C’est à ce moment que le téléphone a sonné.
Comme d’habitude, Hamed, décroche.

• C’est ton mari.

Patrick est au bon du fil et viens m’annoncer qu’il lui est impossible de venir les deux prochains week-ends, son patron l’envoie à New York traiter une transaction sur l’achat d’une entreprise pour le compte d’un de leurs riches clients.
Dès qu’il m’a passé le combiné, Hamed me met la main à la chatte libre de toute entrave.
Comme je le fais chaque fois, ma chatte a été un terrain de compromis avec ces banquiers pour arriver à avoir ce que je voulais au taux proche de zéro.
De son autre main, il m’ouvre le chemisier et avec un petit canif qu’il se sert pour ouvrir ses lettres, il tranche les deux colliers.
Dans le même temps alors que je parle toujours à Patrick, il me fait asseoir sur sa queue qui me remplit comme j’aime de plus en plus et comme malgré la contradiction dans ma tête, je le hais de plus en plus.
Dans le même temps le sang recirculant normalement m’apporte un soulagement et une douleur extrême encore plus forts que lorsque l’on met les pieds dans la neige et qu’après on prend une douche chaude.
J’ai du mal à dire les derniers mots à mon homme prise par la douleur de mes seins et le plaisir qui monte dans ma vulve.
J’y arrive et je raccroche satisfaite d’avoir évité que des soupçons arrivent jusqu’à lui.
Comment trouver plus belle salope dans un rayon de dix kilomètres ?

Après qu’il m’est fait jouir comme la garce qu’il a faite de moi et qu’il m’est arrosé la fente, nous partons à la banque.
Le chef d’agence a mes coordonnés et a vu que je suis la propriétaire d’un gîte qui va ouvrir d’ici peu et faire gonfler le chiffre d’affaires de son agence dans un premier temps, accepte de m’accorder 40 000 € étant sûr que je pourrais les rembourser vus mes revenus actuels.
Placée comme je le suis face à lui, un petit écartement de mes cuisses la lumière venant de la baie vitrée étant suffisante pour qu’il voie mon manque de sous-vêtements. Ajouté, l’œil de velours de la fille de joie voulant appâter le client et je signe la demande de prêt pour les 50 000 € que je souhaitais obtenir.

Vas-y, Hamed fait comme tu aime en sortant de la banque, mets moi ta main à ma chatte, le plan que j’ai imaginé se réalise de plus en plus et ma vengeance avec.
Tu as voulu une pute sur ton chantier et tu là. Avec quelques secondes de réflexion, l’après chantier se présente à moi comme un trou noir. J’ai peur que toutes ces verges dans mon corps n’aient fait de moi, une femme avide de pénétrations et que la seule queue de Patrick manque de piment.

Je suis contente de mon travail avec ma boîte par télé transmission inter entreprise que je pourrais certainement faire en une heure en prend deux pour m’épargner mon tortionnaire.
Toutes les nuits après avoir continué à ramasser dans la maison des gardiens, avec les petits, nous regardons et nous sélectionnons les photos qui seront utiles à mon dossier, j’ai appris à Yasmina à faire deux tirages dans la journée lorsqu’elle est seule et que son oncle est parti sur un autre chantier.
Presque tous les soirs, Ousman, baise Yasmina, quoique dans le dossier les photos de la petite perdant sa fleur montrant qu’ainsi son père a perdu la main sur un futur mariage au bled, je continue à les flasher simplement pour la beauté de l’instant.
Il est dommage que je ce soit un simple appareil photo, un camescope avec micro pour enregistrer les orgasmes successifs que son amant déclenche en elle leur apporterait de beau souvenir pour leurs vieux jours si la rénovation de leur maison ne déclenche un jour un cataclysme où la rénovation que j’ai accepté que conduise Hamed m’a mené.
Je suis rassuré au fil de nos nuits, plusieurs fois Ousman a laissé glisser sa main vers ma chatte qu’il connaît bien et chaque fois, je l’ai écarté pour éviter de trahir Yasmina.
Deux fois avant le week-end Hamed m’a attaché dans la grange me remettant pour quelque temps les menottes et m’a pris comme une petite chienne quémandant une queue.
Quémandant, car chaque fois qu’il m’a attaché avant que ses ouvriers viennent passer la soirée près de mon corps qui leur ait offert, je lui demande de m’honorer comme il sait si bien le faire.
Chaque fois, la petite et Ousman qui refuse de jouer aux jeux obscènes de ses compagnons de travail ont réussi à avoir un cliché très subjectif qui pourrait clore mon dossier si j’avais pour but la fin des travaux pour virer tous ces salauds.
Toute cette semaine, le sadique m’a fait, éviter les manches de pioches, mais chaque fois qu’il approche, je me demande à quelle sauce ma chatte va être dévorée.
Dans une de ces soirées, j’ai l’impression d’une dégradation de mon corps.
Est-ce un fait de l’esprit ou une réalité ?
Mais pensés décousus, participe à ce phénomène.
Un moment je hais ces hommes et dès que l’un d’eux me pénètre, j’adore sa queue.
Dès que mon sadique me fiche des manches de pioches dans le vagin et surtout l’anus me distendant les chaires à me déchirer, je le vomis, mais le lendemain, j’épie ces faits et gestes pour savoir quelle misère il va me faire et quel plaisir cela va m’apporter.
Lorsque Hamed prend mon corps pour un terrain de jeu, j’ai envie de le tuer, mais dès que je pense à ce que fût ma vie avant avec Patrick, je voudrais qu’il fasse les travaux trois fois moins vite.
J’ai un secret espoir que, lorsque j’aurai ouvert mes chambres d’hôte et que mon homme sera parti plusieurs jours, je trouverais des sexes qui voudront bien continuer à faire de moi une folle du cul.
D’ailleurs, la trahison de Patrick m’abandonnant pendant deux week-ends s’amusant peut-être avec une petite garce pendant que je souffre mille mots à cause d’Hamed renforce ma conviction que la rénovation de ma maison se finira dans le sang ou par ma vengeance…