La riposte d'Odile.

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : La riposte d'Odile. Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La riposte d'Odile.
Alors que je suis venu faire des courses, je remarque une femme. Là, rien de plus logique dans un magasin. Sauf que celle-là a ses jambes gainées de nylon jaune. Comme un appel à y coller les yeux dessus. Et bien bravo Madame, avec moi, vous avez tout gagné ! Je me suis entendu pour moi-même.
Très vite, je remarque qu’une affiche orne la lunette arrière de la voiture. J’attends sagement que l’homme qui l’accompagne ramène le caddie et que la femme s’installe à l’intérieur de l’habitacle pour m’avancer jusqu’à arrivé à la hauteur de l’affichette. En ralentissant, je mémorise le numéro de téléphone. En faisant, bien sûr, très attention de ne pas me faire repérer. L’homme s’acharne sur son caddie pour récupérer sa pièce.
Arrivé dans ma voiture, je note tout de suite le numéro sur un bout de papier. J’attends que l’Audi sorte du parking pour lui coller au train. Une vingtaine de kilomètres plus tard la voiture s’arrête devant le portail d’un pavillon dans un lotissement.
Je me gare un peu à l’écart et j’observe le couple sortir les sacs de provisions du coffre. Toujours autant fasciné par les belles jambes gainées de jaune et aux pieds à lanière rouges.
Il ne m’en faut pas plus pour provoquer une grosse montée d’adrénaline. Je me mets tout de suite à réfléchir, sur la conduite à suivre. Jusqu’à trouver une solution. L’idée m’excite tellement que je remonte en voiture et m’arrête à la première cabine téléphonique que je trouve. Là, petit papier en main, je fais le numéro. Après la quatrième sonnette, on décroche. Une voix d’homme.
- Bonjour monsieur, j’appelle pour l’Audi. Elle est toujours à vendre ?
- Plus que jamais. Cela vous intéresse.
- Je dirai que oui, ça m’intéresse.
Il se met à me faire le topo de sa voiture. Bien que cela ne m’intéresse nullement pas, je joue parfaitement mon rôle d’homme séduit.
- Cela serait possible que je vienne la voir dans l’après-midi ?
- Je m’excuse, mais cela ne sera pas possible. Je dois me rendre chez ma mère pour lui emmener quelques provisions. Vous connaissez sûrement cela ?
- Parfaitement !
- Il faut prendre soin de sa maman. Surtout quand elle a un certain âge.
- Quelle chance qu’elle vous a.
- En peu dire cela, oui.
- Et vous en avait pour longtemps chez votre maman.
- À vous entendre ma voiture a vraiment l’air de vous intéressez ?
- Vous ne vous imaginez même pas à quel point.
Je me maudissais d’avoir autant menti. Seule sa femme m’intéressait, mais ça, je me gardais bien de lui dévoiler.
- Que pour l’aller et retour, ajoute-t-il, j’en ai pour près d’une heure, donc vous voyez. Ce ne va pas être jouable pour l’après-midi.
- Oui, je vois, fais-je heureux d’avoir pris de précieuses informations.
Il ne me restait plus à savoir la principale.
- Je présume que personne d’autre que vous pourrez me vendre la voiture.
- Il y a bien ma femme, mais voilà, je n’ai pas d’autre voiture, si vous voyez où je veux en venir.
- Parfaitement, pour votre déplacement, vous en avez besoin.
- Vous avez bien compris.
- Merde, fais-je, c’est très embêtant.
- Oui comme voie dite !
Et après un court silence, je relançais :
- Et en fin de soirée ?
- Oui… Oui, c’est possible, mais pas avant 18 h 00.
- Pas avant ?
- Non. Comme je vous l’ai indiqué plus tôt.
- Bon alors à ce soir, Monsieur.
Et sans que je lui demande, il me donne son identité, même celui de son épouse, Odile. J’adore les Odile. Je les trouve inventifs au lit !
- Bon merci monsieur à tout à l’heure.
Et c’est sur ce dernier mot que je raccroche. Je reprends mon véhicule jusqu’à revenir me garer devant le pavillon. Heureusement pour moi, Yves son prénom n’est pas encore partie. Je dois encore patienter quelques minutes avant de le voir sortir de son jardin et embarquer dans son Audi. Je sens le sang se glacer dans mes veines. C’était mon jour de chance.
Il manœuvre et il passe près de moi. J’attends une dizaine de minutes pour sortir de mon refuge. D’un pas lent, je m’approche de la porte d’entrée. Le carillon se fait entendre puis des pas derrière la porte avant que cette dernière s’ouvre à la dame que je reconnais être celle vue dans le magasin. Je peux aussi m’apercevoir qu’elle porte toujours le fameux collant jaune, mais par contre elle s’est séparée de ses chaussures à lanières rouges.
- Je viens pour la voiture.
- Vous n’avez pas de chance, mon mari vient tout juste de partir avec la voiture.
Là, une petite idée perverse me vient à l’esprit. Ce qui me fait lui dire :
- Cela vous dérange que je me lave les mains. J’ai eu une petite panne et j’ai les mains souillées.
- C’est que je suis toute seule.
- Juste me laver les mains.
Elle prend un air pensif, un doigt sur les lèvres, avant de lâcher :
- Bon ! Venez. Vous n’avez pas la tête d’un malfrat !
- Merci madame.
Elle referme la porte derrière moi et me guide jusqu’à la salle de bains.
- À tout de suite, fit-elle en me laissant.
Pour mon plus grand désarroi, pas de panier de linge sale ! À mon retour, elle se tient dans la cuisine.
- Merci madame pour les mains.
- Il n’y a pas de quoi. Vous serez venu un quart d’heure plus tôt vous serez tombé sur mon mari. Il a emmené des provisions à sa chère mère.
Je devine que ce n’est pas les grands amours entre la bru et sa belle-doche ! Mais bon ce n’est pas pour cela que je suis là !
- Ce n’est vraiment pas mon jour de chance. Avoir fait tant de kilomètres pour rien.
- Je suis désolé.
- Ce n’est pas de votre faute.
- Je peux vous offrir un café ?
- Je ne veux pas vous déranger madame.
- Mais vous ne me dérangez pas. Au contraire… Cela…
- Cela quoi ?
- Non… Rien… Rien… Prenez donc place. Le temps de le préparer et je suis à vous !
Je profite de son absence pour faire le tour des tableaux dans la pièce. À son retour, je suis en admiration devant un représentant une chasse à cour.
- C’est moi qui l’ai peint.
- Et bien bravo. Vous les vendez ?
- Pas ce là. Mais j’en ai d’autres.
- Cela vous ennui que je jette un œil dessus ?
- Ce serait avec plaisir !
Et voilà qu’elle m’attire jusqu’à une cabane au fond du jardin. Plein de tableau sont accrochés aux parois voire sur des chevalets.
- Et bien, on ne sait plus où porter notre regard.
- J’adore peindre.
- Vous ne les vendez pas ?
- Ce sont tous mes bébés.
- Je vois ! Vous ne peignez que des paysages.
- Non, je peins aussi des natures mortes.
Sur ces mots, elle s’avance jusqu’à une sorte d’armoire ouverte à plusieurs étagères et y sort trois natures mortes.
- Vous êtes sûr que vous ne voulez pas m’en vendre un.
- Bon… Bon pour vous, je peux faire une exception. Vous préférez quoi.
- Un paysage enneigé, vous avez cela ?
Elle réfléchit quelques instants avant de lâcher. J’en ai qui pourrait vous plaire. Attendez, je crois avoir ce que vous désirez chez moi, il se trouve que je l’ai chez moi.
- Je fais quoi, je viens avec vous ?
- Non… Je vous permets de regarder mes tableaux sur les étagères. Faites comme chez vous !
Après son départ, je me lance à la découverte de ses œuvres. Qu’est ma surprise de trouver parmi des paysages un tableau secret. Qu’il n’a rien à voir avec les précédents. Je sens un flot de sang me monter au visage. Je reconnais mon hôtesse, dont sa nuisette blanche est remontée jusqu’aux reins. Elle tend en arrière ses fesses. L’artiste s’est appliquée à saisir les moindres détails, même les poils entre les cuisses entrouvertes. L’érotisme pervers de la pose est criant. J’ai le sexe qui se tend dans mon slip.
- J’espère que tu ne trouves pas cela trop indécent ? Fait la voix derrière moi.
- Je ne reste pas insensible à ce genre de pose !
- Vous désirez en voir un autre ?
- Je ne dis pas non.
Elle s’avance jusqu’aux étagères et très vite en tire un du lot qu’elle se précipite à me dévoiler. Il représente toujours la même héroïne. Les jambes écartées, vêtues d’une nuisette. Relevée haut sur les cuisses, mais cette fois-là exhibant sa nudité. J’ai du mal à respirer. Mon sexe se fait douloureux dans mon slip. La femme ne me quitte pas des yeux. Elle m’observe avec attention. Mon cœur saute dans ma poitrine. Elle attend mon commentaire.


- Il est à vendre ?
- C’est que c’est personnel.
- Pourquoi me l’avoir montré ?
- Je ne sais pas très bien moi-même. J’ai fidèlement reproduit tout, reprend la femme d’une voix doucereuse.
- J’en suis certain !
- Je l’ai peint l’année dernière.
- Et vous avez fait comment si cela n’est pas indiscret.
- Je me suis photographié.
- Je vois.
- Tout comme sur la photo !
- Je vois ça…
- Cela vous dit que je vous montre.
- Vous êtes sûr de faire cela !
- Si je vous le propose, c’est que cela ne me gêne pas.
- Je suis un étranger.
- C’est bien pour cela que je vous le propose. Parce que je ne vous reverrez plus. Et d’ailleurs, j’ai envie de me montrer à vous. Vous ne me laisser pas indifférente.
Et là, la voilà qu’elle soulève largement le devant de sa robe. Je revois ses cuisses gainées de nylon jaune. Le bas de sa robe cache encore ses fesses, mais le bas de sa culotte jaune est visible. Elle écarte les jambes, soulève un peu plus sa robe, ses fesses apparaissent, pleines serrées dans le nylon sur lequel pèse une vulve.
- Vous voyez identique avec le tableau…
Avec douceur, elle passe la main sur la peau tendue, satinée qui frémit. Elle laisse retomber l’ourlet de sa robe sur le spectacle affriolant. Sa voix change. Elle s’avance jusqu’au bureau où elle tire sur elle un tiroir. Y sors une chemise et s’approche de moi. Elle émerge de cette dernière des clichés des plus osés.
- Mais Madame, pourquoi me montrer cela ?
- Je ne sais pas. Un besoin. Oui, c’est ça un besoin… J’adore m’exposer…
Là, sans préavis, elle déboutonne le haut de sa robe jusqu’en bas. Je distingue son soutien-gorge. Elle se déhanche sur place. Ce qui a pour effet de faire trembloter sa lourde poitrine. Elle enfonce son doigt. Son index va et vient de façon obscène dans la fente entre les mamelles. De sa main libre, elle les soupèse l’une après l’autre. Je me force à demeurer immobile.
- Alors quoi à dire à cela ? Me fait-elle.
- Que j’en peux plus !
- Je le savais !
J’ai le plus grand mal à me retenir de tout lâcher dans mon slip.
Elle poursuit son jeu. Du plat de la main, elle s’effleure les pointes des seins.
- Mais Madame, je vais avoir du mal à me contenir !
- J’en suis bien consciente. Me fait-elle, d’une drôle de voix chuchotant, sans cesser de titiller les mamelons.
Elle glisse sa main au centre de son corps. Elle palpe les chairs entre les cuisses.
- Oh quelle honte, je suis toute mouillée !
Je sens mon pénis engorgé prêt à gicler. Elle retire sa main, pour la placer sous ses narines.
- Tu veux sentir ? Me lance-t-elle, passant au tutoiement.
Une bonne chose pour moi.
- Pourquoi pas !
Alors qu’elle tend sa main, elle fixe ma braguette tendue à craquer.
- Mais dis-moi, tu bandes ? C’est moi qui t’ai mis dans l’état où tu te trouves ?
Sans prendre la peine de répondre, je baisse le zip de la fermeture Éclair de ma braguette et pas sans mal, sors ma queue de sa cachette, sous les yeux ravis de Gisèle.
- Eh bien, c’est beau de voir tout ce que tu m’exhibes là. Je n’arrête pas ces derniers temps de fantasmer sur les belles queues !
- On ne peut pas dire qu’elle soit aussi belle que celle que nous pouvons voir dans les films pornos !
- Pour une femme en manque, sexuellement, comme je le suis, je peux te dire mon gars que ta tienne me suffit. Comme pour une fois, je ne suis pas mécontente qu’Yves rende visite à sa mère… Oh… Lâche-t-elle, en portant sa main droite sur mon érection.
Odile (son prénom), va un peu plus vite que je ne l’aurais cru. De plus, elle prend des initiatives, en prenant position sur le divan. Quelque part, je l’ai bien cherché et voulu, non ?
Il est vrai aussi qu’avec ce genre d’argument, il lui est difficile de résister, surtout qu’on en est en manque.
C’est même Odile qui rompt le silence en laissant tomber un :
- Eh bien, Monsieur, qu’attendez-vous pour e donné du plaisir…
Je me précipite et me mets un genou sur le carrelage. Je fais rouler son collant jaune le long de ses jambes. Cette dernière s’amuse d’ailleurs de cette frénésie et se laisse faire avec patience. Une fois le collant ôté, je m’attaque à la culotte, et de deux pouces accrochés à l’élastique, je l’écarte prestement. La moiteur de son con délivré de son slip me frappe le visage. Les effluves de femelle envahissent mes narines. Parfums de mouille, d’urine et de transpiration mêlés. Un flux de jus intime déborde des lèvres de sa fente, poisse les replis, avant d’huiler son entre cuisses.
Mon cœur s’emballe. Je crois rêver. Et pourtant, j’ai bien devant mes rétines l’intimité d’une femme que je connais depuis à peine une demi-heure, qui est prête à se laisser saillir. Cela se passe de commentaires !
Elle sent forte la garce. Une odeur puissante. Je reste un moment à contempler sa chatte. Comme subjugué par son intimité abondante de poils.
Elle pousse un soupir quand ma main effleure son pubis. Qu’un de mes doigts s’infiltre entre ses lèvres moites pour les séparer. Le fait monté et descendre dans la fente. Je sens son jus couler sur mon doigt.
Elle ferme ses yeux et respire fortement quand je retire mon doigt et le porte jusqu’ à mes lèvres pour le sucer. Réjoui, de ce que je viens de déguster, j’écarte les nymphes. Comme un assoiffé, je plante ma langue dans ma fente ouverte et lèche le nectar qui s’écoule. Elle ne met pas longtemps pour être rattrapé par un orgasme. Sans m’émouvoir, je poursuis mon ouvrage, me frayant un passage entre ses fesses. Odile reste un instant rêveuse, avant de se tortiller comme pour échapper à l’étreinte. Gémissant d’une voix enfantine.
- Oh oui… Oui…
Ses supplications m’excitent au plus haut point. Ma main descend sur sa raie. Je glisse alors mon majeur dans la tiédeur de mon anus. D’où s’irradie une flambée de sensations si délicieusement perverses qui l’embrasent. Je lui branle carrément alors son cul. À l’entendre gémir, elle adore ça. Alors je lui enfile un deuxième doigt. Elle gémit tandis que je la besogne à longs mouvements rectilignes. Ce fourreau se contracte, s’ouvre, se referme avec un tel art.
Le sang bat à mes tempes. Je laisse se déchaîner mes furies. M’enfonçant et me retirant d’elle pour m’enfoncer encore avec une violence que je ne contrôle plus. Odile râle sans discontinuer, en veut encore et encore. À plusieurs reprises, je fais frétiller ma langue sur son clitoris dardé. Elle se tortille. Ma langue bouge, sa chair s’ouvre. Je lèche tout ce qui a léché. Elle perd toute pudeur. Elle gémit sans retenue. J’aspire toute sa viande dans ma bouche, tout en lui branlant toujours le cul.
Mon visage est souillé de son allégresse. J’ai maintenant trois doigts au fond de son cul. Par saccade, elle avance son bassin pour mieux le projeter sur ma langue ainsi que sur mes doigts qui la fouillent. Elle râle de plus en plus fort.
Je la pousse en arrière. Mes mains écartent ses fesses. Ma langue va s'immiscer en elle. Son petit trou est à présent bien dilaté. Je lui fourre ma langue dedans. Une langue aussi dure que ma queue dans l’instant.
- Tu crois qu’il est assez ouvert maintenant, pour y mettre ta queue ?
- Je pense oui !
Je m’installe, et guide ma queue sur la cible. Millimètre après millimètre, mon gland disparaît dans un rectum. Elle garde les yeux fixés aux miens. Je m’aperçois que mon membre est totalement englouti dans le cul d’Odile. Un instant, je reste sans bouger, à savourer l’éblouissante sensation. Puis, j’amorce un mouvement coulissant. Dont je donne de plus en plus d’ampleur.
- Oh… Mon Dieu… Une queue dans mon cul… Attends… Je bouge… Oh ? Ouah… C’est... Génial ce truc… Tu es en train de m’enculer, hein ?
Ooohhh… Ouiiii… C’est… C’est bon…
Mon regard est comme aimanté par l’entrée resserrée de cette croupe splendide dans laquelle ma verge entre et sort.
Odile gémit et émet des paroles étranglées.
- Vas-y, vas-y ! M'encourage-t-elle ? Bourre-moi mon cul… AAAhhh ! Qu’est-ce qu’elle est dure et grosse ! Oui… Oui, continue, je la sens bien que c’est bon, OOOoooh oui….
Elle me branle plus, que je l’encule. Je maintiens encore quelques minutes dans cet état, tout au bord du plaisir, branlant ma queue dans l’anneau culier, avant de me branler rapidement pour me faire jouir. Je me retire. Libérant son trou avec un bruit de ventouse. L’abondance de sperme que je viens d’éjaculer en elle, s’échappe de son orifice.
Odile retrouve son air ironique, mais ne semble pas pressée que je parte. Sans pudeur d’aucune sorte, elle exhibe son sexe, et son anus au bourrelet rougis, dégouttant de sperme.
- Tu pars ?
- Il serait souhaitable oui, ton mari !
- C’est dommage. On aurait pu recommencer. Répond-elle sur un ton plutôt résigné, qu’attrister.
Elle me regarde me rajuster sans changer de position, se tripotant distraitement tandis que s’agrandissait la flaque sur le coussin du divan.
- J’espère pouvoir remettre ça très prochainement ?
- Je ne serais pas contre…
Je la laisse telle. En train de se tripoter avec modération. Avant de sortir, je récupère le collant. C’était bien pour ça que j’étais venu ?
Je sors rapidement de chez elle. Le goût de son intimité en bouche…

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