LA SALLE N°7 — À genoux pour tous

- Par l'auteur HDS Cyp-Perruche -
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Récit libertin : LA SALLE N°7 — À genoux pour tous Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LA SALLE N°7 — À genoux pour tous
Sylvaine à 30 ans, ne pensait pas en arriver là. Pas aussi vite. Pas aussi loin. Et pourtant… elle était là.
À genoux dans la salle 7. Nue, exposée, prête à être évaluée et cela était très excitant de se trouver devant ce grand miroir sans tain.
Cela avait commencé comme un jeu, une dérive contrôlée, un fantasme que son fiancé, Rémy, avait formulé un soir de confidences trop arrosées, en compagnie de ses inséparables amis de toujours : Laurent et Karim. Rémy l’aimait vraiment. Mais il avait ce besoin d’aller plus loin. De la voir… autrement. D’abord dans ses mots puis dans ses gestes.
Et un jour, il lui parla de ce centre. Un ancien bâtiment administratif transformé en laboratoire discret, confidentiel, réservé aux couples voulant explorer les limites de la domination. Pas un club échangiste. Pas une orgie organisée. Un lieu d’étude. De test. D’observation.
Sylvaine hésita longtemps. Mais Rémy savait convaincre. Il la rassura. Il l’enveloppa. Il lui dit que ce n’était qu’un protocole, une expérience, une façon de poser leur lien sous un autre angle et elle céda enfin, se disant « qui ne risque rien n’à rien. »
Ce qu’elle ignorait… c’était la présence de V.
Elle pensait être guidée par une voix, un script, un formulaire à suivre. Mais à la dernière minute, Rémy demanda à ce qu’elle passe sous le regard — et les mains — de Victor, un examinateur réputé pour son calme, sa rigueur, son autorité inébranlable.
Un ancien professeur de psychologie comportementale reconverti en spécialiste des rapports de soumission. Il ne criait jamais. Il n’insultait pas. Mais aucune femme n’était ressortie de ses séances sans trembler.
Rémy ne l’avait pas prévenue. Il voulait la voir surprise, la tester, la pousser, la briser peut-être ou la révéler avant le mariage.
Et Sylvaine… elle accepta. Non par faiblesse. Mais par amour pour lui, et parce qu’au fond, une part d’elle brûlait d’être guidée par autre chose que l’amour.
C’est ainsi que ce soir-là, elle entra dans la salle 7. En croyant qu’on allait simplement l’observer. Elle ne savait pas encore… qu’on allait la baiser. La partager. Et la couvrir.
La lumière était blanche, sans nuance, posée là comme une lame. Elle n’adoucissait rien, ne flattait ni les formes, ni la peau, ni les gestes — elle exposait. Et c’était précisément ce qu’on attendait d’elle : être vue, être offerte, être scrutée. Pas à demi, pas derrière un voile, mais entièrement, frontalement.
Sylvaine était déjà à genoux, nue, les bras le long du corps, les genoux posés sur le carrelage mat d’une salle sans décor, où seule une chaise métallique et un miroir sans tain rappelaient qu’ici, on venait pour être observé. Elle savait qu’il était là, juste derrière, son fiancé, ce jeune homme qu’elle aimait sans compter, mais qu’elle savait fragile, excité, curieux, et terriblement nerveux à l’idée de la voir ainsi, soumise à un autre.
Elle ne portait rien. Pas même une honte. Ses cuisses brillaient déjà d’un trouble qu’elle n’avait pas cherché à retenir. Son sexe, entrouvert, humide, vibrait d’avance dans la lumière crue. Et pourtant, elle gardait la tête basse, les yeux fixés sur les chaussures noires qui lui faisaient face — cirées, sobres, attachées à un homme qui, lui, ne tremblait pas.
Il s’appelait V.
Sylvaine ne connaissait ni son nom complet, ni sa fonction exacte. Elle savait simplement que c’était lui qui allait conduire la séance. Et qu’il ne poserait aucune question inutile.
Il la regardait, debout, les bras croisés, silencieux. Puis, lentement, sans hausser un sourcil, il défit sa ceinture, abaissa sa braguette, et laissa son sexe jaillir dans la lumière.
Elle leva les yeux. Pas par réflexe, mais par besoin. Ce qu’elle vit, Sylvaine le reçut comme une donnée brute : une verge très épaisse, dure sans tension, vivante, prête dont le gland rouge sang, perlait de son liquide transparent. Sans réfléchir, Sylvaine savait ce que Rémy désirait la voir faire. Elle ouvrit la bouche. Pas pour parler. Pour accueillir.
V s’approcha. Il ne dit rien. Il laissa le bout de sa queue glisser entre ses lèvres, puis poussa.
Un seul geste, lent mais ferme. Et elle l’encaissa profondément. Elle ne toussa pas. Elle ne gémit pas. Elle s’adapta. Son souffle devint court, sa langue plus active, son menton plus mobile. Et pendant de longues secondes, il la baisa par la bouche, sans hâte, sans brutalité, mais sans jamais la laisser reprendre le contrôle.
Le son de leur respiration emplit la pièce. Ses lèvres claquaient parfois contre sa peau, ses mains se serraient sur ses genoux pour ne pas perdre l’équilibre. Elle suçait avec application, avec désir même, en silence, sans qu’on lui ait demandé autre chose que ça : se taire et servir.
Puis il s’interrompit, lentement, se retira jusqu’à ce que sa queue glisse hors de sa bouche dans un bruit mouillé. Il leva simplement la main, en direction du miroir.
La porte du fond s’ouvrit. Et Rémy le sourire aux lèvres pénétra dans la pièce comme on franchit une ligne qu’on ne pourra plus jamais retraverser. Son regard vacillait, son pas manquait d’assurance, mais sa braguette tendue disait tout le reste. Devant lui, sa future épouse, à genoux, nue, les lèvres encore humides de la queue d’un autre. Et autour d’eux… rien d’autre que la lumière blanche, l’odeur d’humidité tiède, et le silence compact d’une scène déjà en cours.
Sylvaine ne leva pas la tête. Mais elle l’avait senti. Elle savait qu’il la voyait. Qu’il la découvrait autrement — non plus douce, timide, complice, mais offerte, avaleuse, docile. V se retourna à peine. Il le regarda.
— Tu bandes déjà, c’est une bonne chose… Tu vas rester là. Juste là.
dit V en lui indiquant du doigt un point à un mètre à peine.
— Tu ne touches pas. Tu ne parles pas. Tu regardes. Et tu te branles.
Le jeune homme ne répondit pas. Il obéit. Sa main glissa dans son pantalon. Il sortit son sexe. Il était déjà dur, rouge, tremblant. Et pourtant… il restait figé. Comme s’il n’osait pas croire à ce qu’il vivait. V se retourna vers elle. Reposa sa queue contre ses lèvres entrouvertes.
— Continue, salope.
Sylvaine s’exécuta.
LA SALLE N°7 — À genoux pour tous (partie 2)
Elle le reprit en bouche, d’abord lentement, puis plus profond.
Elle le suçait avec plus de fièvre, comme si le regard de son compagnon, posé sur elle, la nourrissait d’un feu nouveau. Et lui, V, la tenait fermement par les cheveux, la guidait lui imposait. La baisant par la bouche pour de vrai, cette fois. Avec rythme. Avec poids. Avec cette force lente qui fait mal sans jamais déchirer. Devant, le fiancé se branlait. Il respirait fort. Il ne la reconnaissait plus. Et pourtant, il n’avait jamais autant bandé. Sylvaine se redressa à peine, la bouche pleine, la salive aux commissures. Ses yeux croisèrent ceux de son homme.
Il n’y avait plus de doute. Plus de couple. Plus d’amour mignon. Il n’y avait qu’elle. Une chienne qui suçait, un homme qui dominait, un autre qui se branlait. Et un plaisir qui ne demandait plus la permission.
V la tira en arrière, d’un geste net, sans violence, mais sans appel. Ses mains agrippèrent ses hanches, la redressèrent légèrement. Elle comprit, ne protesta pas. Ses genoux frottèrent le sol, ses paumes vinrent se poser à plat contre le métal froid de la chaise retournée.
Et elle se cambra. Offerte. Entre les jambes, sa chatte s’ouvrait déjà, ruisselante, tendue, impatiente, presque douloureuse d’avoir été trop longtemps négligée.
V s’agenouilla derrière elle. Il écarta ses fesses, lentement, du bout des pouces. Il souffla sur sa raie. Elle frissonna. Puis il la pénétra. sa chatte était trempée. Pas un coup sec. Une pénétration lente, puissante, jusqu’aux couilles.
Sa queue glissa dans elle comme un fil rouge chauffé à blanc, et elle gémit — un gémissement court, étranglé, presque surpris par sa propre profondeur. Il se colla à elle, la main sur sa nuque, le torse contre son dos, et il la baisa. Pas vite. Pas tendrement. Mais avec ce rythme précis, lourd, martelé, qui fait claquer les hanches contre les fesses, qui fait jaillir les sons qu’on pensait ne jamais émettre.
Son sexe, déjà gorgé, se contractait à chaque poussée. Il s’élargissait encore. Il appelait. Il suait. Il criait sans voix. Et devant elle, Rémy son fiancé, son amant, son pauvre garçon désarmé… se tenait debout, la queue à la main, le regard rivé sur son visage déformé par le plaisir. Il haletait. Il bandait comme jamais. Il la regardait être baisée par un autre. Et il ne pouvait plus s’en empêcher.
V leva la tête, le regarda, et dit simplement :
— Vas-y. Offres-lui ce que t’as. Là. Sur elle.
Rémy s’approcha sans pudeur. Elle leva les yeux. Elle haletait, le visage tendu, la bouche entrouverte, le front déjà trempé de sueur. Elle vit la main de Rémy accélérer, sa queue se secouer, les reins tressauter. Et elle ferma les paupières juste au moment où la première giclée s’échappa de sa queue.
Sylvaine ressentit une douce chaleur sur la joue, d’abord. Puis sur le front et un jet plus fort sur sa lèvre, juste sous son nez. Elle soupira, pas de douleur, pas de honte — de plaisir.
Elle l’avait senti venir, elle l’avait voulu. Et maintenant, elle était là : prise en levrette par un inconnu, marquée au visage par son propre fiancé, et plus mouillée qu’elle ne l’avait jamais été.
V accéléra. Sa verge d’un diamètre impressionnant se battait en elle comme une arme parfaitement rodée. Elle était trempée, tendue, envahie. Il ne prévint pas. V s’enfonça une dernière fois, entièrement. Et jouit en se déversant profondément dans sa chatte trempée de jouissance. Elle sentit la chaleur s’épandre dans ses entrailles. Ses muscles se contractèrent d’eux-mêmes. Et elle jouit à son tour. Sans autorisation, sans contrôle. Juste… parce qu’elle ne pouvait plus faire autrement.
Elle haletait encore, les muscles tendus, le cul ruisselant du plaisir qu’on venait d’y verser, la bouche humide de foutre et de salive. Et pourtant, elle restait là, à genoux, offerte, les fesses relevées, les bras tombants, le dos encore cambré comme si elle attendait qu’on la reprenne… ou qu’on la punisse.
Mais ce ne fut ni V, ni le fiancé, qui s’avancèrent. Ce furent mais deux autres messieurs qu’elle reconnut immédiatement : Laurent et Karim. Ils étaient là depuis le début en les matant et étaient entrés sans bruit, à peine la porte refermée derrière eux. Ils ne portaient pas d’uniforme, ni de costume : seulement cette évidence dans leur regard — celle des hommes à qui on a donné le droit.
Rémy détourna un instant les yeux, honteux peut-être, excité surtout. Mais V, lui, ne broncha pas. Il les désigna d’un simple geste du menton.
— C’est à vous.
Ils s’approchèrent. Sylvaine entendit leurs pas. Elle sentit leur chaleur mais elle ne bougea pas. Pas un mot. Pas un geste de recul. Elle savait ce qu’elle était devenue ce soir-là :
la salope de la salle 7. Et elle l’acceptait.
Le premier s’agenouilla derrière elle. Il ne la caressa pas, il la doigta, là où Rémy n’avait jamais osé la pénétrer. Karim dont le sexe semblait démesuré, la pénétra d’un seul coup, doucement mais profondément. Elle cria. Pas de douleur sèche mais de surprise, de saturation. Sa chatte était gonflée, trop pleine, trop baisée. Mais elle s’ouvrit encore en encaissant, elle réclama son dû.
Karim la tenait fort. Il allait vite. Il voulait jouir, lui aussi. Il la baisait comme un homme pressé, comme un type qu’on a fait attendre trop longtemps devant un festin.
Et elle… elle pleurait de plaisir. Son dos se tendait. Son ventre se contractait. Elle criait dans l’air. Laurent attendait son tour, la queue à la main, se trouvant dans la bouche de Sylvaine, qui le suçait sans pudeur. Et quand le premier se retira, en jurant, en se branlant contre son dos, le second prit sa place. Mais lui ne choisit pas la chatte.
Il écarta les fesses. Cracha. Et l’enfila dans le cul. D’un trait. Elle hurla. Mais elle ne refusa pas. Elle recula même un peu, pour l’avoir plus profond. Elle n’était plus à genoux.
Elle était posée là, comme une pute qu’on encule dans le silence d’un laboratoire.
Et tous la regardaient. Le fiancé, V et les deux amis.
Et Sylvaine se faisait baiser. Encore. Et encore. Jusqu’à n’être plus qu’un corps qui tremble.
Quand Laurent se retira, haletant, la queue luisante de son propre jus, il recula de deux pas.
V s’approcha à son tour et se branlait déjà. Fort. Rémy aussi. Ils étaient debout devant elle, Sylvaine à genoux, nue, salie, les cuisses trempées, les fesses rouges.
Ils se lâchèrent tous en même temps. Trois jets. trois torrents. trois foutres brûlants. L’un sur ses seins, l’autre sur sa bouche et sur son front, le troisième… au coin de son œil. Sylvaine ouvrit la bouche et avala ce qu’elle put. Le reste coula à terre. Elle ne bougea pas. Elle attendit. Comme si elle savait…que ce n’était pas la dernière fois.

Histoire écrite par Cyp-Perruche (alias Perruche).

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
C'est une des rares fois où je vois un texte bien écrit ce qui contribue au plaisir de lire. Bien !



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