La sexualité compulsive de Florence : Devant son écran (Partie 4/ 15)

- Par l'auteur HDS Perruche -
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La sexualité compulsive de Florence : Devant son écran (Partie 4/ 15) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La sexualité compulsive de Florence : Devant son écran (Partie 4/ 15)
Après la séparation avec mon mari, j'avais repris un petit studio pendant un an, j’avais la tête dans les chaussettes, en plus j'avais fini mon cdd et je me retrouvais sans emploi durant trois mois puis en juin j'avais accepté un job saisonnier comme barmaid dans une boite de Montpellier, heureusement que mes amies m’avaient soutenues dans cette épreuve. Enfin la roue tourna un peu, à la mi-octobre, j'obtenais un nouveau un CDD de cinq mois, pour un remplacement d'une salariée en maternité à la CCI de Montpellier et le noël 2014 en famille m'avait remonté le moral.

2015 fut pour moi un nouveau départ, un tournant dans ma vie. En effet, le Président de la CCI, comme tous les ans fin janvier, présentait ses vœux lors d’une réception à laquelle j’étais invitée. C’était une occasion pour moi de rencontrer du beau monde pour la suite de ma carrière professionnelle. Étant toujours aussi gourmande côté sexe, c’était également le moyen de trouver un type avec lequel que je pouvais prendre quelques moments de plaisirs.

Pour cela, je m’étais vêtue pour une telle soirée mondaine mais en restant sexy et désirable, j’avais mis tous les atouts de mon côté, une très jolie robe courte à souhait et un décolleté pas facile à oublier. Ce soir-là, connaissant mes projets, le Directeur qui était mon patron tenait à me présenter quelqu’un qui pouvait probablement m’aider dans mes démarches. Je fis donc la connaissance de ce jeune responsable d'agence locale de travail temporaire. La période étant calme pour le volume de mission, il avait profité des vœux de la CCI afin de rencontrer certains de ses clients et pourquoi pas nouer de nouveaux contacts. Alexandre était bel homme, il avait 28 ans.

Ce beau brun aux cheveux courts avait de larges épaules, sa stature de sportif, d’un mètre quatre-vingt-deux pour quatre-vingt kilos, était athlétique sans être bodybuildé. Ses yeux verts et son beau sourire me fascinaient. Tout en parlant avec lui, je compris après quelques minutes que cet homme ne me laissait pas indifférente. Lors de la discussion, après lui avoir demandé si cette soirée était bénéfique pour ses affaires, il me répondit :
— Que pouvais-je espérer de mieux, non seulement j’ai trouvé de nouveaux clients potentiels mais je viens de rencontrer la plus séduisante jeune femme de tout Montpellier.

Il ne cachait pas ses sentiments, s’il était tombé sous mon charme, moi j’avais des papillons dans les yeux et le ventre noué, Alexandre était l’homme que je cherchais, c’était une évidence. Nous avions discuté, nous nous étions marrés ensemble toute la soirée. Il était drôle, incisif, tout simplement irrésistible, m’enveloppant de sa douceur et sa tendresse. Sa persévérance avait fini par me troubler :
— Faut absolument qu'on se revoie. Me dit-il à la fin de la cérémonie.

J’avais très envie de lui tout de suite, néanmoins je ne voulais pas qu’Alexandre me prenne pour une fille facile, je ne voulais pas montrer le feu ardent qui brûlait dans mon ventre. J'avais reçu un coup au cœur, une chose énorme, je n'avais pas ressenti cela depuis bien longtemps. J'avais accepté son invitation à déjeuner et après quelques rencontres nous avions fait route commune. Nous étions si bien ensemble, que six mois plus tard nous officialisons notre union en nous pacsant.

Nos relations sexuelles étaient tout simplement magiques toutefois, Alexandre n’était pas du tout comme mon ex-mari. Si Luc était possessif et d'une jalousie excessive, lui était tout le contraire. Ce fut lui qui me demanda de remettre des tenues vestimentaires sexy que j’avais laissé au placard, il appréciait le regard envieux que des hommes me lançaient lors de nos sorties, il était très attentionné, toujours soucieux de mon bien être.

J’avais déjà trouvé cela bizarre pendant nos vacances d’été, lorsqu’il me demanda de me mettre seins nus sur la plage alors que je ne le faisais pas par respect pour lui. Puis cela avait continué plus tard, lorsque nous étions en terrasse dans les bars du centre-ville, il aimait me dire :
— Que tu es belle Flo, tous les hommes te regardent et m’envient.

Au départ, je pensais que tout cela n’était que compliment et qu’il était fier de m’avoir à ses côtés, cependant lorsqu’un jour il me demanda :
— Flo tu es ravissante dans ta petite robe d'été, tu as un admirateur, cet homme dégarni, en face de nous, ne se lasse pas de la regarder.
— Oui, je m’en suis aperçue et c’est presque gênant.
— Son regard est en hommage à ta beauté. Me répondit Alex.

Ne comprenant pas tout, même si j’aimais me sentir séduisante, je ne voulais pas mettre mon compagnon dans l’embarras et je trouvais cette remarque quelque peu déplacée :
— Et toi ça ne te dérange pas qu'il mate ta femme ?
— Non ! Au contraire, je trouve cela même flatteur, c'est la preuve que la plus merveilleuse femme a bien voulu partager ma vie. Et toi aussi tu devrais en éprouver de la fierté.
— Il bave carrément ! Dis-je en pouffant de rire avant qu’Alexandre n’ajoute en souriant : ajouter sur le ton de la plaisanterie.
— Il ne bave pas encore pour ça, il faudrait que tu lui en montres un peu plus.
— Tu deviens complètement fou mon pauvre chéri !
— Oui ! je suis fou de toi !

Sur ces mots, nous nous étions embrassés passionnément. Puis il m’expliqua qu’il adorait que je sois le centre d'intérêt et que si je voulais lui faire plaisir, je pouvais jouer de mes jambes devant cet homme qui me matait. Je trouvais cela complètement dingue, néanmoins la situation m’excitait, ce n’était pas la première fois pour moi, j’aimais être observée et je comprenais que ce n’était pas une blague :
— Tu veux vraiment que je m'exhibe ?
— Oui, à condition que tu le veuilles, et surtout que tu éprouves une certaine excitation, du plaisir à le faire, si tu le fais juste parce que cela me fait plaisir, là j'aurai l'impression de te forcer à faire ce que tu ne souhaites pas.

Je trouvais sa demande un peu bizarre, je n’avais pas hésité une seule seconde, j’étais curieuse de connaitre sa réaction. J’avais lentement écarté les jambes, afin de montrer la dentelle de mon string recouvrant mon intimité, à mon observateur. Puis pour pousser le vice, je passai la main sous ma robe qui se releva un peu plus et de mon index posé sur ma vulve, je mimais une masturbation. Je ne regardais pas le voyeur, mes yeux étaient dans ceux d’Alexandre qui souriait tel un bébé, je lui offrais un réel plaisir.

Après avoir quitté la terrasse du bar, il m’avait remercié et m’avait demandé si cela m'avait un peu excité. Je lui avais avoué que lorsque j’étais étudiante, lorsque je baisais avec un garçon chez moi, ce n’était jamais dans mon lit mais au salon devant la baie vitrée non pourvue de rideau et que cela décuplait mon excitation, de savoir que les voisins pouvaient nous mater :
— Oui mon amour ! j’ai eu un frisson dans le ventre en le faisant.

Depuis ce jour, nous nous régalions tous les deux en me donnant en spectacle aux terrasses des cafés ou au restaurant. C’était devenu un jeu où nous prenions un plaisir commun. Un an et demi après notre rencontre, lorsqu’il me dit que si je le voulais, je pouvais prendre un ou plusieurs amants, je n’avais pas du tout compris. J’étais triste, je pensais qu'il ne m'aimait pas puisqu'il désirait m'envoyer dans les bras d'un autre, c’était probablement un moyen d’avoir le champ libre de son côté. Je lui demandai pourquoi il appréciait tant que d'autres hommes me regardent m’exhiber devant eux et pourquoi il désirait que je prenne un amant.

Pour la première fois, il osa évoquer son fantasme et ses envies de candaulisme. Il me parla de « Candaule », ce roi qui trouvait sa femme plus belle que toutes les autres. Sans cesse, il vantait les charmes de son épouse à Gynès, officier de sa garde du corps. Un jour, il l'invita à assister au coucher de la reine, dissimulé derrière la porte de la chambre nuptiale, Gygès avait admiré la nudité de la souveraine. Il avait des bouquins sur la pratique qu'il me pria de lire, je l'avais fait sans conviction, mais comprenant petit à petit ce qu'éprouvait Alex, Je savais pourquoi il appréciait tant que je m’exhibe mais cela allait beaucoup plus loin, le candauliste prends son plaisir en voyant sa femme dans les bras d’un autre. Après réflexion, ma réponse fut nette et sans bavure :
— Tu me prends pour une salope !

Il n'aborda plus le sujet, pas plus qu'il n’instaurait ces petits jeux d'exhibition auquel j’avais volontairement participé. À cette époque, je me sentais mal, les aléas de la vie vinrent perturber l'osmose de notre couple. Non seulement, je venais d’apprendre le diagnostic d'une maladie grave d'un proche de ma famille, mais s’ajoutait à cela, les réponses négatives aux entretiens d'embauches que je passais. Alex avait beau me trouver quelques missions intérimaires, ces emplois ne correspondaient pas à mes attentes ni à ma qualification de responsable de ressources humaines.

J’accusais le coup, je perdais le goût aux simples plaisirs de la vie, ne travaillant que très peu, je ne faisais même plus ces petits efforts pour être séduisante. De son côté avec ses problèmes relationnels entre collaborateurs, Alexandre préoccupé, en oubliait d'être plus au soutien de sa chérie. Cette situation dura un peu plus six mois jusqu'au début décembre 2017. Ce fut au cours d'une prise de bec pour des broutilles que simultanément nous nous sommes rendu compte de notre comportement puéril était totalement stupide et inutile. Je lui lançai :
— Faut qu'on fasse quelque chose là, on se bouffe la vie.
— Et si on revenait en arrière pour vivre l'un pour l'autre et non pas l'un à côté de l'autre comme l’on fait depuis 7 mois !

J’acquiesçai, et très vite le ciel bleu accompagna notre couple. J’avais retrouvé ma superbe et ma sensualité, les fêtes de fin d'années furent une réussite, d'autant que j’avais des nouvelles rassurantes sur la santé de mon proche.
Je ne trouvais toujours pas de travail et ne voulant pas vivre au crochet de mon compagnon, en attendant de trouver mieux, je m’étais inscrite comme amatrice webcam sur un site porno. J’avais créé mon profil afin de me donner en spectacle devant certains internautes payant pour me voir me mettre nue et plus, suivant leurs désirs et le montant dépensé par leur carte de crédit. Je travaillais à la maison la journée, installée sur le canapé avec mon ordinateur portable devant moi.

En quelques jours, j’eus plusieurs clients qui n’avaient pas été très loin en jetons, je discutais avec des mecs qui payaient un jeton la minute, quelques fois deux, je n’avais pas le temps de faire grand-chose, je me caressais les seins au-dessus de mon petit déshabillé sexy. Lorsque je recevais plus de jetons, j’allais jusqu’à enlever mon soutien-gorge en faisant un strip-tease. Le but du jeu, était de maintenir le client le plus longtemps possible afin qu’il dépense ses jetons au fur et à mesure car c’était ce qui rapportaient de l’argent. En effet, je touchais les deux tiers, il était donc important d’être le plus efficace possible et de maintenir les internautes en haleine afin qu’ils éjaculent le plus tard possible.

Un après-midi, j’étais parvenue à me retrouver avec trois gars pendant cinq à dix minutes. Là, je m’étais dévêtue entièrement et me caressais la poitrine et en pénétrant mes doigts dans mon vagin. Dans ce système, il y avait le salon privé, c’était celui qui rapportait plus, le client et l’amatrice étaient seuls en webcam, tous les deux se voyaient par écrans interposés. « Le one », cela voulait dire qu’aucun autre client ne pouvait participer, cela coûtait à l’internaute quatre jetons par minute.

À un moment donné, un jeune homme m’avait invité en privé « en one ». Sur le tchat, il me demanda s’il pouvait brancher sa webcam, j’acceptai volontiers. Nous nous retrouvions face à face devant nos écrans, c’était un bel étalon musclé assis sur son fauteuil devant son ordinateur :
— Que veux-tu voir de moi ? Mon petit chéri ! Lui demandais-je.
— Je voudrais te voir à poil, s’il te plait.

En travailleuse consciencieuse, je m’étais mise debout et fit un strip-tease langoureux comme la musique qui était diffusée dans le salon. Le jeune m’admirait, il n’en loupait pas une miette. Je m’étais agenouillé sur le canapé, complètement nue puis commençai à me caresser les seins puis descendant au fur et à mesure vers ma vulve. À cet instant, il descendit sa caméra afin que celle-ci parvienne sur son entrejambe, il avait baissé son pantalon et son slip jusqu’à ses genoux, je pus admirer sa queue. La situation et sa verge de belle taille en pleine érection m’excitait fortement.

Cet homme bandait pour moi, cela m’aidait à me masturber devant lui car ma chatte était de plus en plus mouillée de cyprine qui suintait au fur et à mesure sous mes doigts qui me fouillaient et je lui montrait comment je mouillais en disant :
— Que penses-tu de ça ?
— T’es trop bonne ! répondit le jeune homme. J’aime tes nichons et ta petite moule.
— Regarde comme je mouille pour toi, regarde mes tétons comme ils durcissent.
— Oui ! J’adore, je voudrais les pincer, tu es une belle cochonne.
— Ta queue est trop belle, j’aimerais la sucer.
— Et dans ton cul, tu ne voudrais pas ma bite ?
— Si regarde, attends.

J’attrapai le sextoy posé sur la table basse, le plaça dans ma bouche mimant une fellation, cracha sur mes doigts et me prépara en dilatant mon anus en y enfonçant un puis deux doigts. La verge en silicone qui n’était pas de très grosse taille, vint se ficher dans mon rectum, pendant que de mon autre main je caressais mon clitoris.

Le jeune était en train de se branler devant l’écran. Avec de lents mouvements longs et régulier :
— Pas trop vite mon petit chéri, essayons de jouir ensemble.
— T’es une pute, une vraie salope. Hein !
— Oui ! Je veux ton bonheur, regarde, je m’astique aussi le bouton d’amour, uniquement pour toi.
Il se branlait de plus belle, voyant que je ne pourrais plus le retenir plus longtemps, je lui dis :
— Hum… j’ai envie de te sucer. Tout en mettant le godemiché dans ma bouche, le salivant en me l’enfilant dans une gorge profonde.
Me caressant toujours de plus en plus vite, je sentais venir mon orgasme :
— Je vais jouir … en hurlant mon plaisir.

Je venais d’expulser une grosse quantité de liquide sur la serviette posée sur le divan. À cet instant, le client se leva, mis sa verge devant la caméra et envoya son sperme par saccades sur son écran. J’avais pu voir ce liquide blanchâtre et visqueux sortir par jets du méat de son gland, en criant très fort. La déconnexion eut lieu sans que le type, ne dise un « au revoir ».

J’avais trouvé un moyen de gagner un peu d’argent facilement en prenant du plaisir, mais je me devais de le dire à Alexandre. Connaissant ses mœurs, je savais déjà que cela lui plairait de voir ainsi me donner en spectacle devant des types chauds bouillants bandant pour moi et mon corps. Je regrettai un peu de ne pas lui avoir dit avant qu’il ne s’en aperçoive. Tout ceci, je vous l’expliquerai dans quelques jours lors d’un prochain récit.

Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Florence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Pour des raisons d’anonymat, les prénoms des personnages et certains sites ont été volontairement modifiés.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Cette histoire m'a beaucoup excité et je me suis caressé tout au long de ma lecture. Moi aussi j'aime me masturber en cam.

Histoire Erotique
voila Florence la machine est lancée, tu peu t'attendre à de sacrés surprises de la par de
ton nouveau mec. maintenant, reste à savoir son degré de candauliste et jusqu'où il va
réussir t'entrainer dans ses perversités pour assouvir son fantasme

Roulio

Histoire Erotique
une pute est entrain de prendre vie



Texte coquin : La sexualité compulsive de Florence : Devant son écran (Partie 4/ 15)
Histoire sexe : Une rose rouge
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