La sexualité compulsive de Florence : Soumise à Sylvain. (Partie 10/ 15)

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Auteur homme.
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Récit libertin : La sexualité compulsive de Florence : Soumise à Sylvain. (Partie 10/ 15) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La sexualité compulsive de Florence : Soumise à Sylvain. (Partie 10/ 15)
Samedi 08 aout 2020 12 heures
J’avais donc revu Sylvain plusieurs fois avant qu’il intervienne en formation, je m’étais toujours tue, sur cette liaison, Alex ne savait rien. C’était probablement parce que mon amant avait déjà pris l’ascendant sur moi. Plus le temps passait, plus je m’enfonçais dans mon mensonge. Il devenait difficile pour moi de lui cacher.

Fin mars, pendant la première semaine de formation, nous baisions avec Sylvain, deux fois par jour, avant et après ses interventions, j’étais totalement à sa merci. Il avait très vite compris que j’étais complètement accroc à sa queue, à ses mots et à ses ordres. Sachant si bien se servir de sa bite et me plongeant dans de forts orgasmes, je perdais pieds. Il n'avait pas besoin, dans ces moments-là, de me forcer, je disais volontiers, lui appartenir, j'allais devenir sa soumise.

D’autant plus que depuis quelques temps, nous le faisions sans protection, il avait une prise de sang mensuelle pour surveiller un diabète, il y faisait ajouter une analyse VIH. Ayant une sérologie négative sur tous les résultats, j'avais accepté qu'on se passe de préservatif, j’aimais bien mieux être baiser "à cru". À partir de ce jour les capotes restaient dans leur emballage. Cette liaison devenait sérieuse.

J’avais peur et j’appréhendais la réaction de mon conjoint, si je lui avouais, je serais bien trop explicite en parlant de lui. Alex s’apercevrait tout de suite que j'étais folle de mon amant. Après la deuxième semaine, début avril, dès sa séance terminée, je devais le retrouver, une fois que ses stagiaires avaient quitté la salle de cours. Il me baisa sauvagement, pendant plus d’une heure dans toutes les positions. Ce jour-là, il me sodomisa pour la première fois. S’il avait éjaculé deux fois, je pris plusieurs orgasmes et notamment lorsqu’il m’encula profondément. J’avais tellement pris de plaisir d’être son pantin que je lui dis pour la seconde fois, sans qu’il me le demande :— Je veux devenir ta pute !

En entendant cette phrase, je vis son sourire narquois illuminer son visage, il était satisfait, j’étais tombée dans ses griffes de prédateur et afin d’assoir sa toute puissance, il m’ordonna :— Demain soir, tu dors avec moi, je te veux pour moi tout seul.
Vivant à plus de 70 kilomètres, il passait deux nuits à l’hôtel pendant les trois jours de formation. Je ne pouvais pas lui refuser, j’avais très envie de passer cette nuit du mercredi avec lui. Cependant, j’étais au pied du mur, j’étais dans l’obligation d’en parler à Alex, de surcroit je devais également donner certaines explications à Sylvain, il ne savait rien, du candaulisme de mon conjoint. Ce fut clair et net, Sylvain ne voulait pas entendre parler de mon mari et encore moins de me prendre devant lui, il en était hors de question. Je devais donc me débrouiller.

Le soir même en rentrant du travail, j’avais enfin avoué à Alex ma liaison avec ce formateur. J’avais quelque peu menti en lui disant que je connaissais Sylvain depuis une semaine, je lui racontai comment il m’avait baisé la veille. Il prit plaisir à m’écouter, néanmoins lorsque je lui annonçai qu’il désirait que je passe une nuit entière avec mon amant et sans sa présence, Alex resta bouche bée, il fit la moue. En lui promettant de tout lui expliquer dans les moindres détails, déçu et peiné d'être tenu à l'écart, il finit par céder à contre cœur. Je fus toute heureuse de téléphoner à Sylvain pour lui annoncer la bonne nouvelle :— Je n’en espérais pas moins de ta part. me répondit-il simplement.

J'avais donc rejoint Sylvain dans sa chambre d’hôtel, où j’avais connu pour la première fois le plaisir d’être soumise à mon partenaire. En effet, la relation avait dévié dans le Dominant/soumise, j'avoue avoir pris beaucoup de plaisir dans ces jeux très soft. Entièrement nue sur le lit, je le vis arriver avec une mallette, d’où il sortit une paire de menottes en cuir, un bandeau, un martinet mais il avait également de nombreux jouets et sextoys. Quelques minutes plus tard, je me retrouvais les yeux bandés, attachée et écartelée, j’étais très excitée mais j’appréhendais la douleur :— Tu ne me fais pas mal, hein??

Pour ajouter un peu plus de piment à mon angoisse, il ne me répondit pas, j’avais toutefois confiance en lui. Il resta quelques minutes sans rien faire, il me contemplait puis le bout de ses doigts parcoururent ma poitrine, qui se soulevait et redescendait au rythme de mon souffle, j’étais inquiète mais je mouillais. Je poussai mes premiers cris lorsque le martinet s’abattit sur mes flancs, je fus plutôt surprise, car la douleur n’était pas bien intense. Puis il passa le plat de ses mains, là où il m’avait frappée.

Peu après, ma chatte avait subi le même sort, les légers coups de martinet s’abattant sur ma vulve et l’intérieur de mes cuisses, n’avaient rien de bien méchant. Dans le noir, je l’imaginais le faire, ça m’excitait énormément, je devais donner l’impression d’apprécier car je gémissais. Je commençais à ressentir du plaisir sous l’épreuve de ces petites lanières en cuir et les caresses qui s’en suivaient.

Au fur et à mesure, les cajoleries s’alternant avec les coups, il frappait un peu plus fort, je me mordais les lèvres et serrais les poings, j’avais atteint le seuil de douleur pour cette séance. Content de lui, il vint me lécher les grandes lèvres et me sucer le clitoris tout en me caressant l’intérieur de mes cuisses rougies. Je me tordais de plaisir, lorsqu’il mit en route le vibro-masseur, j’hoquetais et gémissais, le désir reprenait le dessus sur la douleur. Je sentais encore la chaleur sur ma peau et l’humidité grandissante de mon vagin. Mon clitoris se gonflait à bloc sous les vibrations du sextoy, je jouis en gémissant de plaisir.

Je n’en pouvais plus, j’étais impatiente, je voulais recevoir sa queue, mais il faisait tout pour retarder l’échéance, je le suppliais de me prendre. Il me retira le bandeau et les liens aux chevilles, en me laissant les menottes aux poignets, il restait ainsi le Dominant pendant qu’il me baisait. Il me leva les jambes tout en les maintenant écartées et s’introduisit enfin, j’étais comme folle. Il alterna pendant de longues minutes ses va et viens dans mon vagin et dans mon rectum, je n’en pouvais plus, je m’étais laissée aller, mon orgasme fut démentiel, je frissonnais de partout, j’avais crié à réveiller tout l’hôtel. Il se mit à genoux de part et d’autre de ma poitrine, présenta sa verge devant mon visage et éjacula puissamment tout son foutre, dans ma bouche, avant de s’affaler sur moi.

Couchés côtes à côtes, voyant que j’avais bien apprécié cette petite séance, il me demanda une nouvelle fois si je voulais vraiment devenir sa soumise, il me parla de contrat de soumission et me dit que je devais passer tout le week-end suivant, chez lui à Nîmes. J’acceptai sans penser aux conséquences. Avant de nous endormir, il m’avait encore possédée comme une bête. Lorsque le lendemain matin, j’avais expliqué le déroulement de la soirée à Alex, celui-ci comprit que j'allais devenir la soumise à mon nouvel amant. Il connaissait mon fantasme, nous en avions déjà parlé, avait même pourtant donné son aval, il savait qu'un jour cela arriverait et ce jour était là.

À la maison, la conversation prit une toute autre tournure, lorsque j’avais annoncé à Alex que Sylvain mon maître me voulait toujours disponible que j'allais passer des week-end entiers avec lui, il était abattu. Après cet aveu, Alex me confessa que je lui en demandais beaucoup trop, qu'il se sentait cocu. Cependant, j’étais sous l’emprise totale de Sylvain, je ne lâchai pas prise en lui répondant :— C'est en fait ce que tu voulais en me laissant une entière liberté sexuelle. Je t’aime et tu restes l'amour de ma vie.

J’essayais par tous les moyens de le convaincre, lui promettant qu’il saurait tout ce que je faisais avec Sylvain et que nos retrouvailles seraient terribles et amoureuses. Je disais cela tout en sachant que c’était très difficile pour lui. En effet, Alex allait vivre des moments pénibles en m’attendant, j'allais l'abandonné durant de longues heures pour les bras et la bite d'un autre. Devant ma détermination, il capitula enfin, il me connaissait si bien qu’il savait que je ne reculerais pas. S'en était suivi un très long et chaud câlin bestial.

Le week-end suivant fut vite arrivé, Alex faisait encore la tête mais m’avait embrassé amoureusement, lorsque j’étais montée dans ma voiture pour rejoindre Nîmes le vendredi soir. N'étant pas dans ma ville, j'avais moins de crainte de croiser une connaissance, cela me permis de me libérer. J’avais tout fait afin de ne pas être en retard, pourtant ce n’était pas mon fort. J’avais respecté à la lettre la tenue vestimentaire que Sylvain m’avait imposée, ma poitrine se devinait au travers du chemisier transparent et la jupe mi cuisses permettait au regard aux aguets, d'entrevoir mon intimité au gré de mes mouvements.

Arrivés chez-lui, il déboucha une bouteille de champagne, sortit les boudoirs et après avoir trinqué à notre premier week-end ensemble, il se dirigea vers l’imprimante, en sortit un papier A4 qu’il me tendit :— C’est ce fameux contrat de soumission dont je t’ai parlé mercredi soir. Tu le lis, le signe et nous pourrons commencer de suite.

Je me mis à le lire à haute voix, il était noté que : « Florence accepte de son plein gré, de devenir la soumise de Sylvain. La soumise accepte que son corps devienne la propriété de son Maître qui pourra en faire ce que bon lui semble, à l’intérieur des limites définies dans le présent contrat.
Florence comprend et accepte la Domination de son Maître Sylvain et devient sa propriété exclusive. La soumise sait que le corps du Maître est sacré. Toute infraction serait punie.
Florence comprend et accepte les désirs et plaisirs du Maître. Florence s’engage à accepter toutes les pratiques sexuelles ou non et humiliations que ce soit en public ou en privé. Elle s’engage à porter tout accessoire sexuel ou tenue imposée en tout lieu et à tout moment. Florence laissera l’accès et le contrôle total de sa sexualité et de son intimité à son Maître. La soumise n’a aucun secret pour son Maître et a obligation de vérité dans ses réponses.
Florence accepte sans restriction d'être offerte sexuellement à toutes personnes que le Maître lui désignera, elle s'interdit de contester et de contrarier les ordres et les volontés du Maître » :— Tu ne me l’avais pas dit !
— Pour toi, ça ne te changera pas, tu le fais déjà avec ton mari.

Il avait raison, sans répondre, je continuai ma lecture : « D'un commun accord sont écartées les pratiques de SM hard et de scatologie, zoophilie. Un safeword de sécurité sera convenu entre le Maître et sa soumise. Le présent contrat prendra effet à la signature des contractants : — Le mot de sécurité à prononcer doit être simple et sans ambiguïté. Des codes couleurs, par exemple « vert » veut dire que tout va bien et que la séance peut continuer ou « rouge » qui veut dire que je dois, immédiatement et sans discussion, arrêter la séance en cours.
— OK ! J’accepte ce contrat le safeword sera donc « Rouge ».

Une fois le contrat paraphé, il me demanda d'enlever ma lingerie. Il m'enseigna les douze règles que devaient connaitre par cœur une soumise, je devais ainsi : 1 - En sa présence, garder les yeux baissés. 2 –Jamais contester ses décisions. 3 – Jamais croiser les jambes. 4 – Conserver une attitude humble et respectueuse envers lui. 5 – Fixer ma punition à chaque infraction de ma part. 6 – Consacrer mon temps libre à son plaisir et son bien-être. 7 – Être toujours irréprochable et parée. 8 – Lui dire toujours la vérité sans mensonge ni omission. 9 – Porter avec fierté toutes les tenues qu’il m’imposait. 10 – Adopter avec quiconque, le même rapport que j’avais avec lui. 11 – Ne jamais lui refuser l’accès de mon corps. 12 - Toujours le remercier après avoir reçu mes punitions. Chacune de mes erreurs étaient sanctionnées soit par une fessée, soit par 5 coups de martinet, après une grosse heure d'éducation, il me dit :— Voilà, tu es enfin prête, nous pouvons commencer.
— Ok allons-y ! Lui dis-je en le regardant dans les yeux, volontairement.
— Fessées ou martinet ? Me demanda-dit-il.

Je venais d’enfreindre la règle N° 1 du regard, je choisis le martinet. Lors de ma punition, après le premier coup de martinet, j'avais très envie de lui crier « Rouge », il m’avait fait très mal, j’avais serré les dents et avais accepté la douleur. Sylvain était parvenu à créer le manque, je devenais dépendante. Lors de ce week-end, nous avions vécu de nombreuses séances, néanmoins, nous ne baisions pas toujours après, il m’arrivait d’être sur ma faim. Après quelques séances la douleur me procurait un certain plaisir, les heures passaient, je m’y habituais, je me prenais au jeu. En fin de compte, je finissais par aimer ça.

Il utilisait des cordes, m’attachait, me suspendait et me frappait avec une cravache. J’avais évidemment des traces sur le corps mais Sylvain s’arrangeait toujours pour qu’elles ne soient plus visibles lorsque je serais habillée. Les séances pouvaient durer une heure, comme une après-midi ou une soirée entière. A chaque désobéissance, je subissais une punition. Il essayait de me pousser un peu plus vers mes limites au niveau physique, les fessées avec la plaque de cuir étaient assez douloureuses.

De tout le week-end, je n'avais jamais prononcé le mot « Rouge », J'avais toujours mis un point d'honneur à ne pas prononcer ce mot code, ce qui permit de repousser mes limites et avancer dans la soumission. Sylvain connaissait son affaire, il s’était toujours arrêté avant que la douleur soit vraiment insupportable, lors d'une punition il vérifiait l'état de ma chatte, c'était paradoxal, recevoir le fouet, le martinet, la cravache ou encore la fessée avec un padle ou à mains nues faisait mal, néanmoins la douleur devenait excitante et m'avait très souvent fait mouiller copieusement.

Je n’avais jamais eu peur car, même s’il était un maître sévère, il était toujours resté soucieux de ce que je ressentais vraiment. Le dimanche en fin d’après-midi, avant que je le quitte :— Quand tu seras complètement dressée, tu auras droit à ça. Me dit-il en me montrant un collier en cuir à clous.
C’était déjà l’heure que je parte, j’étais heureuse d’avoir passé ces deux jours sous sa coupe et son emprise mais contente également de retrouver Alex avec lequel, j’allais faire l’amour passionnément, après lui avoir tout raconter de ce week-end merveilleux. Je vous raconterai comment je suis devenue totalement sous son emprise, dans quelques jours.


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