La sexualité compulsive de Florence : une étudiante délurée (Partie 2/ 15)
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-07-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La sexualité compulsive de Florence : une étudiante délurée (Partie 2/ 15)
Comme je vous l’ai expliqué lors de mon premier récit en tant qu’adolescente, depuis mes premières jouissances, j’adore le sexe. Je vais donc poursuivre ma narration. Après avoir obtenu le BAC avec mention Assez Bien, je me suis inscrite à la fac de droit de Montpellier. Étant de Béziers et sans voiture, je devais louer un petit studio en centre-ville afin de pouvoir me déplacer facilement dans les transports en commun. Ce petit logement étant très pratique, je l’avais conservé pendant toutes mes années d'études et même quelques temps après être entrée dans la vie active.
Afin de me constituer une petite cagnotte, j’avais travaillé à l'accueil de l'office du tourisme, durant l'été précédant la rentrée universitaire. A l'aube de ma majorité, me retrouver indépendante m'avait un peu perturbée pendant les premières semaines, néanmoins j'avais vite su m'organiser. Pendant les premiers temps, je rentrais en train tous les week-ends chez mes parents, au bout de deux mois je n'y retournais que tous les quinze jours puis au fil du temps, je ne rentrais que tous les mois voire un peu plus.
Si j'avais coupé rapidement, le cordon parental et aussi facilement, je le devais à une fille de ma promo. En effet, j'avais sympathisé avec Magali, c’était jeune fille de mon âge, très gentille, avenante, douce et ce qui ne gâchait rien, très mignonne ! Grande, élancée avec de belles formes, les cheveux châtain clair presque blond, des yeux bleus magnifiques et un sourire enjôleur, la rendait vraiment très attirante.
Ayant travaillé pendant mes congés, je me retrouvais sans petit ami et le sexe me manquait. Suivant le dicton « Qui se ressemble, s’assemble », ce fut le cas avec Magali qui était dans le même cas que moi. Le jeudi soir de la première semaine, nous étions au resto-U, lorsqu’elle me dit avoir très envie de baiser, elle voulait trouver un type afin de passer la soirée et prendre un peu de plaisir :— Que dis-tu des deux mecs qui nous regardent depuis que nous sommes arrivées.
— Oui ! Je les ai vu et le grand brun me plait beaucoup. Lui répondis-je.
Nous nous étions très vite retrouvées toutes les deux dans leur appartement qu’ils partageaient en colocation. Chacune dans la chambre de nos nouveaux copains, baisant une bonne partie de la nuit. J’entendais Magali crier son plaisir et elle devait également m’entendre gémir pendant mes jouissances. Eux aussi avaient pris leur pied à nous baiser, puisqu'ils nous avaient échangées. Depuis cette soirée, nous étions devenues très proche, inséparables, deux véritables amies et complices dans nos aventures sexuelles. Nous avions trouvé le moyen de nous satisfaire avec ces deux garçons pendant plus de deux mois.
Magali avait une autre amie qu’elle me présenta dès le début de notre amitié. Audrey avait un an de plus que nous, toutes les deux habitaient la même résidence. Elle aussi était super sympa, une jolie brune, joviale, elle avait physiquement tout ce qu'il fallait là où il le fallait. Je trouvais Audrey très à l'aise dans n'importe quelle situation ou discussion, elle parlait librement de tout, même souvent de sexe, elle ne connaissait pas la pudeur. Je ne comptais plus le nombre de fois qu'elle nous avait ouvert sa porte entièrement nue, évoluant dans son petit T1 en tenue d'Ève, aucun voilage n'occultant les fenêtres de son intérieur, des regards des voisins.
Lors d’une soirée chez Audrey, je venais à penser que la baie vitrée de mon petit studio n'avait pas non plus de rideau. Ce soir-là, j’interpellai Audrey sur ce sujet.
— Dis-moi, Audrey, ça ne te gêne pas que tu puisses être matée par les voisins, il fait nuit, tu n’as pas de rideaux aux fenêtres et ton volet roulant ouvert, tes voisins doivent tout voir.
Elle éclata de rire, tout en balayant l'air de sa main dans un geste d'insouciance en me répondant :— Mais non, et de toute façon le volet roulant est pété, ceux qui ne sont pas contents n'ont qu'à pas regarder, et puis d'autres doivent bien fantasmer, tant mieux si ça leur fait du bien, en fait je m'en tape complet !
Toutes les trois nous avions éclaté de rire et discuté de cela tout en buvant un verre en attendant de diner. L'ambiance était très détendue dans cet appartement douillet, contrastant avec la fraicheur extérieure du mois de novembre. Après le repas nous nous étions retrouvées toutes les trois, installées confortablement sur le canapé moelleux. J'étais entre mes deux amies que je trouvais de plus en plus cajoleuses et de plus en plus tactiles, jusqu'à ce que, simultanément, Magali passa sa main sur mon sein pendant qu’Audrey posait sa main sur le haut de ma cuisse, mise à nue par ma courte jupe.
— Flo, tu nous donnes envie, murmurèrent-elles en même temps.
La main d'Audrey remonta vers mon entrejambe en faisant crisser les mailles du collant, alors que Magali déposait de doux bisous sur mon cou, sur mon lobe d'oreille, sur ma joue puis effleura ma bouche de ses lèvres. J’étais bien, à l’aise, j'appréciais cette douceur. Les doigts d'Audrey arrivaient sur ma vulve, rencontrèrent mon bourgeon déjà éclos et elle rompit le silence en s'exclamant :— Roo Magali ! Cette salope n'a pas de culotte sous son collant. Tu caches bien ton jeu hein ! Coquine.
— Mais j'ai de la marge par rapport à toi, je ne reçois pas mes invités à poil ! Je dois vous faire un aveu, vous allez être mes initiatrices, je n’ai jamais fait ça avec une fille.
— Nous sommes là pour t’apprendre ma chérie. Me dit calmement Magali avant de prendre possession de ma bouche.
J’étais à la merci de deux femmes, ne voulant que mon bien être. Tout en m’embrassant à tour de rôle et en me caressant la poitrine, mes deux amies me dévêtirent progressivement, je m’étais retrouvée entièrement nue, vautrée sur le rebord du coussin. Magali se plaça derrière le canapé et tout en continuant à me cajoler de sa langue et de sa bouche, ses mains me taquinaient les tétons prenant du volume. Audrey était à genoux entre mes cuisses, sa bouche s’activait sur mon sexe, sa langue me léchait le clito et ses doigts prenaient possession de ma vulve et de mon rectum.
J’étais sur un nuage, je sentais ces doigts caressant mon entrejambe du pubis à l'anus, effleurant mes grandes lèvres et titiller le clito du bout de la langue ou me l’aspirant, je mouillais fortement. Le mélange de quatre mains, de deux bouches sur l’ensemble de mon corps était un moment magique, je chavirais sous leurs caresses, léchage, bisous et baisers fougueux multiples. Lorsqu’Audrey de ses deux doigts me pistonna la face intérieure de mon vagin et agaçait de son pouce mon clito, pendant que Magali, de ses deux mains posées sur mes seins, roulait, étirait et pinçait les tétons, je m’étais laissée aller à l’orgasme total. Mon entrejambe fut inondé par ce mélange de cyprine, de jute et de salive.
Puis nous avions inversé les rôles afin que chacune puisse connaitre le même sort, nous avions pris toutes les trois du plaisir en nous doigtant la chatte et le cul de chacune. Audrey se leva toute nue et quitta la pièce pour aller dans la chambre en nous disant :— Regardez par la fenêtre les filles ! Nous sommes matées par les voisins.
— Où va-t-elle ? Demandais-je à Magali.
— Ce soir nous n’avons pas besoin de mecs. Me répondit-elle.
En effet, quelques minutes plus tard Audrey revenait avec un assortiment de sextoys. Il y avait du choix, entre gode de différentes grosseurs, plug anal allant du petit au plus gros, en passant par le chapelet de billes et autres vibromasseurs :— On va s’amuser ma petite Flo. Regarde ce que j’amène. Je n’aurais jamais pensé que tu étais si délurée.
— Devant la baie vitrée ?
— Pourquoi pas ? Nous adorons être matées et tu verras, toi aussi tu apprécieras.
Mes deux amies m’avaient fait me coucher sur la table basse, dans son salon face à la porte fenêtre. Pendant que Magali me faisait sucer un immense phallus en silicone, Audrey me retira le plug qu’elle m’avait mis quelques minutes plus tôt, pour m’enfiler le chapelet de billes entièrement dans mon conduit anal. Puis elle introduit une verge dans le vagin qui fut rejoint par une deuxième bite en plastique que Magali tenait de son autre main. Tous mes orifices étaient remplis, le contexte sortait de l'ordinaire et repoussait les limites de la sexualité habituelle.
La nouveauté de l’amour lesbien comme l’exhibition devant les regards des voisins, furent des aphrodisiaques extrêmement puissants, tout ceci avait démultiplié mes sensations et avait intensifié mon plaisir. Pendant plus de deux heures, nous nous étions faites jouir ainsi. Nous nous étions retrouvées nues, en triangle, sur le tapis chacune s’occupant de l’entrejambe de l’autre, en ne pensant qu’à notre plaisir mutuel en s'enfonçant des godes dans la chatte, un vibro sur le clito et un plug dans le cul.
A partir de cette soirée, Audrey qui avait compris que Magali et moi étions aussi survoltées qu’elle, au niveau du sexe, nous avait ouvert certaines portes et nous étions invitées à chacune des soirées étudiantes, où nous prenions notre pied. Le droit ne me plaisait pas beaucoup, même si je n’étais restée qu’une année dans cette discipline, pour me tourner vers un DUT de gestion des ressources humaines que j'obtins en juin 2008, j’avais toujours conservé mes deux amies. Je n’avais pas encore vingt ans, j’avais donc poursuivi mes études pendant deux ans mais étant moins studieuse, je n’avais pas décroché ma licence. Par contre, j’étais quasi incollable sur le code du travail, ce qui m'avait toujours beaucoup servi dans mes futures embauches.
Durant ces deux années de fac, j'étais plus assidue aux soirées étudiantes qu'à bûcher les cours. Avec Audrey et Magali, je m’étais carrément transformée en véritable avaleuse de sexe, dans tous les sens du terme. Tout en poursuivant régulièrement nos parties de sexe entre filles chez l’une ou chez l’autre, je collectionnais les aventures masculines, je n’étais jamais restée avec le même garçon plus de quatre semaines.
Il n'était pas rare que je me tape deux à trois mecs différents dans la même soirée. Je prenais beaucoup de plaisir à boire à pleine bouche, leur sperme qui giclait de leur bite après leur avoir offert ma chatte et mon cul, ils étaient tout heureux de libérer leur queue, prisonnière de leur carcan en latex pour venir jouir entre mes lèvres. Je me souviens qu'il m'était arrivé de baiser avec un type une nuit et de le retrouver deux mois plus tard et de rebaiser avec lui et même de coucher avec un autre garçon une demi-heure plus tard. J’étais devenue une parfaite salope en fait.
Si ces baises furtives, sous une porte cochère, une étreinte express dans les couloirs ou dans les chiottes d’un quelconque établissement, étaient au départ un fantasme, néanmoins ce n’en était plus un, c’était bien ma réalité. Me faire prendre comme une salope devant les autres étudiants et étudiantes augmentait mes jouissances. Si cette pratique bloquait complètement certaines personnes, elle me rendait folle de désir, mes manifestations de l'excitation sexuelle étaient exacerbées.
Mes deux amies étaient comme moi, nous étions invitées à chaque soirées et il ne nous fallait pas longtemps avant de nous retrouver face à une bite en pleine érection, à croire que les garçons fantasmaient juste en pensant au plaisir que nous pouvions leur apporter, d’autant plus que nous n’étions pas nombreuses à apprécier de nous laisser prendre par deux ou trois mecs à la fois et avaler leur semence lors de leur orgasme final.
Ne vous méprenez pas, nous choisissions les types avec lesquels nous sortions. Nous connaissant comme de véritables salopes, les étudiants voulaient tous nous baiser, nous n’avions que l’embarras du choix. D’un commun accord nous faisions le tri et couchions avec les heureux élus puis lors d’une autre soirée, nous nous les échangions. Nous leur mettions des notes afin de pouvoir comparer nos résultats. Tant sur la longueur et l’épaisseur de leur bite, leur imagination, leur résistance, leur performance, la quantité, la qualité de leur sperme et la puissance de leur éjaculation.
Après mes études, j'ai obtenu mon premier emploi à Montpellier, ce qui m'avait décidé de m’y installer. En effet, par chance, suite à un stage que j’avais fait en entreprise, j’avais trouvé un CDD. J’avais mes deux amies et nous vivions toujours toutes les trois, nos aventures sexuelles diverses et variées. Je vous raconterai la suite dans quelques jours lors d’un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Florence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. J’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr Pour des raisons d’anonymat, les prénoms des personnages et certains sites ont été volontairement modifiés.
Afin de me constituer une petite cagnotte, j’avais travaillé à l'accueil de l'office du tourisme, durant l'été précédant la rentrée universitaire. A l'aube de ma majorité, me retrouver indépendante m'avait un peu perturbée pendant les premières semaines, néanmoins j'avais vite su m'organiser. Pendant les premiers temps, je rentrais en train tous les week-ends chez mes parents, au bout de deux mois je n'y retournais que tous les quinze jours puis au fil du temps, je ne rentrais que tous les mois voire un peu plus.
Si j'avais coupé rapidement, le cordon parental et aussi facilement, je le devais à une fille de ma promo. En effet, j'avais sympathisé avec Magali, c’était jeune fille de mon âge, très gentille, avenante, douce et ce qui ne gâchait rien, très mignonne ! Grande, élancée avec de belles formes, les cheveux châtain clair presque blond, des yeux bleus magnifiques et un sourire enjôleur, la rendait vraiment très attirante.
Ayant travaillé pendant mes congés, je me retrouvais sans petit ami et le sexe me manquait. Suivant le dicton « Qui se ressemble, s’assemble », ce fut le cas avec Magali qui était dans le même cas que moi. Le jeudi soir de la première semaine, nous étions au resto-U, lorsqu’elle me dit avoir très envie de baiser, elle voulait trouver un type afin de passer la soirée et prendre un peu de plaisir :— Que dis-tu des deux mecs qui nous regardent depuis que nous sommes arrivées.
— Oui ! Je les ai vu et le grand brun me plait beaucoup. Lui répondis-je.
Nous nous étions très vite retrouvées toutes les deux dans leur appartement qu’ils partageaient en colocation. Chacune dans la chambre de nos nouveaux copains, baisant une bonne partie de la nuit. J’entendais Magali crier son plaisir et elle devait également m’entendre gémir pendant mes jouissances. Eux aussi avaient pris leur pied à nous baiser, puisqu'ils nous avaient échangées. Depuis cette soirée, nous étions devenues très proche, inséparables, deux véritables amies et complices dans nos aventures sexuelles. Nous avions trouvé le moyen de nous satisfaire avec ces deux garçons pendant plus de deux mois.
Magali avait une autre amie qu’elle me présenta dès le début de notre amitié. Audrey avait un an de plus que nous, toutes les deux habitaient la même résidence. Elle aussi était super sympa, une jolie brune, joviale, elle avait physiquement tout ce qu'il fallait là où il le fallait. Je trouvais Audrey très à l'aise dans n'importe quelle situation ou discussion, elle parlait librement de tout, même souvent de sexe, elle ne connaissait pas la pudeur. Je ne comptais plus le nombre de fois qu'elle nous avait ouvert sa porte entièrement nue, évoluant dans son petit T1 en tenue d'Ève, aucun voilage n'occultant les fenêtres de son intérieur, des regards des voisins.
Lors d’une soirée chez Audrey, je venais à penser que la baie vitrée de mon petit studio n'avait pas non plus de rideau. Ce soir-là, j’interpellai Audrey sur ce sujet.
— Dis-moi, Audrey, ça ne te gêne pas que tu puisses être matée par les voisins, il fait nuit, tu n’as pas de rideaux aux fenêtres et ton volet roulant ouvert, tes voisins doivent tout voir.
Elle éclata de rire, tout en balayant l'air de sa main dans un geste d'insouciance en me répondant :— Mais non, et de toute façon le volet roulant est pété, ceux qui ne sont pas contents n'ont qu'à pas regarder, et puis d'autres doivent bien fantasmer, tant mieux si ça leur fait du bien, en fait je m'en tape complet !
Toutes les trois nous avions éclaté de rire et discuté de cela tout en buvant un verre en attendant de diner. L'ambiance était très détendue dans cet appartement douillet, contrastant avec la fraicheur extérieure du mois de novembre. Après le repas nous nous étions retrouvées toutes les trois, installées confortablement sur le canapé moelleux. J'étais entre mes deux amies que je trouvais de plus en plus cajoleuses et de plus en plus tactiles, jusqu'à ce que, simultanément, Magali passa sa main sur mon sein pendant qu’Audrey posait sa main sur le haut de ma cuisse, mise à nue par ma courte jupe.
— Flo, tu nous donnes envie, murmurèrent-elles en même temps.
La main d'Audrey remonta vers mon entrejambe en faisant crisser les mailles du collant, alors que Magali déposait de doux bisous sur mon cou, sur mon lobe d'oreille, sur ma joue puis effleura ma bouche de ses lèvres. J’étais bien, à l’aise, j'appréciais cette douceur. Les doigts d'Audrey arrivaient sur ma vulve, rencontrèrent mon bourgeon déjà éclos et elle rompit le silence en s'exclamant :— Roo Magali ! Cette salope n'a pas de culotte sous son collant. Tu caches bien ton jeu hein ! Coquine.
— Mais j'ai de la marge par rapport à toi, je ne reçois pas mes invités à poil ! Je dois vous faire un aveu, vous allez être mes initiatrices, je n’ai jamais fait ça avec une fille.
— Nous sommes là pour t’apprendre ma chérie. Me dit calmement Magali avant de prendre possession de ma bouche.
J’étais à la merci de deux femmes, ne voulant que mon bien être. Tout en m’embrassant à tour de rôle et en me caressant la poitrine, mes deux amies me dévêtirent progressivement, je m’étais retrouvée entièrement nue, vautrée sur le rebord du coussin. Magali se plaça derrière le canapé et tout en continuant à me cajoler de sa langue et de sa bouche, ses mains me taquinaient les tétons prenant du volume. Audrey était à genoux entre mes cuisses, sa bouche s’activait sur mon sexe, sa langue me léchait le clito et ses doigts prenaient possession de ma vulve et de mon rectum.
J’étais sur un nuage, je sentais ces doigts caressant mon entrejambe du pubis à l'anus, effleurant mes grandes lèvres et titiller le clito du bout de la langue ou me l’aspirant, je mouillais fortement. Le mélange de quatre mains, de deux bouches sur l’ensemble de mon corps était un moment magique, je chavirais sous leurs caresses, léchage, bisous et baisers fougueux multiples. Lorsqu’Audrey de ses deux doigts me pistonna la face intérieure de mon vagin et agaçait de son pouce mon clito, pendant que Magali, de ses deux mains posées sur mes seins, roulait, étirait et pinçait les tétons, je m’étais laissée aller à l’orgasme total. Mon entrejambe fut inondé par ce mélange de cyprine, de jute et de salive.
Puis nous avions inversé les rôles afin que chacune puisse connaitre le même sort, nous avions pris toutes les trois du plaisir en nous doigtant la chatte et le cul de chacune. Audrey se leva toute nue et quitta la pièce pour aller dans la chambre en nous disant :— Regardez par la fenêtre les filles ! Nous sommes matées par les voisins.
— Où va-t-elle ? Demandais-je à Magali.
— Ce soir nous n’avons pas besoin de mecs. Me répondit-elle.
En effet, quelques minutes plus tard Audrey revenait avec un assortiment de sextoys. Il y avait du choix, entre gode de différentes grosseurs, plug anal allant du petit au plus gros, en passant par le chapelet de billes et autres vibromasseurs :— On va s’amuser ma petite Flo. Regarde ce que j’amène. Je n’aurais jamais pensé que tu étais si délurée.
— Devant la baie vitrée ?
— Pourquoi pas ? Nous adorons être matées et tu verras, toi aussi tu apprécieras.
Mes deux amies m’avaient fait me coucher sur la table basse, dans son salon face à la porte fenêtre. Pendant que Magali me faisait sucer un immense phallus en silicone, Audrey me retira le plug qu’elle m’avait mis quelques minutes plus tôt, pour m’enfiler le chapelet de billes entièrement dans mon conduit anal. Puis elle introduit une verge dans le vagin qui fut rejoint par une deuxième bite en plastique que Magali tenait de son autre main. Tous mes orifices étaient remplis, le contexte sortait de l'ordinaire et repoussait les limites de la sexualité habituelle.
La nouveauté de l’amour lesbien comme l’exhibition devant les regards des voisins, furent des aphrodisiaques extrêmement puissants, tout ceci avait démultiplié mes sensations et avait intensifié mon plaisir. Pendant plus de deux heures, nous nous étions faites jouir ainsi. Nous nous étions retrouvées nues, en triangle, sur le tapis chacune s’occupant de l’entrejambe de l’autre, en ne pensant qu’à notre plaisir mutuel en s'enfonçant des godes dans la chatte, un vibro sur le clito et un plug dans le cul.
A partir de cette soirée, Audrey qui avait compris que Magali et moi étions aussi survoltées qu’elle, au niveau du sexe, nous avait ouvert certaines portes et nous étions invitées à chacune des soirées étudiantes, où nous prenions notre pied. Le droit ne me plaisait pas beaucoup, même si je n’étais restée qu’une année dans cette discipline, pour me tourner vers un DUT de gestion des ressources humaines que j'obtins en juin 2008, j’avais toujours conservé mes deux amies. Je n’avais pas encore vingt ans, j’avais donc poursuivi mes études pendant deux ans mais étant moins studieuse, je n’avais pas décroché ma licence. Par contre, j’étais quasi incollable sur le code du travail, ce qui m'avait toujours beaucoup servi dans mes futures embauches.
Durant ces deux années de fac, j'étais plus assidue aux soirées étudiantes qu'à bûcher les cours. Avec Audrey et Magali, je m’étais carrément transformée en véritable avaleuse de sexe, dans tous les sens du terme. Tout en poursuivant régulièrement nos parties de sexe entre filles chez l’une ou chez l’autre, je collectionnais les aventures masculines, je n’étais jamais restée avec le même garçon plus de quatre semaines.
Il n'était pas rare que je me tape deux à trois mecs différents dans la même soirée. Je prenais beaucoup de plaisir à boire à pleine bouche, leur sperme qui giclait de leur bite après leur avoir offert ma chatte et mon cul, ils étaient tout heureux de libérer leur queue, prisonnière de leur carcan en latex pour venir jouir entre mes lèvres. Je me souviens qu'il m'était arrivé de baiser avec un type une nuit et de le retrouver deux mois plus tard et de rebaiser avec lui et même de coucher avec un autre garçon une demi-heure plus tard. J’étais devenue une parfaite salope en fait.
Si ces baises furtives, sous une porte cochère, une étreinte express dans les couloirs ou dans les chiottes d’un quelconque établissement, étaient au départ un fantasme, néanmoins ce n’en était plus un, c’était bien ma réalité. Me faire prendre comme une salope devant les autres étudiants et étudiantes augmentait mes jouissances. Si cette pratique bloquait complètement certaines personnes, elle me rendait folle de désir, mes manifestations de l'excitation sexuelle étaient exacerbées.
Mes deux amies étaient comme moi, nous étions invitées à chaque soirées et il ne nous fallait pas longtemps avant de nous retrouver face à une bite en pleine érection, à croire que les garçons fantasmaient juste en pensant au plaisir que nous pouvions leur apporter, d’autant plus que nous n’étions pas nombreuses à apprécier de nous laisser prendre par deux ou trois mecs à la fois et avaler leur semence lors de leur orgasme final.
Ne vous méprenez pas, nous choisissions les types avec lesquels nous sortions. Nous connaissant comme de véritables salopes, les étudiants voulaient tous nous baiser, nous n’avions que l’embarras du choix. D’un commun accord nous faisions le tri et couchions avec les heureux élus puis lors d’une autre soirée, nous nous les échangions. Nous leur mettions des notes afin de pouvoir comparer nos résultats. Tant sur la longueur et l’épaisseur de leur bite, leur imagination, leur résistance, leur performance, la quantité, la qualité de leur sperme et la puissance de leur éjaculation.
Après mes études, j'ai obtenu mon premier emploi à Montpellier, ce qui m'avait décidé de m’y installer. En effet, par chance, suite à un stage que j’avais fait en entreprise, j’avais trouvé un CDD. J’avais mes deux amies et nous vivions toujours toutes les trois, nos aventures sexuelles diverses et variées. Je vous raconterai la suite dans quelques jours lors d’un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Florence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. J’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr Pour des raisons d’anonymat, les prénoms des personnages et certains sites ont été volontairement modifiés.
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