La tentation de Josette
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La tentation de Josette
Quand la porte de la chambre s’est ouverte d’un coup, nous sommes avec le jeune homme restés figés, bouche bée. La tante accompagnée de ses amies, coupe de champagne en main, fait visiter l’appartement, alors que j’encule son neveu jusqu’à la garde. Mais grâce au lit qui fait barrage, on ne peut rien voir de la porte d’entrée. Cependant, on peut aisément tout deviner. Ce qu’a dû remarquer la tante qui s’empresse de laisser tomber d’une voix blanche.
- Vous travaillez, mes petits ?
Ma queue enfoncée a eu un sursaut. Le neveu répond par un sanglot. Je rattrape la situation, en disant.
- Oui, nous faisons une prise de… de lutte… oui de lutte…
Les invitées font le mouvement de pénétrer dans la pièce, pour observer de plus près l’attelage que je forme avec le neveu. Mais la tata intervient précipitamment.
- Laissons les jeunes luttés, et retournons au salon, je pense que j’ai un grand besoin de champagne.
Et elle entraîne ses invitées dans le couloir. Au moment de refermer la porte, elle nous lance :
- Attention de ne pas vous blesser, mes enfants. Le sport, c’est bien mais… ménagez tout de même votre santé. Je compte sur vous, soyez sages.
Dès que les pas décroit dans le couloir, le neveu imprime un mouvement de branle à son bassin, en articulant à tout vitesse.
- J’en peux plus, je vais jouir, tu me remplis bien mon conduit !
Je n’en peux plus non plus. Je le ramone à fond, lui faisant pousser les hauts cris. Son anus est aussi accueillant qu’un cul de femme, ce qui n’est pas peu dire, ça reste tout de même un trou de balle !
Et le neveu émet autant de bruits obscènes qu’une femme. Il est, lui-même, excédé par la situation. Je vais, et je viens en lui à toute allure. Au moment d’éjaculer, alors que le neveu remue frénétiquement son cul d’arrière en avant, de haut en bas, pour s’empaler plus à fond, je m’écris :
- Putain, que c’est bon !
Quelques jours plus tard, alors que je rentre, ma mère me fait savoir qu’on a cherché de me contacter, un certain Emile. C’est le signal. Oui le signal, pour que je me rende chez le jeune homme. M’avisant par cet appel que le champ est libre, et qu’on va pouvoir donner un nouvel épisode de notre relation. Des rencontres devenu familier entre nous, depuis quelques semaines. Je prends le chemin me menant jusqu’à chez lui, avec dans l’idée de lui fourrer une fois encore, ma queue dans son cul. Mais surprise, quand la porte s’ouvre c’est Josette, la tante qui se matérialise devant moi.
-Oh dommage ! Il vient tout juste de sortir. Tu ne la pas croiser dans le quartier ?
-Non Madame ! Ce n’est pas grave, fais-je en faisant demi-tour, vous lui direz que je suis passé…
-Mais… mais, ajoute-t-elle, ne file pas aussi vite. Je viens de faire des crêpes, tu en prendrais bien une. Cela excusera ton déplacement pour rien.
Me sentant pas plus réjouis que ça, de cette invitation, elle insiste :
-Aller, cela me fera plaisir !
Je pense qu’elle veut vraiment que j’entre. Je me demande bien pourquoi ? Alors je me laisse tenter et lâche :
-Eh bien pourquoi pas !
Elle m’invite à pénétrer dans le salon et m’indique le divan. Josette a le cul impeccablement moulée dans sa robe de jean, de mon avis courte pour recevoir un pervers comme moi. Qui découvre ses jolies jambes chaussées de mules à pompon. Elle s’absente quelques instants avant de me revenir les mains charger d’un plateau, contenant deux coupes de champagne une assiette de crêpes et de la confiture. Après l’avoir posé sur la table basse, elle fait le service. Elle n’a aucun mal pour meubler la conversation. Une vraie pipelette. Après m’avoir servi une coupe de champagne avec une crêpe fourré à la confiture de fraise, elle prend place à mon côté, juste avec une coupe de champagne en main. Elle est fière de me dévoiler qu’elle en est, pour sa part, à sa troisième coupe.
Jusqu’alors l’ambiance est détendue, Josette prend ses aises sur le divan et recroqueville son pied gauche sous sa cuisse droite. Cet action, sans penser à mal, ouvre légèrement le compas de ses cuisses et tire un peu sur sa courte robe. Ceci a aussi pour effet immédiat de faire glisser un pan du tissu et de découvrir plus de la moitié de sa cuisse.
J’aperçois quelques petits centimètres de tissu qui masquent le buisson. Visiblement cela ne la dérange pas, plus que ça, puisqu’elle ne cherche même pas de remettre de l’ordre sur elle.
Et là, elle commence à me poser des questions sur ma relation avec son neveu. Je lui fais alors part, que nos rapports sont qu’amicaux. Mais je suis loin d’être convaincant dans cet exercice. Je ne sais pas mentir. Pour couper court à cet interrogatoire, et ainsi ne pas faire d’impair, je décide de prendre congé après avoir fini ma coupe. Que je pose sur la table basse à côté de la petite assiette, vide dans le plateau.
-Dis-moi, c’est le signal qui t’a fait venir ? Laisse-t-elle tomber.
-Oui ! Mais… mais pourquoi ?
-Pour ça !
Et là, la voilà qui soulève délicatement l’ourlet de sa robe et remonte celle-ci au-dessus de son ventre. Son slip apparait, recouvert de petites fleurs, d’étoiles, de paillettes et de dentelles.
-Euh… mais, gloussé-je, interloqué.
- Regarde, jeune homme, j’ai passé ça pour toi. Une belle culotte de poupée. Tu aimes bien joué au papa et maman avec Fabrice ? Hein, je me trompe ? Mais qu’est-ce que je dis là, excuse-moi, je suis saoule ! Pompette, je dirais même !
Et là, la voilà qu’elle se confie à moi. Elle m’apprend qu’elle est une femme frustrée, qui s’alcoolise sans modération, écoute aussi aux portes de son neveu et regarde par le trou de serrure, tout en jouant du doigt dans sa culotte quand ceux qu’elle voit l’excite.
Je me suis bien abstenu de lui demander quoi par exemple. Je pense qu’il était temps pour moi, de savoir pourquoi je suis là. Alors avec autorité, j’ôte le verre de la main de Josette pour le poser sur la table.
-Tu as raison jeune homme, j’ai assez bu.
De l’autre main je caresse sa chevelure teinté en rousse. Josette, alors piteuse, pose ses mains sur ses genoux. Elle se laisse faire en souriant, l’air concentré.
En la tirant doucement par les cheveux, j’attire ses lèvres vers les miennes. Nous échangeons un baiser.
-Non, s’excuse-t-elle, en s’écartant. Je ne peux pas. Il y a… tu comprends, je suis tout de même une femme mariée. Et toi tu es…enfin tu vois !
-Je ne suis rien du tout…j’aime le plaisir où il se trouve, un point c’est tout !
-Mais, alors… ?
-Vous me rassurez, rétorqué-je. J’ai cru un instant que vous n’en aviez pas envie.
Et là je prends l’initiative de l’embrasser. Ma manœuvre a eu pour effet de lui faire perdre légèrement l’équilibre, de l’obliger à écarter les cuisses pour se rétablir. Les mains de Josette semblent légèrement crispées. Elle ferme les yeux et offre sa bouche à la mienne, sans chercher à se dégager mais sans chercher non plus à provoquer quoi que ce soit d’autre. J’écarte délicatement les cheveux pour dégager l’oreille que je mets à lécher goulûment.
Josette la tête en arrière et sa respiration s’accélère. Après quelques secondes, elle tressaille et l’expression de son visage se transforme. Elle me repousse d’un geste doux et rouvre les yeux en riant.
Je la lâche et se met à rire. Ma queue a rarement été aussi volumineuse. Je reste quelques instants à contempler Josette. Cette-dernière détourne le regard, elle caresse machinalement l’ourlet de sa robe. Elle ne se dérobe pas, soumise à mon initiative, elle attend visiblement que je prenne en main la situation. D’un geste doux mais ferme, j’écarte la main qui caresse l’ourlet, la garde un instant dans la sienne puis lentement je lui glisse le bras entre les cuisses sans relever la robe. Ma main s’attarde entre les cuisses, les écartant imperceptiblement, et remonte sans hâte cette voie royale qui la conduit jusqu’à son triangle magique.
Ma main continue à s’affairer sous l’élégant tissu en jean. Josette une fois encore ferme les yeux. Une de ses mains agrippe mollement mon bras, mais ne résiste que pour la forme.
-Tu profites par ce que je suis pompette ?
-Parfaitement Josette, sinon je ne me le permettrai pas, vous êtes mariée Josette. Mal mariée !
Son autre main se crispe nerveusement sur le coussin du divan. Le silence s’installe.
Je continue de travailler Josette très lentement, agilement, palpant la chair moite de l’intérieur des cuisses, de caresser les poils que je devine noir, très dru, en-dessous de sa culotte fantaisiste, déjà bien humecter. Un rictus sur le visage de Josette me fait comprendre que je ne me suis pas trompé. Elle m’a fait venir pour ça ! Alors mes doigts arrivent à bon port, et massent délicatement le clitoris aussi dur que ma queue, tout en commençant à pénétrer doucement la vulve humide.
-Y’a pas à dire tu sais y faire, toi ?
Elle renverse sa tête en arrière, sa jolie bouche entrouverte. Cette masturbation tout habillée est un délicieux hors-d’œuvre. Son visage se crispe soudain et sa bouche grimace, sa tête va et vient de droite à gauche, frénétiquement, comme celle d’une poupée. Mes doigts violent profondément sa chatte enfiévrée. Ses cuisses écartent, bien que vicieusement je n’ais toujours pas relevé l’ourlet de la robe. La tête de Josette se renverse, pendant qu’elle crie, puis elle retombe sur son épaule. Elle a jouit plus vite que je le pensais. Je retire mon bras et reste quelques secondes immobile regardant d’un air satisfait le visage défait de la tata, qui garde les yeux fermés.
-Bon Josette, fais-je, il temps pour moi de me retirer.
-Oui, je crois moi-aussi, Fabrice ne va pas tarder de rentrer avec mon mari.
Mais alors que j’ouvre la porte d’entrée, elle me chuchote:
-Demain je suis seule…
L’invitation est prise.
Bien entendu pour un plan de cul je ne dis jamais non, et je me suis pointé chez Josette. Sitôt passé la porte d’entrée, je me suis permis de la conduire jusqu’à sa chambre.
-Mais…mais c’est la chambre conjugal !
-Et alors, ce sera plus jouissif croyez-moi !
Je me saisis du portrais qui se tenait sur ta table de chevet.
-C’est lui le mari ?
-Oui…
Après avoir posé le cliché, je lui fais prendre la position souhaitée. Couchée sur son lit, les fesses proches du bord, de manière à ce que les jambes soient à l’extérieur.
Josette, les bras repliés derrière la tête, semble dormir, mais son visage est tendu. Avec des gestes doux je dégrafe son peignoir et le fait glisser le long de ses bras, la déshabillant ainsi sans lui retirer ses mules à pompon. Je contemple un instant ses jambes, ses genoux ronds, ses cuisses un peu plus lourdes que la finesse du mollet ne le laisse imaginer. Josette a toujours les yeux clos.
J’écarte les jambes de Josette entre lesquelles je me suis est agenouillé, puis remonte légèrement mon corps sur le rebord du lit, je me mets à lécher le sexe de la tata sans lui ôter sa culotte. Ma langue lape voracement sa motte. Sa tête recommence à dodeliner. Je relève un peu le soutien-gorge. Je m’interrompe un bref instant pour contempler l’effet de ma besogne.
Je me remets à la lécher. Je glisse un doigt sous le slip et soulève légèrement les fesses de Josette pour rendre sa chatte plus accessible au travail de ma bouche.
Pendant deux ou trois minutes, je continus de laper la petite culotte. Les contractions du ventre de Josette indiquent que mon action est efficace. Soudain toute la croupe est prise de soubresauts. La femme agrippe des deux mains le couvre-lit.
Puis elle se retourne comme pour échapper à m’emprise. Je vois parfaitement son beau cul brun moulé par la petite culotte, volumineux à souhait, d’un galbe ravissant. Je me demande si cependant elle ne serait pas experte des enculades ?
Impossible ! Avec un geste autoritaire, je la rétablie vivement dans la position précédente. Saisie d’une inspiration soudaine, j’abaisse la petite culotte et contemple la toison brune et la vulve d’un rose foncé, presque violacé. Tout en maintenant la culotte sur le haut des cuisses, j’hume la chatte de la mature puis me mets à la lécher, cette fois à cru. Les soubresauts de la croupe de Josette recommencent de plus belle. Elle se tord sur le lit, les yeux grands ouverts et elle crie. Au moment où elle jouit sous la caresse précise de ma langue. Je lui renfile sa culotte et lui masse le sexe par-dessus, la pétrissant vigoureusement à travers la soie. Josette replie les jambes en jouissant pour la deuxième fois. Je crois qu’elle va déchirer le couvre-lit.
-Baise-moi…oui baise-moi ! M’ordonne-t-elle, j’en es une énorme envie !
Je me dévêtis, sans réfléchir. Je me retrouve à poil devant Josette. Ma queue est grosse et mon érection fait plaisir à voir.
-Vous voulez me sucer ?
-Je ne sais pas si je vais savoir…
J’enroule mes doigts autour de ma queue et me branle. Je vois son regard sur ma queue. Ses yeux fixent mes mouvements du poigné. Je lâche mon foutre. Une giclée allant même atterrir sur son visage. Elle me sourit :
-C’est merveilleux n’est-ce pas ?
-Oh oui Josette !
Nous nous rhabillons rapidement. La magie est passée. Avant de quitter Josette, cette dernière m’embrasse au coin de la bouche et me dit :
-J’espère te revoir ?
- Vous travaillez, mes petits ?
Ma queue enfoncée a eu un sursaut. Le neveu répond par un sanglot. Je rattrape la situation, en disant.
- Oui, nous faisons une prise de… de lutte… oui de lutte…
Les invitées font le mouvement de pénétrer dans la pièce, pour observer de plus près l’attelage que je forme avec le neveu. Mais la tata intervient précipitamment.
- Laissons les jeunes luttés, et retournons au salon, je pense que j’ai un grand besoin de champagne.
Et elle entraîne ses invitées dans le couloir. Au moment de refermer la porte, elle nous lance :
- Attention de ne pas vous blesser, mes enfants. Le sport, c’est bien mais… ménagez tout de même votre santé. Je compte sur vous, soyez sages.
Dès que les pas décroit dans le couloir, le neveu imprime un mouvement de branle à son bassin, en articulant à tout vitesse.
- J’en peux plus, je vais jouir, tu me remplis bien mon conduit !
Je n’en peux plus non plus. Je le ramone à fond, lui faisant pousser les hauts cris. Son anus est aussi accueillant qu’un cul de femme, ce qui n’est pas peu dire, ça reste tout de même un trou de balle !
Et le neveu émet autant de bruits obscènes qu’une femme. Il est, lui-même, excédé par la situation. Je vais, et je viens en lui à toute allure. Au moment d’éjaculer, alors que le neveu remue frénétiquement son cul d’arrière en avant, de haut en bas, pour s’empaler plus à fond, je m’écris :
- Putain, que c’est bon !
Quelques jours plus tard, alors que je rentre, ma mère me fait savoir qu’on a cherché de me contacter, un certain Emile. C’est le signal. Oui le signal, pour que je me rende chez le jeune homme. M’avisant par cet appel que le champ est libre, et qu’on va pouvoir donner un nouvel épisode de notre relation. Des rencontres devenu familier entre nous, depuis quelques semaines. Je prends le chemin me menant jusqu’à chez lui, avec dans l’idée de lui fourrer une fois encore, ma queue dans son cul. Mais surprise, quand la porte s’ouvre c’est Josette, la tante qui se matérialise devant moi.
-Oh dommage ! Il vient tout juste de sortir. Tu ne la pas croiser dans le quartier ?
-Non Madame ! Ce n’est pas grave, fais-je en faisant demi-tour, vous lui direz que je suis passé…
-Mais… mais, ajoute-t-elle, ne file pas aussi vite. Je viens de faire des crêpes, tu en prendrais bien une. Cela excusera ton déplacement pour rien.
Me sentant pas plus réjouis que ça, de cette invitation, elle insiste :
-Aller, cela me fera plaisir !
Je pense qu’elle veut vraiment que j’entre. Je me demande bien pourquoi ? Alors je me laisse tenter et lâche :
-Eh bien pourquoi pas !
Elle m’invite à pénétrer dans le salon et m’indique le divan. Josette a le cul impeccablement moulée dans sa robe de jean, de mon avis courte pour recevoir un pervers comme moi. Qui découvre ses jolies jambes chaussées de mules à pompon. Elle s’absente quelques instants avant de me revenir les mains charger d’un plateau, contenant deux coupes de champagne une assiette de crêpes et de la confiture. Après l’avoir posé sur la table basse, elle fait le service. Elle n’a aucun mal pour meubler la conversation. Une vraie pipelette. Après m’avoir servi une coupe de champagne avec une crêpe fourré à la confiture de fraise, elle prend place à mon côté, juste avec une coupe de champagne en main. Elle est fière de me dévoiler qu’elle en est, pour sa part, à sa troisième coupe.
Jusqu’alors l’ambiance est détendue, Josette prend ses aises sur le divan et recroqueville son pied gauche sous sa cuisse droite. Cet action, sans penser à mal, ouvre légèrement le compas de ses cuisses et tire un peu sur sa courte robe. Ceci a aussi pour effet immédiat de faire glisser un pan du tissu et de découvrir plus de la moitié de sa cuisse.
J’aperçois quelques petits centimètres de tissu qui masquent le buisson. Visiblement cela ne la dérange pas, plus que ça, puisqu’elle ne cherche même pas de remettre de l’ordre sur elle.
Et là, elle commence à me poser des questions sur ma relation avec son neveu. Je lui fais alors part, que nos rapports sont qu’amicaux. Mais je suis loin d’être convaincant dans cet exercice. Je ne sais pas mentir. Pour couper court à cet interrogatoire, et ainsi ne pas faire d’impair, je décide de prendre congé après avoir fini ma coupe. Que je pose sur la table basse à côté de la petite assiette, vide dans le plateau.
-Dis-moi, c’est le signal qui t’a fait venir ? Laisse-t-elle tomber.
-Oui ! Mais… mais pourquoi ?
-Pour ça !
Et là, la voilà qui soulève délicatement l’ourlet de sa robe et remonte celle-ci au-dessus de son ventre. Son slip apparait, recouvert de petites fleurs, d’étoiles, de paillettes et de dentelles.
-Euh… mais, gloussé-je, interloqué.
- Regarde, jeune homme, j’ai passé ça pour toi. Une belle culotte de poupée. Tu aimes bien joué au papa et maman avec Fabrice ? Hein, je me trompe ? Mais qu’est-ce que je dis là, excuse-moi, je suis saoule ! Pompette, je dirais même !
Et là, la voilà qu’elle se confie à moi. Elle m’apprend qu’elle est une femme frustrée, qui s’alcoolise sans modération, écoute aussi aux portes de son neveu et regarde par le trou de serrure, tout en jouant du doigt dans sa culotte quand ceux qu’elle voit l’excite.
Je me suis bien abstenu de lui demander quoi par exemple. Je pense qu’il était temps pour moi, de savoir pourquoi je suis là. Alors avec autorité, j’ôte le verre de la main de Josette pour le poser sur la table.
-Tu as raison jeune homme, j’ai assez bu.
De l’autre main je caresse sa chevelure teinté en rousse. Josette, alors piteuse, pose ses mains sur ses genoux. Elle se laisse faire en souriant, l’air concentré.
En la tirant doucement par les cheveux, j’attire ses lèvres vers les miennes. Nous échangeons un baiser.
-Non, s’excuse-t-elle, en s’écartant. Je ne peux pas. Il y a… tu comprends, je suis tout de même une femme mariée. Et toi tu es…enfin tu vois !
-Je ne suis rien du tout…j’aime le plaisir où il se trouve, un point c’est tout !
-Mais, alors… ?
-Vous me rassurez, rétorqué-je. J’ai cru un instant que vous n’en aviez pas envie.
Et là je prends l’initiative de l’embrasser. Ma manœuvre a eu pour effet de lui faire perdre légèrement l’équilibre, de l’obliger à écarter les cuisses pour se rétablir. Les mains de Josette semblent légèrement crispées. Elle ferme les yeux et offre sa bouche à la mienne, sans chercher à se dégager mais sans chercher non plus à provoquer quoi que ce soit d’autre. J’écarte délicatement les cheveux pour dégager l’oreille que je mets à lécher goulûment.
Josette la tête en arrière et sa respiration s’accélère. Après quelques secondes, elle tressaille et l’expression de son visage se transforme. Elle me repousse d’un geste doux et rouvre les yeux en riant.
Je la lâche et se met à rire. Ma queue a rarement été aussi volumineuse. Je reste quelques instants à contempler Josette. Cette-dernière détourne le regard, elle caresse machinalement l’ourlet de sa robe. Elle ne se dérobe pas, soumise à mon initiative, elle attend visiblement que je prenne en main la situation. D’un geste doux mais ferme, j’écarte la main qui caresse l’ourlet, la garde un instant dans la sienne puis lentement je lui glisse le bras entre les cuisses sans relever la robe. Ma main s’attarde entre les cuisses, les écartant imperceptiblement, et remonte sans hâte cette voie royale qui la conduit jusqu’à son triangle magique.
Ma main continue à s’affairer sous l’élégant tissu en jean. Josette une fois encore ferme les yeux. Une de ses mains agrippe mollement mon bras, mais ne résiste que pour la forme.
-Tu profites par ce que je suis pompette ?
-Parfaitement Josette, sinon je ne me le permettrai pas, vous êtes mariée Josette. Mal mariée !
Son autre main se crispe nerveusement sur le coussin du divan. Le silence s’installe.
Je continue de travailler Josette très lentement, agilement, palpant la chair moite de l’intérieur des cuisses, de caresser les poils que je devine noir, très dru, en-dessous de sa culotte fantaisiste, déjà bien humecter. Un rictus sur le visage de Josette me fait comprendre que je ne me suis pas trompé. Elle m’a fait venir pour ça ! Alors mes doigts arrivent à bon port, et massent délicatement le clitoris aussi dur que ma queue, tout en commençant à pénétrer doucement la vulve humide.
-Y’a pas à dire tu sais y faire, toi ?
Elle renverse sa tête en arrière, sa jolie bouche entrouverte. Cette masturbation tout habillée est un délicieux hors-d’œuvre. Son visage se crispe soudain et sa bouche grimace, sa tête va et vient de droite à gauche, frénétiquement, comme celle d’une poupée. Mes doigts violent profondément sa chatte enfiévrée. Ses cuisses écartent, bien que vicieusement je n’ais toujours pas relevé l’ourlet de la robe. La tête de Josette se renverse, pendant qu’elle crie, puis elle retombe sur son épaule. Elle a jouit plus vite que je le pensais. Je retire mon bras et reste quelques secondes immobile regardant d’un air satisfait le visage défait de la tata, qui garde les yeux fermés.
-Bon Josette, fais-je, il temps pour moi de me retirer.
-Oui, je crois moi-aussi, Fabrice ne va pas tarder de rentrer avec mon mari.
Mais alors que j’ouvre la porte d’entrée, elle me chuchote:
-Demain je suis seule…
L’invitation est prise.
Bien entendu pour un plan de cul je ne dis jamais non, et je me suis pointé chez Josette. Sitôt passé la porte d’entrée, je me suis permis de la conduire jusqu’à sa chambre.
-Mais…mais c’est la chambre conjugal !
-Et alors, ce sera plus jouissif croyez-moi !
Je me saisis du portrais qui se tenait sur ta table de chevet.
-C’est lui le mari ?
-Oui…
Après avoir posé le cliché, je lui fais prendre la position souhaitée. Couchée sur son lit, les fesses proches du bord, de manière à ce que les jambes soient à l’extérieur.
Josette, les bras repliés derrière la tête, semble dormir, mais son visage est tendu. Avec des gestes doux je dégrafe son peignoir et le fait glisser le long de ses bras, la déshabillant ainsi sans lui retirer ses mules à pompon. Je contemple un instant ses jambes, ses genoux ronds, ses cuisses un peu plus lourdes que la finesse du mollet ne le laisse imaginer. Josette a toujours les yeux clos.
J’écarte les jambes de Josette entre lesquelles je me suis est agenouillé, puis remonte légèrement mon corps sur le rebord du lit, je me mets à lécher le sexe de la tata sans lui ôter sa culotte. Ma langue lape voracement sa motte. Sa tête recommence à dodeliner. Je relève un peu le soutien-gorge. Je m’interrompe un bref instant pour contempler l’effet de ma besogne.
Je me remets à la lécher. Je glisse un doigt sous le slip et soulève légèrement les fesses de Josette pour rendre sa chatte plus accessible au travail de ma bouche.
Pendant deux ou trois minutes, je continus de laper la petite culotte. Les contractions du ventre de Josette indiquent que mon action est efficace. Soudain toute la croupe est prise de soubresauts. La femme agrippe des deux mains le couvre-lit.
Puis elle se retourne comme pour échapper à m’emprise. Je vois parfaitement son beau cul brun moulé par la petite culotte, volumineux à souhait, d’un galbe ravissant. Je me demande si cependant elle ne serait pas experte des enculades ?
Impossible ! Avec un geste autoritaire, je la rétablie vivement dans la position précédente. Saisie d’une inspiration soudaine, j’abaisse la petite culotte et contemple la toison brune et la vulve d’un rose foncé, presque violacé. Tout en maintenant la culotte sur le haut des cuisses, j’hume la chatte de la mature puis me mets à la lécher, cette fois à cru. Les soubresauts de la croupe de Josette recommencent de plus belle. Elle se tord sur le lit, les yeux grands ouverts et elle crie. Au moment où elle jouit sous la caresse précise de ma langue. Je lui renfile sa culotte et lui masse le sexe par-dessus, la pétrissant vigoureusement à travers la soie. Josette replie les jambes en jouissant pour la deuxième fois. Je crois qu’elle va déchirer le couvre-lit.
-Baise-moi…oui baise-moi ! M’ordonne-t-elle, j’en es une énorme envie !
Je me dévêtis, sans réfléchir. Je me retrouve à poil devant Josette. Ma queue est grosse et mon érection fait plaisir à voir.
-Vous voulez me sucer ?
-Je ne sais pas si je vais savoir…
J’enroule mes doigts autour de ma queue et me branle. Je vois son regard sur ma queue. Ses yeux fixent mes mouvements du poigné. Je lâche mon foutre. Une giclée allant même atterrir sur son visage. Elle me sourit :
-C’est merveilleux n’est-ce pas ?
-Oh oui Josette !
Nous nous rhabillons rapidement. La magie est passée. Avant de quitter Josette, cette dernière m’embrasse au coin de la bouche et me dit :
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