Le calendrier des pompiers (3)

- Par l'auteur HDS Tounet39270 -
Auteur .
  • • 57 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Tounet39270 ont reçu un total de 191 214 visites.
Récit libertin : Le calendrier des pompiers (3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 351 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Le calendrier des pompiers (3)
Chapitre 3

Vers 2h du matin, je suis réveillé par une porte qui claque. Je me lève en boxer et vais dans le couloir voir ce qui se passe. Je ne vois rien et n’entends rien. Je vais voir vers les douches, et là, j’entends du bruit. Un bruit que je connais bien. Un bruit que je ne peux pas faire semblant d’ignorer. C’est un bruit de succion. Il y a un des terminales qui est en train de se faire sucer par un autre. Mais lequel ? Je m’approche discrètement et là, je suis sous le choc. C’est le beau gosse de service. Le mec que toutes les filles du bahut veulent. Il est debout avec une gaule d’enfer. Il est en train de se faire pomper par un interne plutôt réservé. Je n’en reviens toujours pas. Il ne met pas longtemps à éjaculer sur le visage du deuxième. Il en a partout et se relève puis s’essuie le visage. Il repart en courant et je me cache dans la cabine des toilettes à côté de moi. Le beau gosse repart lui aussi avec le sourire aux lèvres et toujours en érection.
Je sors ma queue et me branle au-dessus des toilettes et jute une grosse quantité de jus dans la cuvette puis tire la chasse d’eau. Je ressors tranquillement et tombe nez à nez avec le beau gosse.
-Alors, on aime bien mater ?
-Putain Pierre, tu m’as fait peur. Qu’est-ce que tu fais ici ? Tu devrais être dans ta chambre à cette heure-ci ?
-Lol, tu t’es quand même bien rincé l’œil Maël.
-Euh, tu parles de quoi là ?
-Je t’ai aperçu nous mater tout à l’heure. Ça t’as plus ? Tu veux y goûter ?

Il me dit ça en sortant sa queue de son short et en la tapant dans sa main. J’ai la bouche qui s’entrouvre et je ne sais pas quoi répondre. Il range sa queue et passe devant moi en me faisant un geste du doigt me disant de le suivre. Il passe devant moi en me regardant. Je le suis du regard et le suis sans savoir pourquoi. Il rentre dans ma chambre et je rentre à mon tour et il referme la porte derrière moi.

-Je ne peux pas faire ça Pierre. T’es un élève.
-Oh c’est bon. J’ai bientôt 20 ans. Et depuis ma seconde, je sais que tu es gay.
-Ce n’est pas le problème.

Il me sourit et baisse son short. Il se retrouve donc nu devant moi et s’allonge sur mon petit lit. Il me regarde et me fait comprendre avec son regard de venir le sucer. Je me suis rapproché avec la boule au ventre et je me penche vers sa queue tout en le regardant me sourire de plus en plus puis je me stoppe devant sa queue et lui dit :
-Non, mais c’est une blague ?
-Profites de ma bite Maël, t’en meurs d’envie.

Je le regarde encore avec de la méfiance et me repenche au-dessus de sa queue qui commence à gonfler tour doucement. Je la prends avec ma main et elle est toute chaude. J’approche mes lèvres de ce gland qui perle encore un peu de son sperme et je prends sa queue toute entière en bouche. Son sperme à bon goût je dois dire et là, je ne pense plus à rien. Je ne pense plus à l’élève mais je pense à cette belle queue qui ne demande qu’à gicler. Je le suce doucement en le regardant droit dans les yeux et lui me regarde avec un immense sourire. Il me caresse les cheveux en me disant que ça faisait un bout de temps qu’il en avait envie. Il prend sa queue en main et je tire la langue. Il me met des coups de bite sur la langue et la replace sa bite sur ma langue et je suce à nouveau avec vigueur. Il attrape ma tête et met quelques à-coups puis il la maintient pour que je prenne sa queue en gorge profonde ce que j’arrive à faire avec un peu de mal mais j’y arrive. J’en salive mais je reprends ma pipe quand il retire sa queue pour me dire :
-Tu ne veux pas que je te baise aussi ?

Je ne réponds pas et il se relève du lit et s’approche de moi. Il me retire mon T-shirt et commence à baisser mon boxer. Je le regarde et il se rapproche de moi.
-Vas-y, t’en meurs d’envie une fois de plus. Embrasse-moi, ça ne me dérange pas. Tant que je peux te fourrer, je m’en fiche un peu.

Je l’embrasse et il fait tomber mon boxer. On se regarde et il me fait grimper sur le lit en me faisant cambrer un max mon cul. Il s’approche et commence à me le bouffer ce qui me fait gémir mais je ne dois pas faire de bruit. Je saisi mon oreiller et le mets devant ma bouche. Il me bouffe le cul pendant plus de cinq minutes et oh mon Dieu que c’est bon. Il se redresse et vient présenter sa queue contre mon cul. Il insère tout doucement son gland et le fait rentrer en poussant un peu plus fort mais en poussant il fait rentrer la moitié de sa queue. Je hurle dans mon oreiller car sur le coup ça fait un mal de chien. Il se marre et me dit juste « Oups, désolé » mais il attend quelques secondes avant de continuer sa progression. Je souffle un grand coup lorsque sa queue est bien à fond et je redresse un peu mon cul pour lui faire comprendre qu’il peut enfin y aller. Il commence ses vas et viens en me disant que maintenant il avait deux vides couilles à l’internat mais que j’allais être son favori voire son régulier. Je n’en fais pas cas et je profite du fait de me faire baiser par une bonne grosse bite. Et croyez-moi, il sait très bien s’en servir. Ses coups de reins deviennent de plus en plus violents et beaucoup plus rapides. Je replonge la tête dans mon oreiller pour pouvoir crier de plaisir. Il ne s’arrête plus de me bourriner. J’ai mon cul qui chauffe mais c’est tellement bon. Je n’en ai plus de souffle tellement j’ai envie de crier fort. Il se retire d’un coup puis replante sa queue d’un coup violent puis se retire et me retourne sur le dos. Le lit est collé au mur du coup je suis au bord du lit et le haut du dos contre le mur. Il se penche un peu pour me replanter sa queue d’un coup sec. J’attrape l’oreiller que je mors bien fort. Je sens ses couilles taper le haut de mon cul. Il attrape mes cuisses et les lèves et continuer ses coups de bites. Il plante son regard dans le mien et me fait un sourire carnassier comme si j’étais sa proie qu’il avait capturée. Je ne sais pas depuis combien de temps il me baise mais putain qu’est-ce qu’il est endurant. Je le regarde et il n’a pas une goutte de sueur. Il voit que je commence à fatiguer dans cette position alors il se redresse et me fait comprendre de venir le sucer. Je me mets à genoux il me plante sa queue en fond de gorge sans que je ne m’y attende. Mes yeux s’ouvrent en grand tellement je suis surpris. Il me pilonne la bouche comme un dingue et on entend les « blop blop blop » de sussions. Il m’inflige ce traitement pendant plus de cinq minutes. Je caresse ses couilles en même temps et je sens qu’il est sur le point d’éjaculer. Il retire sa bite de ma bouche et il m’attrape par la gorge et me plaque ventre au mur. Putain, il est quand même plus fort que moi et je me laisse faire. Je cambre le cul et il m’encule à nouveau violemment. J’essaie encore une fois de ne pas crier mon plaisir. Il fait encore plusieurs allers retours violemment dans mon cul et le dernier coup de rein a été plus fort que les autres. C’est à ce moment qu’il éjacule une bonne dizaine de jets de foutre chaud et bien épais au fond de mon cul. Il y reste quelques instants puis ressort sa queue. J’ai cru que c’était fini mais il me replante sa queue bien fort et continue de m’enculer pour bien tasser son jus. Mais putain, il bande toujours ce petit con. Il s’approche de mon oreille et me sort :
-Putain, ton cul est vraiment bon. Je t’ai bien rempli. La prochaine fois, je remplis ta bouche.
-Mmmmm, cool. Par contre, pas un mot autour de toi ok, je n’ai pas envie de perdre mon job parce que j’ai baisé avec toi ok ?
-T’inquiètes pas pour ça. J’ai une meuf au bahut.
-Oui je sais. Elle ne te suffit pas ?
-Elle ne veut pas que l’on couche ensemble pour le moment.

Il retire enfin sa queue et me claque le cul avec. Je m’agenouille et la prend en bouche pour la nettoyer et goûter quand même à son jus. Il me met un doigt et me dit qu’il m’a bien ouvert et se met à sourire. Il se rhabille et sort de ma chambre en silence. Je passe rapidement aux toilettes puis repars me coucher. Il ne me reste pas beaucoup à dormir mais bon, ça en valait le coup.
Le matin à mon réveil, je passe dans toutes les chambres pour voir si les internes sont réveillés eux aussi et quand j’arrive dans la chambre de Pierre qui se prélasse encore dans le lit. Il est seul et il me dit que les autres sont déjà descendu prendre leur petit déjeuner. Il soulève sa couverture et je vois qu’il bande (ah les joies de l’érection du matin) et il me dit :
-Tu ne veux pas t’en occuper vite fait s’il te plaît ?
-T’es malade et si quelqu’un rentre dans ta chambre ?
-Eh bien magnes ton cul alors. Plus vite tu me suces, plus vite tu auras fini. En plus j’ai déjà commencé de me branler donc y’en a pas pour bien longtemps. Fermes cette porte et viens me pomper tout de suite. Et ce n’est pas une demande. Magnes ton cul.

Je le regarde tout excité par son autorité et je ferme la porte. Je m’approche de lui et il baisse son caleçon. Je prends sa bite en main et la prend en bouche. Je bande moi aussi mais je m’applique sur la pipe que je suis en train de lui faire.
-Putain, ta bouche est aussi bonne que ton cul.

Ça m’excite tellement que je le pompe encore plus vite et au bout de cinq minutes, il attrape ma tête et appuie dessus pour m’éjaculer tout son foutre en fond de gorge. Son jus est vraiment bon. Epais et légèrement salé. J’avale le tout et le suce encore un peu pour tout avaler.
-Maintenant, tu peux te casser. Je vais me lever.

Je suis surpris et ne dis rien puis sors de sa chambre. Je travaille encore toute la journée sans le croiser. Je termine à 18h et rentre à la maison. En arrivant, je vois Arthur qui se prépare. Je vais l’embrasser et je lui dis :
-Tu fais quoi, je croyais que tu ne rebossais pas avant jeudi.
-Oui, c’est vrai mais manque de personnel donc pas le choix.
-Ok, c’est chiant quand même. On n’est jamais ensemble.
-Je sais mais c’est la dernière année.
-Oui, mais bon. Tu me manques quand même.

Il s’approche de moi, me prend dans ses bras et me roule une grosse pelle. J’aime ce mec malgré le fait qu’on ne fait pas l’amour assez souvent à mon goût. Il termine de préparer ses affaires et s’en va. Je vais prendre ma douche et je me pose avec un petit plateau télé sur mon canapé. Arthur m’envoie un petit message d’excuse et aussi me dire qu’il est bien arrivé. Je mange et m’allonge sur le canapé. Vers 22h, je reçois un message d’Hugo pour me demander comment je vais. On s’écrit quelques banalités puis je reçois une photo de sa bite en érection. Je réponds par une photo de mon cul bien ouvert et sa réponse a été très rapide. « T’es seul ? ». Je lui dis que oui et lui demande ce qu’il veut mais plus de réponse. Je renvoie plusieurs messages mais toujours aucune réponse. Je tombe de sommeil et je pars me coucher.
Je suis réveillé en sursaut par des coups que l’on donne à la porte d’entrée. Je regarde mon téléphone et il est 3h du matin. Putain, c’est quoi ce bordel. Je me lève et je regarde par le judas et je vois Hugo en tenue civile. J’ouvre la porte et luis dis :
-Tu fais quoi bordel ?

Il me sourit, rentre à l’intérieur et lorsque j’allais fermer la porte, celle-ci est bloquée par un pied. Je me retourne et vois son collègue qui m’avais baisé avec lui et un autre mec que je n’avais encore jamais vu.
-C’est quoi ce bordel ?
-J’ai envie de ton cul et mes collègues : Mathias (le collègue qui m’a déjà baisé) et Lucas, ont eux aussi envie de se vider les couilles, me dit Hugo.
-Tu ne peux pas venir comme ça avec d’autres mecs sans m’en parler avant ?
-Arrêtes de faire celui qui est choqué. Les mecs sortez vos matos, vous allez voir comme il va changer d’avis.

Je suis sur le cul et je les regarde tous les trois se foutre à poil devant moi. Mais comment refuser de baiser avec trois superbes pompiers bien gaulés et superbement bien montés ? Hugo s’approche de moi, me retire mes quelques vêtements et me fait me mettre à genoux au milieu d’eux. J’ai trois bites sous mes yeux et je commence par celle d’Hugo. Je prends les deux autres dans mes mains que je branle en même temps et j’alterne entre chaque. Je me croirais dans un film de cul. Je suis tout excité par cette idée. Je les suce donc à tour de rôle puis Hugo passe derrière moi en me faisant mettre à quatre pattes. Il écarte mes fesses et commence à me bouffer le cul en plantant sa langue dans mon petit trou déjà bien ouvert et en le pénétrant par à-coups rapides. Pendant ce temps-là, Mathias commence à me pilonner la bouche à grands coups de reins en plongeant sa queue bien au fond de ma gorge et Lucas lui me biffle la figure et recouvre mon visage de son pré-sperme abondant. Il change ensuite de place avec Mathias qui va écarter mon cul pour qu’Hugo est un bon accès à mon trou. Lucas enfonce sa queue dans ma bouche que je prends en main pour le branler sur ma langue que je tire bien tout en le regardant dans les yeux. Pendant ce temps, Hugo se redresse et laisse Mathias me bouffer le cul à son tour. Il vient présenter sa queue devant ma bouche que je suce très vite comme si j’étais affamé. Je couine de bonheur devant ces trois mâles en rut qui se tapent dans la main avec de grands sourires. Hugo se relève et pousse un peu Mathias et m’encule directement et sans ménagement. Mes cris sont étouffés par la bite de Lucas qui me pilonne la bouche. Mathias rejoint son pote Lucas, lui attrape sa queue en tenant la sienne contre la sienne et me les présente devant ma bouche. J’essaie de les sucer les deux en même temps. C’est la première fois que je fais ça mais je n’arrive qu’à rentrer les deux glands que je suce, lèche et titille. Ils retirent leurs bites de ma bouche et Mathias va rejoindre Hugo qui lui laisse sa place. Il rentre sa queue d’un coup et me défonce comme jamais. Je suis secoué dans tous les sens tellement c’est brutal. Il me baise cinq minutes et c’est au tour de Lucas de m’enculer. Sa bite fait 19x5 et il la rentre sans difficulté et se met à me déglinguer. Hugo vient se faire pomper ou je devrais dire enculer ma bouche. Il s’allonge ensuite sur le dos pendant que je le suce et me dit de venir s’asseoir sur lui. Je retire la queue de Lucas puis viens m’asseoir sur mon bel apollon. Il attrape ma tête et commence à me rouler une pelle pendant qu’il se démène dans mon cul. C’est à ce moment que décide Mathias de rejoindre Hugo dans mon cul. Sa queue rentre elle aussi facilement en double pénétration ce qui me fait gémir encore plus fort. Tous les deux se mettent à faire des allers retours et Lucas se branle devant mon visage en me faisant gober ses couilles. Il regarde ensuite Hugo qui lui fait un oui de la tête. Je ne comprends pas ce qui se passe mais je vois Hugo passer derrière moi et présenter sa queue contre celle des deux autres. C’est là que je prends la parole :
-T’es dingue, tu vas me détruire le cul. Non, ne fais pas ça.

Il me regarde et me sourit. Il pose son gland entre les deux autres qui stoppent leurs enculades. Il pousse un peu, je gémis un peu de douleur mais son gland arrive à se tracer un chemin. Il s’arrête le temps que je m’habitue puis reprend son ascension tout doucement. Il met plus de cinq minutes à rentrer sa queue et commence tout doucement à faire des vas et viens. Je hurle de plaisir car je ne me serai jamais senti capable de recevoir trois bites de bonnes tailles en moi. Les autres font de petits allers retours en moi. Au bout de deux minutes, Mathias se relève et vient se branler sur mon visage et gicle une quantité monstrueuse de foutre. J’en ai partout : dans les cheveux, dans les yeux, sur et dans la bouche. Les deux autres continuent de m’enculer et j’entends ensuite Lucas hurler de grogner comme un malade et gicler en moi pendant que Hugo continue de me baiser. Il se retire ensuite et avec Mathias, ils me font les sucer. Hugo continue de me défoncer et je vois les deux autres se rhabiller puis repartir. Hugo se retire, me retourne sur le ventre et vient me replanter sa queue dans un coup de rein très brusque. Il se met à son tour à hurler de plaisir et me remplit le cul avec tout son jus. Il continue de me baiser encore quelques instants et s’écroule sur moi. Il reste en moi deux minutes et vient me mettre sa queue en bouche. Je le suce puis m’affale sur le sol. Il me regarde et me demande où est la chambre ? Je lui montre du doigt. Il s’approche de moi, m’aide à me relever et me porte jusque dans mon lit. Il fait le tour du lit et vient s’installer dedans. Il me prend dans ses bras, se rapproche de mon oreille et me dit doucement :
-Je dors avec toi cette nuit mon beau.

Je suis tellement crevé que je ne dis rien et m’endors directement.

Fin du chapitre 3.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Le calendrier des pompiers (3)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Tounet39270

Le calendrier des pompiers (3) - Récit érotique publié le 25-11-2025
OnlyFan Academy : l'école des passifs - Récit érotique publié le 24-11-2025
Le calendrier des pompiers - Récit érotique publié le 22-11-2025
Le calendrier des pompiers - Récit érotique publié le 20-11-2025
Au nom du Père, ... (4) - Récit érotique publié le 18-11-2025
Au nom du Père, ... (3) - Récit érotique publié le 16-11-2025
Au nom du Père, ... (2) - Récit érotique publié le 14-11-2025
Au nom du Père, ... - Récit érotique publié le 12-11-2025
Sacha, le pote de mon frère (4) - Récit érotique publié le 10-11-2025
Sacha, le pote de mon frère (3) - Récit érotique publié le 09-11-2025