Le calendrier des pompiers (4) - histoire érotique

Chapitre 4

Il me regarde et me sourit. Il pose son gland entre les deux autres qui stoppent leurs enculades. Il pousse un peu, je gémis un peu de douleur mais son gland arrive à se tracer un chemin. Il s’arrête le temps que je m’habitue puis reprend son ascension tout doucement. Il met plus de cinq minutes à rentrer sa queue et commence tout doucement à faire des vas et viens. Je hurle de plaisir car je ne me serai jamais senti capable de recevoir trois bites de bonnes tailles en moi. Les autres font de petits allers retours en moi. Au bout de deux minutes, Mathias se relève et vient se branler sur mon visage et gicle une quantité monstrueuse de foutre. J’en ai partout : dans les cheveux, dans les yeux, sur et dans la bouche. Les deux autres continuent de m’enculer et j’entends ensuite Lucas hurler de grogner comme un malade et gicler en moi pendant que Hugo continue de me baiser. Il se retire ensuite et avec Mathias, ils me font les sucer. Hugo continue de me défoncer et je vois les deux autres se rhabiller puis repartir. Hugo se retire, me retourne sur le ventre et vient me replanter sa queue dans un coup de rein très brusque. Il se met à son tour à hurler de plaisir et me remplit le cul avec tout son jus. Il continue de me baiser encore quelques instants et s’écroule sur moi. Il reste en moi deux minutes et vient me mettre sa queue en bouche. Je le suce puis m’affale sur le sol. Il me regarde et me demande où est la chambre ? Je lui montre du doigt. Il s’approche de moi, m’aide à me relever et me porte jusque dans mon lit. Il fait le tour du lit et vient s’installer dedans. Il me prend dans ses bras, se rapproche de mon oreille et me dit doucement :
-Je dors avec toi cette nuit mon beau.

Je suis tellement crevé que je ne dis rien et m’endors directement.
Mon réveil sonne à 8h, je me réveil doucement et j’ai mal au cul. Hugo se réveil lui aussi et me caresse les fesses tendrement puis me dit :
-Ça va ? Tu as bien dormi ?
-Pas assez et en plus j’ai mal au cul.
-Ah ah, donc pas un petit coup pour la route alors ?
-Tu ne t’arrêtes jamais ?
-Toi non plus car hier, tu étais bien ouvert quand on t’a baisé ?

Tout en me disant ça, il se colle à moi pour m’embrasser et je sens sa queue durcir à mon contact.
-Tu bosses à quelle heure ?
-Je ne commence qu’à 17h car je bosse dans un lycée et je fais la nuit à l’internat. Et toi, tu commences à quelle heure.
-Je suis en repos aujourd’hui.

Il se colle à moi et me retourne pour que je sois dos à lui. Il pose sa queue le long de ma raie et commence à faire de petits glissements avec. Le sentir bien dur et qu’il m’embrasse dans le cou m’électrise et je bande aussitôt. Il continue de se lover contre moi et je crois que je vais encore succomber à son envie. Il continue ses baisers dans mon cou, il me caresse le dos, les fesses, le torse. Je tourne la tête pour le regarder et il pose ses lèvres sur les miennes et sa langue vient s’insérer dans ma bouche et nous nous embrassons. Avec sa main, il prend sa queue et la présente sur mon petit trou. Il va doucement pour ne pas me faire mal et rentre sa queue assez facilement. Pendant qu’il me roule une pelle et que sa queue me pénètre, j’ouvre la bouche car mon cul est très sensible ce matin. Il s’enfonce en moi très lentement et je gémis car même si je suis sensible, sa queue me rend dingue et il sait comment s’en servir. Une fois bien au fond, je sens ses couilles bien épaisses contre mon cul et il ne bouge plus pendant quelques secondes. Puis, il fait de tous petits à-coups qui me font couiner de plaisir. Je tourne à nouveau la tête vers lui et il sourit en me voyant faire. Il a une main sur ma hanche et avec son autre main, il me titille les tétons. Il commence à faire des allers retours en moi avec douceur cette fois-ci. Il relève légèrement sa jambe pour qu’il puisse aller bien à fond mais toujours avec douceur. Après dix minutes environs dans cette position, il me met sur le dos et vient se placer entre mes cuisses qu’il relève et dépose sur ses épaules. Il appuie un peu sur mon cul et sa queue retourne là où elle se trouvait quelques instants plus tôt. Lorsqu’il me la met, je gémis en basculant ma tête en arrière tellement il me fait du bien. Il continue ses vas et viens et s’allonge sur moi pour m’embrasser. Ce baiser est un baiser tendre, langoureux, passionné. Je m’agrippe à ses fesses bien fermes. Je me rends bien compte que ce n’est pas de la baise mais qu’il me fait l’amour. Je trouve ça mignon de sa part de ne pas vouloir me faire mal. Il reste dans cette position et quinze minutes plus tard, je le sens se crisper et grogner tout en éjaculant en moi. Il s’écroule sur moi, relève la tête, me regarde avec un regard doux, me sourit puis m’embrasse. Il se retire lentement et s’allonge à côté de moi en me caressant le torse puis le visage. Il me regarde et me demande :
-Tu veux aller prendre une douche avant que l’on se prenne un petit café ?
-Oh oui, je crois que j’en ai bien besoin.

Il se lève du lit et je le suis. J’ai du mal à me relever et il vient m’aider. Je lui indique où se trouve la salle d’eau et il rentre avec moi dans la douche. Il m’aide à me savonner et ensuite à m’essuyer. Nous partons nous habiller un peu et allons nous poser à la cuisine pour prendre notre café. Je lui propose de rester avec moi aujourd’hui avant que je ne parte ce soir au travail et il accepte. Nous passons la matinée à discuter et j’en apprends un peu plus sur lui. Il est célibataire depuis un peu plus d’un an car son dernier copain ne voulait pas s’engager avec lui et le trouvait trop porter sur le sexe. En fait, je trouve ce mec trop craquant, plutôt sensible quand on en sait un peu plus sur lui. Le midi, nous mangeons ensemble et l’après-midi passe très vite. Vers 16h, je prépare mes affaires pour partir ce soir et il décide de partir. Avant de partir, il s’approche de moi, m’enlace et m’embrasse tendrement. Puis il me dit :
-Ton copain a vraiment de la chance d’être avec toi. Tu es quelqu’un de bien. Dommage pour moi car tu me plais beaucoup. Et le petit plus, c’est que tu es comme moi. Tu adores le sexe et ça, ça me plait énormément.
-Je ne sais pas quoi te répondre. Tu me plais aussi je dois dire.
-Tu as envie que l’on se revoie ?
-Je pense que oui.
-Tu penses ou tu en es sûr ?
-J’en suis sûr.

Il m’embrasse à nouveau et part en me laissant dans mes pensées. J’aime Arthur mais là, je suis un peu sous le contre choc de ses révélations et sur ce que je ressens. Je pars ensuite au travail et retrouve mes collègues. Je suis le seul mec de m’équipe et je trouve ça cool je dois dire. Le soir arrivé, je monte à l’internat faire l’appel dans les chambres et arrivé dans celle de Pierre et ses deux amis, il me regarde et me fait son sourire ravageur. Je ne réponds pas à son sourire et je continue. Ce soir, les internes sont plutôt calmes dans l’ensemble ce qui me permet de me poser tranquillement dans ma chambre avec un livre. Vers minuit, j’éteins la lumière de ma chambre et discute un peu avec Arthur pour savoir comment il va ? On discute une bonne demi-heure quand la porte de ma chambre s’ouvre.
-Bordel, c’est quoi ce bordel, dis-je avant de voir qui avait fait ça.

Au même moment, j’entends la porte se refermer et la lumière s’allumer. C’est Pierre qui se pointe devant mon lit en baissant son caleçon. Il se retrouve à poil devant moi en jouant avec sa queue. Il me regarde droit dans les yeux et me sort de but en blanc :
-C’est l’heure de me vider les couilles.
-Non pas ce soir et on devrait arrêter ça.
-Tu charries, j’espère ?
-Pas du tout, c’est trop dangereux.
-Rien à foutre. Tu préfères que j’aille voir le proviseur pour dire ce que tu m’as fait subir ?
-De quoi tu parles ? Ok j’ai été d’accord pour qu’on baise ensemble mais de là à me faire du chantage, c’est dégueulasse.
-Ok, tu as raison là-dessus.
-Bon, tu m’as fait peur.
-Par contre, tu veux bien au moins me pomper ? J’ai grave envie.
-Non, pas ce soir.
-S’il te plaît. Tu pompes trop bien en plus. Regarde ma queue comme elle est dure.

Je regarde sa bite et c’est vrai qu’elle a l’air d’être dure. Je lui fais ok de la tête et tel un gosse, il s’approche rapidement de moi et me posant sa queue sur les lèvres. J’ouvre la bouche et il me la rentre directement et sans ménagement. Il commence à me baiser la bouche en maintenant ma tête. Il y va un peu trop fort et j’en ai mal à la gorge mais ne dis rien en pensant qu’il va vite éjaculer dans ma bouche. Il me traite de cette façon pendant 5 minutes quand quelqu’un frappe à la porte. Je retire la queue de Pierre et lui dit de se cacher dans ma douche perso. Je vais voir qui frappe et je vois un pote de chambre de Pierre. Il me demande s’il a vu mon pote car cela fait 15 minutes qu’il est parti de la chambre mais il ne le trouve nulle part. Je réfléchi un instant et lui explique qu’il ne se sentait pas bien et que j’avais appelé l’infirmière d’astreinte et l’avais envoyé la voir. Il est surpris mais ne dit rien. Je lui dis de retourner se coucher et que Pierre serait bientôt de retour. Je referme la porte et Pierre sort de sa cachette. Je lui dis de retourner dans sa chambre. Il me regarde et me dit ben non car il est sensé se trouver à l’infirmerie alors il m’explique que j’ai le temps de le finir avec ma bouche. Il exagère mais je me mets à genoux et reprends sa queue en bouche. Il se déchaîne comme un fou et en moins de cinq minutes, il éjacule mais cette fois-ci, il se retire juste avant et me fait une faciale. J’en ai partout. Et ça dégouline vraiment de partout. Il se marre, me remet sa queue en bouche puis enfile son caleçon avant de repartir dans sa chambre. Je vais me débarbouiller et je me couche et m’endors directement.
Le lendemain, rien de particulier même quand je vais voir si tout le monde est réveillé. Pierre est déjà parti donc je suis tranquille. Durant la journée je reçois des messages d’Arthur qui me dit qu’il sera de retour à l’appart demain en début d’après-midi. Puis cette fois-ci, c’est Hugo qui m’envoie un message pour savoir comment je vais et si je bossais cette nuit ? Je lui dis que non, que je termine à 18h et il me propose de sortir un coup ce soir boire un verre en ville. Je lui explique que je ne sais pas encore mais il me dit on verra alors mais qu’il serait chez moi vers 19h. Je ne sais pas quoi répondre alors je ne réponds rien. La journée passe assez vite et je rentre chez moi vers 18h45. J’envoie un message à Hugo pour lui dire que s’il arrive, qu’il rentre car j’ai laissé la porte d’entrée ouverte car je suis parti me doucher.
Je prépare mes affaires et part sous la douche et prends mon temps sous l’eau chaude. Je rêvasse un peu en ne pensant à rien et je ne vois pas le temps passer. Je ne vois pas le temps passer et surtout je n’entends rien car j’ai mis de la musique. J’ai les yeux fermés en levant la tête sous le jet d’eau et je sens deux mains me prendre par la taille. Je sursaute comme un dingue et ouvre les yeux en me retournant. Hugo m’a rejoint sous la douche, déjà nu tout en me souriant.
-Bonjour toi, me dit-il ?
-Salut. Tu fais quoi ?
-J’ai cru que ton message était une invitation à te rejoindre sous la douche ?
-Non mais maintenant que tu es là, je ne vais pas te virer.
-J’espère bien.

Il m’attrape par la taille et me colle à lui pour m’embrasser. Ses mains commencent à me caresser dans le dos, sur le torse, contre mes joues, puis repartent dans mon dos pour terminer sur mes fesses qu’il attrape en me les malaxant. Nous nous embrassons comme des malades puis il ressort de la douche en attrapant une serviette pour se sécher et me la donne ensuite. Je le regarde surpris qu’il ne fasse rien d’autre et il remarque ma stupéfaction.
-T’inquiètes pas, j’ai envie de toi mais on va attendre encore un peu. Habille-toi mais ne mets aucun sous-vêtement.

Encore surpris de sa demande, je fais ce qu’il me demande avec un peu d’excitation. Une fois habillé, je le rejoins dans le salon, il m’attrape à nouveau par la taille et me roule encore une pelle. Il attrape ma main et me dit de le suivre maintenant. Nous roulons en directions de la ville voisine et rentrons dans un bar qui se trouve en sous-sol d’un bâtiment. Il y a du monde. Tellement de monde que nous avons du mal à avancer vers le bar pour commander deux bières. Nous y arrivons enfin et le serveur s’approche de nous. Il regarde Hugo et lui fait la bise. Ils discutent un instant ensemble et rigolent puis Hugo prend nos bières et me dit de le suivre. Nous nous installons près d’un mange debout et buvons notre bière tranquillement dans le fond du bar qui est mal éclairé. Enfin, quand je dis tranquillement, c’est un grand mot. Nous avons chacun notre bière dans la main et de son autre main, il me fait me rapprocher de lui. Nous sommes collés l’un à l’autre. Sa main libre m’attrape par la taille et je me retrouve collé à lui. Nous nous toisons du regard et je ne sais pas pourquoi mais je me sens bien auprès de lui. Cette fois-ci, il me colle contre le mur du bar, prend la bière qui se trouve dans ma main pour la poser sur le mange-debout. Il plonge son regard dans le mien et rapproche ses lèvres de mon coup. J’ai envie de le repousser car il y a trop de monde mais je suis sous son emprise. Son odeur me rend dingue. Sa peau est très douce et je sens ma queue commencer à se redresser sous mon pantalon. Ses mains commencent à me caresser dans le dos puis passent dans mon pantalon pour caresser mon cul puis avec son doigt, il passe sur ma raie ce qui me fait sursauter et sortir de ma rêverie. J’essaie de le repousser mais il me retient avec ses bras. Je vais pour lui parler mais il prend la parole avant moi :
-Tu n’as pas à avoir peur. Regarde autour de toi. Laisse-toi aller.

Je ne comprends pas de quoi il me parle mais au moment où je tourne la tête, je comprends immédiatement. Il n’y a que des mecs dans ce bar. Certains sont dénudés et dansent, d’autres sont en train de s’embrasser et je vois même un mec en train de pomper une bite contre le bar.
-C’est quoi cet endroit ?
-C’est une soirée spécial orgie, me dit-il. Mais si tu ne veux pas, on peut repartir.
-J’en sais rien. C’est excitant mais je connais peut-être du monde.
-J’ai tout prévu mon beau. Je suis là avec toi et je resterai toujours avec toi.

Sans même que je ne dise quoi que ce soir, il sort un masque noir de sa poche et me le met sur le visage. Je ne sais pas pourquoi mais je me laisse faire. Il revient se coller à moi et m’embrasse tout en replongeant ses mains dans mon pantalon pour me pétrir le cul puis avec un de ses doigts, il me titille ma petite rondelle. Je gémis sous ses caresses. Je caresse à mon tour son entre-jambe qui est déjà bien dure et je déboutonne son jean. Il sort sa main et salive ses doigts pour pouvoir me doigter en douceur. Pour ma part, je prends son sexe en main et commence à le branler doucement. Un mec nous regarde et commence à s’approcher de nous. Il touche la bite Hugo et commence à se mettre à genoux. Je le regarde et lui cri dessus :
-Pas touche, sa queue est à moi. Va jouer ailleurs !

Il me regarde m’insulte de connard et je regarde Hugo qui est mort de rire. Pour le faire s’arrêter, je plonge ma langue dans sa bouche et le branle encore plus fort. Hugo retire ses doigts de mon cul et appuie sur mes épaules pour que je le suce. Je m’agenouille donc et prends sa queue bien en fond de gorge ce qui le fait frissonner. Pendant qu’il me suce, il se penche pour me faire retirer mon pantalon que je pose sur le mange-debout puis il me dit :
-Tu me fais confiance ?
-Je crois que oui.

Il prend mon pantalon et prend ma main pour me faire passer dans une pièce que je n’avais pas encore vu. Trois mecs sont en train de s’embrasser et au sol se trouve un matelas. Il retire le reste de mes vêtements en me laissant le masque. Il me fait me mettre à quatre pattes et passe derrière moi. Il s’agenouille et vient me bouffer le cul. Je gémis à chaque coup de langue. Les trois mecs nous encerclent en se masturbant. Au bout de cinq minutes, Hugo se relève un peu et m’encule d’un coup sec ce qui provoque chez moi un cri de surprise. Les trois mecs se sont encore plus rapprochés mais cette fois-ci j’ai les trois queues devant mon visage. Je tourne la tête vers Hugo qui me fait oui de la tête. Pendant qu’il me pilonne, je commence à pomper chacun leur tour ces trois mecs. Je pense que mes cris de plaisir ont fait rameuter plusieurs mecs dans la petite pièce. Je ne sais pas combien il y en a mais cela m’excite de plus en plus. Tout en les suçant, je contemple chacune des bites. Il y en a des petites, des grosses, des épaisses. Je suce depuis une bonne vingtaine de minutes et Hugo me pilonne toujours. Une nouvelle bite se présente devant mon visage. Je la caresse, je lèche ses couilles et là un petit détail de rien du tout. A la base de son pénis, je vois un grain de beauté en forme de petit grain de café. Je connais ce grain de beauté. Je lève les yeux et là, j’ouvre la bouche de stupéfaction. Le mec pense que j’ouvre la bouche pour le sucer et il me plante sa bite en fond de gorge. Mais ce mec : ce mec n’est autre que….

Fin du chapitre 4.