Le calendrier des pompiers

- Par l'auteur HDS Tounet39270 -
Auteur .
  • • 54 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Tounet39270 ont reçu un total de 184 856 visites.
Récit libertin : Le calendrier des pompiers Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 506 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Le calendrier des pompiers
Le calendrier des Pompiers

Chapitre 1

Bonjour à vous chers lecteurs. Je m’appelle Maël, j’ai 25 ans, je suis brun aux yeux noisette, je mesure 1m75, j’ai une allure normale. Je suis gay et l’assume pleinement. J’aime le sexe mais je reste quand même assez réservé. Je suis surveillant dans un lycée. Je suis en couple avec Arthur depuis deux ans. Il a 27 ans, brun aux yeux marrons lui aussi. Il fait à peu près ma taille et ma corpulence et une bite normale. Par contre, il n’est pas très porté sur le sexe et cela reste très basique niveau position et pas très souvent. Il est interne en médecine et donc pas souvent à l’appart.

L’histoire commence début décembre 2023.
C’est un samedi matin et je me fais un peu chier ce matin. Mon chéri travaille tout le week-end et ne dormira pas chez nous jusqu’à lundi. En plus, on n’a pas baiser depuis deux semaines et même si je me branle une a deux fois par jour, j’ai envie de me faire baiser. J’en ai marre alors je prends ma voiture et pars en direction du sexshop de la ville voisine. Je suis gêné mais c’est mieux que d’aller voir ailleurs. Je flâne tranquillement dans les rayons et je tombe sur un gode vibrant à plusieurs vitesses que je prends. Il fait 17x5cm. Je me prends aussi du lubrifiant et un plug connecté. On ne sait jamais, si Arthur a envie de le tester sur moi, pourquoi pas. Je passe en caisse et rentre à l’appart pour pouvoir me faire le plus grand bien. J’en ai le cul qui mouille d’avance.

J’arrive chez moi et je vais me faire un petit lavement anal au cas où. Ensuite, j’enfile un short et un débardeur. Je lave un coup mon nouveau jouet et vais m’installer sur le canapé en branchant mon PC sur la télé en mettant un film porno. Je retire mon short et ma queue est déjà bien raide rien qu’au fait que je vais m’enfiler ce super gode. Je me mets un peu de lubrifiant et j’en mets un peu sur mon jouet. Je commence à l’introduire doucement et une fois bien au fond, je démarre le film puis je prends la télécommande du gode et le déclenche. Je suis en mode 1 et celui-ci commence à vibrer doucement. Je commence à prendre un peu de plaisir et décide de passer en mode 2. Je m’allonge sur le dos en écartant les jambes et je m’imagine à la place du passif dans le film qui se fait démonter comme une grosse salope. Je passe en mode 3 et je gémis et bouche le cul de plus en plus. C’est à ce moment-là que l’on frappe à la porte. Putain, je me relève d’un coup en laissant tomber le gode sur le canapé, enfile mon short sans perdre de temps et coupe la télé. Je vais ouvrir la porte et je me retrouve avec devant moi un pompier. Je ne regarde pas son visage sur le coup tellement je suis surpris. Je lève la tête vers lui et je vois un mec super canon. Je le regarde et il baisse son regard en direction de mon érection que j’ai encore. Putain, la honte. Je le mate un peu, il est blond avec des yeux vert magnifiques, une bouche, je ne vous explique même pas comme elle donne envie d’y goûter. Il doit mesurer dans les 1m85 super bien foutu. Il doit avoir dans les 30 ans. Je parie qu’il a des abdos de malade. Je lui dis donc :
-Bonjour, je peux vous aider ?
-Oui, bonjour, désolé de vous déranger. Je suis là pour vendre nos calendriers des pompiers.
-Ah, ok, vous voulez rentrer un instant, je ne sais pas si j’ai de la monnaie. Vous voulez boire quelque chose ? Un café ? Avec ce temps de merde, il ne doit pas faire chaud.
-Merci ce n’est pas de refus.

Je le fais rentrer et lui dit de s’installer sur le canapé. Il se dirige vers le canapé et s’assoit. Il se redresse d’un coup. Je le regarde et je le vois prendre mon gode qui vibre encore en main et je me mets à rougir. Il le repose sur l’autre côté du canapé sans rien dire et me dit qu’il s’appelle Hugo. Il fait comme s’il n’avait rien vu et je retourne vers lui avec deux cafés et lui explique que je n’ai pas de monnaie donc que je suis désolé de ne pas pouvoir prendre de calendrier. Je pose un café devant lui et m’assois dans le fauteuil en face de lui en lui disant :
-Ce n’est pas grave, ce ne sont que des calendriers. Ce n’est pas comme si c’était le calendrier des Dieux du Stade, dis-je en rigolant.
-Dommage pour vous, je suis le mois de juillet, dit-il lui aussi en rigolant.
-Merde alors, c’est vrai ?
-Peut-être bien. Ce que je peux vous proposer c’est de repasser demain à la même heure avec un calendrier et vous aurez peut-être de la monnaie ?
-Euh, oui j’en aurais sans problème.

Il sourit, mais pas un sourire normal, un sourire plutôt de carnassier. Nous buvons notre café en discutant de tout et de rien. J’apprends aussi qu’il à 31 ans, pompier professionnel depuis deux ans. Il termine son café et commence à se lever et en se levant attrape mon gode et fait semblant de le branler rapidement en disant que le mois de juillet est plus long et plus gros avec un petit clin d’œil. Je rougis mais ma bite se redresse d’un coup et il le remarque. Il est debout devant moi, j’essaie de dissimuler mon érection et arrivé devant la porte, il baisse le regard, attrape ma bite puis la relâche et en lui mettant une tape dessus. Il me dit « A demain » et se barre. Je suis hyper excité de ce qu’il vient de se passer et cette fois-ci, je me fou à poil et reprends mon gode avec un peu de lubrifiant et je mets le mode maximum : mode 6. Il vibre encore plus vite. Je n’ai même plus besoin du porno que je regardais. Je n’ai qu’à penser à ce canon de pompier. Je gémis de plaisir et ma queue me fait mal tellement je bande. Je m’assois sur le gode tout en restant sur le canapé puis je prends ma bite en main et me branle en sentant le gode vibrer en moi. Je jouis tellement fort que j’en mets partout devant moi. Il y a du jus sur le sol, la table basse et sur moi. Je lèche les giclées sur moi et sur ma queue. Qu’est-ce que ça m’a fait du bien ?

Le lendemain, je passe une bonne partie de la matinée au téléphone avec Arthur qui se repose durant sa garde. Je stresse de voir si oui ou non mon fameux pompier Hugo va revenir. Je vais donc me laver et m’habiller et je pars retirer un peu d’argent pour le fameux calendrier. Je n’ai pas envie que cette fois-ci il me retrouve dans une tenue de merde. Je tourne en rond durant la fin de matinée puis vers midi et demi, on frappe à la porte. Mon sang bouillonne et je vais ouvrir la porte. Putain, c’est lui, toujours aussi sexy dans sa tenue de pompier mais il n’est pas seul. Il est avec un de ses collègues plus vieux (dans la cinquantaine). Je suis un peu déçu mais bon, on va faire avec. Je leur propose quelque chose à boire mais ils refusent tous les deux. Comme convenu, Hugo m’explique qu’il est revenu pour les calendriers. Son collègue me le présente mais ce n’est qu’un calendrier banal avec des photos de pompiers en intervention mais rien de plus. J’essaie de ne pas montrer ma déception et Hugo me regarde avec attention et toujours avec son regard troublant. Je vais chercher un billet de dix que je tends à son collègue mais au lieu de me donner le calendrier présenté, Hugo m’en tend un autre. Je ne me pose pas trop de question mais au moment où il me le donne, il me fait un clin d’œil. Je les raccompagne à la porte en leur disant aurevoir puis claque la porte, tellement déçu de ce qui vient de se passer. Je jette le calendrier sur le canapé et me prend une bière. Je l’ouvre et m’affale comme une merde en allumant la télévision. Je zappe mais il n’y a rien. On est dimanche et je me fais chier alors j’essaie de me branler mais rien. Les heures passent et je regarde ce maudit calendrier et ouvre la première page. Je me dis que je vais peut-être le voir dedans mais pas grand-chose pour le moment jusqu’au mois de juin. Je tourne la page suivante pour regarder celle du mois de juillet et la ma queue se redresse d’un seul coup. Ce n’est pas du tout la photo que j’avais vu avant mais là, je vois une photo d’Hugo à poil avec une érection dans la main. Il est assis sur une chaise les jambes écartées en train de tenir son énorme et super longue queue (environ 25x6,5) et des couilles énormes et pendantes. Sa queue est entièrement épilée. La photo est juste scotchée. Je la détache et en la prenant, je vois qu’il a écrit quelque chose à l’arrière : « je t’avais dit que ce calendrier était chaud et que j’étais sur le mois de juillet. Voici mon numéro : 06…….. Si tu as envie de jouer avec une vraie bite et pas un jouet. Hugo. »

Je ne sais pas quoi faire, il me fait grave envie mais je pense à Arthur. Putain, fait chier, j’ai grave envie de me faire baiser. Je suis tellement en manque que je prends mon téléphone et lui envoie un message en lui disant qu’il est grave bien monté et que j’adorerai qu’il vienne m’arroser de son jus avec sa grosse lance à incendie.
Je me dis qu’il ne répondra pas mais dans la minute suivante il me répond que j’ai mis du temps à lui envoyer un message et que si je veux, il peut être chez moi dans une heure. Je ne pense plus à rien alors je réponds juste : « Ramènes ta bite au plus vite ! »
Je vais me préparer car le temps presse. L’heure passe très vite et apparemment il est déjà là car il frappe à la porte. Je ne porte qu’un jockstrap et je vais ouvrir la porte. Il me regarde et je le fais rentrer très vite. Il me dit :
-Putain, mais t’es vraiment chaud toi.
-Oh que oui.

Je l’attrape par la main et l’emmène jusqu’à ma chambre. Il se déshabille rapidement et me pousse sur le lit. Je vais pour l’embrasser mais il détourne la tête pour dire non. J’attrape sa bite et je plonge directement la bouche sur cette grosse queue. Il me repousse encore sur le dos et vient se positionner au-dessus de ma bouche et sans attendre me fou sa queue le plus loin possible en commençant par me baiser la bouche. Je suffoque, je salive, j’essaie de le repousser un peu pour reprendre de l’air mais il attrape ma main et continue de me baiser la bouche en me disant :
-Tu voulais ma queue, alors assume.

A force de me labourer la bouche, il arrive à me la mettre bien à fond et je l’entends grogner de plaisir en me traitant de bonne salope. J’ai les larmes qui coulent mais je me laisse faire. Il se redresse, me fait mettre à quatre pattes en me faisant baisser le torse contre le lit avec mon cul bien cambré. Il approche sa bouche de mon cul et crache sur mon petit trou puis sur sa queue. Il écarte mes fesses d’une main et d’un seul coup, me pénètre violemment ce qui me fait hurler de douleur mais après plusieurs allers retours dans mon cul, le plaisir reprend le dessus et maintenant je hurle de plaisir et lui grogne de plus en plus fort et me met aussi de grosses claques au cul. A chaque coup de reins, je sens ses couilles taper contre les miennes tellement elles pendent. Il me défonce dans cette position durant plusieurs minutes et je crie très fort. Il s’assoit ensuite sur le lit et me dit de venir s’empaler sur lui. Il se repose sur ses coudes et une fois que je suis placé, il commence à me limer encore en me regardant droit dans les yeux. J’ai juste l’impression de n’être qu’un trou à remplir à ce moment mais je m’en fou, j’en ai envie et bordel qu’il me fait du bien. Je n’ai jamais été baisé de la sorte mais c’est tellement bon. Il me défonce encore et encore puis me repousse à nouveau. Je me retrouve à genoux sur le lit et il se lève. Il attrape ma tête de chaque côté et revient me baiser la bouche bien à fond. Ses couilles tapent cette fois contre mon menton et je salive de plus en plus. Ma bouche n’est qu’un trou et j’aime ça. Sans me toucher, je me mets à gicler des litres de spermes sur les draps et ça le fait sourire. Il s’arrête enfin et il m’attrape pour m’allonger sur le ventre. Il vient s’empaler dans mon cul qui aspire sa queue comme s’il était moulé pour ça. Il attrape ma tête qu’il enfonce dans les oreillers et j’ai l’impression qu’il fait comme des pompes dans mon cul. Il ressort sa queue et la replante d’un coup sec. Il fait ça encore et encore puis dans un dernier élan et un grand coup sec, sa bite s’enfonce au plus profond de moi et il hurle en jouissant. Son jus déborde de mon cul. Il ressort sa queue et la replante encore et encore pour bien tasser son sperme en moi. Il se retire, attrape ma tête et me fait sucer à nouveau sa queue pour bien la nettoyer. Il s’allonge sur le dos et me met une autre claque sur le cul en me disant :
-Putain, ça fait du bien. Je t’avais bien dit que ça serait mieux que ton jouet non ?
-C’est clair.
-T’as kiffé ?
-Oh oui. Mon cul va s’en souvenir en tout cas.
-Parce que tu crois que c’est la seule fois que je vais te baiser peut-être ?
-Je suis en couple. J’avais juste envie d’une baise c’est tout.
-Tu rêves. Ton cul est trop bon pour que je ne revienne pas. Et en plus tu encaisses vachement bien. Et que tu sois en couple, je m’en tape.
-On verra bien alors.
-C’est tout vu mon joli. Tiens rends-toi utile, j’adore qu’on me papouille après une baise alors, vas-y.

Je ne sais pas quoi répondre et je dois dire que cela m’excite quand même un peu d’être un peu sa chose. Je m’allonge à côté de lui et avec ma main, je le caresse sur tout le torse. Je le regarde d’un peu plus près et c’est vrai qu’il est drôlement bien foutu. Il a des abdos à tomber sans un poil. Je continue mes caresses sur ses tétons et descends jusqu’à la base de son sexe ramolli. Je ne sais pas pourquoi mais je le caresse mais mon regard ne fait que fixer la queue. J’ai l’impression qu’il commence à grossir légèrement. Donc je continue mes caresses mais je descends plus bas. Il me regarde avec un large sourire mais ne dit rien. Sa queue grossit de plus en plus. Je la prends en main et la branle doucement. Mes lèvres se rapprochent et je gobe son gland lentement. Son gland en bouche, je fais tourner ma langue autour puis je le titille. Je malaxe ses couilles et je commence à le regarder droit dans les yeux. Il ne me regarde pas mais il ferme les yeux à chaque coup de langue. Je continue ensuite par le sucer doucement puis à lui lécher toute sa queue. Je prends ensuite une couille dans ma bouche puis la deuxième puis enfin j’arrive à les prendre toutes les deux en même temps. Je reprends ensuite sa queue en bouche en lui faisant de bonnes gorges profondes. Il a toujours les yeux fermés mais sa bouche s’ouvre doucement. Il gémit en silence et je trouve ça tellement beau à voir. Je continue cette pipe sur cette queue qui ne demande qu’à laisser sortir son jus. Ce jus que j’ai en moi, bien au fond de mon cul et que je sens de temps en temps couler mais je m’en fou car j’aime ça. Je le suce comme si ma vie en dépendait. Tout en le suçant, je le branle et j’y vais de plus en plus vite. Ses couilles commencent à se contracter et sa main commence à me caresser la joue puis je prends bien sa queue en fond de gorge en palpant ses couilles et il se met à pousser un grand râle en jouissant huit gros jets de sperme bien chaud et bien crémeux que j’avale au fur et à mesure. Je suce sa queue jusqu’à la dernière goutte encore une fois et la lèche de haut en bas. Il soupire encore.
-Je savais bien que tu en revoudrais ?
-Pourquoi tu dis ça ?
-Comme ça, si tu ne voulais qu’une seule fois avec moi, tu ne m’aurais pas sucé encore, pas vrai ?

Il sourit en voyant ma tête et repose sa tête sur l’oreiller. Puis d’un coup, il se relève et s’habille. Je me lève à mon tour pour prendre des fringues et il me dit de rester dans cette tenue. Je l’accompagne à la porte et je commence à l’ouvrir quand il me plaque contre elle. Il me regarde et me roule une pelle d’enfer. Il me regarde, part sans se retourner et je referme la porte mais reste sur place comme un con. Deux minutes plus tard, je reçois un message d’Hugo qui me dit : « Généralement je n’embrasse pas mais tu en vaux le coup. Maintenant, je sais que l’on se reverra car tu es sous l’emprise de ma bite. »

Fin du chapitre 1.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Le calendrier des pompiers
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Tounet39270

Le calendrier des pompiers - Récit érotique publié le 20-11-2025
Au nom du Père, ... (4) - Récit érotique publié le 18-11-2025
Au nom du Père, ... (3) - Récit érotique publié le 16-11-2025
Au nom du Père, ... (2) - Récit érotique publié le 14-11-2025
Au nom du Père, ... - Récit érotique publié le 12-11-2025
Sacha, le pote de mon frère (4) - Récit érotique publié le 10-11-2025
Sacha, le pote de mon frère (3) - Récit érotique publié le 09-11-2025
Sacha, le pote de mon frère (2) - Récit érotique publié le 08-11-2025
Sacha, le pote de mon frère - Récit érotique publié le 06-11-2025
La colocation - Récit érotique publié le 05-11-2025