LE CHANTIER (48) - histoire érotique

Après un voyage en avion Nadia et moi sommes arrivés à Anvers ou Hilda notre amie Néerlandaise nous à récupérer à l’aéroport afin de nous conduire pour inaugurer sa nouvelle acquisition.
C’est le bordel ou elle a travaillé plusieurs années qu’elle a racheté avant de le rénover et ou par un subterfuge vestimentaire elle m’entraîne à vendre mon corps avec un client avec lequel je monte faire une passe.
Je remonte une seconde fois avec un jeune puceau mais avec lui j’en fais un homme et je lui donne même l’argent gagné avec le seul client que j’aurais eu dans ma vie retournant ainsi à ma vie de libertine que j’ai découverte après la tromperie de mon mari en Angleterre.
C’est bien fatigué que je monte espérant me coucher mais c’est sans compter sur les deux filles qui comme Nadia sont toujours aussi insatiables bien qu’au cours de sa journée elle se soit occupée des bites des pilotes de l’avion et eue acceptée le maximum de passes dès que nous fûmes arrivées et habillées.
Il est loin le moment où j’ai recueilli cette jeune fille couchant dans ma cabane de jardin fuyant un père tyrannique qui voulait l’accompagner au bled afin d’épouser un vague parent sans son consentement.

Sortant de la douche je veux profiter d’un repos que je pense avoir bien mérité quand mes deux garces de copines commencent à m’entreprendre.
Voulant faire plaisir à Hilda car si j’ai apprécié les bites qui m’ont prise ce soir, sa bouche sur ma fente me donne rapidement envie d’un dernier orgasme me permettant de passer une nuit agréable à rêver à mon futur mari et à sa verge si douce et si grosse.

• Oui, Valérie écarte tes jambes au maximum je vais te fister pendant que Nadia à sa langue dans ma rosette.

Il est vrai que Nadia est venue derrière elle et que je la vois s’empresser sur l’anus hollandais.
Après m’avoir léché le clitoris m’obligeant à mettre ses mains sur sa tête tellement le traitement qu’elle me fait subir plaît à mon clito ce qui déclenche une vague de cyprine qui jaillit de mon vagin qu’elle boit avec autant de délectation que quand elle avale une coupe de champagne.
L’orgasme attendu allait monter du fond de mon corps quand elle commence à introduire sa main en moi après avoir pris du gel sur sa table de nuit et s’en être imprégnée.
Comme je suis située en même temps que je sens mes chairs se distendent et sa main disparaître en moi jusqu’au poignet déclenchant la première vague de mon plaisir, je vois Nadia se relever et se mettre du gel à son tour.
Je pense qu’Hilda va se faire aussi fister quand s’approchant à la droite de la main qui me pénètre elle se place à son côté et commence à entrer ses doigts en moi.
J’ai envie de les traiter de folle de vouloir me pénétrer avec leurs deux mains mais la sensation éprouvée est telle que je me laisse faire éjaculant des quantités de liquide imprégnant les draps.
Fistée oui mais par deux mains entièrement en moi et hurlant le plaisir qui m’assaille faisant de moi une chienne lubrique.
C’est quand il fait jour dans la chambre que je constate le lit dévaster mes deux amies tendrement enlacées que je me réveille après avoir tourné de l’œil sous la puissance de l’orgasme qui a parcouru mon corps.
Après ce moment exceptionnel je me demande où ces deux salopes vont réussir à me faire aller, que peuvent-elles encore inventer pour me faire jouir toujours plus fort.
Discrètement je me lève et c’est sous la douche que je suis rejoint presque une demi-heure après par les deux filles qui elles aussi viennent de retoucher terre.

• Me amies préparons-nous je vous emmène déjeuner dans un restaurant Anversois dans la rue principale.

Nous sommes prêtes comme toute femme en une heure et c’est dans des tenues sexy mais sans trop que la limousine est là sans qu’à aucun moment nous n’ayons vu Hilda donner des ordres.
Idem pour le trajet et arrivé devant un établissement sentant bon le haut de gamme nous entrons accueil par la maîtresse de maison qui semble bien connaître Hilda.

• Nous vous avons réservé votre table habituelle, vous pourrez parler tranquillement avec vos invitées sans que personne n’entende.
Notre sommelier va vous apporter votre champagne, vous serez satisfaite nous avons commandé votre marque préférée, vous aviez raison, qualité-prix il est supérieur à celui que nous avions sur notre carte et les clients semblent en raffoler, nous en avons presque vendu le double.
• J’espère qu’il vous en reste, une bonne négociation se fait devant un bon verre.

Et c’est reparti, avec Hilda le champagne coule en rivière et je fais attention car je sais que dans une négociation l’alcool peut me jouer des tours alors que pour notre amie ça la stimule.
Je passe le détail de ces tractations la chose qui en ressort c’est qu’elle me vend des parts de son entreprise en France et me donne une grosse somme pour en prendre dans ma maison des plaisirs en laquelle elle croit vus l’augmentation du nombre de libertins en France.
C’est là qu’elle a cette phrase assez étonnante.

• Tu sais Valérie le France a été le pays de la liberté après que vous avez guillotiné votre roi, vous êtes la patrie de très grands auteurs libertins avant de déclencher mai 68 vous apportant le sexe principalement à la télé mais pour la plupart d’entre vous êtes coincé du cul.
En Hollande ou en Belgique nous paraissons froids avec nos champs de tulipes et nos moulins à vent mais les Français ce sont dans nos bordels que vous venez, en guillotinant votre roi vous avez loupé Marthe Richard qui vous a ramené au siècle passé ou les filles de rien tapinaient dans la rue.

À la fin de sa tirade elle boit une coupe entière de son breuvage semblant satisfait d’elle.

• Tu as raison, c’est aussi mon sentiment et c’est pourquoi nous ouvrons notre maison et je pense que ce compromis est très intéressant pour nous deux.
• Je vais te dire, j’ai envoyé un émissaire dans ta ville et il en est revenu avec des informations et des propositions.
Pour commencer attend toi à avoir une opposition frontale avec le curé de ta paroisse mais cela je m’en occupe.
De plus il m’a signalé un terrain constructible près de ton nouveau parc des sports et presque mitoyen de ton palais des plaisirs qui a la chance de finir à la rivière, nous pourrions faire construire un hôtel de haut standing où les clients de ta maison seraient incités à venir de toute la France par une bonne publicité et des remises à ceux qui adhéreront et qui augmenteront sa fréquentation.
• Bonne idée car voila mon principal souci.
Je me suis retrouvé marié avec Pierre l’ancien maire sans le savoir et il m’a laissé un testament bizarre.
• Je sais un peu de cette histoire, c’est celui qui est mort dans ton cul en te prenant sur son bureau.
• Mon cul comme tu y vas, ma chatte oui.
• Cul, chatte il est mort en te baisant.

Qui a pu dire cela à Hilda, Nadia doit savoir ce qu’elle a dit si c’est elle bien sûr.

• Mon souci c’est l’héritage qu’il m’a laissé, pas de problème pour les biens matériels mais sous trois phrases ambiguë j’ai découvert trois lieus me posant un gros problème.
• Je sais, dans deux tables tu as trouvé du pognon et des titres et tu souhaites que je blanchisse tout cela pour toi afin de payer le minimum d’impôts voire zéro ce qui serait encore mieux.

Au fil de la déclaration d’Hilda, Nadia se tortille de plus en plus sur sa chaise.

• Nadia tu as mal au cul à te tortiller comme tu le fait.
• Non bien sûr c’est moi cette nuit qui est expliqué à Hilda ce que nous avions trouvé à Paris et dans la maison de Pierre, mais je sois rassurée, sur la troisième aphrodite je me suis tue.

Hilda soulève un sourcil, Nadia semblant fatigué de sa nuit vient de lâcher ce que je souhaitais taire à ma complice, il faut bien que j’avoue que je possède une cave avec près de 5 000 bouteilles des plus grands crus sous la piscine.

• C’est fabuleux, il y a du champagne, merci je parie que la grosse bouteille que vous m’avez apporté sort de cette cave, quelle cuite on va prendre la prochaine fois que je viendrais superviser les travaux.
• Tu sais Hilda, ces bouteilles sont une collection comme d’autres collectionnent les timbres ou les étiquettes de boîtes de camembert.
• Parlons de ces étiquettes, il mange le fromage et il garde la boîte sinon chez eux ce serait une puanteur.
Pour le vin c’est pareil, je les bois et tu collectionnes les bouteilles vides.
• Tu es folle, rien n’est comparable.
• Je plaisante, je vais souvent au bout du monde, je vais enrichir notre collection des plus grands crus de chaque pays où j’irai, quant au champagne je connais un petit viticulteur près de Reims qui sera enchantée de te vendre quelques produits de son vignoble et sans qu’il le sache entrer dans l’une des plus grandes et belles caves de France.
• Tu as dit notre collection, c’est la mienne et non la tienne.

Elle sort son téléphone.

• Allo Rupert, prépare le jet direction Paris puis Toulouse, je te rappelle pour te donner des instructions.
Valérie et la petite salope de Nadia repartent avec toi.
• Merci pour la petite salope Hilda, je te revaudrai cela.
• Regarde la soirée que nous avons passée ensemble, est-ce que j’exagère.
Quand je parle de petite salope, pour moi je te fais un compliment surtout venant d’une grande salope.
• Vu sous cet angle, • Bien assez parlé, j’ai des embauches à faire pour tes deux jeunes protégés, il faut taper le fer quand il est réchauffé.
• Non, Hilda on dit battre le fer quand il est chaud.
• Battre cela sera dans ta cave dans le palais des plaisirs.
Venez m’embrasser avant de rejoindre ma voiture qui va vous conduire directement à l’avion que Rupert a fait préparer.

Nous nous levons et je m’approche de notre amie qui se lève et sans fausse honte m’embrasse à pleine bouche me passant la main sur la chatte sans aucune pudeur même si le renfoncement où nous nous trouvons nous éloigne des autres clients.

• Nadia souviens-toi de ce que tu m’as promis je t’attends les dernières semaines de chaque mois tu auras une tenue de réservé.

Je viens avec une libertine je repars avec une pute, mais si elle aime vendre son corps du moment qu’elle est consentante comme semblait l’être Hilda, pourquoi lui enlèverais-je ce plaisir je suis loin d’être sa famille.
Sur le Tarmac de l’aéroport, Rupert nous attend au pied de la passerelle avec le commandant de bord et une hôtesse, nul ne peut ignorer pour savoir ou dès le décollage terminé Nadia va passer tout le vol même s’il est court…