LE CHANTIER (9) - histoire érotique

Maryse, ma copine à qui j’avais donné mon approbation pour qu’elle ait une aventure avec Sylvain, le fils de notre copine alors qu’elle a le double d’âge que lui c’est fait surprendre par son mari hugo qui devait partir en mer pour une pêche au gros.
La sortie a été annulée, car un coup de vent était annoncé au large et il y avait des risques.
Hugo, son mari l’a viré et demande le divorce, mais Sylvain la soutient et elle vient me voir pour savoir qu’est-ce qu’elle peut faire.

• Et toi, tu me dis que tu as des problèmes peux-tu m’expliquer ?

Je reprends depuis le début, ce qu’il m’est arrivé avant leur départ en vacances.
Elle a compris pourquoi je lui avais donné le conseil de se faire sauter par son jeune étalon moi qui en ai fait de même allant jusqu’à faire l’amour avec plusieurs hommes à la fois et le plaisir que j’y ai pris.

• Moi qui croyais être devenu une petite salope en prenant un amant, je vois que j’ai trouvé mon maître, toi tu es une grande salope.
• Tu peux le dire, nous vivons certainement la crise de la quarantaine, hélas, elle a commencé trop tard, j’aurais préféré connaître la crise de la trentaine, mon corps aurait gagné dix ans pour ressentir les jouissances que je vis depuis que j’ai cédé à Petrov.
• Et que devrais-je dire des jouissances procurées sur moi par la bite que tu m’as aidé à trouver.
• J’ai fait une seule erreur depuis que j’ai lâché les chiens et que je suis devenue une chienne.
• Laquelle ?
• Elle va te déplaire.
• Après le bonheur que tu m’as fait connaître rien ne pourrait me déplaire.
• D’accord, je vais te le dire, même si je dois te voir partir en courant et que notre amitié soit cassée à jamais.
Lorsque j’ai pris la décision de continuer de voir mon amant et par la suite mon deuxième, Christian, j’ai réalisé un de mes fantasmes. Mais depuis j’en ai un nouveau que tu peux m’aider à devenir réalité.
• Quel est ton nouveau fantasme ?
• Non, je le garde pour moi pour le moment, il est inutile que je te le dise maintenant.
• D’accord, mais j’ai une question, comment gères-tu avec Gaétan, tes deux amants.

Je lui raconte mon voyage en Angleterre et la tromperie de mon mari qui a une double vie, ma demande de divorce moi aussi déposée par mon avocat avec de grandes chances de garder ma maison avec une pension.

• Et dire que depuis deux jours, je pensais que la terre avait arrêté de tourner.
• Non, ma chérie, elle commence à tourner pour toi, tu vas voir, on va s’éclater tous ensemble.
• Tous ensemble ?
• Oui, avant que je te dise, comment j’ai connu Nadia et comment nous nous aimons.
• Au secours, elle aime une fille maintenant, je comprends pourquoi tu dis que tu es devenue une grande salope. Terme faible, s’il y avait de l’argent au milieu de tout cela, tu pourrais dire que tu es la plus belle pute de notre ville.
• Tu tapes fort Maryse, je suis une fille libre et j’aime Valérie qui m’a aidé dans ma détresse. C’est une femme libre comme moi et toi aussi tu peux le devenir.

En disant ces mots Nadia se lève s’approche de Magalie, lui prend la tête entre ses mains et lui prend la bouche dans un baiser langoureux.
Un instant surprise, notre amie lui rend le baiser.

• Tu vois, toi aussi Maryse, tu es une belle pute, tu verras Nadia, t’apprendras à aimer les filles aussi bien que la bite de ton homme.
En parlant de lui où est-il ?
• Chez ses parents, il prépare ses affaires.
• Viens, suis-moi.

Nous entrons dans la maison et je la conduis dans la chambre d’amie voisine de la mienne.

• Elle te plait pour passer ta lune de miel le temps que vous souhaiterez.
Va-le chercher ?

Elle se rhabille et tout heureuse elle court retrouver celui qui est devenu le centre de sa vie.
Je suis contente qu’elle le ramène à la maison, mais comment lui faire comprendre que mon fantasme le plus immédiat c’est de coucher avec lui. Simplement à la pensée qu’il me prenne dans ses bras, ma chatte est toute mouillée.
Comme elle la dit, pourquoi refuser ce que ces expériences mon apportées, je suis devenue chienne prête à tout.

• Bonsoir, Sylvain heureux que tu sois parmi nous.

Pendue à son bras Maryse amène Sylvain toujours aussi bandant, je bave littéralement d’envie devant lui.
Dès qu’elle le voit Nadia à la même tête que la mienne, Maryse devra s’accrocher pour garder l’exclusivité avec son beau mâle, surtout si nous nous mettons à deux pour le conquérir.
Nous nous installons sur la terrasse, la fin août étant toujours aussi chaud je les entraîne dans ma piscine, haut lieu de mes débordements et de l’évolution de mes fantasmes.
Je me mets nue, Nadia se met nue et Maryse est obligée d’en faire autant.
Après un moment d’hésitation et l’aide de Maryse qui nous livre son homme pieds et poings liés Sylvain nous imite.
Je saute dans l’eau et les autres me suivent. Nous jouons comme des enfants.
Je vois la façon de manœuvrer de Nadia pour isoler Maryse. Elle se rapproche de notre copine et quand elle la rattrape, elle la prend par le cou et lui plaque un baiser aussi profond que le premier sur la terrasse.
Au même moment je vois la tête que fait Sylvain en voyant sa maîtresse embrasser une autre femme.
Nous sommes à un moment clef de nos relations.
Soit-il quitte la piscine et part ?
Soit il reste et tout est ouvert.
Pour l’aider, je me rapproche de lui et fais attention d’éviter de le toucher.

• Tu es choqué.
• Un peu.
• Et de l’avoir baisé et piqué à son mari, tu l’étais.
• Non, parce que je l’aime.
• Et elle, doit-elle être obligée d’aimer une seule personne parce que tu l’aimes ?
• Jamais, je me pose de telles questions.
• Et pourquoi tu as peur de la découverte de toi-même ?
Et si ici-maintenant, je te prenais par le cou et que je faisais comme elle, tu me repousserais.
• Non, sûrement pas.
• J’en ai énormément envie depuis que tu as pris ma main pour m’aider à sortir de ma voiture chez ta mère avant de partir en vacances au point d’avoir ma petite culotte mouillée.
• J’ai bien vu que je te troublais.
• Tu vois, on est identique. Je serai à toi avec l’assentiment de Maryse, à toi de nous aider.

Il se déplace et quand il passe près de moi, je tends la main et lui caresse la verge, il bande à fond et si je le veux, je l’attrape et il me baise.
Au lieu de cela, il se rapproche du couple et se place derrière Maryse, il se plaque à elle et lui donne sa bouche.
Le baiser est interminable, mais Nadia s’interpose et prend alternativement la bouche de la fille puis du garçon.
Le trio magique se forme et je sens que c’est le moment d’entrer dans la danse si je veux former un quadrille.
Je me place à l’opposé du mâle que je convoite et comme une mante religieuse doucement c’est de Magali que je viens m’occuper.
La bouche qui est libérée par Nadia et la chatte où je trouve, ses doigts amènent notre amie à la pâmoison.

• Sylvain, excuse-moi, elles me font jouir, mon pauvre chéri, je t’abandonne.
• Non, j’aime quand tu prends ton plaisir.

Je contourne Nadia et je m’approche de lui comme un alligator se rapproche de sa proie pour la croquer.
Vicieuse comme je le suis devenue, je veux que Maryse voie que je lui prends Sylvain pour un bon moment de plaisir avant de le rendre.
Je le tire par la main et l’attire sur le lit de plaisir qui nous attend.
Je le fais s’allonger pour mieux le dominer et pour que Maryse remarque bien que le sexe de son homme me pénètre.
Garce jusqu’au bout des ongles, je la fixe lui faisant comprendre qu’à partir de ce moment, je suis la reine de la fête et qu’ici sur ce lit aucune autre que moi doit être maître de nos jeux.
La bite de Sylvain qui est enfin en moi avec l’assentiment de ma copine me permet de ressentir ce qu’elle a elle-même ressenti et qu’elle nous a si bien expliqué.
Lors de mon premier orgasme avec mon nouvel amant, je crie très fort pour que Maryse comprenne que cette verge sera capable de faire jouir plusieurs d’entre nous.
Lorsque je tourne la tête vers elles, Maryse est assise sur les marches la chatte offerte permettant à Nadia de la brouter.
Le regard vide qu’elle me présente me fait comprendre que je peux faire tout ce que je veux avec son amant, car elle a provisoirement perdu le sens de la réalité et pense au plaisir que ma petite lui apporte.
La vie est bizarre, je dormais tranquille sur mon lit de plaisir pendant des années et un simple thuya crevé bouleverse la vie de dizaines de personnes.
Ce thuya vous ouvre la porte de nombreux fantasmes refoulés et vous vous trouvez propulsé dans la luxure et la dépravation.
Mais que c’est bon de se faire prendre comme je le fais en ce moment par cette bite de dix-neuf ans que le garçon qui la possède à la méthode pour s’en servir.
Il me retourne grace à sa musculature si bien découpée et me prend directement en levrette me manie comme si j’étais une poupée gonflable qui sert à assouvir ses envies sans que je puisse refuser quoi que ce soit.
Une demi-heure de ce traitement et je suis contente de voir arriver près de nous les deux filles qui viennent se mêler à nos jeux.
Alors qu’il m’a fait jouir trois fois déjà, il ressort sa verge et vient la placer dans celle de Nadia qui pour la première fois de sa vie reçoit une verge d’homme profondément en elle.
Elle me tend ses lèvres pendant que ma main trouve la vulve de Maryse et vient se planter en elle.
Je suis toujours sur mon lit de plaisir, qui est devenu notre lit de plaisir.
Le soleil qui plombe sur nos têtes oblige à nous replier sur les transats sur la terrasse à l’ombre du store.
On dit souvent, il fait trop chaud pour travailler là, il fait trop chaud pour baiser.
Le soir, je tiens à ce que tout redevienne normal dans nos couples, Maryse récupère Sylvain et va récupérer leur chambre.
Une seule chose m’intéresse, mon cadeau que je veux récupérer même si je l’ai eu sous les yeux toute la journée.

• Mon cœur, merci pour ton abricot tout pelé, viens que je le mange.

Nous roulons sur notre couche et j’adore la lécher surtout qu’après quelques heures les poils repoussent déjà très légèrement et ils râpent sous ma langue.

• Dis-moi, tu as aimé la bite de Sylvain dans ton minet.
• Un régal, lorsqu’ils vont revenir t’est hommes auront qu’à bien se tenir, si tu le permets, je vais les épuiser.
• Ce qui est à moi est à toi, c’est la dernière fois que je te le dis.
• Sinon tu me fesses.
• Cochonne, petite vicieuse, tu en redemanderais.

Nous allons voir si nos débordements nous amènent vers de gentilles violences sur son postérieur, pour le moment une seule chose compte, lui écarter ses lèvres pour y mettre ma langue et récupérer le bon goût de ces sécrétions.
De mon côté, elle fait pareille et en faisant un soixante-neuf ma chatte comme elle la fait déjà une fois sur la puissance de notre étreinte expulse des petits jets qui inondent le visage puis la bouche de ma maîtresse.

• Ma chérie, par moments tu es une femme fontaine comme l’était ma cousine.
• C’est grave docteur.
• Non, sous une tension extrême, ton sexe émet par des petits canaux de la cyprine qui chez toi comme toutes celles qui sont fontaines ces petits jets.
J’adore me désoiffer en avalant ce liquide.

Comment après cette révélation dormir tendrement enlacée ?