Le club des cinq femmes
Récit érotique écrit par Couple-subtil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le club des cinq femmes
Tania c’était comme le tabac. Tu t’arrêtes pour toujours, tu ne touches plus une cigarette ou tu retombes dans le piège. La première fois il avait su s’en défaire mais là il savait qu’il suffirait qu’elle le contacte pour qu’il accourt comme le petit chien qu’il est face à elle. La grande Tania. Un mètre 80 de sexe et de seins que Léopold avait rencontré pour la première fois il y a dix ans, à peine âge de 20 ans, et revu par hasard passés ses trente lors d’une escapade libertine aux Pays-Bas. Avec sa compagne, Chrystèle, ils étaient partis passer un week-end très chaud qui c’était achevé face à Tania pour lui, à son mari Borislav pour elle.
Chrystèle n’avait guère apprécié sa rencontre avec le Bulgare, un mètre 80 et sûrement plus de 100 kilos de muscles - et de poils, il est velu comme un singe – mais semblait avoir totalement oublié leur rencontre.
Pas Léopold ! « Allo, c’est toi mon chéri. C’est Tania. J’ai envie de te voir. » Ce numéro il n’avait pu s’empêcher de lui donner et, depuis plus de deux semaines, il attendait son appel. « Je voudrais que tu viennes chez moi. Je reçois quelques amis à 18 heures pour prendre le thé. Ce serait bien si tu venais faire le service.
- Oui le service. Amener les petits fours, faire le thé, rien de très difficile. » De sa voix grave de femme de la quarantaine, elle énonçait cette proposition comme si elle était toute naturelle. L’érection de Léopold devint incontrôlable quand elle ajouta : « Tu seras nus bien ûur. Cela ne te dérange pas. » D’une voix chevrotante il répondit un « non » tout en se demandant comment il allait expliquer à Chrystèle son retard.
« Bon, je t’attends à six heures. Bien propre si tu vois ce que je veux dire. »
A dix-huit heures pile Léopold était devant la porte de Tania, un bouquet de roses rouges à la main. Elle habitait à Paris, près du Jardin des Plantes, dans un immeuble bourgeois assez banal. Quand il appuya sur la sonnette il entendit que pas mal de gens semblaient déjà présents au bruit des conversation. Tania lui ouvrit, le regard carnassier, un grand chemisier blanc largement ouvert sur le haut de ses seins, une jupe grise, un collier en or torsadé, de larges bracelets aux bras et surtout ce qui excitait au plus haut point Léopold, des bottes noires sans talon. « Entre, je vais te présenter à mes amies. » Dans le salon, quatre femmes. Toutes à peu près de l’âge de Chrystèle, assez bourgeoises, qui semblaient le regarder comme un troupeau de lionnes une appétissante gazelle. « Lila, Marie-Caroline, Sarah, Cathy, je vous présente Léopold. Qui va faire le service pour nous. Léopold prépare toi. » Et Tania de l’escorter jusqu’à sa chambre : « Déshabilles toi. Vite » Le ton est plus dur. « J’espère que tu as bien suivi mes instructions. Tu es bien propre de partout.
- Oui.
- Oui ?
- Oui maitresse.
- Bien, je vois que tu comprends où es ta place. C’est fantastique que nous nous soyons revus à Rotterdam. Voyons cette bite. Pas bien grande hein. Bon, pour ce que tu aurais à faire ce soir ce n’est pas bien important. Je te mettrais bien une cage de chasteté mais je sais que ces dames aime tripoter des bites. Ca ne te dérange pas ? Ne réponds pas. On s’en fiche en fait. Bon suis moi. » Totalement nu, Léopold suit Tania. Avec ses talons elle est plus grande que lui. Pratiquement glabre de partout il se rase le sexe depuis qu’il va dans des soirées libertines. Pas très musclé il n’est pas très viril. Les femmes le trouvent mignon. Les hommes aussi parfois.
« Prends ce plateau et fais le service. » Léopold avance auprès des femmes qui discutent autour d’un guéridon sans faire attention à lui. L’une, très forte, une poitrine impressionnante, professeur de philosophie de son état, prend un petit four tout en dissertant sur le désir avec une petite femme qui profite de voir Léopold penché sur sa voisine pour lui caresser les fesses : « Tu as des fesses très douces mon chéri. J’aime ça, venez toucher c’est charmant ». Les quatre autres femmes lui caressent à leur tour les fesses tout en faisant des remarques sur sa peau comme si Léopold était un simple animal.
Tania rit : « Oui ce serait dommage de lui tanner le cul ». Elle tient une badine à la main. « Mais tu seras bien sage. Hein gentil chien. »
Pendant une heure Léopold fait le service. Amène le thé. Subit différemment attouchements. Certaines lui caressent encore les fesses. D’autres apprécient la vigueur de son sexe en le faisant bander puis le congédient. Une plus décidée lui vrille même un doigt dans les fesses. Léopold bande, débande, n’en peut plus d’excitation devant ces cinq femmes qui discutent comme s’il n’était pas là.
Mais soudain Tania se lève. S’approche de Léopold. Lui met une grande claque. « Tu ne crois quand même pas t’en tirer comme ça. » Il se frotte la joue. Elle ne l’a pas raté. « Non maîtresse.
- Mets-toi à quatre pattes sur ce banc. »Il obtempère ? Les cinq femmes sont autour de lui. Tania reprend la parole : « Tu vois nous formons un petit club de femmes dominantes. Chaque mois nous faisons venir un petit soumis. Et nous le testons pour voir s’il peut nous accompagner dans des soirées plus… élaborées disons. Ca te plairait d’être notre soumis avec d’autres esclaves dans de grandes soirées ? Non ne réponds pas. Il suffit de voir comment tu bandes. » Tania lui prend le sexe effectivement turgescent. Le branle un peu. « Oh ne crois pas que je vais te faire jouir. Ca sera ta récompense si tu nous sers bien. Il est à vous mesdames. » La forte femme lui mets une laisser et un collier. Le fais descendre par terre, lui intime l’ordre de marcher à quatre pattes. S’installe dans un large fauteuil, écarte les cuisses. « Viens me lécher, chien. » Léopold obtempère. S’applique. Au jus qui coule il pense toucher au but. Derrière lui la plus petite des femmes lui enfile des godemichés heureusement de taille mesurée. Devant lui la forte femme, Cathy, lui a pris la tête à pleine main et le guide : « C’est bien tu es un bon chien. On va voir après si tu es une bonne chienne aussi. » Elle crie : « Oui, oui, continue, c’est bien. »Tania retourne Léopold, lui entoure la bite et les couilles d’un lacet pour qu’il ne jouisse pas trop vite. La petite femme. Aux petits seins. S’empale sur lui au milieu du salon : « Je t’interdis de me toucher ». Elle le baise. Littéralement. Il jouirait effectivement vite s’il n’en était pas empêché. Mais c’est elle, Sarah qui prend peu à peu son pied sous l’œil gourmant des trois autres femmes.
Du coin de l’œil il repère que Marie-Caroline, une superbe blonde aux très beaux seins à peine pendants, a revêtu un ensemble de cuir noir et que pend entre ses jambes un monstrueux godemiché. Noir également. A peine la petite Sarah se détache-t-elle de lui qu’elle lui indique de se remettre à quatre pattes sur le banc. Tania prend le temps de le préparer avant que le gigantesque phallus ne le déchire. La sensation n’est pas bonne. Il hurlerait si Tania n’avait pas pris la précaution de lui glisser une poire d’angoisse dans la bouche. Il s’enfuirait si les quatre femmes ne le tenaient pas pendant que Marie-Caroline le pénètre lentement. Le godemiché doit avoir également une extrémité qui pénètre son vagin car elle gémit également. La sensation est de moins en moins pénible pour Léopold. Elle le laisse. Tania le retourne. Il bande de nouveau. Elle lui enlève son lacet. Elle le branle. Il jouit tout de suite. Elle continue à le masturber. La sensation est indescriptible. Au sourire de Tania il voit qu’elle sait qu’elle le tient maintenant…
Chrystèle n’avait guère apprécié sa rencontre avec le Bulgare, un mètre 80 et sûrement plus de 100 kilos de muscles - et de poils, il est velu comme un singe – mais semblait avoir totalement oublié leur rencontre.
Pas Léopold ! « Allo, c’est toi mon chéri. C’est Tania. J’ai envie de te voir. » Ce numéro il n’avait pu s’empêcher de lui donner et, depuis plus de deux semaines, il attendait son appel. « Je voudrais que tu viennes chez moi. Je reçois quelques amis à 18 heures pour prendre le thé. Ce serait bien si tu venais faire le service.
- Oui le service. Amener les petits fours, faire le thé, rien de très difficile. » De sa voix grave de femme de la quarantaine, elle énonçait cette proposition comme si elle était toute naturelle. L’érection de Léopold devint incontrôlable quand elle ajouta : « Tu seras nus bien ûur. Cela ne te dérange pas. » D’une voix chevrotante il répondit un « non » tout en se demandant comment il allait expliquer à Chrystèle son retard.
« Bon, je t’attends à six heures. Bien propre si tu vois ce que je veux dire. »
A dix-huit heures pile Léopold était devant la porte de Tania, un bouquet de roses rouges à la main. Elle habitait à Paris, près du Jardin des Plantes, dans un immeuble bourgeois assez banal. Quand il appuya sur la sonnette il entendit que pas mal de gens semblaient déjà présents au bruit des conversation. Tania lui ouvrit, le regard carnassier, un grand chemisier blanc largement ouvert sur le haut de ses seins, une jupe grise, un collier en or torsadé, de larges bracelets aux bras et surtout ce qui excitait au plus haut point Léopold, des bottes noires sans talon. « Entre, je vais te présenter à mes amies. » Dans le salon, quatre femmes. Toutes à peu près de l’âge de Chrystèle, assez bourgeoises, qui semblaient le regarder comme un troupeau de lionnes une appétissante gazelle. « Lila, Marie-Caroline, Sarah, Cathy, je vous présente Léopold. Qui va faire le service pour nous. Léopold prépare toi. » Et Tania de l’escorter jusqu’à sa chambre : « Déshabilles toi. Vite » Le ton est plus dur. « J’espère que tu as bien suivi mes instructions. Tu es bien propre de partout.
- Oui.
- Oui ?
- Oui maitresse.
- Bien, je vois que tu comprends où es ta place. C’est fantastique que nous nous soyons revus à Rotterdam. Voyons cette bite. Pas bien grande hein. Bon, pour ce que tu aurais à faire ce soir ce n’est pas bien important. Je te mettrais bien une cage de chasteté mais je sais que ces dames aime tripoter des bites. Ca ne te dérange pas ? Ne réponds pas. On s’en fiche en fait. Bon suis moi. » Totalement nu, Léopold suit Tania. Avec ses talons elle est plus grande que lui. Pratiquement glabre de partout il se rase le sexe depuis qu’il va dans des soirées libertines. Pas très musclé il n’est pas très viril. Les femmes le trouvent mignon. Les hommes aussi parfois.
« Prends ce plateau et fais le service. » Léopold avance auprès des femmes qui discutent autour d’un guéridon sans faire attention à lui. L’une, très forte, une poitrine impressionnante, professeur de philosophie de son état, prend un petit four tout en dissertant sur le désir avec une petite femme qui profite de voir Léopold penché sur sa voisine pour lui caresser les fesses : « Tu as des fesses très douces mon chéri. J’aime ça, venez toucher c’est charmant ». Les quatre autres femmes lui caressent à leur tour les fesses tout en faisant des remarques sur sa peau comme si Léopold était un simple animal.
Tania rit : « Oui ce serait dommage de lui tanner le cul ». Elle tient une badine à la main. « Mais tu seras bien sage. Hein gentil chien. »
Pendant une heure Léopold fait le service. Amène le thé. Subit différemment attouchements. Certaines lui caressent encore les fesses. D’autres apprécient la vigueur de son sexe en le faisant bander puis le congédient. Une plus décidée lui vrille même un doigt dans les fesses. Léopold bande, débande, n’en peut plus d’excitation devant ces cinq femmes qui discutent comme s’il n’était pas là.
Mais soudain Tania se lève. S’approche de Léopold. Lui met une grande claque. « Tu ne crois quand même pas t’en tirer comme ça. » Il se frotte la joue. Elle ne l’a pas raté. « Non maîtresse.
- Mets-toi à quatre pattes sur ce banc. »Il obtempère ? Les cinq femmes sont autour de lui. Tania reprend la parole : « Tu vois nous formons un petit club de femmes dominantes. Chaque mois nous faisons venir un petit soumis. Et nous le testons pour voir s’il peut nous accompagner dans des soirées plus… élaborées disons. Ca te plairait d’être notre soumis avec d’autres esclaves dans de grandes soirées ? Non ne réponds pas. Il suffit de voir comment tu bandes. » Tania lui prend le sexe effectivement turgescent. Le branle un peu. « Oh ne crois pas que je vais te faire jouir. Ca sera ta récompense si tu nous sers bien. Il est à vous mesdames. » La forte femme lui mets une laisser et un collier. Le fais descendre par terre, lui intime l’ordre de marcher à quatre pattes. S’installe dans un large fauteuil, écarte les cuisses. « Viens me lécher, chien. » Léopold obtempère. S’applique. Au jus qui coule il pense toucher au but. Derrière lui la plus petite des femmes lui enfile des godemichés heureusement de taille mesurée. Devant lui la forte femme, Cathy, lui a pris la tête à pleine main et le guide : « C’est bien tu es un bon chien. On va voir après si tu es une bonne chienne aussi. » Elle crie : « Oui, oui, continue, c’est bien. »Tania retourne Léopold, lui entoure la bite et les couilles d’un lacet pour qu’il ne jouisse pas trop vite. La petite femme. Aux petits seins. S’empale sur lui au milieu du salon : « Je t’interdis de me toucher ». Elle le baise. Littéralement. Il jouirait effectivement vite s’il n’en était pas empêché. Mais c’est elle, Sarah qui prend peu à peu son pied sous l’œil gourmant des trois autres femmes.
Du coin de l’œil il repère que Marie-Caroline, une superbe blonde aux très beaux seins à peine pendants, a revêtu un ensemble de cuir noir et que pend entre ses jambes un monstrueux godemiché. Noir également. A peine la petite Sarah se détache-t-elle de lui qu’elle lui indique de se remettre à quatre pattes sur le banc. Tania prend le temps de le préparer avant que le gigantesque phallus ne le déchire. La sensation n’est pas bonne. Il hurlerait si Tania n’avait pas pris la précaution de lui glisser une poire d’angoisse dans la bouche. Il s’enfuirait si les quatre femmes ne le tenaient pas pendant que Marie-Caroline le pénètre lentement. Le godemiché doit avoir également une extrémité qui pénètre son vagin car elle gémit également. La sensation est de moins en moins pénible pour Léopold. Elle le laisse. Tania le retourne. Il bande de nouveau. Elle lui enlève son lacet. Elle le branle. Il jouit tout de suite. Elle continue à le masturber. La sensation est indescriptible. Au sourire de Tania il voit qu’elle sait qu’elle le tient maintenant…
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