Le Contrat

- Par l'auteur HDS Pelec -
Récit érotique écrit par Pelec [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le Contrat Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le Contrat
Je venais d’avoir vingt-deux ans quand j’ai décroché ce poste. Assistant personnel d’une directrice générale dans une entreprise trop discrète pour figurer sur Google, mais suffisamment prestigieuse pour qu’on y entre par recommandation. C’était le cas pour moi. Mon oncle, à qui je devais tout, m’avait dit : « Ce sera formateur. »

Il ne m’avait pas parlé de Madame Stella.

La première fois que je l’ai vue, je me suis senti à la fois ramené à l’état de gosse et terriblement éveillé. Elle n’avait rien d’extravagant à première vue : fine, droite comme une lame, vêtue d’un tailleur noir sans une once de frivolité. Mais ses cheveux roux, coupés courts dans une pixie asymétrique, dégageaient sa nuque et encadraient son visage avec une précision quasi chirurgicale. Une frange en pointe tombait sur un de ses yeux verts, perçants, calmes, clairs comme de la glace. Des taches de rousseur parsemaient son teint pâle. Elle n’avait pas besoin de maquillage. Elle n’avait besoin de rien.

Elle m’a à peine regardé durant l’entretien. Elle a parcouru mon CV en silence, a posé deux questions sans me regarder, puis s’est levée. Elle m’a tendu la main.

— Vous commencez lundi. Huit heures pile. Tenue correcte. Discrétion absolue.

Et elle était déjà repartie.



La semaine a commencé comme une épreuve silencieuse. Elle ne parlait jamais plus que nécessaire. Ses mails étaient laconiques. Ses remarques, sèches. Elle ne souriait pas. Ne m’appelait pas par mon prénom. À vrai dire, je n’étais même pas certain qu’elle le connaissait.

Mais chaque fois qu’elle entrait dans une pièce, j’étais incapable de penser à autre chose. J’étais happé par la tension de ses gestes, la froideur de sa voix, la maîtrise absolue de son corps. Elle était comme une ligne droite dans un monde courbe.

Elle me fascinait.

Et j’étais à la fois terrifié et excité par ce que je ressentais pour elle.



Le vendredi soir, je suis resté un peu plus tard au bureau. J’avais reçu un dossier urgent à remettre dans le bureau de Madame Stella, fermé pour la journée. J’ai attendu que tout le monde parte. À 18h50, j’ai monté les escaliers du dernier étage, dossier en main.

La lumière de son bureau filtrait sous la porte.

J’ai hésité, frappé doucement. Pas de réponse.

Alors j’ai entrouvert. Juste assez pour glisser le dossier.

Et je l’ai vue.

Assise dans son fauteuil, jambes écartées, la jupe relevée jusqu’aux hanches. Elle tenait un petit vibromasseur contre sa chatte, ses doigts écartant les lèvres luisantes de son sexe. Sa tête était renversée en arrière, la bouche entrouverte. Un soupir rauque s’échappa d’elle au moment où nos regards se croisèrent.

Mon cœur s’est arrêté.

Je suis resté figé, paralysé entre l’envie de fuir et celle de m’agenouiller là, tout de suite.

Elle ne bougea pas. Ne sembla ni surprise ni fâchée.

Elle retira lentement l’objet de son sexe, le posa sur son bureau, puis s’adressa à moi d’un ton plat :

— Entre.

Je me suis exécuté sans réfléchir, comme un réflexe de survie.

Je refermai la porte derrière moi. La pièce était chaude, parfumée d’elle. D’un mélange de cuir, de chaleur humaine et de quelque chose de plus… animal. Son odeur, légèrement musquée, flottait dans l’air.

Elle écartait toujours les jambes, sans honte. Sans un mot.

— À genoux.

Sa voix était ferme, sèche, sans appel.

Je suis tombé à genoux devant elle.

Son sexe était là, à quelques centimètres de mon visage. Une toison rousse encadrait un sexe gonflé, humide, d’un rose profond. Elle ne s’épilait pas. Rien n’était retenu, tout était offert. Naturel. Cru. Authentique.

Je n’avais jamais vu de chatte comme ça. Rien que son odeur me faisait bander au point de sentir mon pantalon me scier la taille.

— Tu vas me lécher. Tu vas le faire bien. Et tu ne t’arrêteras pas sans ma permission.

Je n’ai rien dit. J’ai seulement approché mon visage.

Ma bouche a effleuré ses lèvres, chaudes, pulpeuses, légèrement tremblantes. J’y ai goûté la moiteur salée de son excitation, ce mélange brut et enivrant de sueur, de cyprine, d’autorité et d’interdit. Je me suis perdu dans son odeur, dans ce goût puissant qui me collait à la langue comme un poison délicieux.

Elle a laissé échapper un soupir court. Sa main s’est glissée dans mes cheveux pour guider mes mouvements.

— Là. Plus bas. Plus souple. Oui, comme ça… sens-moi bien.

Sa voix avait changé. Elle était plus rauque, plus basse. Mais elle gardait cette autorité froide. Je n’étais qu’un outil sous sa chatte. Un objet.

Et je n’avais jamais été aussi heureux.

Je l’ai léchée longuement, méthodiquement. Je buvais littéralement ses humeurs, je caressais son clitoris du bout de la langue, en cercles, en va-et-vient, selon le rythme de sa respiration. Chaque gémissement était pour moi un ordre implicite. Je voulais qu’elle jouisse. Je voulais me noyer dans son plaisir.

Ses cuisses se contractaient autour de mon visage. Sa main dans mes cheveux se crispait parfois pour guider, maintenir, presser. Par moments, elle murmurait des mots que je n’osais pas interpréter : “Encore… plus fort… lèche-moi bien…”

Je me suis mis à grogner contre son sexe, de frustration, d’excitation, de besoin. J’avais la bite tendue à en hurler, mais elle ne me laissait pas y toucher. Je savais que si je tentais quoi que ce soit sans autorisation, elle m’éjecterait sans un mot. Et c’était impensable.

Je l’ai léchée encore, je l’ai aspirée, j’ai plongé la langue en elle, j’ai caressé son clito de mes lèvres et de ma bouche jusqu’à sentir ses jambes trembler.

Son corps s’est tendu brusquement. Elle a saisi mes cheveux à deux mains, a plaqué mon visage contre sa chatte en gémissant :

— Ne t’arrête pas. Bouge pas. Oui, comme ça, putain, oui…

J’ai senti son sexe se contracter contre ma bouche. Elle a joui dans un râle grave, animal, en se cambrant légèrement. Une vague chaude a coulé contre ma langue. Je n’ai pas bougé. Pas respiré. Je l’ai laissé jouir sur moi, contre moi, en moi.

Quand elle s’est relâchée, elle a pris une longue inspiration, a rouvert les yeux, et m’a observé.

Un silence pesant est tombé.

Je restais à genoux, le visage luisant, le souffle court, la bouche pleine encore de son goût.

Elle s’est redressée légèrement, a réajusté sa jupe.

— Tu ne t’es pas trop mal débrouillé. Pour un début.

Puis elle s’est levée.

Elle m’a regardé droit dans les yeux, impassible.

— Tu viens chez moi ce soir.

Je n’ai pas répondu.

Je me suis juste relevé.

Et j’ai suivi.

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