Le Contrat - Chapitre 3: La clé

Récit érotique écrit par Pelec [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Le Contrat - Chapitre 3: La clé
Je me réveillai lentement, le corps endolori, la bouche sèche, l’esprit encore engourdi. Le cuir du canapé me collait à la peau. Une lumière douce filtrait à travers les stores mi-clos, dessinant des rayures pâles sur le sol en bois sombre. Je mis quelques secondes à comprendre où je me trouvais. Puis le tissu tendu sur mes hanches, la légère morsure de la honte, laissa place à une certitude : je portais encore cette culotte de femme.
Je n’étais plus chez moi. J’étais encore chez elle.
Mon ventre se serra.
Je me redressai lentement, en m’appuyant sur mes coudes. Mes muscles étaient raides, et une tension sourde bourdonnait entre mes cuisses. Mon sexe durcissait déjà sous le tissu trop étroit. Je voulus le toucher, par réflexe. Mais une voix glaciale m’arrêta.
— Ne bouge pas.
Je me figeai.
Elle était là. Debout, près de la porte, dans une chemise noire impeccable, pantalon tailleur ajusté, pieds nus. Elle me regardait sans expression, les bras croisés.
Je ne savais pas depuis combien de temps elle m’observait.
— Tu es réveillé, constata-t-elle.
Je hochai la tête, la gorge nouée.
— Parfait. Alors prouve-moi que tu mérites encore d’être ici.
Mon cœur se mit à battre plus fort. Je ne comprenais pas. Que voulait-elle dire ? Avais-je fait quelque chose de mal ? Était-ce un test ? Oui. Tout était un test.
— À genoux, ordonna-t-elle.
Je glissai lentement du canapé et posai mes genoux sur le tapis. Elle s’approcha sans un mot, me contourna, puis effleura ma nuque du bout des doigts.
— Mains croisées dans le dos. Tête baissée. Dos droit.
J’obéis, le souffle court. Je sentais son regard peser sur ma nuque, sur mes omoplates nues, sur la courbe de mon dos.
— Maintenant… tu vas me dire ce que tu es. Ce que tu mérites.
Elle s’était assise sur un fauteuil derrière moi, je le devinais à la tension du parquet. Sa voix, toujours calme, tombait sur moi comme une pluie froide.
— Tu répéteras : Je ne suis qu’un objet. Je suis faible. Je ne mérite rien d’autre que l’humiliation. Trois fois. Ensuite, tu improviseras.
Je me mordis l’intérieur de la joue. Une hésitation, même légère. Mauvais réflexe.
Trop tard.
Elle s’était déjà levée. En une fraction de seconde, je sentis sa main s’abattre sèchement sur l’arrière de ma tête.
— Tu hésites déjà ? souffla-t-elle. C’est pathétique.
Je chutai presque en avant, mais restai en position. Ma joue brûlait, ma fierté aussi.
— Recommence. Immédiatement.
Je pris une inspiration tremblante.
— Je ne suis qu’un objet. Je suis faible. Je ne mérite rien d’autre que l’humiliation.
Une fois.
— Je ne suis qu’un objet…
Ma voix se fissura. Une part de moi hurlait. Une autre jouissait.
À la fin de la troisième répétition, je cherchai mes mots. Il fallait improviser. Dire ce qu’elle attendait. Mais comment savoir ? Je me lançai.
— Je suis là pour être utilisé. Je ne vaux rien sans vos ordres. Je ne suis pas un homme, seulement un réceptacle. Votre réceptacle.
Silence.
Mon cœur tambourinait.
Puis elle parla.
— Relève-toi.
Je crus que c’était fini. Mais ce ne l’était jamais.
Je me mis debout, les yeux toujours baissés. Elle sortit une petite boîte noire d’un tiroir du meuble d’entrée. Je ne la vis que lorsqu’elle l’ouvrit devant moi.
Un objet métallique, lisse, aux courbes menaçantes.
Une cage. Minuscule.
— Tu as encore du mal à comprendre à qui appartient ce corps, murmura-t-elle.
Elle s’agenouilla devant moi. Défit lentement la culotte. Mon sexe, dur et exposé, frissonna sous l’air tiède.
— Ce n’est pas pour te donner du plaisir, dit-elle. C’est pour que tu comprennes que ce plaisir ne dépend plus de toi.
Elle emboîta la cage sans ménagement. Mon sexe fut écrasé, enfermé. Un petit clic. Puis elle accrocha une fine chaîne à son cou. Au bout : la clé.
— Tant que tu ne l’as pas méritée… cette chose ne t’appartient plus.
Elle se releva.
— Tu peux t’habiller. Pas de sous-vêtements. Reprends la culotte, mais dans ta poche. Et pas un mot.
Je me rhabillai lentement, le cœur au bord des lèvres. Mon sexe emprisonné, douloureux, me rappelait à chaque geste que je venais de franchir une frontière. J’étais à la fois humilié et exalté.
Avant de partir, elle me tendit mon manteau. Je n’avais rien d’autre.
— Tu peux rentrer chez toi maintenant.
Je la regardai, perdu.
Elle croisa les bras.
— Tu comprendras bientôt… si tu mérites la phase suivante.
Je sortis sans un mot. Nu sous mon manteau. La culotte froissée dans ma poche. Et cette cage, ce carcan brûlant, entre mes jambes.
Je ne savais pas si je serais rappelé.
Et c’était précisément ça, le plus insupportable.
Je n’étais plus chez moi. J’étais encore chez elle.
Mon ventre se serra.
Je me redressai lentement, en m’appuyant sur mes coudes. Mes muscles étaient raides, et une tension sourde bourdonnait entre mes cuisses. Mon sexe durcissait déjà sous le tissu trop étroit. Je voulus le toucher, par réflexe. Mais une voix glaciale m’arrêta.
— Ne bouge pas.
Je me figeai.
Elle était là. Debout, près de la porte, dans une chemise noire impeccable, pantalon tailleur ajusté, pieds nus. Elle me regardait sans expression, les bras croisés.
Je ne savais pas depuis combien de temps elle m’observait.
— Tu es réveillé, constata-t-elle.
Je hochai la tête, la gorge nouée.
— Parfait. Alors prouve-moi que tu mérites encore d’être ici.
Mon cœur se mit à battre plus fort. Je ne comprenais pas. Que voulait-elle dire ? Avais-je fait quelque chose de mal ? Était-ce un test ? Oui. Tout était un test.
— À genoux, ordonna-t-elle.
Je glissai lentement du canapé et posai mes genoux sur le tapis. Elle s’approcha sans un mot, me contourna, puis effleura ma nuque du bout des doigts.
— Mains croisées dans le dos. Tête baissée. Dos droit.
J’obéis, le souffle court. Je sentais son regard peser sur ma nuque, sur mes omoplates nues, sur la courbe de mon dos.
— Maintenant… tu vas me dire ce que tu es. Ce que tu mérites.
Elle s’était assise sur un fauteuil derrière moi, je le devinais à la tension du parquet. Sa voix, toujours calme, tombait sur moi comme une pluie froide.
— Tu répéteras : Je ne suis qu’un objet. Je suis faible. Je ne mérite rien d’autre que l’humiliation. Trois fois. Ensuite, tu improviseras.
Je me mordis l’intérieur de la joue. Une hésitation, même légère. Mauvais réflexe.
Trop tard.
Elle s’était déjà levée. En une fraction de seconde, je sentis sa main s’abattre sèchement sur l’arrière de ma tête.
— Tu hésites déjà ? souffla-t-elle. C’est pathétique.
Je chutai presque en avant, mais restai en position. Ma joue brûlait, ma fierté aussi.
— Recommence. Immédiatement.
Je pris une inspiration tremblante.
— Je ne suis qu’un objet. Je suis faible. Je ne mérite rien d’autre que l’humiliation.
Une fois.
— Je ne suis qu’un objet…
Ma voix se fissura. Une part de moi hurlait. Une autre jouissait.
À la fin de la troisième répétition, je cherchai mes mots. Il fallait improviser. Dire ce qu’elle attendait. Mais comment savoir ? Je me lançai.
— Je suis là pour être utilisé. Je ne vaux rien sans vos ordres. Je ne suis pas un homme, seulement un réceptacle. Votre réceptacle.
Silence.
Mon cœur tambourinait.
Puis elle parla.
— Relève-toi.
Je crus que c’était fini. Mais ce ne l’était jamais.
Je me mis debout, les yeux toujours baissés. Elle sortit une petite boîte noire d’un tiroir du meuble d’entrée. Je ne la vis que lorsqu’elle l’ouvrit devant moi.
Un objet métallique, lisse, aux courbes menaçantes.
Une cage. Minuscule.
— Tu as encore du mal à comprendre à qui appartient ce corps, murmura-t-elle.
Elle s’agenouilla devant moi. Défit lentement la culotte. Mon sexe, dur et exposé, frissonna sous l’air tiède.
— Ce n’est pas pour te donner du plaisir, dit-elle. C’est pour que tu comprennes que ce plaisir ne dépend plus de toi.
Elle emboîta la cage sans ménagement. Mon sexe fut écrasé, enfermé. Un petit clic. Puis elle accrocha une fine chaîne à son cou. Au bout : la clé.
— Tant que tu ne l’as pas méritée… cette chose ne t’appartient plus.
Elle se releva.
— Tu peux t’habiller. Pas de sous-vêtements. Reprends la culotte, mais dans ta poche. Et pas un mot.
Je me rhabillai lentement, le cœur au bord des lèvres. Mon sexe emprisonné, douloureux, me rappelait à chaque geste que je venais de franchir une frontière. J’étais à la fois humilié et exalté.
Avant de partir, elle me tendit mon manteau. Je n’avais rien d’autre.
— Tu peux rentrer chez toi maintenant.
Je la regardai, perdu.
Elle croisa les bras.
— Tu comprendras bientôt… si tu mérites la phase suivante.
Je sortis sans un mot. Nu sous mon manteau. La culotte froissée dans ma poche. Et cette cage, ce carcan brûlant, entre mes jambes.
Je ne savais pas si je serais rappelé.
Et c’était précisément ça, le plus insupportable.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un très bon reveil pour le soumis avec une belle gifle et une belle leçon pour le petit déjeuner
Madame Stella met en cage son lecteur
Vite la suite

