Le dépannage
Récit érotique écrit par CDuvert [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le dépannage
Marc claque le capot de sa vieille Clio. La fumée blanche qui s'échappe du moteur lui confirme ce qu'il redoutait. Sa voiture vient de rendre l'âme au milieu de nulle part, sur une départementale qui serpente entre les collines de Catalogne.
Il sort de la voiture, observe les environs. Dix-neuf ans, timide par nature, habitué aux pannes de sa voiture rouillée qu'il a rachetée à son père. Les champs de lavande s'étendent à perte de vue. Pas une maison en vue. Il sort son téléphone. Pas de réseau.
« Parfait », marmonne-t-il en poussant le véhicule sur le bas-côté.
Le soleil cogne dur sur ses épaules. Il transpire déjà dans son t-shirt blanc. Au loin, le bruit d'un moteur approche. Une vieille Citroën bleue ralentit à sa hauteur. Deux femmes à bord.
La conductrice baisse sa vitre. Cheveux châtains bouclés, visage halé, sourire chaleureux. La trentaine. Elle porte une robe d'été jaune qui moule ses hanches généreuses.
« Ça va ? » demande-t-elle.
Marc s'approche, intimidé. « Ma voiture est tombée en panne. Je... »
« Monte », dit-elle sans hésiter. « Je suis Sophie. »
Sa passagère se retourne. Blonde aux yeux verts, plus jeune que Sophie. Vingt-quatre, vingt-cinq ans peut-être. Un débardeur blanc translucide laisse deviner la forme de ses seins.
« Clara », dit-elle avec un sourire espiègle. « Tu vas où ? »
« Nulle part en particulier », avoue Marc. « Je faisais juste une balade. »
Sophie rit. « Une balade qui tourne mal. Notre mas n'est pas loin. Tu pourras téléphoner de là-bas. »
Marc hésite. Il ne connaît pas ces femmes. Mais que faire d'autre ? Attendre qu'une autre voiture passe ?
« Allez, monte », insiste Clara. « On ne mord pas. »
Marc ouvre la portière arrière, s'installe sur la banquette. L'habitacle sent le parfum de pêche et la cigarette blonde. Sophie redémarre, engage la voiture sur la route.
« Tu fais quoi dans la vie ? » demande Clara en se tournant vers lui.
« Comptable », répond Marc, gêné par son regard direct.
« Comptable ! » Sophie éclate de rire. « Tu m'imagines en train de faire mes comptes ? »
« Je préfère ne pas imaginer », répond Clara avec un sourire entendu.
Marc ne sait pas quoi répondre. Ces femmes dégagent une aisance qu'il n'a jamais possédée. Sophie conduit d'une main désinvolte, l'autre posée sur sa cuisse. Clara remonte ses cheveux blonds, dévoilant sa nuque fine.
« Tu habites dans le coin ? » demande Sophie en croisant son regard dans le rétroviseur.
«Perpignan », dit Marc. « Et vous ? »
« Nous, on vit au jour le jour », répond Clara. « Pas vrai, Sophie ? »
Sophie acquiesce. « Exact. Pas de contraintes, pas d'horaires. La liberté totale. »
La route serpente vers les contreforts montagneux. Marc observe le paysage qui défile, mais son attention revient sans cesse sur ces deux femmes. Leurs gestes, leurs rires, leur complicité évidente.
« Tu es timide », constate Clara.
Marc rougit. « Un peu. »
« C'est mignon », dit Sophie. « Ça change. »
« De quoi ? » demande Marc malgré lui.
Les deux femmes échangent un regard complice.
« Des hommes qu'on rencontre d'habitude », répond Clara. « Ils sont tous si sûrs d'eux. »
Sophie conduit d'une main nonchalante, l'autre posée sur sa cuisse nue. Marc observe leurs gestes dans le rétroviseur, troublé par leur complicité évidente.
« Alors, comptable », répète Sophie avec un sourire moqueur. « Tu gères les finances de qui ? »
« Personne d'important », répond Marc. « Une petite entreprise de matériel agricole. »
Clara se tourne vers lui, amusée. « Matériel agricole ! Sophie, tu imagines ? Il connaît tous les secrets des moissonneuses-batteuses. »
« Mes secrets ne sont pas agricoles », murmure Sophie en caressant l'avant-bras de Clara.
Marc sent ses joues s'empourprer. La main de Sophie remonte lentement sur la peau bronzée de Clara, effleure son poignet, puis redescend.
« Clara a raison », dit Sophie en croisant son regard dans le miroir. « Nos secrets sont... plus intimes. »
« Beaucoup plus intimes », renchérit Clara en nouant ses doigts à ceux de Sophie.
Marc détourne les yeux mais son corps réagit malgré lui. Une chaleur diffuse naît dans son ventre.
« Tu es gêné ? » demande Clara.
« Un peu », avoue Marc.
« Pourquoi ? » Sophie ralentit dans un virage. « On ne fait rien de mal. »
La main de Clara glisse sur la cuisse de Sophie, remonte vers l'ourlet de sa robe jaune. Marc la regarde faire, fasciné malgré sa timidité.
« Regarde-nous », dit Sophie, voix plus grave. « N'aie pas honte, Marc. Le plaisir ne doit jamais être honteux. »
Clara déboutonne lentement le haut de sa robe d'un geste fluide. Ses seins apparaissent, ronds et fermes, mamelons déjà dressés. Elle les caresse doucement, pouces qui tournent autour des aréoles.
« Tu aimes ? » chuchote-t-elle à Marc.
Marc hoche la tête, gorge nouée. Son sexe se durcit contre son pantalon. Il ne peut détacher ses yeux de la poitrine de Clara.
« Réponds », insiste Sophie. « On veut t'entendre. »
« Oui », murmure Marc. « J'aime. »
Sophie ralentit encore, gare la voiture sur un chemin de terre bordé de cyprès. Le moteur se tait. Seuls les cigales troublent le silence.
« Première leçon », dit Sophie en éteignant le contact. « Le plaisir ne doit jamais attendre. »
Clara ouvre sa portière, passe à l'arrière. Marc sent son cœur s'emballer quand elle s'assoit près de lui. Son parfum de pêche l'enveloppe, se mêle à l'odeur chaude de sa peau.
« Tu trembles », constate Clara en effleurant sa joue de ses doigts tièdes.
Marc frissonne sous son toucher. Une décharge électrique parcourt son corps, descend jusqu'à son ventre où naît une chaleur diffuse.
« Je... je n'ai pas l'habitude », bégaie-t-il, voix cassée par l'émotion.
« L'habitude de quoi ? » Sophie se retourne, observe la scène avec des yeux brillants de désir.
« De femmes comme vous. »
Clara rit doucement, souffle chaud contre son oreille. « Et comment on est ? »
« Libres », dit Marc, troublé par la proximité de ses lèvres. « Audacieuses. »
« On va t'apprendre », murmure Clara, main qui glisse sur sa nuque.
Ses lèvres se posent sur celles de Marc. Baiser léger d'abord, à peine un effleurement. La douceur de sa bouche lui fait tourner la tête. Puis plus profond. Sa langue explore sa bouche, caresse la sienne avec une sensualité qui lui coupe le souffle. Sophie les observe, main glissée dans son décolleté, caresse ses seins à travers le tissu de sa robe.
« Continue, Clara », encourage Sophie, voix rauque. « Il aime. »
Marc sent son sexe durcir contre son pantalon. La pression devient douloureuse, tendue à l'extrême. Clara le sent aussi. Sa main descend vers son entrejambe, effleure d'abord le tissu tendu, puis appuie plus fermement.
« Tu es dur », constate-t-elle en caressant son érection à travers son pantalon. « Ça t'excite de nous regarder ? »
« Oui », souffle Marc, voix étranglée.
Sophie défait sa ceinture d'un geste fluide, écarte les jambes. Sa culotte blanche est trempée, tissu collé contre ses lèvres gonflées. Elle glisse sa main à l'intérieur, commence à se caresser lentement.
« Regarde-moi aussi », dit-elle, doigts qui glissent sur son clitoris durci.
Marc alterne son regard entre Clara qui le caresse et Sophie qui se masturbe. Son cerveau se déconnecte, submergé par les sensations. La main de Clara accélère ses mouvements sur son sexe tendu. Ses doigts dessinent des cercles précis sur son gland à travers le tissu humide de pré-sperme.
La pression monte dans son ventre, chaleur qui irradie vers ses reins. Ses testicules se contractent, lourds et tendus. Il sent le sperme qui remonte dans son urètre, pression qui devient insoutenable.
« Laisse-toi aller », chuchote Clara contre ses lèvres.
Sa main accélère encore le rythme. Marc rejette la tête en arrière, souffle court. Ses hanches bougent d'instinct contre la main de Clara. Sophie gémit en se masturbant, doigts qui s'enfoncent dans son sexe trempé.
L'orgasme frappe Marc avec la violence d'une déferlante. Son sexe pulse contre son pantalon, jets de sperme chaud qui maculent le tissu. Les contractions secouent son bas-ventre, vague après vague de plaisir intense. Il gémit malgré lui, corps tendu comme un arc.
« Bien », dit Sophie en remettant sa culotte, visage luisant de satisfaction. « Première étape franchie. »
Clara embrasse tendrement le front de Marc, lèvres douces contre sa peau moite. « Tu verras, au mas, on va se faire du bien. »
Elle remonte sur le siège passager, laissant Marc pantelant à l'arrière. Sophie redémarre la voiture. Marc reste immobile, pantalon souillé collé contre sa peau, encore tremblant des séquelles de son orgasme. Son corps tout entier vibre encore de plaisir.
Le mas apparaît au détour d'un virage serré. Pierre ocre réchauffée par le soleil, volets bleus patinés par le temps, terrasse ombragée de vigne vierge. Sophie coupe le contact sous un figuier centenaire.
« Bienvenue chez nous », dit-elle en sortant de voiture.
Marc descend à son tour, jambes flageolantes. Sa timidité revient d'un coup face à l'intimité évidente des lieux.
« C'est magnifique », murmure-t-il.
« Attends de voir l'intérieur », répond Clara avec un sourire prometteur.
Elles le précèdent dans l'escalier de pierre. Marc observe leurs mouvements, hanches qui ondulent sous leurs robes. L'air embaume la lavande et le thym sauvage.
Le salon aux poutres apparentes respire la sensualité. Canapé de cuir fauve, tapis berbère, tableaux aux couleurs chaudes. Clara verse du rosé glacé dans trois verres de cristal.
« Assieds-toi », dit Sophie en désignant un fauteuil face au canapé.
Elle prend place sur le sofa, jambes légèrement écartées. Sa robe jaune remonte jusqu'à mi-cuisses. Clara s'installe près d'elle, leurs corps qui se touchent naturellement.
« Tu as soif ? » demande Clara en lui tendant son verre.
Marc boit une gorgée. Le vin frais coule dans sa gorge mais ne calme pas sa nervosité.
« Tu n'as jamais vu deux femmes ensemble ? » reprend Clara, yeux verts plantés dans les siens.
Marc secoue la tête. Son cœur bat si fort qu'il craint qu'elles l'entendent.
« Alors regarde », murmure Sophie.
Elle se penche vers Clara, leurs visages se rapprochent. Leurs lèvres se frôlent d'abord, puis s'unissent dans un baiser profond. Leurs langues se mêlent avec une familiarité évidente. Clara gémit doucement quand Sophie mordille sa lèvre inférieure.
« Ça t'excite ? » demande Sophie sans quitter Clara des yeux.
« Oui », souffle Marc, gorge serrée.
Les mains de Sophie explorent le corps de Clara. Elles glissent sous son débardeur, caressent ses seins libres. Clara cambre le dos, pousse des soupirs de plaisir.
« Déshabille-toi », murmure Sophie à son amie.
Clara se lève avec grâce. Elle retire lentement son débardeur blanc. Ses seins se balancent librement, tétons roses déjà durcis. Sa jupe glisse le long de ses hanches. Elle ne porte pas de culotte. Son sexe glabre brille déjà d'humidité.
« Tu es belle », dit Marc malgré lui.
Clara sourit, pivote lentement pour lui offrir tous les angles de son corps nu. Sophie l'observe aussi, désir évident dans ses yeux sombres.
« A ton tour », dit Clara à Sophie.
Sophie se dévêt sans hâte. Sa robe jaune tombe à ses pieds. Elle révèle un corps aux courbes généreuses, seins lourds aux aréoles sombres, toison brune entre ses cuisses.
« Viens », dit-elle à Clara.
Clara s'allonge sur le canapé de cuir fauve, corps nu offert à la lumière dorée qui filtre par les volets. Sophie s'agenouille entre ses jambes écartées, contemplant le sexe imberbe de son amie qui brille déjà d'excitation.
Sophie penche la tête, souffle chaud sur la peau sensible de Clara. Sa langue effleure d'abord l'intérieur de ses cuisses, remonte lentement vers son intimité. Clara frissonne sous ses caresses préliminaires, hanches qui bougent d'instinct.
« Oh oui », halète Clara quand la langue de Sophie trouve enfin son clitoris gonflé. « Exactement là. »
Sophie encercle le petit bourgeon durci, alterne coups de langue lents et rapides. Clara gémit plus fort, mains qui s'enfouissent dans les cheveux châtains de Sophie, la pressent contre son sexe humide.
Marc regarde, fasciné par leurs gestes amoureux. Son sexe se durcit à nouveau dans son pantalon malgré son orgasme récent. La vue de Sophie qui lèche Clara avec application lui fait perdre la tête.
Sophie lève les yeux vers lui tout en continuant ses caresses buccales. Sa langue danse sur le clitoris de Clara, descend vers son entrée trempée, remonte en cercles précis.
« Touche-toi », ordonne-t-elle entre deux coups de langue, voix rendue rauque par l'excitation.
Marc hésite. Ses mains tremblent quand il ouvre sa braguette. Son sexe jaillit, dur et brillant de désir renouvelé. Il commence à se caresser lentement, yeux rivés sur le spectacle qui s'offre à lui.
« Plus vite », encourage Clara, dos arqué sous les caresses expertes de Sophie. « Regarde comme elle me fait du bien. »
Le rythme de Marc s'accélère. Sophie introduit maintenant deux doigts dans le sexe trempé de Clara tout en titillant son clitoris de sa langue agile. Ses doigts bougent en va-et-vient régulier, cherchent le point sensible qui fait gémir Clara.
« Là, juste là », crie Clara, cuisses qui tremblent contre les joues de Sophie.
Sophie intensifie ses mouvements. Sa langue bat plus rapidement sur le clitoris durci tandis que ses doigts s'enfoncent plus profondément. Clara se contracte autour d'eux, cyprine qui coule sur sa main.
Marc se masturbe plus frénétiquement, troublé par les gémissements de Clara et les bruits humides que font la bouche et les doigts de Sophie sur son sexe.
L'orgasme frappe Clara avec violence. Son corps se tend, dos complètement arqué. Elle crie son plaisir, mains crispées dans les cheveux de Sophie qui continue ses caresses pour prolonger les spasmes.
« Continue », supplie Clara, corps secoué de contractions. « Ne t'arrête pas. »
Sophie obéit, langue et doigts qui maintiennent le rythme. Clara jouit une seconde fois, orgasme plus long et plus profond qui la laisse pantelante sur les coussins.
Marc lâche son sexe, proche de jouir à nouveau. Sophie se redresse, visage luisant de cyprine, sourire satisfait aux lèvres.
« Maintenant, à toi », dit-elle en s'approchant de lui.
Clara se lève avec grâce, visage luisant du plaisir qu'elle vient de procurer à Sophie. Ses lèvres brillent encore de cyprine, ses cheveux blonds emmêlés retombent sur ses épaules nues. Elle s'approche de Marc, déhanchement félin qui hypnotise son regard.
« Tu vas aimer », murmure-t-elle en s'agenouillant devant lui, mains posées sur ses cuisses écartées.
Marc tremble quand elle effleure son gland humide. Le contact de ses lèvres tièdes lui arrache un gémissement sourd. Sa langue danse autour du gland, tourne en cercles lents qui lui font perdre le souffle.
« Regarde-moi », dit Clara en levant ses yeux verts vers lui.
Elle prend son sexe en bouche, lèvres qui s'étirent autour de sa hampe durcie. Sa langue caresse la face inférieure de son gland, va et vient sur son frein avec une précision qui le fait frissonner. Marc sent ses jambes trembler sous l'intensité du plaisir.
Sophie les rejoint, nue et luisante de transpiration. Elle caresse les cheveux de Clara, guide le rythme de sa bouche sur le sexe de Marc.
« Plus profond », encourage Sophie. « Il peut supporter davantage. »
Clara obéit, enfonce le sexe de Marc plus loin dans sa gorge. Sa bouche chaude et humide l'engloutit presque entièrement. Elle contracte ses muscles buccaux, crée une succion qui lui coupe le souffle.
« Mon dieu », halète Marc, mains crispées sur les accoudoirs du fauteuil.
Clara accélère le rythme. Sa tête bouge de haut en bas, cheveux qui voltigent autour de son visage concentré. Sa langue ne cesse de caresser son gland pendant qu'elle le fait aller et venir dans sa bouche experte.
Sophie se penche, embrasse Marc avec passion. Leurs langues se mêlent tandis que Clara continue sa fellation. Marc se perd dans ces sensations doubles, bouche de Sophie sur la sienne, bouche de Clara sur son sexe.
« Tu aimes ce qu'elle te fait ? » murmure Sophie contre ses lèvres.
« Oui », gémit Marc. « C'est... incroyable. »
Clara intensifie ses mouvements. Elle alterne entre succions profondes et coups de langue rapides sur son gland sensible. Sa main droite caresse ses testicules tendus, les malaxe doucement.
Marc sent la pression monter dans son bas-ventre. Ses muscles se contractent, chaleur qui irradie de ses reins vers son sexe palpitant. Clara le sent aussi, accélère encore son rythme.
« Je vais... », commence Marc, voix étranglée.
« Laisse-toi aller », souffle Sophie. « Jouis dans sa bouche. »
L'orgasme frappe Marc comme une déferlante. Son sexe pulse dans la bouche de Clara, jets de sperme chaud qui jaillissent sur sa langue avide. Elle avale tout, continue de le sucer pendant que les contractions secouent son corps tendu.
« Prêt pour la suite ? » demande Sophie quand Clara relâche enfin son sexe encore palpitant.
Marc hoche la tête, perdu dans un tourbillon de sensations nouvelles. Son corps tremble encore des séquelles de son orgasme intense.
« Parce que maintenant », dit Clara en se léchant les lèvres, « on va vraiment s'amuser. »
Marc se lève, pantalon aux chevilles. Ses jambes tremblent encore de l'orgasme précédent mais son désir renaît déjà sous leurs regards brûlants.
« Allonge-toi », murmure Sophie en tapotant le canapé.
Clara guide Marc vers le sofa où Sophie s'étend, cuisses largement ouvertes. Son sexe bâille d'envie, lèvres gonflées et luisantes.
« Goûte-moi », ordonne-t-elle d'une voix rauque. « Je veux sentir ta langue sur moi. »
Marc s'agenouille entre ses jambes. L'odeur musquée de Sophie l'enivre. Il approche sa bouche de son intimité, langue qui effleure d'abord les lèvres gonflées. Le goût salé-sucré explose sur ses papilles.
« Oui », gémit Sophie. « Exactement là. »
Sa langue remonte vers le clitoris durci, tourne autour avec application. Sophie se cambre, pousse son bassin contre sa bouche affamée. Ses mains agrippent les cheveux de Marc.
« Plus profond », halète-t-elle.
Clara se positionne derrière Marc, corps nu pressé contre son dos. Ses seins se collent à sa peau moite. Ses mains caressent ses fesses tendues, doigts qui frôlent son anus serré.
« Tu aimes ce qu'on te fait ? » chuchote Clara à son oreille.
Marc frissonne sous ses attouchements. Sa langue devient plus active sur le sexe de Sophie, alterne entre cercles lents et coups rapides.
« Maintenant », halète Sophie, cuisses tremblantes d'anticipation. « Je te veux en moi. »
Marc se redresse, sexe tendu et brillant de désir. Les veines gonflent sous sa peau tendue. Il guide son sexe vers l'entrée trempée de Sophie, frotte son gland contre ses lèvres ouvertes.
Elle est brûlante, chaleur moite qui irradie contre son sexe. Étroite malgré son excitation, muscles contractés par l'attente. Il s'enfonce lentement, centimètre par centimètre, sent les chairs qui s'écartent pour l'accueillir.
« Mon dieu », gémit Sophie, tête renversée en arrière. « Tu me remplis si bien. Continue. »
Marc s'enfonce davantage, sent les parois de Sophie qui se moulent autour de lui. Sa chaleur l'enveloppe complètement, étreinte veloutée qui le fait frissonner de plaisir.
Clara glisse ses mains sous Sophie, soulève ses hanches pour mieux l'ouvrir. Elle se positionne sous son amie, leurs sexes qui se touchent et se frottent, lèvres mouillées qui glissent l'une contre l'autre.
« Moi aussi », murmure Clara, yeux brillants de désir. « Je veux te sentir en moi. »
Marc comprend. Il sort lentement de Sophie, son sexe luisant de sa cyprine. Clara écarte ses cuisses, offre son sexe imberbe et trempé. Il guide son gland vers son entrée, plus étroite encore que Sophie.
Clara pousse un cri de plaisir quand il la pénètre d'un mouvement fluide. Ses muscles se contractent autour de lui, l'étreignent avec une intensité qui lui coupe le souffle.
« Alterne », souffle Sophie, main sur son propre clitoris. « Une fois moi, une fois elle. »
Marc établit un rythme régulier. Il sort de Clara, la pénètre à nouveau, puis revient vers Sophie. Tantôt dans la chaleur profonde de Sophie, tantôt dans l'étreinte serrée de Clara. Leurs corps s'entremêlent, sueur et cyprine mélangées sur leurs peaux brûlantes.
L'odeur du sexe embaume le salon. Musc et transpiration, parfums intimes qui s'élèvent de leurs corps unis. Le canapé craque sous leurs mouvements de plus en plus frénétiques.
« Plus vite », exige Clara, ongles plantés dans le dos de Marc.
Il accélère le rythme, va et vient entre les deux femmes avec une urgence grandissante. Son sexe pulse, gonflé à l'extrême. La pression monte dans ses reins, testicules lourds qui se contractent.
Sophie se masturbe furieusement, doigts qui tournent autour de son clitoris dur. Clara se cambre sous lui, seins qui rebondissent au rythme de ses coups de reins.
« Je vais jouir », annonce Marc, voix étranglée par l'effort.
« Attends-moi », halète Sophie.
Marc ralentit, se retient malgré la tension insoutenable dans son sexe. Il alterne encore entre les deux femmes, chaque pénétration qui le rapproche de l'explosion.
Plus vite », exige Clara, ongles plantés dans ses épaules.
Le rythme s'accélère. Marc va et vient entre les deux femmes, leurs gémissements qui se mêlent en une symphonie érotique. Le canapé craque sous leurs mouvements frénétiques.
« Je vais jouir », annonce Sophie, dos arqué.
Son sexe se contracte autour de celui de Marc quand l'orgasme la frappe. Elle crie son plaisir, mains crispées sur les coussins.
« Moi aussi », halète Clara.
Son orgasme suit celui de Sophie. Son corps se tend, spasmes qui la secouent de la tête aux pieds. Marc sent la pression monter dans ses reins.
« Maintenant », crie Sophie.
Marc se retire des deux femmes, prend son sexe en main. Quelques mouvements rapides suffisent. Son orgasme le frappe avec la violence d'un raz-de-marée. Son sperme jaillit en jets puissants, éclabousse les ventres de Sophie et Clara.
Les contractions secouent son sexe, vague après vague de plaisir intense. Il gémit, corps tendu par les spasmes qui le traversent. Son sperme chaud marque leurs peaux moites, coule sur leurs cuisses écartées.
Il s'effondre entre elles, pantelant, membres tremblants. Sophie et Clara l'entourent de leurs bras, leurs corps encore vibrant de plaisir. Leurs souffles se mêlent dans le silence qui suit l'orage.
« Première fois ? » demande Sophie en caressant sa joue.
« À trois », avoue Marc. « C'était... incroyable. »
Clara rit doucement, main posée sur son torse qui se soulève encore. « On ne fait que commencer », murmure-t-elle.
Le soleil décline derrière les collines, teintant le ciel de reflets orangés. Marc observe le paysage depuis la terrasse du mas, corps encore imprégné des émotions de l'après-midi.
« Tu regrettes ? » demande Sophie en sortant de la maison.
Elle porte un peignoir de soie blanc qui flotte autour de ses cuisses. Ses cheveux châtains tombent librement sur ses épaules.
« Regretter quoi ? » répond Marc.
« D'être monté dans notre voiture. D'avoir accepté notre hospitalité. »
Marc se tourne vers elle. Sa timidité d'adolescent semble s'être évaporée avec les dernières heures. « Non. Je ne regrette rien. »
Clara les rejoint, plateau de fromages et de fruits dans les mains. Elle a enfilé une simple robe blanche qui moule ses formes.
« Tant mieux », dit-elle en posant le plateau sur la table de fer forgé. « Parce qu'on a encore beaucoup à t'apprendre. »
Marc sourit. « Par exemple ? »
« La patience », répond Sophie en s'asseyant près de lui. « Tu as joui trop vite dans la voiture. »
« L'audace », ajoute Clara. « Tu n'osais même pas nous regarder. »
« Et le plaisir de donner », conclut Sophie. « Pas seulement de recevoir. »
Marc sent une nouvelle chaleur naître dans son ventre. « Vous voulez dire... ? »
« On veut dire qu'on ne fait que commencer », murmure Clara en caressant sa nuque.
Sophie se lève, détache la ceinture de son peignoir. Le tissu glisse le long de son corps nu. Marc la regarde, troublé par sa beauté naturelle dans la lumière dorée du couchant.
« Tu restes ce soir ? » demande-t-elle.
Marc hoche la tête. Comment pourrait-il refuser ? Ces femmes ont révélé en lui des aspects qu'il ignorait posséder.
« Et demain ? » insiste Clara.
« Si vous voulez de moi. »
Clara l'embrasse tendrement. « Nous voulons beaucoup plus que ça, Marc. »
Sophie s'approche à son tour, glisse ses mains sous le t-shirt de Marc. « On veut t'apprendre à nous aimer comme on mérite d'être aimées. »
Le t-shirt vole par-dessus la balustrade. Clara défait sa ceinture, caresse son sexe qui durcit déjà.
« Première leçon du soir », murmure Sophie. « On fait l'amour sous les étoiles. »
La nuit tombe doucement sur la Catalogne. Dans la lumière tamisée des bougies que Clara allume une à une, leurs corps s'entremêlent à nouveau. Marc découvre le goût de la peau de Sophie sous la rosée du soir, la douceur de Clara qui gémit contre son oreille.
Plus tard, bien plus tard, ils s'endorment enlacés sur les coussins de la terrasse. Marc entre ses deux initiatrices, respirations apaisées, membres entremêlés.
Au matin, quand Marc se réveille, Sophie et Clara préparent déjà le petit-déjeuner. L'odeur du café et du pain grillé embaume la cuisine.
« Bonjour, dormeur », dit Sophie en l'embrassant.
« Bien dormi ? » demande Clara.
Marc s'étire, sourire aux lèvres. Sa vieille Clio l'attend encore au bord de la route départementale. Mais elle peut attendre.
« Parfaitement », répond-il. « Et maintenant ? »
Sophie et Clara échangent un regard complice.
« Maintenant », dit Sophie, « on t'apprend vraiment ce que signifie le plaisir. »
Clara acquiesce. « Hier, c'était juste un avant-goût. »
Marc regarde par la fenêtre les collines baignées de soleil matinal. Sa vie vient de basculer. Il ne sera plus jamais le jeune homme timide qui poussait sa voiture en panne.
« Je suis prêt », dit-il simplement.
Et il l'est vraiment.
Il sort de la voiture, observe les environs. Dix-neuf ans, timide par nature, habitué aux pannes de sa voiture rouillée qu'il a rachetée à son père. Les champs de lavande s'étendent à perte de vue. Pas une maison en vue. Il sort son téléphone. Pas de réseau.
« Parfait », marmonne-t-il en poussant le véhicule sur le bas-côté.
Le soleil cogne dur sur ses épaules. Il transpire déjà dans son t-shirt blanc. Au loin, le bruit d'un moteur approche. Une vieille Citroën bleue ralentit à sa hauteur. Deux femmes à bord.
La conductrice baisse sa vitre. Cheveux châtains bouclés, visage halé, sourire chaleureux. La trentaine. Elle porte une robe d'été jaune qui moule ses hanches généreuses.
« Ça va ? » demande-t-elle.
Marc s'approche, intimidé. « Ma voiture est tombée en panne. Je... »
« Monte », dit-elle sans hésiter. « Je suis Sophie. »
Sa passagère se retourne. Blonde aux yeux verts, plus jeune que Sophie. Vingt-quatre, vingt-cinq ans peut-être. Un débardeur blanc translucide laisse deviner la forme de ses seins.
« Clara », dit-elle avec un sourire espiègle. « Tu vas où ? »
« Nulle part en particulier », avoue Marc. « Je faisais juste une balade. »
Sophie rit. « Une balade qui tourne mal. Notre mas n'est pas loin. Tu pourras téléphoner de là-bas. »
Marc hésite. Il ne connaît pas ces femmes. Mais que faire d'autre ? Attendre qu'une autre voiture passe ?
« Allez, monte », insiste Clara. « On ne mord pas. »
Marc ouvre la portière arrière, s'installe sur la banquette. L'habitacle sent le parfum de pêche et la cigarette blonde. Sophie redémarre, engage la voiture sur la route.
« Tu fais quoi dans la vie ? » demande Clara en se tournant vers lui.
« Comptable », répond Marc, gêné par son regard direct.
« Comptable ! » Sophie éclate de rire. « Tu m'imagines en train de faire mes comptes ? »
« Je préfère ne pas imaginer », répond Clara avec un sourire entendu.
Marc ne sait pas quoi répondre. Ces femmes dégagent une aisance qu'il n'a jamais possédée. Sophie conduit d'une main désinvolte, l'autre posée sur sa cuisse. Clara remonte ses cheveux blonds, dévoilant sa nuque fine.
« Tu habites dans le coin ? » demande Sophie en croisant son regard dans le rétroviseur.
«Perpignan », dit Marc. « Et vous ? »
« Nous, on vit au jour le jour », répond Clara. « Pas vrai, Sophie ? »
Sophie acquiesce. « Exact. Pas de contraintes, pas d'horaires. La liberté totale. »
La route serpente vers les contreforts montagneux. Marc observe le paysage qui défile, mais son attention revient sans cesse sur ces deux femmes. Leurs gestes, leurs rires, leur complicité évidente.
« Tu es timide », constate Clara.
Marc rougit. « Un peu. »
« C'est mignon », dit Sophie. « Ça change. »
« De quoi ? » demande Marc malgré lui.
Les deux femmes échangent un regard complice.
« Des hommes qu'on rencontre d'habitude », répond Clara. « Ils sont tous si sûrs d'eux. »
Sophie conduit d'une main nonchalante, l'autre posée sur sa cuisse nue. Marc observe leurs gestes dans le rétroviseur, troublé par leur complicité évidente.
« Alors, comptable », répète Sophie avec un sourire moqueur. « Tu gères les finances de qui ? »
« Personne d'important », répond Marc. « Une petite entreprise de matériel agricole. »
Clara se tourne vers lui, amusée. « Matériel agricole ! Sophie, tu imagines ? Il connaît tous les secrets des moissonneuses-batteuses. »
« Mes secrets ne sont pas agricoles », murmure Sophie en caressant l'avant-bras de Clara.
Marc sent ses joues s'empourprer. La main de Sophie remonte lentement sur la peau bronzée de Clara, effleure son poignet, puis redescend.
« Clara a raison », dit Sophie en croisant son regard dans le miroir. « Nos secrets sont... plus intimes. »
« Beaucoup plus intimes », renchérit Clara en nouant ses doigts à ceux de Sophie.
Marc détourne les yeux mais son corps réagit malgré lui. Une chaleur diffuse naît dans son ventre.
« Tu es gêné ? » demande Clara.
« Un peu », avoue Marc.
« Pourquoi ? » Sophie ralentit dans un virage. « On ne fait rien de mal. »
La main de Clara glisse sur la cuisse de Sophie, remonte vers l'ourlet de sa robe jaune. Marc la regarde faire, fasciné malgré sa timidité.
« Regarde-nous », dit Sophie, voix plus grave. « N'aie pas honte, Marc. Le plaisir ne doit jamais être honteux. »
Clara déboutonne lentement le haut de sa robe d'un geste fluide. Ses seins apparaissent, ronds et fermes, mamelons déjà dressés. Elle les caresse doucement, pouces qui tournent autour des aréoles.
« Tu aimes ? » chuchote-t-elle à Marc.
Marc hoche la tête, gorge nouée. Son sexe se durcit contre son pantalon. Il ne peut détacher ses yeux de la poitrine de Clara.
« Réponds », insiste Sophie. « On veut t'entendre. »
« Oui », murmure Marc. « J'aime. »
Sophie ralentit encore, gare la voiture sur un chemin de terre bordé de cyprès. Le moteur se tait. Seuls les cigales troublent le silence.
« Première leçon », dit Sophie en éteignant le contact. « Le plaisir ne doit jamais attendre. »
Clara ouvre sa portière, passe à l'arrière. Marc sent son cœur s'emballer quand elle s'assoit près de lui. Son parfum de pêche l'enveloppe, se mêle à l'odeur chaude de sa peau.
« Tu trembles », constate Clara en effleurant sa joue de ses doigts tièdes.
Marc frissonne sous son toucher. Une décharge électrique parcourt son corps, descend jusqu'à son ventre où naît une chaleur diffuse.
« Je... je n'ai pas l'habitude », bégaie-t-il, voix cassée par l'émotion.
« L'habitude de quoi ? » Sophie se retourne, observe la scène avec des yeux brillants de désir.
« De femmes comme vous. »
Clara rit doucement, souffle chaud contre son oreille. « Et comment on est ? »
« Libres », dit Marc, troublé par la proximité de ses lèvres. « Audacieuses. »
« On va t'apprendre », murmure Clara, main qui glisse sur sa nuque.
Ses lèvres se posent sur celles de Marc. Baiser léger d'abord, à peine un effleurement. La douceur de sa bouche lui fait tourner la tête. Puis plus profond. Sa langue explore sa bouche, caresse la sienne avec une sensualité qui lui coupe le souffle. Sophie les observe, main glissée dans son décolleté, caresse ses seins à travers le tissu de sa robe.
« Continue, Clara », encourage Sophie, voix rauque. « Il aime. »
Marc sent son sexe durcir contre son pantalon. La pression devient douloureuse, tendue à l'extrême. Clara le sent aussi. Sa main descend vers son entrejambe, effleure d'abord le tissu tendu, puis appuie plus fermement.
« Tu es dur », constate-t-elle en caressant son érection à travers son pantalon. « Ça t'excite de nous regarder ? »
« Oui », souffle Marc, voix étranglée.
Sophie défait sa ceinture d'un geste fluide, écarte les jambes. Sa culotte blanche est trempée, tissu collé contre ses lèvres gonflées. Elle glisse sa main à l'intérieur, commence à se caresser lentement.
« Regarde-moi aussi », dit-elle, doigts qui glissent sur son clitoris durci.
Marc alterne son regard entre Clara qui le caresse et Sophie qui se masturbe. Son cerveau se déconnecte, submergé par les sensations. La main de Clara accélère ses mouvements sur son sexe tendu. Ses doigts dessinent des cercles précis sur son gland à travers le tissu humide de pré-sperme.
La pression monte dans son ventre, chaleur qui irradie vers ses reins. Ses testicules se contractent, lourds et tendus. Il sent le sperme qui remonte dans son urètre, pression qui devient insoutenable.
« Laisse-toi aller », chuchote Clara contre ses lèvres.
Sa main accélère encore le rythme. Marc rejette la tête en arrière, souffle court. Ses hanches bougent d'instinct contre la main de Clara. Sophie gémit en se masturbant, doigts qui s'enfoncent dans son sexe trempé.
L'orgasme frappe Marc avec la violence d'une déferlante. Son sexe pulse contre son pantalon, jets de sperme chaud qui maculent le tissu. Les contractions secouent son bas-ventre, vague après vague de plaisir intense. Il gémit malgré lui, corps tendu comme un arc.
« Bien », dit Sophie en remettant sa culotte, visage luisant de satisfaction. « Première étape franchie. »
Clara embrasse tendrement le front de Marc, lèvres douces contre sa peau moite. « Tu verras, au mas, on va se faire du bien. »
Elle remonte sur le siège passager, laissant Marc pantelant à l'arrière. Sophie redémarre la voiture. Marc reste immobile, pantalon souillé collé contre sa peau, encore tremblant des séquelles de son orgasme. Son corps tout entier vibre encore de plaisir.
Le mas apparaît au détour d'un virage serré. Pierre ocre réchauffée par le soleil, volets bleus patinés par le temps, terrasse ombragée de vigne vierge. Sophie coupe le contact sous un figuier centenaire.
« Bienvenue chez nous », dit-elle en sortant de voiture.
Marc descend à son tour, jambes flageolantes. Sa timidité revient d'un coup face à l'intimité évidente des lieux.
« C'est magnifique », murmure-t-il.
« Attends de voir l'intérieur », répond Clara avec un sourire prometteur.
Elles le précèdent dans l'escalier de pierre. Marc observe leurs mouvements, hanches qui ondulent sous leurs robes. L'air embaume la lavande et le thym sauvage.
Le salon aux poutres apparentes respire la sensualité. Canapé de cuir fauve, tapis berbère, tableaux aux couleurs chaudes. Clara verse du rosé glacé dans trois verres de cristal.
« Assieds-toi », dit Sophie en désignant un fauteuil face au canapé.
Elle prend place sur le sofa, jambes légèrement écartées. Sa robe jaune remonte jusqu'à mi-cuisses. Clara s'installe près d'elle, leurs corps qui se touchent naturellement.
« Tu as soif ? » demande Clara en lui tendant son verre.
Marc boit une gorgée. Le vin frais coule dans sa gorge mais ne calme pas sa nervosité.
« Tu n'as jamais vu deux femmes ensemble ? » reprend Clara, yeux verts plantés dans les siens.
Marc secoue la tête. Son cœur bat si fort qu'il craint qu'elles l'entendent.
« Alors regarde », murmure Sophie.
Elle se penche vers Clara, leurs visages se rapprochent. Leurs lèvres se frôlent d'abord, puis s'unissent dans un baiser profond. Leurs langues se mêlent avec une familiarité évidente. Clara gémit doucement quand Sophie mordille sa lèvre inférieure.
« Ça t'excite ? » demande Sophie sans quitter Clara des yeux.
« Oui », souffle Marc, gorge serrée.
Les mains de Sophie explorent le corps de Clara. Elles glissent sous son débardeur, caressent ses seins libres. Clara cambre le dos, pousse des soupirs de plaisir.
« Déshabille-toi », murmure Sophie à son amie.
Clara se lève avec grâce. Elle retire lentement son débardeur blanc. Ses seins se balancent librement, tétons roses déjà durcis. Sa jupe glisse le long de ses hanches. Elle ne porte pas de culotte. Son sexe glabre brille déjà d'humidité.
« Tu es belle », dit Marc malgré lui.
Clara sourit, pivote lentement pour lui offrir tous les angles de son corps nu. Sophie l'observe aussi, désir évident dans ses yeux sombres.
« A ton tour », dit Clara à Sophie.
Sophie se dévêt sans hâte. Sa robe jaune tombe à ses pieds. Elle révèle un corps aux courbes généreuses, seins lourds aux aréoles sombres, toison brune entre ses cuisses.
« Viens », dit-elle à Clara.
Clara s'allonge sur le canapé de cuir fauve, corps nu offert à la lumière dorée qui filtre par les volets. Sophie s'agenouille entre ses jambes écartées, contemplant le sexe imberbe de son amie qui brille déjà d'excitation.
Sophie penche la tête, souffle chaud sur la peau sensible de Clara. Sa langue effleure d'abord l'intérieur de ses cuisses, remonte lentement vers son intimité. Clara frissonne sous ses caresses préliminaires, hanches qui bougent d'instinct.
« Oh oui », halète Clara quand la langue de Sophie trouve enfin son clitoris gonflé. « Exactement là. »
Sophie encercle le petit bourgeon durci, alterne coups de langue lents et rapides. Clara gémit plus fort, mains qui s'enfouissent dans les cheveux châtains de Sophie, la pressent contre son sexe humide.
Marc regarde, fasciné par leurs gestes amoureux. Son sexe se durcit à nouveau dans son pantalon malgré son orgasme récent. La vue de Sophie qui lèche Clara avec application lui fait perdre la tête.
Sophie lève les yeux vers lui tout en continuant ses caresses buccales. Sa langue danse sur le clitoris de Clara, descend vers son entrée trempée, remonte en cercles précis.
« Touche-toi », ordonne-t-elle entre deux coups de langue, voix rendue rauque par l'excitation.
Marc hésite. Ses mains tremblent quand il ouvre sa braguette. Son sexe jaillit, dur et brillant de désir renouvelé. Il commence à se caresser lentement, yeux rivés sur le spectacle qui s'offre à lui.
« Plus vite », encourage Clara, dos arqué sous les caresses expertes de Sophie. « Regarde comme elle me fait du bien. »
Le rythme de Marc s'accélère. Sophie introduit maintenant deux doigts dans le sexe trempé de Clara tout en titillant son clitoris de sa langue agile. Ses doigts bougent en va-et-vient régulier, cherchent le point sensible qui fait gémir Clara.
« Là, juste là », crie Clara, cuisses qui tremblent contre les joues de Sophie.
Sophie intensifie ses mouvements. Sa langue bat plus rapidement sur le clitoris durci tandis que ses doigts s'enfoncent plus profondément. Clara se contracte autour d'eux, cyprine qui coule sur sa main.
Marc se masturbe plus frénétiquement, troublé par les gémissements de Clara et les bruits humides que font la bouche et les doigts de Sophie sur son sexe.
L'orgasme frappe Clara avec violence. Son corps se tend, dos complètement arqué. Elle crie son plaisir, mains crispées dans les cheveux de Sophie qui continue ses caresses pour prolonger les spasmes.
« Continue », supplie Clara, corps secoué de contractions. « Ne t'arrête pas. »
Sophie obéit, langue et doigts qui maintiennent le rythme. Clara jouit une seconde fois, orgasme plus long et plus profond qui la laisse pantelante sur les coussins.
Marc lâche son sexe, proche de jouir à nouveau. Sophie se redresse, visage luisant de cyprine, sourire satisfait aux lèvres.
« Maintenant, à toi », dit-elle en s'approchant de lui.
Clara se lève avec grâce, visage luisant du plaisir qu'elle vient de procurer à Sophie. Ses lèvres brillent encore de cyprine, ses cheveux blonds emmêlés retombent sur ses épaules nues. Elle s'approche de Marc, déhanchement félin qui hypnotise son regard.
« Tu vas aimer », murmure-t-elle en s'agenouillant devant lui, mains posées sur ses cuisses écartées.
Marc tremble quand elle effleure son gland humide. Le contact de ses lèvres tièdes lui arrache un gémissement sourd. Sa langue danse autour du gland, tourne en cercles lents qui lui font perdre le souffle.
« Regarde-moi », dit Clara en levant ses yeux verts vers lui.
Elle prend son sexe en bouche, lèvres qui s'étirent autour de sa hampe durcie. Sa langue caresse la face inférieure de son gland, va et vient sur son frein avec une précision qui le fait frissonner. Marc sent ses jambes trembler sous l'intensité du plaisir.
Sophie les rejoint, nue et luisante de transpiration. Elle caresse les cheveux de Clara, guide le rythme de sa bouche sur le sexe de Marc.
« Plus profond », encourage Sophie. « Il peut supporter davantage. »
Clara obéit, enfonce le sexe de Marc plus loin dans sa gorge. Sa bouche chaude et humide l'engloutit presque entièrement. Elle contracte ses muscles buccaux, crée une succion qui lui coupe le souffle.
« Mon dieu », halète Marc, mains crispées sur les accoudoirs du fauteuil.
Clara accélère le rythme. Sa tête bouge de haut en bas, cheveux qui voltigent autour de son visage concentré. Sa langue ne cesse de caresser son gland pendant qu'elle le fait aller et venir dans sa bouche experte.
Sophie se penche, embrasse Marc avec passion. Leurs langues se mêlent tandis que Clara continue sa fellation. Marc se perd dans ces sensations doubles, bouche de Sophie sur la sienne, bouche de Clara sur son sexe.
« Tu aimes ce qu'elle te fait ? » murmure Sophie contre ses lèvres.
« Oui », gémit Marc. « C'est... incroyable. »
Clara intensifie ses mouvements. Elle alterne entre succions profondes et coups de langue rapides sur son gland sensible. Sa main droite caresse ses testicules tendus, les malaxe doucement.
Marc sent la pression monter dans son bas-ventre. Ses muscles se contractent, chaleur qui irradie de ses reins vers son sexe palpitant. Clara le sent aussi, accélère encore son rythme.
« Je vais... », commence Marc, voix étranglée.
« Laisse-toi aller », souffle Sophie. « Jouis dans sa bouche. »
L'orgasme frappe Marc comme une déferlante. Son sexe pulse dans la bouche de Clara, jets de sperme chaud qui jaillissent sur sa langue avide. Elle avale tout, continue de le sucer pendant que les contractions secouent son corps tendu.
« Prêt pour la suite ? » demande Sophie quand Clara relâche enfin son sexe encore palpitant.
Marc hoche la tête, perdu dans un tourbillon de sensations nouvelles. Son corps tremble encore des séquelles de son orgasme intense.
« Parce que maintenant », dit Clara en se léchant les lèvres, « on va vraiment s'amuser. »
Marc se lève, pantalon aux chevilles. Ses jambes tremblent encore de l'orgasme précédent mais son désir renaît déjà sous leurs regards brûlants.
« Allonge-toi », murmure Sophie en tapotant le canapé.
Clara guide Marc vers le sofa où Sophie s'étend, cuisses largement ouvertes. Son sexe bâille d'envie, lèvres gonflées et luisantes.
« Goûte-moi », ordonne-t-elle d'une voix rauque. « Je veux sentir ta langue sur moi. »
Marc s'agenouille entre ses jambes. L'odeur musquée de Sophie l'enivre. Il approche sa bouche de son intimité, langue qui effleure d'abord les lèvres gonflées. Le goût salé-sucré explose sur ses papilles.
« Oui », gémit Sophie. « Exactement là. »
Sa langue remonte vers le clitoris durci, tourne autour avec application. Sophie se cambre, pousse son bassin contre sa bouche affamée. Ses mains agrippent les cheveux de Marc.
« Plus profond », halète-t-elle.
Clara se positionne derrière Marc, corps nu pressé contre son dos. Ses seins se collent à sa peau moite. Ses mains caressent ses fesses tendues, doigts qui frôlent son anus serré.
« Tu aimes ce qu'on te fait ? » chuchote Clara à son oreille.
Marc frissonne sous ses attouchements. Sa langue devient plus active sur le sexe de Sophie, alterne entre cercles lents et coups rapides.
« Maintenant », halète Sophie, cuisses tremblantes d'anticipation. « Je te veux en moi. »
Marc se redresse, sexe tendu et brillant de désir. Les veines gonflent sous sa peau tendue. Il guide son sexe vers l'entrée trempée de Sophie, frotte son gland contre ses lèvres ouvertes.
Elle est brûlante, chaleur moite qui irradie contre son sexe. Étroite malgré son excitation, muscles contractés par l'attente. Il s'enfonce lentement, centimètre par centimètre, sent les chairs qui s'écartent pour l'accueillir.
« Mon dieu », gémit Sophie, tête renversée en arrière. « Tu me remplis si bien. Continue. »
Marc s'enfonce davantage, sent les parois de Sophie qui se moulent autour de lui. Sa chaleur l'enveloppe complètement, étreinte veloutée qui le fait frissonner de plaisir.
Clara glisse ses mains sous Sophie, soulève ses hanches pour mieux l'ouvrir. Elle se positionne sous son amie, leurs sexes qui se touchent et se frottent, lèvres mouillées qui glissent l'une contre l'autre.
« Moi aussi », murmure Clara, yeux brillants de désir. « Je veux te sentir en moi. »
Marc comprend. Il sort lentement de Sophie, son sexe luisant de sa cyprine. Clara écarte ses cuisses, offre son sexe imberbe et trempé. Il guide son gland vers son entrée, plus étroite encore que Sophie.
Clara pousse un cri de plaisir quand il la pénètre d'un mouvement fluide. Ses muscles se contractent autour de lui, l'étreignent avec une intensité qui lui coupe le souffle.
« Alterne », souffle Sophie, main sur son propre clitoris. « Une fois moi, une fois elle. »
Marc établit un rythme régulier. Il sort de Clara, la pénètre à nouveau, puis revient vers Sophie. Tantôt dans la chaleur profonde de Sophie, tantôt dans l'étreinte serrée de Clara. Leurs corps s'entremêlent, sueur et cyprine mélangées sur leurs peaux brûlantes.
L'odeur du sexe embaume le salon. Musc et transpiration, parfums intimes qui s'élèvent de leurs corps unis. Le canapé craque sous leurs mouvements de plus en plus frénétiques.
« Plus vite », exige Clara, ongles plantés dans le dos de Marc.
Il accélère le rythme, va et vient entre les deux femmes avec une urgence grandissante. Son sexe pulse, gonflé à l'extrême. La pression monte dans ses reins, testicules lourds qui se contractent.
Sophie se masturbe furieusement, doigts qui tournent autour de son clitoris dur. Clara se cambre sous lui, seins qui rebondissent au rythme de ses coups de reins.
« Je vais jouir », annonce Marc, voix étranglée par l'effort.
« Attends-moi », halète Sophie.
Marc ralentit, se retient malgré la tension insoutenable dans son sexe. Il alterne encore entre les deux femmes, chaque pénétration qui le rapproche de l'explosion.
Plus vite », exige Clara, ongles plantés dans ses épaules.
Le rythme s'accélère. Marc va et vient entre les deux femmes, leurs gémissements qui se mêlent en une symphonie érotique. Le canapé craque sous leurs mouvements frénétiques.
« Je vais jouir », annonce Sophie, dos arqué.
Son sexe se contracte autour de celui de Marc quand l'orgasme la frappe. Elle crie son plaisir, mains crispées sur les coussins.
« Moi aussi », halète Clara.
Son orgasme suit celui de Sophie. Son corps se tend, spasmes qui la secouent de la tête aux pieds. Marc sent la pression monter dans ses reins.
« Maintenant », crie Sophie.
Marc se retire des deux femmes, prend son sexe en main. Quelques mouvements rapides suffisent. Son orgasme le frappe avec la violence d'un raz-de-marée. Son sperme jaillit en jets puissants, éclabousse les ventres de Sophie et Clara.
Les contractions secouent son sexe, vague après vague de plaisir intense. Il gémit, corps tendu par les spasmes qui le traversent. Son sperme chaud marque leurs peaux moites, coule sur leurs cuisses écartées.
Il s'effondre entre elles, pantelant, membres tremblants. Sophie et Clara l'entourent de leurs bras, leurs corps encore vibrant de plaisir. Leurs souffles se mêlent dans le silence qui suit l'orage.
« Première fois ? » demande Sophie en caressant sa joue.
« À trois », avoue Marc. « C'était... incroyable. »
Clara rit doucement, main posée sur son torse qui se soulève encore. « On ne fait que commencer », murmure-t-elle.
Le soleil décline derrière les collines, teintant le ciel de reflets orangés. Marc observe le paysage depuis la terrasse du mas, corps encore imprégné des émotions de l'après-midi.
« Tu regrettes ? » demande Sophie en sortant de la maison.
Elle porte un peignoir de soie blanc qui flotte autour de ses cuisses. Ses cheveux châtains tombent librement sur ses épaules.
« Regretter quoi ? » répond Marc.
« D'être monté dans notre voiture. D'avoir accepté notre hospitalité. »
Marc se tourne vers elle. Sa timidité d'adolescent semble s'être évaporée avec les dernières heures. « Non. Je ne regrette rien. »
Clara les rejoint, plateau de fromages et de fruits dans les mains. Elle a enfilé une simple robe blanche qui moule ses formes.
« Tant mieux », dit-elle en posant le plateau sur la table de fer forgé. « Parce qu'on a encore beaucoup à t'apprendre. »
Marc sourit. « Par exemple ? »
« La patience », répond Sophie en s'asseyant près de lui. « Tu as joui trop vite dans la voiture. »
« L'audace », ajoute Clara. « Tu n'osais même pas nous regarder. »
« Et le plaisir de donner », conclut Sophie. « Pas seulement de recevoir. »
Marc sent une nouvelle chaleur naître dans son ventre. « Vous voulez dire... ? »
« On veut dire qu'on ne fait que commencer », murmure Clara en caressant sa nuque.
Sophie se lève, détache la ceinture de son peignoir. Le tissu glisse le long de son corps nu. Marc la regarde, troublé par sa beauté naturelle dans la lumière dorée du couchant.
« Tu restes ce soir ? » demande-t-elle.
Marc hoche la tête. Comment pourrait-il refuser ? Ces femmes ont révélé en lui des aspects qu'il ignorait posséder.
« Et demain ? » insiste Clara.
« Si vous voulez de moi. »
Clara l'embrasse tendrement. « Nous voulons beaucoup plus que ça, Marc. »
Sophie s'approche à son tour, glisse ses mains sous le t-shirt de Marc. « On veut t'apprendre à nous aimer comme on mérite d'être aimées. »
Le t-shirt vole par-dessus la balustrade. Clara défait sa ceinture, caresse son sexe qui durcit déjà.
« Première leçon du soir », murmure Sophie. « On fait l'amour sous les étoiles. »
La nuit tombe doucement sur la Catalogne. Dans la lumière tamisée des bougies que Clara allume une à une, leurs corps s'entremêlent à nouveau. Marc découvre le goût de la peau de Sophie sous la rosée du soir, la douceur de Clara qui gémit contre son oreille.
Plus tard, bien plus tard, ils s'endorment enlacés sur les coussins de la terrasse. Marc entre ses deux initiatrices, respirations apaisées, membres entremêlés.
Au matin, quand Marc se réveille, Sophie et Clara préparent déjà le petit-déjeuner. L'odeur du café et du pain grillé embaume la cuisine.
« Bonjour, dormeur », dit Sophie en l'embrassant.
« Bien dormi ? » demande Clara.
Marc s'étire, sourire aux lèvres. Sa vieille Clio l'attend encore au bord de la route départementale. Mais elle peut attendre.
« Parfaitement », répond-il. « Et maintenant ? »
Sophie et Clara échangent un regard complice.
« Maintenant », dit Sophie, « on t'apprend vraiment ce que signifie le plaisir. »
Clara acquiesce. « Hier, c'était juste un avant-goût. »
Marc regarde par la fenêtre les collines baignées de soleil matinal. Sa vie vient de basculer. Il ne sera plus jamais le jeune homme timide qui poussait sa voiture en panne.
« Je suis prêt », dit-il simplement.
Et il l'est vraiment.
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