Le dimanche matin 13 décembre 1981 à la plage

- Par l'auteur HDS Maceran -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Le dimanche matin 13 décembre 1981 à la plage Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le dimanche matin 13 décembre 1981 à la plage
En route pour récupérer le remplaçant à son hôtel et direction la plage on nous retrouvons toute l’équipe, enfin presque, en effet Véro est seule car B a été appelé par son capitaine pour elle ne sait quelle raison, nous mettons avec elle. Baignade, volley, baignade, Alors que AL joue au volley, j’arrive à m’allonger à coté de Véro qui était venu seule, et, discrètement je lui demande : « Quand as-tu l’intention de remettre cette jolie jupe portefeuille, … j’aimerais revoir ça, … »Véro : « Je t’ai dit jamais, … tu m’as tourné les sens, … »Moi : « Tu vois le chriscraft, … on l’a déjà utilisé, … on s’y retrouve dans dix minutes, … j’y vais, je t’attends, … » j’étais partie avant qu’elle dise non. Arrivé au chriscraft, et planqué dans la cabine, je surveillais pour voir, si Véro se décidait à venir. Après un certain temps, elle se décida à s’asseoir, puis tournant la tête de gauche à droite comme surveillant, elle se leva s’approcha de l’eau, hésita encore, enfin se jeta à l’eau et se dirigea vers le chriscraft. J’avais balancé l’échelle permettant l’accès, du côté mer. Enfin elle arriva, elle grimpa et se bascula dans le fond du bateau. Je me dépêchais de remonter l’échelle d’accès. Elle était là. Je me glissais jusqu’à elle et la prenant dans mes bras l’embrassais et j’en profitais pour dégrafer son soutien-gorge et aussitôt ma bouche s’attaquait à ses deux beaux mamelons : « Arrêtes, … tu es complètement fou, … on va se faire remarquer, … » et une main glissait dans son slip de bains : « Arrêtes, … non arrêtes, … non, … tu ne vas pas, … »Moi : « Si, … je vais, … je te veux maintenant, … j’ai une folle envie de toi, … je vais te prendre, … on l’a déjà fait, … tu avais apprécié, … »Véro : « Non, … s’il te plait, … tout ce que tu voudras, … mais pas ça, ici, … je ne suis pas tranquille, … je suis inquiète, … »Moi : « Bon, … alors, … je veux te voir avec ta jupe portefeuille, … et le reste, … »Véro : « Je savais bien qu’il y avait un piège, … tu es ignoble, … un monstre, … je devrais te détester, … mais non, …je le savais et je suis venue, … oui, … t’as tant aimé me voir, … me caresser, … c’est de l’exhibitionnisme, … c’est scandaleux de me demander ça, … »Moi : « J’ai adoré, … tu étais excitante au possible, … belle, … et surtout après, … tu étais ouverte, … chaude, … accueillante, … »Véro : « Bon, … d’accord, … embrasses moi et je m’en vais, … »Moi : « Sur quelles lèvres, … celles du haut ou celles du bas, … »Véro : « Celles du haut tu les as déjà goutées, … alors, … »Moi : « OK, … celles du bas, … enlèves ton slip de bains, … je vais gouter à ta chatte, … je crains qu’elle soit trop salée, … » et le slip était parti, les cuisses s’écartèrent me laissant libre accès à sa grotte d’amour, que j’entreprenais d’investir avec langue et doigts, tout ça accueilli avec des soupirs de satisfaction et il ne lui fallut que peu de temps pour s’ouvrir encore plus, les cuisses largement écartées et tout à coup, elle se cambra brutalement pour jouir intensément. Après cette explosion de plaisir elle se laissa aller, le souffle court. Alors que je me relevais, je pus une fois de plus l’admirer, cette femme entièrement nue, allongée sur le fond du bateau, elle était vraiment belle, avec comme on disait quand on était adolescent, elle a ce qu’il faut où il faut, et c’est agréable à voir, … et je ne vous dis pas à caresser. J’aurais bien aimé, qu’elle s’occupe de la raideur dans mon slip de bains, mais elle ne semblait pas en phase avec cette idée.
Alors que je me préparais à me laisser glisser par-dessus bord et lui laisser le temps de souffler. Se redressant sur les coudes, me regardant droit dans les yeux, elle me dit doucement : « Jean, … viens, … fais-moi l’amour, … prends moi, … j’ai une folle envie que tu me fasses l’amour, … viens s’il te plait, … je veux être à toi, … » et elle se laissa tomber. J’étais un peu, non, très surpris, elle, moi, enfin nous, nous parlions de baiser, … pas de faire l’amour, disons cela nous mettait ou me mettait dans une autre dimension. Mais comment refuser, après tout, ce n’était en fait qu’une question de vocabulaire. Alors que je m’approchais d’elle, elle dit : « Je te veux sur moi, … sentir ton corps contre le mien, … ton poids sur moi, … et je te veux entre mes jambes, … que tu me prennes ainsi, … viens, … je t’attends, … ça fait un bout de temps que j’en ai envie, … je ne veux pas baiser, … je veux faire l’amour, … ». Je n’avais plus qu’à m’exécuter et je me glissais doucement sur elle, et entreprenais de l’occuper de ses seins que je goutais, suçais, mordillais, elle glissa sa main droite entre nous et saisissant ma bite bien raide, après quelques petites caresses du bout des doigts, la guida à l’entrée de sa chatte, je n’avais plus que d’un coup de rein m’enfoncer dans son fourreau chaud et très mouillé. Un soupir de plaisir se fit entendre alors que je commençais mes va et vient, avec application : « Oui, … viens, … prends moi, … fais-moi l’amour, … j’aime te sentir en moi, … » Pour ma part la pression augmentait et j’accélérais le mouvement et plus j’accélérais plus elle semblait apprécier : « Oh, … oui, … accélères, … prends moi comme tu aimes, … j’aime être à toi, … continues, … je te sens bien, … je sens que je vais partir, … OOOOHHHH, … OUIIIII, … ne t’arrêtes pas, … encore, … OUIIIIIII, … » et prenant appui sur ses jambes elle se cambra d’une telle force qu’au moment où je me vidais dans sa chatte elle me souleva, pour se laisser retomber et eu plusieurs spasmes allant en décroissant pas leur puissance : « OH, … c’était bon, … je t’adore, … c’est ce que je désirais, … ce que je voulais, … embrasses moi, … » Le baiser déposé, je me basculais dans l’eau et retournais à la plage avec AL qui me dit : « Dis donc t’as fait un sacré tour, … » Cinq à dix minutes après arriva Véro, qui se laissa tomber sur sa serviette. Au bout d’un moment, alors que Véro s’était relevée et allait vers la buvette, je m’arrangeais pour la croiser et lui dire discrètement : « Quand mets-tu ta jupe portefeuille, … »Véro : « On ne peut pas dire que tu n ‘est pas têtu, … je te préviendrais, … tu m’as aimé comme je voulais, … je te dois bien ça, ... content, … », je ramenais les boissons et la matinée se poursuivit par un déjeuner au maquis et un retour à la maison pour une bonne sieste réparatrice.

 Mercredi 16 1981 Cocktail au magasin ouverture.
Nous avons reçu une carte d’invitation pour le cocktail d’ouverture d’une nouvelle activité, un rayon TV et autres appareils électroniques dans le super marché dont Véro est responsable. AL n’a aucune envie d’y aller, j’y vais pour voir, et aussi pour faire nombre.
Cocktail sympa, bien organisé et buffet intéressant. On y rencontre tut le gratin de la ville, toutes nationalités confondues. Pour ma part, j’ai fait un tour et salué les connaissances, seulement entraperçu Véro, qui m’a paru très élégante. J’attends, elle viendra bien un moment après avoir rempli son devoir d’hôte. Enfin, elle vient vers moi et cérémonieusement me serre la main. Je la vois de plus près, elle est vraiment élégante et je lui dis : « Wouah, … quelle élégance. Un jour, je m’étais imaginé ta tenue pour une réception officielle, par exemple à l’ambassade et je m’étais dit : tailleur gris perle, veste cintrée à la taille, avec un décolleté assez grand pour laisser l’imagination courir, jupe droite serrée, trop longue pour être réellement courte, chaussée d’escarpins. Je me suis trompé, seulement sur la couleur, ce bleu ciel va à merveille à ta blonde chevelure, … »Véro : » C’est un compliment, … je te remercie, … mais tu t’es arrêté, … tu avais imaginé autre chose, … »Moi : « Oui, …en dessous, porte-jarretelles et bas, … et je n’ai pas pu deviner de porte-jarretelles, … mais il y a les bas, … »Véro : « Il faut suivre la mode, … maintenant les bas tiennent tout seuls, … plus de porte-jarretelles, c’est plus confortable, … et c’est tout, … »Moi : « Non, … il n’y rien à deviner puisqu’il n’y a rien d’autre en-dessous, … »Véro : « Bien vu, … tu as raison il n’y a rien d’autre, … »Moi : « Il a possibilité de contrôler, … »Véro : « Je n’en attendais pas moins de ta part, … Dans un moment tu vas partir avec le gros des départs, … puis tu fais le tour du bâtiment, … tu connais, … arrivé à la porte de la cour, tu verras le gardien il te laissera passer, … tu rends l’escalier de secours qui te mène au premier, … et tu trouveras l’entrée de mon bureau, … je te rejoindrais, … »Moi : « Je reconnais ton organisation, … tu étais certaine que je viendrais, … »Véro : « Allons Lean, … je commence à te connaître, … à tout à l’heure, … »Un groupe partait, j’étais avec, puis je suivais l’itinéraire indiqué, arrivé à la grande porte, le gardien me laissa passer sans questions, escalier, couloir, bureau de Véro. Je m’installais pour attendre, mais elle avait prévu une petite attente, car il y avait de la bière fraiche.
L’attente ne fut pas longue. J’entendis le claquement de ses talons sur le carrelage du couloir et elle rentra tout excitée : « Ouf, … ces cocktails ça m’épuise, … et je te demande ceci, … et cela, … et il faut répondre aimablement, … bou, … et toi, … qu’est-ce que tu fais, … »Moi : « Je t’écoute, … tu es très belle quand tu râles, … et ça prouve que ton truc a fonctionné, … et maintenant tu vas te calmer, … et faire ce que je vais te dire, … la porte est bien fermée, … »Véro : « Oui, … Qu’est-ce que tu vas encore inventer, … »Moi : « Tu restes là où tu es, … tu vas déboutonner ta veste, … doucement, … que tes seins apparaissent, … bien ronds, … et tu vas enlever ta veste, … doucement, … »Véro : « Mais qu’est-ce que tu veux, … tu veux un strip-tease, … et ça dans mon bureau, … »Moi : « Non, … pas un strip-tease, … un déshabillage en douceur, … pour te préparer, … à ce que je vais te faire, … »Véro : « Qu’est-ce que tu vas faire, … »Moi : « Ouvres ta jolie veste, … et montre-moi tes beaux nénés, … je suis certain que tu as envie de me les montrer, … et de me les donner à sucer, … c’est ça, … »Véro : « Tu ne crois pas que tu exagères, … Monsieur commande, … et j’obéis, … »Moi : « Je vais te dire, … toute la semaine tu commandes, … tout le monde t’obéis, … après en fait tu aimes obéir, … m’obéir, … te soumettre à mes désirs, … d’autant que tu sais qu’après tu vas jouir, … dis-moi le contraire, … »Véro : « T’es vraiment un monstre, … avec tout ce que tu me dis, je devrais te gifler, … et non, j’écoute béate tes sornettes, … et en plus j’aime t’entendre, … ça m’excite, … même ça me trouble, … » et elle ouvrit sa veste, non pas doucement, mais brutalement en disant : « C’est ça que tu veux, … oui, … j’aime t’obéir, … et ça me rend dingue, … je sais que tu me rends folle, … mais j’aime, … »Moi : « Tu vois, … tu aimes me montrer tes seins, … et tu vas me montrer le reste, … »Véro : « Tu es fou, … tu voulais mes seins, … viens ils sont pour toi, … »Moi : « Oui, je veux tes seins, … et je vais m’en occuper, … mais je veux plus, …tu vas remonter ta jupe, … haut, … très haut, … que je vois ta jolie fourrure blonde, … » et là, surprise pas de commentaires, elle remonta sa jupe jusqu’à la taille, ce qui lui fit une grosse ceinture, laissant ainsi apparaître sa jolie fourrure au-dessus de sa chatte et les mains sur les hanches, les jambes légèrement écartées : « Monsieur est satisfait, … j’ai fait ce que tu voulais, … et maintenant que veux mon seigneur et maitre, … »Moi : « Moi aussi je vais enlever mon pantalon, … tu pourras voir comment j’ai envie de toi, … » et joignant le geste à la parole, j’enlevais le tout, et là elle put voir que je bandais dur. M’asseyant je lui dis de venir vers moi, que j’aimais la voir marcher ainsi dévêtue. Ce qu’elle fit en augmentant son balancement des hanches. Arrivée près de moi je glissais ma main droite dans son entrejambe et la posais sur son joli minou : « J’aime caresser ton joli minou, … je peux sentir si t’es bien chaude, … je sais que tu aimes, … »Véro : « Arrêtes de jouer, … oui j’aime que tu me caresses, … mais rentres, … j’aime quand tu rentres, … j’ai envie de toi, … prends moi, … » pour accompagner ses dires, elle avait encore écarté les cuisses mais de plus elle avait avancé son bassin à la rencontre de mes doigts.
Véro : « Arrêtes, … je vois que tu as envie de moi, … tu bandes bien, … prends moi, … tu dois être dur, … viens, … »Moi : « Oui, j’ai envie de toi, … mais avant de te prendre, je veux que tu me suces, … je veux sentir ta langue sur mon sexe, … »Véro : « Tout ce que tu veux, … mais après, tu me prends, … tu ne joues plus, … » et elle s’accroupit et prit ma bite, la caressa pour enfin lécher le gland avec une langue pointue, ce qui était diablement excitant, et, enfin elle me prit en bouche et commença à me pomper avec énergie. C’était follement excitant et il fallait que je l’arrête si je voulais l’honorer et respecter ce que j’avais dit et surtout ce qu’elle voulait. Donc je l‘arrêtais et de fait je me suis demandé l’instant d’après, si elle n’aurait pas préféré me terminer, mais, …Moi : « Arrêtes, … je ne vais pas tenir, … viens, … viens sur les genoux, … »Elle s’arrêtât de me pomper, semblant un peu déçue et se relevant vint s’assoir à califourchon sur mes genoux et sans hésiter, elle prit ma bite bien dressée pour la guider dans son fourreau et s’y empaler avec un soupir de plaisir réel : « Oh, … enfin, …j’attendais ça, … tu es un peu goujat, … il faut presque te supplier, … oui, … prends moi, … j’aime te sentir, … tu le sais, … que j’en ai envie, … et tu en profites, … oui, … c’est bon, … continues, … » Je la tenais par les hanches, et elle m’utilisait comme son sex toy, elle montait, descendait à un rythme qui allait en augmentant et plus ça allait plus je bandais dur, elle dut le sentir car : « Oui, … c’est bon, … ne t’arrêtes pas, … je sens, … OUIIII, … OOOOHHH, … OUIIIIIII, … » elle fut saisie d’un spasme qui la secoua brutalement. A sa réaction je pus constater qu’elle s’était fait plaisir et avait bien joui. Elle se laissa aller contre moi, puis m’embrassa : « J’ai aimé, … tu vas me manquer, … mais il faut que je redescende et assister à la fermeture, … n’oublies pas, … si tu as un moment, … le bureau est toujours ouvert pour toi, … »Moi : « Je n’espère pas seulement le bureau, … »Véro : « T’es vraiment un monstre, … celle-là, je ne l’avais pas vu venir, … je t’embrasse et file, … »Je rentrais à la maison où je faisais un récit expurgé du cocktail. Et se moquant de moi elle me dit : « Ne me dis pas que Véro n’avait pas prévu un petit intermède avec toi, … » J’ignorais la remarque

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