Le dimanche matin

- Par l'auteur HDS Maceran -
Récit érotique écrit par Maceran [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le dimanche matin Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le dimanche matin
Impatient, j’étais là avant 13,00 h quand je vis le chiffon blanc à la fenêtre. Je planquais ma mobylette et rien que d’imaginer Viviane dans sa nuisette, en arrivant à la porte, j’avais une trique pas possible. Je sonnais, … la porte s’ouvrit ; je ne vis personne, mais j’entendis : « Rentres vite, … » ce que je fis. Certes, elle ne pouvait ouvrir la porte dans sa tenue, il aurait déclenché une révolution. Finement maquillée, ses cheveux en cascade, vêtue ou dénudée de sa nuisette, qui mettait en valeur la nudité de ses seins et pour le reste le tissu transparent s’arrêtant au-dessus de la touffe ne cachait rien. A peine entré, nous étions collés l’un à l’autre, à nous frotter et moi à caresser ses fesses, son dos et de remonter, tout en ayant glissé une cuisse entre les siennes, chose qu’elle avait bien remarquée et à laquelle elle frottait son entrejambe avec une certaine ardeur. Ces minutes passées à se reconnaître : « Viens, … j’ai l’impression que ma tenue te plait, … tu es le seul homme pour qui j’ose cette tenue … d’un côté j’ai l’impression que ce n’est pas moi, … je me sens comme une, … enfin, … de l’autre je suis heureuse d’être ainsi, … dis-moi que tu aimes de me voir ainsi, .. ça me travaille, … je me suis préparée pour toi, … et je ne pense qu’à ça, … viens, … j’ai très envie de toi, … » et me tenant pas la main m’emmena vers la salle de séjour et surtout vers le canapé et de nouveau se collant à moi : « Viens, … dis-moi que tu as envie de moi, … que me voir ainsi, ça te faits plaisir, … moi, j’ai envie de toi, … et je te le dis, … viens, … » et elle se laissa aller sur le canapé, les cuisses largement ouvertes, … je me tiens comme une moins que rien, … mais je m’en fous, … je te veux, … je t’ai obéis, … maintenant prends moi, … regardes, je devrais avoir honte de ce que je fais, … mais non, … je m’offre à toi, avec plaisir, … parfaitement consciente, … de ce que je fais, … viens, … »Viviane était étalée sur le canapé, c’est vrai, offerte les cuisses largement ouvertes, avec en prime pour m’exciter certainement, et jouer les salopes, une main sur son minou qu’elle caressait doucement avec : « Regardes, je me prépare pour toi, … toute prête, … tu aimes, … »Moi : « Tu sais ce que tu es, … »Viviane : « Oui, … une salope, … et tu ne connais pas tout, … »Moi : « Pourquoi il y a autre chose, … »Viviane : « Tu veux savoir, … je vais te dire, … mon mari aimait que je me caresse, … ça le faisait bander, … j’ai refusé, … et pour toi, … sans que tu me le demandes, … je le fais, … je suis certaine que tu aimes, … et moi, j’adore, le faire pour toi … car J’aime te voir comme ça, nu, … et le sexe bien dressé, … ça me donne des envies, … oui, … viens prends moi, … je sens ta place, … regardes, je m’ouvre, … oui … viens vite, … » Pour ma part, tout ça n’avait fait qu’augmenter la dureté de ma trique, et rapidement chemise, pantalon, caleçon furent jetés au loin et je me laissais aller entre les belles cuisses de cette jolie garce et aussitôt elle s’empara de « popol » et le guida dans son fourreau que j’investissais d’un bon coup de rein, ce qui fut facile tellement elle était ouverte et mouillée. Cette pénétration fut commentée par : « Oui, … sois brutal, … prends moi fort, … je veux être à toi, … te faire des souvenirs, … me faire des souvenirs, … tu es sur moi, … tu me domines, … je veux t’obéir, … » Alors que je m’activais entre ses cuisses et dans sa chatte, elle ronronnait comme une chatte en chaleur : « Oui, … baises moi, … baises moi fort, … prends ton plaisir, … je suis à toi, … OOOOOHHHHH, … ne t’arrêtes pas, … je vais, … OUIIIIIII, … » et elle s’était cambrée, me soulevant et surtout m’enfonçant encore plus dans son fourreau et après ce spasme brutal, elle se laissa aller, alors que j’étais encore sur elle et que dans nature faisant son travail, je me retirais de sa chatte. Alors que nous étions côte à côte, elle se redressa et pratiquement s’allongea sur moi, elle était encore toute chaude : « J’ai aimé, … il faudra recommencer, … je veux profiter de toi, … mais maintenant j’ai faim, … dans 5 minutes, je m’en occupe, … » et elle se laissa glisser du canapé et fila vers la salle de bains, alors que, soufflant, et me réajustais tranquillement. Elle sortit de la salle de bains ayant mis une sortie de bains très très courte. « Tu ne vas pas déjeuner dans cette tenue, … »Viviane : « Je ne pouvais pas déjeuner avec ma nuisette, ce n’est vraiment pas pratique, … »Moi : « Tu as raison, … enlève cette sortie de bains, … tu seras nettement mieux sans rien, … »Viviane : « Tu veux dire, … nue, … mais, ... »Moi : « Tu as un corps splendide, … laisses moi l’apprécier, … et avec tes talons, … cela te fait de jolies jambes, … et quand tu marches, … un joli cul, ... vivant, … tentant, … »Viviane : « Tu es complètement fou, … je ne peux pas, … » Alors, je me levais, ouvrais sa sortie de bains et glissais mes mains à l’intérieur, ce qui me permit de la caresser et en me penchant d’avoir la bouche à m’occuper de ses seins, que je tétais avec ardeur. La réaction fut assez rapide, car elle me laissa lui enlever cette maudite sortie de bains, la laissant entièrement nue, enfin avec bas et escarpins. « Ça y est, … tu as ce que tu veux, … » puis après quelques secondes de réflexion : « Tout compte fait, … pourquoi pas, … je n’ai jamais fait ça, … mets-toi nu aussi, … » Ce qui fut fait, et la table installée, elle sortit un menu chinois : soupe, pates et nems. Pourquoi pas, je n’étais allé qu’une seule fois dans un restaurant chinois. C’était bon et sa façon de manger les nems avait un coté surprenant et excitant. En effet, elle les enveloppait gentiment dans une feuille de salade puis après avoir trempé le bout dans la sauce et me regardants elle léchait le bout puis toute la longueur, et semblant satisfaite elle les prenait en bouche. Cette façon de faire avait le don de m’exciter, … Le repas terminé, alors que je me proposais à l’aider à desservir la table, elle me dit de rester, qu’elle le ferait elle-même et en même temps, elle ferait le café. Mais, je compris rapidement ce désir de desservir seule, en fait lors du voyage vers la cuisine, le balancement de ses hanches et les mouvements de son joli cul, n’avait rien d’innocent. C’était diablement excitant et quand elle apporta le plateau avec le café, celui-ci était porté de telle façon que j’eu l’impression que ses seins étaient posés dessus et cela avec un joli sourire, qui me parut, un tantinet coquin, … En se penchant, vue imprenable sur ses seins, elle posa le plateau sur la table et là je pus la saisir et l’attirer vers moi, pour l’amener à s’assoir sur mes genoux ; ce qu’elle fit de bonne grâce et, en fait, elle se releva et se mit en califourchon, ce qui mettait ses seins à portée de buche, ce que je m’empressais de faire, et ce n’était pas pour rien qu’elle avait pris cette position. Et pendant que je m’occupais de ses jolis nénés, « popol » avait décidé de se relever doucement, peut-être pour voir la situation de plus près. Mais Viviane aperçu la chose et le prenant en main : « Tiens, tiens, …le gaillard se réveille, … on va pouvoir en faire quelque chose, … qu’en penses-tu ? … » et elle se mit à me caresser la bite qui réagit rapidement en se redressant fièrement. Viviane prit « popol » en main, enfin du bout des doigts et continua ses caresses, jusqu’au moment où le jugeant à son gout, se releva légèrement et le tenant bien en main le dirigea vers sa grotte d’amour pour enfin s’empaler, avec une douceur étudiée, dessus et, avec un gros soupir de plaisir. Et, doucement puis en accélérant elle montait descendait, s’empalant sur « popol », en fait s’en servant de sextoy, le tout accompagné de son plaisir par : « Oui, … c’est bon, … j’aime me donner à toi comme ça, … dis-moi que tu aimes, … ne t’arrêtes pas, … » Voyant ses beaux seins dansant devant moi, je les saisis et me mis à les caresser, les malaxer avec énergie : « Oui, … continues, … j’aime que tu t’occupes de mes seins, mes tétons, … oui, … continues, … » Il n’était pas question de s’arrêter, car c’est elle qui menait le jeu et elle airait jusqu’à se faire jouir, s’éclater de plaisir : « Oui, … encore, … continues, … tu me remplis, … encore, OOOOHHH, … ne t’arrêtes pas, … je vais, … OUIIIIIIIII, … encore, …. OUIIII, … » et s’empalant brutalement, les jambes relevées, alors que j’avais, un tout petit peu plus tôt, déjà tout lâché et certainement rempli sa grotte d’amour de mon jus, il y avait, même, des débordements, car il y en avait partout.
Elle fut saisie d’un spasme qui la fit s’accrocher à mon dos et se contracter de tout son corps, les cuisses qui s’étaient ouvertes largement s’étaient brutalement refermées, pour enfin se laisser aller contre moi, le souffle court. Enfin, me prenant la tête, elle posa ses lèvres sur les miennes pour un baiser doux et tendre. « Tu es adorable, … viens, ... je passe à la salle de bain s, … et, on va aller se reposer, … » Enfin, on se dirigea vers la chambre … d’ami dont elle tira le dessus pour se laisser tomber avec : « Viens, … prends moi dans tes bras, … fais-moi un câlin, … » Je me laissais aller contre elle et la main droite tenant un sein et ma bite sagement rangée contre ses fesses, on s’endormit rapidement.
Une bonne heure après, elle se réveilla et se tournant vers moi eut semble-t-il une surprise. Je pense de me trouver là, mais elle s’en remit rapidement : « Debout, … on ne va pas passer l’après-midi au lit à dormir… »On sortit du lit, la voir ainsi, s’affairer nue, cela me donnait des idées, mais, elle quitta la pièce me disant : « Je vais m’habiller, … et nous allons prendre l’air, …. Cela nous fera du bien, … »Je m’habillais et allais attendre Viviane dans la salle de séjour. Elle revint habillée d’une large jupe printanière et d’un corsage, certainement un peu juste, car il permettait d’imaginer une belle poitrine. La voyant ainsi vêtue, la trouvais vraiment belle et j’étais content qu’elle m’ait choisi. Par contre, j’étais un peu surpris qu’elle ait gardé ses escarpins pour aller marcher, mais cela lui faisait une démarche bandante, et je la soupçonnais de l’accentuer, me sachant derrière elle et, nous partîmes prendre sa R4 et elle me dit : « Je connais un endroit tranquille, … au-delà de Coulommiers, … on pourra se promener et prendre l’air, … » En chemin, j’osais lui mettre la main sur la cuisse, au bout d’un certain temps, elle me fit une petite tape sur la main en disant : « arrêtes, … tu vas nous faire avoir un accident, … » mais la tape était si douce que je n’enlevais pas ma main qui resta sur sa cuisse jusqu’à notre arrivée. Et là, avant de descende je l’attirais à moi et se laissant faire, nous entreprîmes une partie de lèche museau, pendant que je caressais sa cuisse. Malheureusement, elle se reprit et nous descendîmes de voiture. Là, ouvrant son coffre, elle sortit une paire de tennis pour remplacer ses escarpins, j’étais piégé et nous partîmes nous promener la main dans la main, comme des amoureux. Une petite balade sympa, nous n’avions rencontré personne et au détour d’un chemin, on s’enfonça un peu plus dans les bois, car Viviane était venue contre moi : « Il n’y a personne, …embrasses moi, … » Sans hésiter, la prenant dans les bras je collais mes lèvres sur les siennes. A ce contact sa bouche s’ouvrit légèrement, en signe d’acquiescement, d’acceptation, nous langues se caressèrent alors je poussais une jambe entre ses cuisses, qui ne présentèrent aucun obstacle à cette incursion. Fort de cet avantage, je passais des lèvres au cou, léger frisson, puis dans l’ouverture du décolleté : « Tu devrais l’ouvrir un peu plus, … »Viviane : « Non, … je ne peux pas, … on va nous voir… bon, … juste un bouton, … » Ce ne fut pas un mais trois boutons qui sautèrent dégageant sa gorge et ses belles rotondités. Donc je m’empressais de les lécher, embrasser : « Tu vois, t’aurais pas dû en mettre, … » et de la main droite je remontais la jupe, espérant pouvoir avoir accès à sa douce intimité, mais c’était difficile, il y avait beaucoup de tissu. Sentant ou imaginant que je n’y arriverais pas, elle me dit : « Arrêtes, … on retourne à la voiture, … ce sera plus facile, … » et ce que l’on fit. Sur le parking deux autres voitures, éloignées. S’installer à l’arrière de la R4, pour y faire quelques câlineries, ressemblait à mission impossible. Je réussis, enfin, elle se laissa, coincer contre la voiture et on reprit notre partie de lèche museau suivi d’une lèche néné. Je ne réussis pas à lui faire enlever son soutien-gorge, en revanche, remonter la jupe fut fait avec son aide, et alors, je pus glisser vers son entrejambe, sans problème, car ses cuisses s’écartaient au fur et à mesure de l’avancement de ma main : « Arrêtes, … on va nous voir, … tu es fou, … »Moi : « Oui, … de ton corps, … j’aime te caresser, … et j’aime ton odeur, … je suis sûr que tu sens bon, … t’es toute chaude, … » et je continuais ma progression et arrivais à la protection illusoire d’une mini petite culotte, mouillée, qui fut enlevée sans problème. : « Remontes ta jupe, … que j’aille te gouter, … »Viviane : « Non, … tu es fou, … on va nous voir, »Moi : « Il n’y a personne, … et je serais sous ta jupe, … »Viviane : « Mais qu’est-ce que tu veux faire, … »Moi : « Te sentir, … car tu sens bon, … j’aime ton odeur … surtout que t’es bien mouillée, … alors je vais te bouffer la chatte, … » et je me glissais sous sa jupe et le dos appuyé à la voiture, le bassin ainsi coincé elle ouvrit largement les cuisses me donnant ainsi accès à sa chatte, qui dégageait une forte et bonne odeur de femelle bien chaude. J’étais à mon affaire, je voulais la faire jouir, mais et surtout, ce que je désirais c’était qu’elle m’invite à passer la nuit avec elle, dans le même lit, chose que je n’avais jamais faite avec une femme, il fallait donc bien la faire jouir. Ainsi, j’entrepris d’investir son minou, d’abord avec la langue pour gouter à son jus de plaisir, puis rapidement deux doigts vérifièrent l’ouverture de sa grotte d’amour. Tout ça accompagné par de discret commentaires : « Tu es fou, … arrêtes, … oui, … j’aime, … Oh c’est bon, (je venais de la pénétrer avec deux doigts) … continues, … surtout ne t’arrêtes pas, … j’aime, … continues, … OUIIIIIII, … » elle était partie d’un seul coup, ouvrant largement ses cuisses pour les refermer aussi rapidement en mettant les mains sur son ventre, alors que je sortais du dessous de sa jupe. Elle m’attrapa et se collant à moi : « Embrasses moi, … tu es content de toi, ... j’ai aimé, … (et posant sa main sur ma braguette, qui avait indécemment gonflée ) … viens on rentre, … je vais m’occuper de toi, … je vois que tu en as envie, … et moi aussi, … très envie, … », le retour fut rapide et à peine arrivé, nous étions dans la salle de séjour, alors que Viviane avait enlevé son corsage et jeté au loin sn soutien-gorge, pour se retourner vers moi : « C’est ce que tu voulais, … viens ils sont à toi, … prends les, …et après tu me feras l’amour, … non, … tu me baiseras, … tu prendras ton plaisir,… »Après m’être partiellement rassasié de ses beaux nénés, elle dégrafa sa jupe, en jeu de hanches elle était au sol et elle se mit à genoux sur le canapé, son beau cul bien en évidence avec : « Viens, … c’est ce que tu voulais, … prends moi, … fais toi plaisir, … baises moi, … tu as réussi, … je te veux, … » J’étais derrière elle, et je bandais dur et j’hésitais, son beau cul me tentait, mais, … alors que je lui disais : « T’as vraiment un beau cul, … » je me dirigeais vers sa chatte et elle tendit la main pour me guider dans son minou que j’investissais brutalement « Tu l’auras quand tu voudras, … mais baises moi,… baises moi bien, … tu auras tout, …fais-moi jouir, … tu as fait tout ce qu’il fallait, ... j’en ai tellement envie, … » et me souvenant des conseils de Sophie, je lui claquais les fesses : « Oh, … brute, … oui, … claques moi, … encore, … je t’obéirais, … dis-moi que t’aimes me prendre comme ça, … » et cramponné, non agrippé à ses hanches je la ramonais avec énergie et tout d’un coup je m’enfonçais complètement et lâchait tout mon plaisir dans son alors qu’elle disait: « Oh continues, … ne t’arrêtes pas, … je sens, … OOOOHHH, … OUIIIIIII, … » suivi d’un joli spasme qui la fit se contracter brutalement et qui fut suivi par plusieurs petites contractions, agréables à voir, car ça la secouait gentiment. Elle finit par se calmer, alors qu’elle occupait le canapé je m’étais laissé aller sur le tapis pour souffler. Ayant un peu récupéré, et alors que je la regardais, elle glissa sa main entre ses cuisses et certainement des doigts dans son minou, pour le sortir mouillé de sperme et dire : « Tu aimes mon odeur, … tu aimes quand je mouille, … j’aime quand tu jouis en moi, … » et elle porta les doigts à sa bouche et les suça amoureusement, enfin elle se laissa glisser sur moi et si allongea, pour arriver à m’embrasser à pleine bouche : « Tu es un monstre, …j’aime ce qu’on a fait, … tu me tournes la tête, … » Puis se levant, et se dirigeant vers la salle de bains : « Je reviens dans 5 minutes, … » effectivement elle revint recoiffée, re maquillée, mais toujours nue et alors que je m’étais assis sur le canapé, elle vint s’assoir sur mes genoux, me mettant les bras autour du cou ses seins contre ma poitrine et sa bouche sur la mienne : « Dis-moi pourquoi, je fais tout ce que tu veux, … que j’ai plaisir à le faire, … je ne reconnais plus, … »Moi de lui répondre : « Je vais rentrer dans une école d’ingénieurs par une école de psy, … alors, … mais peut-être que c’était quelque chose que tu espérais, … parce que je pense que tu es gourmande de sexe, … et puis moi, … tu ne me connais que peu, … je serais loin dans deux jours … bientôt tu m’auras oublié, … ce ne sera qu’une parenthèse, … puis la vie reprendra entre ton travail, ton mari, … et tu te moques de ce que je peux penser, … mais je ne suis pas psy, … »Viviane : « Hum, … pourquoi pas, … mais, … tu veux rester à diner avec moi, … »Moi : « Mais avec le plus grand plaisir, … »Viviane : « Je n’ai pas pu prévoir de quoi diner, … mon mari aurait pu être surpris que je stocke beaucoup de nourriture, … »Moi : « Pas grave, … tu aimes les pizzas, … je vais aller en chercher, … »Viviane : « Bon attends, je vais te donner, … »Moi : « Fiches moi la paix, … j’offre les pizza, … je prends ma mob, …aller-retour, … une petite heure, … » et je partais, la joie au cœur, je me rapprochais de la nuit, … diner, … nuit, … le rêve.

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