Le dimanche soir
Récit érotique écrit par Maceran [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le dimanche soir
Environ une heure après, j’étais de retour avec la pizza, grand format. Je sonnais, la porte s’ouvrit, Viviane n’était pas visible, (Tiens, elle a remis la nuisette ????) J’entrais, WOUAH, non, elle avait un corsage noir, au grand décolleté et fait dans un tissu absolument transparent qui permettait de deviner ses seins, aréoles et tétons, elle avait également une jupe, mini, très mini également noire, cousue sur elle. Les jambes gainées de fins, bas noirs et montée sur des escarpins vertigineux. J’étais à peine rentrée, que me regardant l’œil aguicheur, elle fit un tour sur elle-même en disant : « Cela te convient comme tenue pour diner, … » Posant la pizza sur la petite table de l’entrée, je la saisis en lui disant : « Vêtue, comme ça, … tu es, … très désirable, je pense que je vais te caresser, … et peut-être autre chose, … »Viviane : « Non, … j’ai une autre idée, viens on va faire un apéritif dinatoire, … et je te dirais, … » et elle se dirigea vers la salle séjour, balançant son joli cul, … d’une façon provocante.
Elle apporta le nécessaire les nénés en avant et le cul se balançant avec harmonie. Pour servir, elle se pencha en avant permettant d’avoir une belle vue sur ses seins et au lieu de s’accroupir se pencha en avant mettant en valeur son beau cul. Quand tout fut prêt elle vint s’asseoir sur mes genoux. Le premier verre bu, elle me dit : « J’aimerais que, ce soir, tu m’emmènes danser, … je connais une boite sympa, …ça fait longtemps que j’aimerais y aller, … »« Pas de problème, … on dine, … et on y va, … »Plus l‘apéritif dinatoire avancé et plus elle me montrait ses charmes, plus « popol » avait des idées, afin nous arrivâmes à la fin du supplice et il fut décidé de partir, mais, avant, elle me dit : « Je ne pense pas pouvoir y aller comme ça, … je reviens ? » En revenant, elle avait le même corsage, mais portait en dessous une espèce de t-shirt qui dissimulait ses beaux siens et avait troqué sa mini mini jupe par une jupe légèrement plus longue et plus évasée, ... et en route dans la R4 pour la boite de nuit. Nous étions dans les premiers et furent agréablement accueillis. Et c’était parti, pour commencer par une série de rock, elle dansait bien, elle assurait les passes, agréable, puis vint une série de slow et là, nous étions un peu plus nombreux, donc un peu plus serrés et elle s’était vraiment serrée, plutôt, un corps à corps tendre et excitant, puis ce fut relax pour la série suivante. Et arriva une série de tangos, j’aime bien cette danse, elle permet « d’emballer facilement les filles, ou de ramasser une claque. Le cas présent, j’avais peu de chance pour la claque, bien que, … Donc en route pour les tangos, et réussir à glisser une jambe, enfin une cuisse, entre les cuisses de la cavalière et à chaque passe, avec un peu d chance elle va venir se frotter contre la cuisse. Vue la forme de ma cavalière l’introduction entre ses cuisses, fut assez facile et au deuxième tango, elle frottait son entrejambe contre ma cuisse et au troisième sa respiration s’était bien accélérée, et les frottements se prolongeaient à chaque passe. En retournant à notre table, elle était collée contre moi : « Tu es content de toi, … »Moi : « Tu n’as pas aimé, … »Viviane : « Tu sais bien que oui, …ça faisait longtemps que je n’avais pas dansé comme ça, … » A peine assis à notre table, je posais ma main sur sa cuisse, que je caressais discrètement, elle se laissa faire, ce qui parut un bon signe, et arriva une série de valses, nous étions en piste, bien serrés et de nouveau une série de slows, la partie de frotti-frotta repris avec intensité, d’autant que « popol » s’était réveillait et se redressait fièrement. Enfin une série de tangos, … On était de nouveau sur la piste, et aucune difficulté, bien au contraire, pour glisser une cuisse entre les siennes et les frottements reprirent avec une réelle intensité, et le rythme de sa respiration augmenta légèrement, fin de la série, collée contre moi : « On rentre, … »Moi pour la taquiner : « Déjà, … »Viviane : « Oui, … c’est de ta faute, … tu l’as fait exprès, … viens, … »Pas de problèmes, nous quittons notre table et nous nous dirigeons vers la R4. Arrivé à côté, je prends Viviane dans mes bras et l’embrasse goulument, elle se laisse faire et on fait une petite partie de frotti-frotta. Elle se trouve coincée contre la voiture et j’en profite pour remonter sa jupe : « Tu es fou, … qu’est-ce que tu fais, … tu ne vas pas, … »Moi : « Si, … tiens ta jupe, … j’ai envie de te caresser, … »Viviane : « Non, … pas ça, … on rentre, … »Moi : « Non, … je veux te gouter, … je suis sûr que tu as envie que je te caresse, ... ou tu préfères que je te goute, … »Viviane : « Non, … tu es complètement fou, … »Moi alors que je continue à œuvrer et je suis au niveau des bas : « Mais non, … on est tranquille, … il n’y a personne, … juste retiens ta jupe, … une petite caresse et on s’en va, … »Elle ne dit plus rien et sa main gauche attrapa le bas de la jupe, ce qui me permit de glisser ma main droite dans son entrejambe et je pus constater, que malgré ses refus, elle était venue la chatte à l’air. Elle avait certainement une petite idée derrière la tête quand elle s’était changée. Ce qui se confirma quand arrivant sur son minou tout chaud, les cuisses s’écartèrent, un peu, et puis encore un peu, sans compter le bassin qui avança un peu : « Écartes encore un peu, … je n’ai pas assez de place, … »Viviane : « Non, … je ne peux pas, … arrêtes, … j’ai envie de toi, …tu abuses, … je deviens folle avec toi, … oui, … » Les cuisses s’étaient largement écartées et j’avais un merveilleux accès à sa chatte, et son bassin était tellement avancé qu’en caressant la raie de ses grosses lèvres, je pouvais remonter plus loin et plus haut, et ainsi tâter doucement sa rosette, il y eut un « OH » puis en continuant à promener mes doigts d’une raie à l’autre, je finis par entendre ce que je désirais depuis le début de l’opération : « Arrêtes de m’exciter, … rentres, …je vais éclater, … rentres, … » Mais je continuais mon petit manège, et m’arrêtant, je lui proposais de rentrer : « Tu es un monstre, … tu m’excites, … et tu me proposes de rentrer, … je ne vais pas pouvoir conduire, … »Moi : « Donnes moi les clés, … je conduis, … t’inquiètes pas je sais conduire, … » C’est ce qu’elle fit et elle s’installa à la place du passager. Je l’attirais à moi, pour une partie de lèche museau et aussi pour relever sa jupe et lui caresser les cuisses. Elle se laissa faire et resta pendant tout le trajet la jupe remontée de telle façon que j’avais le haut de ses cuisses à portée de main, … Arrivé à son appartement on monta discrètement, de façon à ne pas réveiller les voisins. A peine dans l’appartement nous nous rendîmes dans la salle de séjour, alors que je m’approchais pour la déshabiller, elle me repoussa et son corsage et le dessous furent jetés dans un coin et la jupe en deux coups de hanches était parterre et sans hésiter elle se positionna en levrette sur le canapé avec : « Dépêches toi, … je t’attends, … » et elle glissant une main entre ses cuisses : « Viens, … viens vite, … je suis brulante de désir, … » Je n’avais plus qu’à m’exécuter, et à peine contre elle « popol » fut amené dans sa grotte d’amour dans laquelle il pénétra avec plaisir. Il me fallait être à la hauteur pour satisfaire cette femme, non cette femelle brulante de désir, qui était capable de tout pour être satisfaite, c’était sa chatte qui commandait. Cramponné à ses hanches, je la ramonais avec plaisir tellement elle était ouverte et avec énergie pour la satisfaire et obéir à son plaisir : « Oui, … prends moi, … baises moi, … baises moi fort, … je veux te sentir me prendre, … me prendre fort, … dis-moi que je suis ta salope, …plus fort, … oui, … défonces moi la chatte, … je te veux, … » et je lui claquais les fesses, puisqu’elle aimait ça, cela la faisait réagir, elle se cabrait et en redemandait, c’est alors que je lui saisis les cheveux pour les tirer : « Oui, … brute, … j’aime, … montes moi, … je veux être ta femelle, … oui, … continues, …OOOOHHH, … OUIIII, … c’est bon, …» et elle eut un spasme assez brutal qui la fit se tendre puis se laissait aller pour une nouvelle fois avoir une brutale contraction : « Oui … c’est bon, … » mais petit problème, si elle avait joui, moi j’étais toujours sous pression, je bandais toujours aussi dur, j’avais le plaisir dans les reins, mais rien ne sortait et je ne pouvais pas m’arrêter, j’étais devenu une machine à baiser, phénomène que je ne connaissais pas, mais je continuais à la ramoner avec énergie et Viviane toujours son joli cul en l’air et alors que je m’appliquais à la baiser, posa ses mains sur ses fesses et les écarta, me montrant sa raie bien ouverte, aussi sa jolie rosette. « Ça te plait toujours autant, comme ça ». Me dit -elle.
Moi : « Oui, t’as toujours un joli cul » Viviane : « Tu le veux, ...prends le, … je savais que tu le voudrais, … je me suis préparée pour te l’offrir, … ». Honnêtement, je fus surpris, d’autant que ma hampe coulissait à merveille dans sa moule, mais je fus rapidement rappelé à la réalité. « Alors, … tous les hommes aiment nous prendre par-là, … oui, … viens, … encules moi, … oui, j’en ai envie, … ». Je me positionnais : « Rentres doucement que je m’habitue, … oui, comme ça, … OOOHHH, t’es gros, … doucement, … OOOHHH, … ça y est, … ». Effectivement, elle m’avait complètement absorbé et j’étais sous pression, il fallait que je m’éclate dans son cul ou ailleurs, j’y allais donc à grands coups de reins, ce qui d’ailleurs était apprécié par ma partenaire, qui ne cessait de m’encourager dans la voie qu’elle avait choisie, celle de son joli cul, et je me rendis compte que pendant que je la sodomisais, sa main droite c’était dirigée entre ses cuisses et avait entrepris de caresser sa chatte, en fait pendant que je m’occupais de sa rosette, elle s’occupait activement de son abricot et se branlait. Là plus de paroles, simplement la respiration qui s’accélérait, et elle devait intérioriser son plaisir car si elle s’activait dans sa chatte, moi j’en faisais autant dans son joli culD’un seul coup elle cramponna un coussin, eut un spasme brutal, avec un « OOOHHH, … OUIIIII, … » elle resserra les cuisses, heureusement j’étais entre, car je n’avais pas fini, avec tout ce que l’on avait fait avant, cependant la pression montait, et je continuais à bander dur et il me fallait vider la réserve, mais étant donné qu’elle avait abandonné son abricot, je quittais sa rosette et me dirigeais vers sa chatte que je préférais à son joli cul, le fourreau était plus ouvert plus accueillant et surtout mieux lubrifié. A ce changement, Il me sembla que la pénétration dans sa chatte ne fut pas trop appréciée : « OOHH, non, … arrêtes, … arrêtes STP…je n’en peux plus, … », disant cela elle remua du cul comme si elle voulait se dégager de ma queue encore gonflée et qui ne demandait qu’une chose d’en finir en se libérant son jus. Mais j’étais cramponné à ses hanches et je la baisais à grands coups de reins.
Viviane de nouveau remua du cul, agacée, je lui collais une grande tape sur les fesses, ce qui entraina une contraction agréable et : « Salaud, …, arrêtes, … » mais je ne pouvais m’arrêter, il fallait que je me vide et j’étais au bord de l’explosion, de nouveau un coup de cul, suivi de ma part d’une claque sur les fesses, et une nouvelle contraction du corps de ma partenaire et d’un : « Salaud tu profites, …, OOOHHH, OUIIII…, encore, …, je sens que tu vas me faire jouir, … ouiIII, encore, … », vue les réactions tant du corps que des paroles, j’abusais et de nouveau une claque sur l’autre fesse : « OOOOOHHHHH, …., ne t‘arrêtes je vais jouir, … OUIIII, … , OUIIIIII, … »,enfin le plaisir était monté et je crachais tout mon jus, dans ma partenaire, qui extériorisait son plaisir par une série de spasmes, moins forts que les précédents mais plus nombreux.
Alors qu’on se relevait, elle me dit viens on va se coucher. Le rêve, je n’avais jamais passé une nuit avec une femme. Arrivé dans la chambre on s’écroula sur le lit et elle murmura « Prends moi dans tes bras et fais-moi faire un câlin, et tu partiras ». Il ne fallut que peu de temps avant que Viviane ne s’endormît et moi ensuite en fait nous nous écroulâmes fatigués, vidés.
Au petit matin, Viviane s’était collée contre moi et cela m’avait réveillé, je n’avais pas l’habitude de partager mon lit avec une autre personne, sa présence me réveilla, et je réalisais où j’étais, et j’avais l’impression que des mains parcouraient mon sexe et que celui-ci grossissait de façon démesurée, ce qui me réveilla.
En fait, encore à moitié endormi, je constatais que si mon sexe grossissait c’est qu’effectivement Viviane s’en occupait et me caressait du bout de ses doigts, puis l’état devant la satisfaire elle entreprit de me lécher la tige avant de la prendre en bouche, suçant le gland comme elle aurait sucé, léché une glace, ce qui eut pour effet de me réveiller complétement. Sentant cela, Viviane arrêta (dommage) et remonta, enfin collé contre moi, elle me dit dans un souffle : « Jean, …, aimes moi, …, je voudrais que tu m’aimes, … oui, j’aime le sexe, je suis gourmande de sexe, … tu as su me satisfaire., montres moi que tu peux être aussi un amant attentionné et doux, … fais-moi l’amour, … je voudrais que tu m’aimes, … fais-moi l’amour…, viens, aimes moi, … ».
Sur le moment je ne comprenais pas clairement ce qu’elle voulait que l’on fasse, je le compris ultérieurement, avant on avait baisé, c’était physique, maintenant, on faisait l’amour, il fallait du sentiment. Mais étant donné sa position, sur le dos et les cuisses bien ouvertes Je prenais position sur elle entre ses cuisses, elle me saisit et me guida en elle. M’ayant encerclé de ses jambes, elle se cambra pour mieux se faire pénétrer. Elle était ouverte, chaude, ruisselante de plaisir : « Je t’attendais, … je me suis donné à toi, …, je savais que tu saurais me faire l’amour, …, ouiIII, …, prends moi, …j’aime te sentir me prendre, …., donnes moi du plaisir, … je t’en donnerais … »Bien enfoncé dans sa chatte, je décidais avant de lancer une sérieuse offensive sur et dans sa grotte, de m’occuper de ses seins qui se trouvaient à portée de bouche, ce que j’entrepris systématiquement les léchant puis les aspirant, le gauche puis le droit, et je recommençais. Puis j’abandonnais ces jolies rotondités pour me consacrer à son fourreau bien chaud et bien lubrifié où ma tige coulissait pour le plaisir de sa détentrice qu’elle manifestait bruyamment et pour mon plaisir : « Oui, … continues, … aimes moi fort, … plus vite, … je sens que ça vient, …OUIIII, … continues, remplis-moi de toi, … ». Je m’activais au mieux, pour la satisfaire et pour mon orgueil l’entendre le dire, quand elle partit d’un seul coup : « OUIIIII, … c’est bon, … OUIIIII, … OOOOHHH, … JE JOUIS, …, ... », non seulement je l’entendis, mais elle se cambra brutalement en s’accrochant à mes épaules, laissant dans mon dos quatre belles griffures et de nouveau nous sombrâmes dans un sommeil réparateur.
Le matin vers 8,00 heures nous émergeâmes difficilement. Viviane me voyant émerger, se pencha sur moi, mis un doigt sur ma bouche et me dit : « Tais-toi, dors, je reviens ». Surpris je fis ce qu’on me dit et fermais les yeux, enfin à demi. J’eu alors l’explication. Au saut du lit Viviane n’était plu la « pin-up » du soir, les cheveux en bataille, un bas en tirebouchon, … le drame pour chacun d’entre nous au réveil après une nuit un peu agitée. Une petite demi-heure plus tard Viviane arrivait et me réveillait. Elle était fraiche, recoiffée légèrement maquillée et vêtue d’une sortie de bain, fermée par une ceinture, lui arrivant à mi-cuisse, l’ensemble malgré tout sexy. « Allez, lèves toi, gros paresseux, tu peux prendre une douche pendant que je prépare le petit déjeuner ». Exécution, et pendant que je me refaisais une beauté (???) deux questions me tarabustaient, la première était que dans un moment j’allais devoir dire « au revoir » ou même « adieu » à Viviane, comment devais-je m’y prendre ? La deuxième étant, à mon avis, liée. Viviane était vêtue de cette sortie de bain que je trouvais sexy. En principe, pour moi, après la douche on s’habille pour la journée, on ne se vêt pas d’une sortie de bain. D’où le problème, était-elle nue sous sa sortie de bains ? Si la réponse était positive. Est-ce que ce serait une invite discrète pour quelques caresses avant un départ, ??? Et comment aborder ce départ en tenant compte de la sortie de bains et quand même d’un minimum de courtoisie après ce qui c’était passé entre nous. Certes, j’étais pratiquement certain de lui avoir donné du plaisir au même titre qu’elle s’était donné du plaisir en m’en donnant. Dans cet état d’esprit je me présentais pour le petit déjeuner. Celui-ci terminé Viviane regardant sa montre me dit, « On va se séparer tu pourras partir, il n’y aura plus personne, tout le monde doit être parti au travail ». Je m’approchais d’elle, la prenant dans mes bras et la serrant fort, je l’embrassais. Il y eut un instant de résistance, mais les lèvres s’entrouvrirent, puis s’ouvrirent et nos langues se retrouvèrent, je quittais ses lèvres pour son cou, il y eut dans un souffle un « OOOHHH » langoureux. L’affaire me paraissait être en bonne voie, et je pensais qu’il fallait aller de l’avant. Du coup, je descendais dans le décolleté cherchant les deux belles rotondités qui me semblaient vouloir percer le tissu. Sans difficultés j’atteignais leur agréable souplesse, ceci avec l’aide discrète de Viviane qui avait laissé s’ouvrir plus largement son décolleté, sans pour autant dénuder ses jolis seins, il fallait progresser lentement, mais à chaque prise en bouche un « OOOHHH » donnait son assentiment à la chose. D’autant qu’elle avait la ou les mains sur ma tête et me guidait vers l’un ou l’autre de ses « jolis nénés ». Ma bouche s’occupant activement du haut, je décidais de laisser glisser ma main droite vers le bas afin d’y atteindre son intimité, qui, j’espérais serait nue et accessible. J’écartais les pans de la sortie de bains et atteignais son abricot, avec là aussi l’aide discrète de ma partenaire, qui avait légèrement, très légèrement mais suffisamment écarté les cuisses et avancé imperceptiblement son bassin ce qui me permit d’atteindre le but. Là, de ma main, je couvris complètement sa chatte, là tenant bien au chaud. Cette incursion eut droit à son « OOOHHH » discret. Lentement de mon majeur je remontais le sillon de sa moule, puis je redescendais, à chaque passage, je m’enfonçais un tout petit peu plus ce qui entrainait une augmentation importante de son humidité, mais déclencha aussi, un genre de mécontentement chez Viviane : « Arrêtes, … STP, arrêtes, … ou rentres, … tu veux que je te le demande de prendre ainsi, … oui, rentres, prends-moi, j’en ai envie, … ». Demandé comme cela je ne pouvais refuser d’autant qu’elle avait largement écartée les cuisses et son bassin s’était propulsé sur mes doigts, qui se mouvaient dans des va et vient frénétiques, il fallait la faire « grimper aux rideaux » et je m’y employais, les seins tétés, la chatte travaillée en effervescence, tant et si bien que : « Oui, … continues, …, OOOHHH OUIIII, c’est bon, … OUIIII, … défonces moi avec tes doigts, …, j’aime, … je sens que ça vient, …, ne t’arrêtes, …, OUIIIIIII, …, continues, … , OOOOHHHH, ….». Elle eut un gros spasme qui l’a projetée en avant, puis deux plus petits qui lui firent fermer les cuisses, coinçant de ce fait ma main dans son intimité. Enfin reprenant ses esprits, elle se laissa glisser à mes pieds en disant : « A moi de m’occuper de toi », alors que je voulais me défaire : « Laisses moi faire, je veux sortir moi même ton engin, j’aime le sentir dans ma main, … ». Elle défit pantalon et caleçon dont elle dégagea l’engin comme elle dit. Avant de commencer à lécher ma trique et la prendre en bouche elle me caressa du bout des doigts elle ne fit qu’augmenter la pression. J’avais l’impression d’avoir un engin qui allait exploser. Enfin elle se mit à sucer mon gland, sa langue le parcourant, le léchant puis avalant ma tige, l’aspirant, j’avais un fourreau chaud et humide qui enveloppait et parcourait mon sexe et sa langue titillant le gland avec douceur et ses doigts continuant à me caresser. Il ne fallut pas longtemps pour sentir que la pression montait et que, malgré les excès de la nuit, rapidement j’allais cracher mon jus. Je la prévenais, mais cela ne fit qu’augmenter l’activité de sa bouche et de sa langue sur « popol », qui n’y tenant se soulagea dans la bouche de Viviane qui absorba tout ce qui était mis à sa disposition. M’étant soulagé, elle prit ma tige en main et un dernier coup de langue sur le gland termina l’opération. Se relevant, elle se colla contre moi et me dit : « Va-t-en, … vite, … stp, … »Je filais chercher ma mobylette et en sortant, j’étais obligé de passer devant la fenêtre de la salle à manger du logement de Viviane. Jetant un dernier regard, il me sembla voir sa silhouette sur le côté de la fenêtre, mais mon imagination avait du bien travailler.
Je rentrais donc au campus, fatigué, mais je devais me préparer à partir le lendemain, en emmenant toutes mes affaires (une cantine) et nettoyer la chambre pour la remettre au responsable.
Le lendemain, avec un copain ayant la même destination nous avions décidé de faire route ensemble dans sa 2CV. Après avoir remis les clés des chambres, chargés la voiture, on devait passer au magasin pour que je puisse faire mes adieux. J’arrivais au magasin Odile était là et naturellement je me renseignais pour aller saluer tout le monde, le patron était absent ainsi qu’Evelyne. Je m’inquiétais de son absence quand Odile me dit : « Tu ne l’as pas vue dernièrement »Moi : (Après une hésitation due à la surprise) « Non, pourquoi ? »Odile : « Depuis 5 ans que je travaille avec elle, elle n’a jamais manqué une seule fois et depuis ses derniers quinze jours non seulement elle n’est pas comme d’habitude, mais en plus elle s’est absentée la semaine dernière et aujourd’hui elle m’a fait savoir qu’elle n’était pas bien. Je m’inquiétais ? »Moi : « Désolé, si tu la vois souhaite lui de se rétablir rapidement »Et nous prîmes la route.
Elle apporta le nécessaire les nénés en avant et le cul se balançant avec harmonie. Pour servir, elle se pencha en avant permettant d’avoir une belle vue sur ses seins et au lieu de s’accroupir se pencha en avant mettant en valeur son beau cul. Quand tout fut prêt elle vint s’asseoir sur mes genoux. Le premier verre bu, elle me dit : « J’aimerais que, ce soir, tu m’emmènes danser, … je connais une boite sympa, …ça fait longtemps que j’aimerais y aller, … »« Pas de problème, … on dine, … et on y va, … »Plus l‘apéritif dinatoire avancé et plus elle me montrait ses charmes, plus « popol » avait des idées, afin nous arrivâmes à la fin du supplice et il fut décidé de partir, mais, avant, elle me dit : « Je ne pense pas pouvoir y aller comme ça, … je reviens ? » En revenant, elle avait le même corsage, mais portait en dessous une espèce de t-shirt qui dissimulait ses beaux siens et avait troqué sa mini mini jupe par une jupe légèrement plus longue et plus évasée, ... et en route dans la R4 pour la boite de nuit. Nous étions dans les premiers et furent agréablement accueillis. Et c’était parti, pour commencer par une série de rock, elle dansait bien, elle assurait les passes, agréable, puis vint une série de slow et là, nous étions un peu plus nombreux, donc un peu plus serrés et elle s’était vraiment serrée, plutôt, un corps à corps tendre et excitant, puis ce fut relax pour la série suivante. Et arriva une série de tangos, j’aime bien cette danse, elle permet « d’emballer facilement les filles, ou de ramasser une claque. Le cas présent, j’avais peu de chance pour la claque, bien que, … Donc en route pour les tangos, et réussir à glisser une jambe, enfin une cuisse, entre les cuisses de la cavalière et à chaque passe, avec un peu d chance elle va venir se frotter contre la cuisse. Vue la forme de ma cavalière l’introduction entre ses cuisses, fut assez facile et au deuxième tango, elle frottait son entrejambe contre ma cuisse et au troisième sa respiration s’était bien accélérée, et les frottements se prolongeaient à chaque passe. En retournant à notre table, elle était collée contre moi : « Tu es content de toi, … »Moi : « Tu n’as pas aimé, … »Viviane : « Tu sais bien que oui, …ça faisait longtemps que je n’avais pas dansé comme ça, … » A peine assis à notre table, je posais ma main sur sa cuisse, que je caressais discrètement, elle se laissa faire, ce qui parut un bon signe, et arriva une série de valses, nous étions en piste, bien serrés et de nouveau une série de slows, la partie de frotti-frotta repris avec intensité, d’autant que « popol » s’était réveillait et se redressait fièrement. Enfin une série de tangos, … On était de nouveau sur la piste, et aucune difficulté, bien au contraire, pour glisser une cuisse entre les siennes et les frottements reprirent avec une réelle intensité, et le rythme de sa respiration augmenta légèrement, fin de la série, collée contre moi : « On rentre, … »Moi pour la taquiner : « Déjà, … »Viviane : « Oui, … c’est de ta faute, … tu l’as fait exprès, … viens, … »Pas de problèmes, nous quittons notre table et nous nous dirigeons vers la R4. Arrivé à côté, je prends Viviane dans mes bras et l’embrasse goulument, elle se laisse faire et on fait une petite partie de frotti-frotta. Elle se trouve coincée contre la voiture et j’en profite pour remonter sa jupe : « Tu es fou, … qu’est-ce que tu fais, … tu ne vas pas, … »Moi : « Si, … tiens ta jupe, … j’ai envie de te caresser, … »Viviane : « Non, … pas ça, … on rentre, … »Moi : « Non, … je veux te gouter, … je suis sûr que tu as envie que je te caresse, ... ou tu préfères que je te goute, … »Viviane : « Non, … tu es complètement fou, … »Moi alors que je continue à œuvrer et je suis au niveau des bas : « Mais non, … on est tranquille, … il n’y a personne, … juste retiens ta jupe, … une petite caresse et on s’en va, … »Elle ne dit plus rien et sa main gauche attrapa le bas de la jupe, ce qui me permit de glisser ma main droite dans son entrejambe et je pus constater, que malgré ses refus, elle était venue la chatte à l’air. Elle avait certainement une petite idée derrière la tête quand elle s’était changée. Ce qui se confirma quand arrivant sur son minou tout chaud, les cuisses s’écartèrent, un peu, et puis encore un peu, sans compter le bassin qui avança un peu : « Écartes encore un peu, … je n’ai pas assez de place, … »Viviane : « Non, … je ne peux pas, … arrêtes, … j’ai envie de toi, …tu abuses, … je deviens folle avec toi, … oui, … » Les cuisses s’étaient largement écartées et j’avais un merveilleux accès à sa chatte, et son bassin était tellement avancé qu’en caressant la raie de ses grosses lèvres, je pouvais remonter plus loin et plus haut, et ainsi tâter doucement sa rosette, il y eut un « OH » puis en continuant à promener mes doigts d’une raie à l’autre, je finis par entendre ce que je désirais depuis le début de l’opération : « Arrêtes de m’exciter, … rentres, …je vais éclater, … rentres, … » Mais je continuais mon petit manège, et m’arrêtant, je lui proposais de rentrer : « Tu es un monstre, … tu m’excites, … et tu me proposes de rentrer, … je ne vais pas pouvoir conduire, … »Moi : « Donnes moi les clés, … je conduis, … t’inquiètes pas je sais conduire, … » C’est ce qu’elle fit et elle s’installa à la place du passager. Je l’attirais à moi, pour une partie de lèche museau et aussi pour relever sa jupe et lui caresser les cuisses. Elle se laissa faire et resta pendant tout le trajet la jupe remontée de telle façon que j’avais le haut de ses cuisses à portée de main, … Arrivé à son appartement on monta discrètement, de façon à ne pas réveiller les voisins. A peine dans l’appartement nous nous rendîmes dans la salle de séjour, alors que je m’approchais pour la déshabiller, elle me repoussa et son corsage et le dessous furent jetés dans un coin et la jupe en deux coups de hanches était parterre et sans hésiter elle se positionna en levrette sur le canapé avec : « Dépêches toi, … je t’attends, … » et elle glissant une main entre ses cuisses : « Viens, … viens vite, … je suis brulante de désir, … » Je n’avais plus qu’à m’exécuter, et à peine contre elle « popol » fut amené dans sa grotte d’amour dans laquelle il pénétra avec plaisir. Il me fallait être à la hauteur pour satisfaire cette femme, non cette femelle brulante de désir, qui était capable de tout pour être satisfaite, c’était sa chatte qui commandait. Cramponné à ses hanches, je la ramonais avec plaisir tellement elle était ouverte et avec énergie pour la satisfaire et obéir à son plaisir : « Oui, … prends moi, … baises moi, … baises moi fort, … je veux te sentir me prendre, … me prendre fort, … dis-moi que je suis ta salope, …plus fort, … oui, … défonces moi la chatte, … je te veux, … » et je lui claquais les fesses, puisqu’elle aimait ça, cela la faisait réagir, elle se cabrait et en redemandait, c’est alors que je lui saisis les cheveux pour les tirer : « Oui, … brute, … j’aime, … montes moi, … je veux être ta femelle, … oui, … continues, …OOOOHHH, … OUIIII, … c’est bon, …» et elle eut un spasme assez brutal qui la fit se tendre puis se laissait aller pour une nouvelle fois avoir une brutale contraction : « Oui … c’est bon, … » mais petit problème, si elle avait joui, moi j’étais toujours sous pression, je bandais toujours aussi dur, j’avais le plaisir dans les reins, mais rien ne sortait et je ne pouvais pas m’arrêter, j’étais devenu une machine à baiser, phénomène que je ne connaissais pas, mais je continuais à la ramoner avec énergie et Viviane toujours son joli cul en l’air et alors que je m’appliquais à la baiser, posa ses mains sur ses fesses et les écarta, me montrant sa raie bien ouverte, aussi sa jolie rosette. « Ça te plait toujours autant, comme ça ». Me dit -elle.
Moi : « Oui, t’as toujours un joli cul » Viviane : « Tu le veux, ...prends le, … je savais que tu le voudrais, … je me suis préparée pour te l’offrir, … ». Honnêtement, je fus surpris, d’autant que ma hampe coulissait à merveille dans sa moule, mais je fus rapidement rappelé à la réalité. « Alors, … tous les hommes aiment nous prendre par-là, … oui, … viens, … encules moi, … oui, j’en ai envie, … ». Je me positionnais : « Rentres doucement que je m’habitue, … oui, comme ça, … OOOHHH, t’es gros, … doucement, … OOOHHH, … ça y est, … ». Effectivement, elle m’avait complètement absorbé et j’étais sous pression, il fallait que je m’éclate dans son cul ou ailleurs, j’y allais donc à grands coups de reins, ce qui d’ailleurs était apprécié par ma partenaire, qui ne cessait de m’encourager dans la voie qu’elle avait choisie, celle de son joli cul, et je me rendis compte que pendant que je la sodomisais, sa main droite c’était dirigée entre ses cuisses et avait entrepris de caresser sa chatte, en fait pendant que je m’occupais de sa rosette, elle s’occupait activement de son abricot et se branlait. Là plus de paroles, simplement la respiration qui s’accélérait, et elle devait intérioriser son plaisir car si elle s’activait dans sa chatte, moi j’en faisais autant dans son joli culD’un seul coup elle cramponna un coussin, eut un spasme brutal, avec un « OOOHHH, … OUIIIII, … » elle resserra les cuisses, heureusement j’étais entre, car je n’avais pas fini, avec tout ce que l’on avait fait avant, cependant la pression montait, et je continuais à bander dur et il me fallait vider la réserve, mais étant donné qu’elle avait abandonné son abricot, je quittais sa rosette et me dirigeais vers sa chatte que je préférais à son joli cul, le fourreau était plus ouvert plus accueillant et surtout mieux lubrifié. A ce changement, Il me sembla que la pénétration dans sa chatte ne fut pas trop appréciée : « OOHH, non, … arrêtes, … arrêtes STP…je n’en peux plus, … », disant cela elle remua du cul comme si elle voulait se dégager de ma queue encore gonflée et qui ne demandait qu’une chose d’en finir en se libérant son jus. Mais j’étais cramponné à ses hanches et je la baisais à grands coups de reins.
Viviane de nouveau remua du cul, agacée, je lui collais une grande tape sur les fesses, ce qui entraina une contraction agréable et : « Salaud, …, arrêtes, … » mais je ne pouvais m’arrêter, il fallait que je me vide et j’étais au bord de l’explosion, de nouveau un coup de cul, suivi de ma part d’une claque sur les fesses, et une nouvelle contraction du corps de ma partenaire et d’un : « Salaud tu profites, …, OOOHHH, OUIIII…, encore, …, je sens que tu vas me faire jouir, … ouiIII, encore, … », vue les réactions tant du corps que des paroles, j’abusais et de nouveau une claque sur l’autre fesse : « OOOOOHHHHH, …., ne t‘arrêtes je vais jouir, … OUIIII, … , OUIIIIII, … »,enfin le plaisir était monté et je crachais tout mon jus, dans ma partenaire, qui extériorisait son plaisir par une série de spasmes, moins forts que les précédents mais plus nombreux.
Alors qu’on se relevait, elle me dit viens on va se coucher. Le rêve, je n’avais jamais passé une nuit avec une femme. Arrivé dans la chambre on s’écroula sur le lit et elle murmura « Prends moi dans tes bras et fais-moi faire un câlin, et tu partiras ». Il ne fallut que peu de temps avant que Viviane ne s’endormît et moi ensuite en fait nous nous écroulâmes fatigués, vidés.
Au petit matin, Viviane s’était collée contre moi et cela m’avait réveillé, je n’avais pas l’habitude de partager mon lit avec une autre personne, sa présence me réveilla, et je réalisais où j’étais, et j’avais l’impression que des mains parcouraient mon sexe et que celui-ci grossissait de façon démesurée, ce qui me réveilla.
En fait, encore à moitié endormi, je constatais que si mon sexe grossissait c’est qu’effectivement Viviane s’en occupait et me caressait du bout de ses doigts, puis l’état devant la satisfaire elle entreprit de me lécher la tige avant de la prendre en bouche, suçant le gland comme elle aurait sucé, léché une glace, ce qui eut pour effet de me réveiller complétement. Sentant cela, Viviane arrêta (dommage) et remonta, enfin collé contre moi, elle me dit dans un souffle : « Jean, …, aimes moi, …, je voudrais que tu m’aimes, … oui, j’aime le sexe, je suis gourmande de sexe, … tu as su me satisfaire., montres moi que tu peux être aussi un amant attentionné et doux, … fais-moi l’amour, … je voudrais que tu m’aimes, … fais-moi l’amour…, viens, aimes moi, … ».
Sur le moment je ne comprenais pas clairement ce qu’elle voulait que l’on fasse, je le compris ultérieurement, avant on avait baisé, c’était physique, maintenant, on faisait l’amour, il fallait du sentiment. Mais étant donné sa position, sur le dos et les cuisses bien ouvertes Je prenais position sur elle entre ses cuisses, elle me saisit et me guida en elle. M’ayant encerclé de ses jambes, elle se cambra pour mieux se faire pénétrer. Elle était ouverte, chaude, ruisselante de plaisir : « Je t’attendais, … je me suis donné à toi, …, je savais que tu saurais me faire l’amour, …, ouiIII, …, prends moi, …j’aime te sentir me prendre, …., donnes moi du plaisir, … je t’en donnerais … »Bien enfoncé dans sa chatte, je décidais avant de lancer une sérieuse offensive sur et dans sa grotte, de m’occuper de ses seins qui se trouvaient à portée de bouche, ce que j’entrepris systématiquement les léchant puis les aspirant, le gauche puis le droit, et je recommençais. Puis j’abandonnais ces jolies rotondités pour me consacrer à son fourreau bien chaud et bien lubrifié où ma tige coulissait pour le plaisir de sa détentrice qu’elle manifestait bruyamment et pour mon plaisir : « Oui, … continues, … aimes moi fort, … plus vite, … je sens que ça vient, …OUIIII, … continues, remplis-moi de toi, … ». Je m’activais au mieux, pour la satisfaire et pour mon orgueil l’entendre le dire, quand elle partit d’un seul coup : « OUIIIII, … c’est bon, … OUIIIII, … OOOOHHH, … JE JOUIS, …, ... », non seulement je l’entendis, mais elle se cambra brutalement en s’accrochant à mes épaules, laissant dans mon dos quatre belles griffures et de nouveau nous sombrâmes dans un sommeil réparateur.
Le matin vers 8,00 heures nous émergeâmes difficilement. Viviane me voyant émerger, se pencha sur moi, mis un doigt sur ma bouche et me dit : « Tais-toi, dors, je reviens ». Surpris je fis ce qu’on me dit et fermais les yeux, enfin à demi. J’eu alors l’explication. Au saut du lit Viviane n’était plu la « pin-up » du soir, les cheveux en bataille, un bas en tirebouchon, … le drame pour chacun d’entre nous au réveil après une nuit un peu agitée. Une petite demi-heure plus tard Viviane arrivait et me réveillait. Elle était fraiche, recoiffée légèrement maquillée et vêtue d’une sortie de bain, fermée par une ceinture, lui arrivant à mi-cuisse, l’ensemble malgré tout sexy. « Allez, lèves toi, gros paresseux, tu peux prendre une douche pendant que je prépare le petit déjeuner ». Exécution, et pendant que je me refaisais une beauté (???) deux questions me tarabustaient, la première était que dans un moment j’allais devoir dire « au revoir » ou même « adieu » à Viviane, comment devais-je m’y prendre ? La deuxième étant, à mon avis, liée. Viviane était vêtue de cette sortie de bain que je trouvais sexy. En principe, pour moi, après la douche on s’habille pour la journée, on ne se vêt pas d’une sortie de bain. D’où le problème, était-elle nue sous sa sortie de bains ? Si la réponse était positive. Est-ce que ce serait une invite discrète pour quelques caresses avant un départ, ??? Et comment aborder ce départ en tenant compte de la sortie de bains et quand même d’un minimum de courtoisie après ce qui c’était passé entre nous. Certes, j’étais pratiquement certain de lui avoir donné du plaisir au même titre qu’elle s’était donné du plaisir en m’en donnant. Dans cet état d’esprit je me présentais pour le petit déjeuner. Celui-ci terminé Viviane regardant sa montre me dit, « On va se séparer tu pourras partir, il n’y aura plus personne, tout le monde doit être parti au travail ». Je m’approchais d’elle, la prenant dans mes bras et la serrant fort, je l’embrassais. Il y eut un instant de résistance, mais les lèvres s’entrouvrirent, puis s’ouvrirent et nos langues se retrouvèrent, je quittais ses lèvres pour son cou, il y eut dans un souffle un « OOOHHH » langoureux. L’affaire me paraissait être en bonne voie, et je pensais qu’il fallait aller de l’avant. Du coup, je descendais dans le décolleté cherchant les deux belles rotondités qui me semblaient vouloir percer le tissu. Sans difficultés j’atteignais leur agréable souplesse, ceci avec l’aide discrète de Viviane qui avait laissé s’ouvrir plus largement son décolleté, sans pour autant dénuder ses jolis seins, il fallait progresser lentement, mais à chaque prise en bouche un « OOOHHH » donnait son assentiment à la chose. D’autant qu’elle avait la ou les mains sur ma tête et me guidait vers l’un ou l’autre de ses « jolis nénés ». Ma bouche s’occupant activement du haut, je décidais de laisser glisser ma main droite vers le bas afin d’y atteindre son intimité, qui, j’espérais serait nue et accessible. J’écartais les pans de la sortie de bains et atteignais son abricot, avec là aussi l’aide discrète de ma partenaire, qui avait légèrement, très légèrement mais suffisamment écarté les cuisses et avancé imperceptiblement son bassin ce qui me permit d’atteindre le but. Là, de ma main, je couvris complètement sa chatte, là tenant bien au chaud. Cette incursion eut droit à son « OOOHHH » discret. Lentement de mon majeur je remontais le sillon de sa moule, puis je redescendais, à chaque passage, je m’enfonçais un tout petit peu plus ce qui entrainait une augmentation importante de son humidité, mais déclencha aussi, un genre de mécontentement chez Viviane : « Arrêtes, … STP, arrêtes, … ou rentres, … tu veux que je te le demande de prendre ainsi, … oui, rentres, prends-moi, j’en ai envie, … ». Demandé comme cela je ne pouvais refuser d’autant qu’elle avait largement écartée les cuisses et son bassin s’était propulsé sur mes doigts, qui se mouvaient dans des va et vient frénétiques, il fallait la faire « grimper aux rideaux » et je m’y employais, les seins tétés, la chatte travaillée en effervescence, tant et si bien que : « Oui, … continues, …, OOOHHH OUIIII, c’est bon, … OUIIII, … défonces moi avec tes doigts, …, j’aime, … je sens que ça vient, …, ne t’arrêtes, …, OUIIIIIII, …, continues, … , OOOOHHHH, ….». Elle eut un gros spasme qui l’a projetée en avant, puis deux plus petits qui lui firent fermer les cuisses, coinçant de ce fait ma main dans son intimité. Enfin reprenant ses esprits, elle se laissa glisser à mes pieds en disant : « A moi de m’occuper de toi », alors que je voulais me défaire : « Laisses moi faire, je veux sortir moi même ton engin, j’aime le sentir dans ma main, … ». Elle défit pantalon et caleçon dont elle dégagea l’engin comme elle dit. Avant de commencer à lécher ma trique et la prendre en bouche elle me caressa du bout des doigts elle ne fit qu’augmenter la pression. J’avais l’impression d’avoir un engin qui allait exploser. Enfin elle se mit à sucer mon gland, sa langue le parcourant, le léchant puis avalant ma tige, l’aspirant, j’avais un fourreau chaud et humide qui enveloppait et parcourait mon sexe et sa langue titillant le gland avec douceur et ses doigts continuant à me caresser. Il ne fallut pas longtemps pour sentir que la pression montait et que, malgré les excès de la nuit, rapidement j’allais cracher mon jus. Je la prévenais, mais cela ne fit qu’augmenter l’activité de sa bouche et de sa langue sur « popol », qui n’y tenant se soulagea dans la bouche de Viviane qui absorba tout ce qui était mis à sa disposition. M’étant soulagé, elle prit ma tige en main et un dernier coup de langue sur le gland termina l’opération. Se relevant, elle se colla contre moi et me dit : « Va-t-en, … vite, … stp, … »Je filais chercher ma mobylette et en sortant, j’étais obligé de passer devant la fenêtre de la salle à manger du logement de Viviane. Jetant un dernier regard, il me sembla voir sa silhouette sur le côté de la fenêtre, mais mon imagination avait du bien travailler.
Je rentrais donc au campus, fatigué, mais je devais me préparer à partir le lendemain, en emmenant toutes mes affaires (une cantine) et nettoyer la chambre pour la remettre au responsable.
Le lendemain, avec un copain ayant la même destination nous avions décidé de faire route ensemble dans sa 2CV. Après avoir remis les clés des chambres, chargés la voiture, on devait passer au magasin pour que je puisse faire mes adieux. J’arrivais au magasin Odile était là et naturellement je me renseignais pour aller saluer tout le monde, le patron était absent ainsi qu’Evelyne. Je m’inquiétais de son absence quand Odile me dit : « Tu ne l’as pas vue dernièrement »Moi : (Après une hésitation due à la surprise) « Non, pourquoi ? »Odile : « Depuis 5 ans que je travaille avec elle, elle n’a jamais manqué une seule fois et depuis ses derniers quinze jours non seulement elle n’est pas comme d’habitude, mais en plus elle s’est absentée la semaine dernière et aujourd’hui elle m’a fait savoir qu’elle n’était pas bien. Je m’inquiétais ? »Moi : « Désolé, si tu la vois souhaite lui de se rétablir rapidement »Et nous prîmes la route.
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