Le goût des gros calibres (1)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le goût des gros calibres (1)
Lise était une mère de famille en apparence comme beaucoup d'autres. Agée de 35 ans, deux enfants scolarisés, mariée à Rodolphe, cadre en entreprise, elle-même directrice d'une administration, elle présentait toutes les apparences de la femme bien intégrée dans la société et sans histoire. Petit format (1,60m, 55 kg), elle frappait par son beau visage lisse et ses yeux clairs, ses cheveux blonds mi-longs, son corps menu mais bien proportionné, sa croupe bombée qu'elle moulait souvent dans des jeans étroits. Elle était sexy mais sans excès si bien qu'elle passait pour une femme moderne, urbaine et dynamique.
Et pourtant, elle dissimulait une caractéristique peu avouable : une véritable passion pour l'organe masculin. En d'autres termes, c'était une fondue de la Bite, avec un grand B. Cette addiction au pénis, à la quéquette, à la zigounette, à l'asperge, au chibre, au braquemard, à la queue, à la pine, à la tige, au zob, au dard, à la tringle, à la matraque, au vit, à la hampe, à la verge, au phallus, à l'engin etc., elle la dissimulait tant bien que mal car elle ne voulait surtout pas mettre son couple en péril. Mais face à un pantalon visiblement bien rempli, elle avait un mal fou à ne pas chercher à séduire son propriétaire, histoire de voir de quoi il retournait exactement. Et forcément, parfois, le propriétaire en question ne laissait pas passer l'occasion de se taper ce canon trentenaire si intéressé par ses organes génitaux. Lise se dépêchait d'oublier l'épisode, se culpabilisait tel le fumeur replongeant dans le paquet de cigarette après s'être juré de s'abstenir. Elle s'interrogeait : était-elle nymphomane ou "hypersexuelle" ? Bizarrement, elle ne s'attachait pas à ces amants conjoncturels. Seule la bite de l'homme choisi l'intéressait, afin de tester la longueur, l'épaisseur, la fermeté du gland sous sa langue, la sensation qu'elle lui procurait par son activité intime et son rythme. Pendant le coït, elle commentait le travail de cette bite, généralement sur le mode positif, attitude qui étonnait et ravissait en même temps son propriétaire, surpris d'entendre une telle crudité dans une aussi jolie petite bouche.
Cette passion était née à l'âge de 18 ans. En vacances chez son oncle Léon et sa tante Clotilde, sans enfants, Lise les avait surpris en train de faire l'amour à l'heure de la sieste après avoir été alertée par des bruits incongrus. Se hissant jusqu'à la fenêtre de la chambre donnant sur le jardin, elle avait découvert le couple de quadragénaires, entièrement nu, en plein 69. Outre leur nudité intégrale, totalement inédite pour elle, et cette posture inversée sidérante, ce qui l'avait frappé était le volume du pénis de son oncle que sa tante suçait avec volupté, s'interrompant pour gémir quand la langue de son oncle touchait un point sensible. Puis elle s'était empalée sur lui, rayonnante, enthousiaste même, signe de la joyeuseté de leur accouplement. La suite, dont Lise, fascinée, ne loupa pas une séquence, ne fut que célébration de sa tante, exprimée crûment et sans détour, pour la bite clairement nommée, tendue et gonflée. Lise en rougit des oreilles et faillit se retirer mais une force irrépressible la poussa à regarder en voyeuse. Tout en faisant aller et venir son cul plantureux sur cette bite totalement engloutie dans son tréfonds, elle caressait les couilles de son mari une main derrière son dos, attitude puissamment érotique dont Lise saurait se souvenir plus tard dans ses propres ébats.
Lorsqu'il la bascula sur le lit et l'écartela sans ménagement, Léon y mit une telle énergie que Clotilde, pliée en deux, se mit à proférer une suite d'onomatopées sonores. La voyeuse crut qu'elle souffrait de cette pénétration autoritaire en particulier lorsque, jambes et bras tendus, l'oncle donna l'impression de prendre son élan pour s'enfoncer jusqu'au pubis. Mais non, la tante ne souffrait pas, bien au contraire, de ce coït sans concession. A preuve les ongles plantés dans les fesses masculines en signe d'encouragement et surtout quelques propos bien sentis et bien crus sommant le mâle de ne pas s'arrêter en si bonne voie. Lise n'en revenait pas de la transformation de sa tante, comme si elle n'était plus elle-même.
Mais ce qui la frappa le plus cet après-midi là, c'est quand son oncle éjacula dans la bouche de Clotilde et que celle-ci barbouilla son visage du liquide épais, comme d'une crème de beauté. Ainsi donc, cette bite majestueuse giclait autre chose que de l'urine et cette substance était reçue par la récipiendaire comme un nectar. Autre révélation. Lise descendit précipitamment de son perchoir, bouleversée, cramoisie, et courut se masturber dans sa chambre en pensant à l'organe glorieux qui avait donné tant de plaisir à sa tante. Dès lors, son obsession fut de connaitre la même félicité, surtout après avoir vu le couple entrer dans la cuisine un petit sourire aux lèvres comme après un bon repas...
*******Elle fut donc dépucelée par un godelureau vigoureux mais maladroit et passa par la suite pour une "coucheuse". Mais une fois étudiante, elle rechercha les hommes mûrs et certains ne se firent pas faute de l'éduquer à la véritable sexualité. Les trésors de sensualité que Lise apportait à leur queue faisaient qu'ils avaient du mal à supporter son caractère volage, et elle eut droit à quelques scènes plutôt pénibles. Si bien que la rencontre avec Rodolphe lui permit de clore un épisode tumultueux qui avait fini par gâcher son plaisir. Mais après deux maternités et une vie entre contraintes de famille et responsabilités professionnelles, le démon de la bite finit par la reprendre.
Mais auparavant, elle s'en ouvrit auprès de sa tante Clotilde dont elle était restée très proche. Désormais quinquagénaire, cette dernière manifestait toujours autant de joie de vivre et Lise était sûre qu'elle continuait à faire l'amour. Elle n'avait d'ailleurs pas fait mystère devant sa nièce de son appétence pour le sexe et l'avait encouragée à s'informer auprès d'elle avant son mariage. En confiance, Lise s'était épanchée et lui avait avoué son goût prononcé pour le pénis, sans pour autant raconter d'où il venait.
- Tu aimes ce qui est bon, il n'y a pas de mal à ça. Franchement, je ne connais rien de meilleur, même la bonne bouffe ne peut pas s'aligner, lui avait glissé sa tante en gloussant.
Aussi, quand Lise sentit monter en elle de fortes tentations d'adultère, elle alla trouver sa tante, espérant trouver une parade à son addiction. Ce à quoi la quinquagénaire répondit :- On ne résiste pas à un besoin de bite. Si ton mari ne te satisfait pas, va voir ailleurs, débrouille-toi seulement pour qu'il n'en sache rien.
- Parce que... toi aussi ?
- Ben tiens, qu'est-ce que tu crois. J'aime trop ça pour laisser passer une belle occasion de prendre mon pied. Mais je reste fidèle à Léon, c'est un principe. Si tu aimes vraiment la bite, c'est que tu tiens davantage de moi que de ta mère qui a toujours été un peu coincée. Baise, ma chérie, tant que tu peux baiser, ça ne durera pas toute ta vie.
*********Ainsi dédouanée, Lise sortit peu à peu de sa routine domestique. Lorsqu'elle rencontrait un mâle présentable, quel que soit son âge, son regard ne tardait pas à descendre au niveau de sa braguette. La mode des pantalons moulants lui permettait de jauger les arguments du monsieur, comme si elle disposait d'un oeil laser capable de transpercer l'étoffe. En dépit de tous les clichés concernant les hommes noirs, force lui fut de reconnaitre que leur pantalon était souvent mieux rempli, devant comme derrière, que celui des mâles blancs, si bien que Sénégalais, Ivoiriens, Maliens et autres Béninois eurent en certaines circonstances le bonheur de connaitre l'entrecuisses de Lise. Ce fut pour elle une période très agitée mais aussi riche d'expérience, qu'elle poursuivit en fréquentant assidûment des Antillais, tout aussi bien pourvus, bien entendu en dehors de ses heures de travail et de présence familiale, ce qui impliquait une certaine gymnastique dans son emploi du temps. Un grave incident avec l'épouse d'un Guadeloupéen, qui s'était aperçue des escapades de son mari et l'espionnait, faillit mettre à bas toute sa stratégie érotique. Elle s'en sortit en rompant avec son amant et en indemnisant la femme trompée d'une assez forte somme, ce qui la doucha pour un bon moment des relations exotiques. Mais la bite modeste, quoiqu'assidue, de son mari, finit par réveiller son addiction. Elle augmenta sa culture par des lectures anatomiques mais aussi érotiques, internet lui étant en l'espèce un grand secours. Dès qu'elle disposait d'un moment de tranquillité, elle se connectait sur des sites cochons pour visualiser des vidéos classées "gros sexe" et se masturbait en visionnant de fabuleux braquemards en pleine activité. Mais c'était plus frustrant qu'épanouissant.
Et puis, elle rencontra Timothée. Il était en CDD dans sa boite, affichait tout juste la trentaine, trouait son interlocutrice d'un regard turquoise et quand celle-ci descendit ses yeux à hauteur de sa braguette, ressentit un choc. Son sexe se dessinait clairement sous l'étoffe, comme un point d'exclamation en biais. Il s'était légèrement raidi quand son propriétaire avait maté le cul bombé de Lise, étroitement moulé lui aussi dans un pantalon type seconde peau. La passion de l'une pour les belles bites était conforme à celle de l'autre pour les beaux culs. Dès leur première rencontre, tous deux surent qu'ils allaient baiser ensemble, et même bien baiser. Restait à trouver l'occasion.
********Lise la provoqua habilement en invitant le CDD à l'accompagner pour une tournée de deux jours, dont une nuit, dans une filiale éloignée. Pour ce faire, elle éloigna le titulaire habituel vers une autre mission. Sur le trajet, Lise conduisait jupe haute sur ses cuisses gainées de nylon noir et légèrement entrouvertes, ce qui prépara mentalement le passager à les écarter ultérieurement. Les réunions furent accomplies sans zèle excessif car Lise était pressée de découvrir l'intérieur du pantalon de celui qu'elle appelait désormais Tim. Lui-même avait désormais des difficultés à masquer la tringle qui saillait à hauteur de braguette car les regards que lui adressaient Lise ne laissaient guère place au doute sur ses intentions, et pas davantage les virevoltes de son cul bombé quand elle le précédait.
Arrivé à l'hôtel, la question existentielle fut celle-ci : devaient-ils aller au lit avant ou après le dîner ? Leurs chambres étaient contiguës, et en ouvrant leur porte ensemble, ils échangèrent un regard qui les fit mutuellement fondre. Tim jeta sa valise dans l'entrée, referma la porte et fondit vers Lise qui l'entraina à l'intérieur de sa pièce, direction le plumard. Ils se dévêtirent mutuellement entre deux coups de langue, et Tim découvrit les petits seins ronds de sa supérieure hiérarchique pendant que celle-ci tirait sur pantalon et boxer pour faire jaillir une matraque qui la fit suffoquer de surprise. C'était une des plus belles bites qu'elle eut jamais vues... en blanc. Tendue, légèrement courbée, totalement décalottée, avec un gland violet gros comme un abricot, suffisamment longue et épaisse pour remplir un vagin normalement constitué mais pas au point d'entrainer des lésions internes, comme cela était arrivé malheureusement avec un phénoménal Guinéen.
Bref, la bite idéale et Lise, désormais complètement à poil, pieds compris, se mit à genoux entre les cuisses de son CDD pour lui prodiguer une pipe qu'elle voulut mémorable. Les mains derrière la nuque, le jeune homme la regarda opérer, croisant parfois son regard clair et admirant sa science linguale autour de son gland gonflé. Elle y mettait à la fois de l'ardeur et de l'inventivité, jouant avec ses joues et sa salive, ponctuant par une pression sur les couilles et un lissage de la hampe, confite en dévotion de la Queue. Timothée comprit rapidement que sa tâche la plus délicate serait de ne pas lui éjaculer prématurément à la figure car il tenait à l'écarteler et surtout à l'enculer. A son invitation, Lise abandonna à regret sa succion et s'allongea cuisses en V et coudes sur le matelas. Elle le somma sans ambages :- Vas-y à fond, ne me ménage pas, fais-moi bien sentir ton engin.
Timothée apprécia la démarche car il craignait que ce petit format ne tienne pas le choc de ses ruades. Mais un corps menu dispose souvent de ressources exceptionnelles quand il s'agit de cul. Il l'enfila jusqu'à la garde et les yeux dans les yeux en roulant des hanches. Fouillée par l'imposant braquemard, Lise manifesta aussitôt son enthousiasme en lui talonnant les reins sur fond de sonores interjections. Lui comprit qu'il avait affaire à une vraie baiseuse, passionnée, sans tabous, à la limite du vulgaire, femelle des orteils à la racine des cheveux et à ce titre acceptant la bite comme une pièce de son propre corps. Elle en voulait ? Il lui en donna. Ce fut un coït prolongé, intense, accompli dans diverses positions, où l'un célébra l'inventivité de l'une et l'autre son endurance.
Les choses prirent toutefois une tournure délicate quand il manifesta l'intention de la sodomiser. Il lui expliqua gentiment qu'avec un cul pareil, il était hors de question de ne pas demander un droit de visite. Elle lui répondit que seule la petite bite de son mari avait eu l'opportunité d'entrer et que les gros engins n'étaient pas les bienvenus en raison d'une anatomie rétive. Il lui répliqua que tout était affaire de préparation et sans lui demander son avis, insinua sa langue dans son petit trou. Surprise, elle se laissa faire, y trouva du plaisir d'autant qu'il lui massait le clito en même temps et ressentit un curieux besoin d'introduction anale que le CDD mit un point d'honneur à assouvir, non sans précaution. Lorsqu'il fut totalement engagé, elle se surprit à aller vers lui et il la laissa faire, observant sa croupe somptueuse dans son travail de rotation et de va et viens. Puis le plaisir les submergea et leurs peaux se mirent à claquer sous la vigoureuse enculade. Lise mordit dans l'oreiller pour ne pas hurler de joie. Elle ne s'était sentie autant baisée depuis le phénoménal Guinéen. L'autre cognait dur, glissant dans le rectum comme dans un cocon et il éprouva dans ses reins la brûlure annonciatrice d'une éjaculation massive. Il réussit à limer encore quelques minutes bien que mollissant pour que sa supérieure prolonge son orgasme. Et ce fut fini.
*********Les fredaines adultères de Lise auraient pu continuer ainsi longtemps si Rodolphe, le mari, ne s'était pas aperçu d'un truc. Lise ne lui sautait plus dessus le dimanche matin. C'était contradictoire avec ce tempérament de feu qu'il lui avait toujours connu. Aussi engagea-t-il un détective privé (payé en espèces) pour suivre son épouse pendant ses heures de travail. Le rapport fut sans ambiguïté : elle le trompait régulièrement. La logique aurait voulut qu'il demandât le divorce, preuves à l'appui. Mais il n'en fit rien, car il aimait sa femme malgré tout. Elle ne lui ménageait pas son affection à domicile. C'était comme s'il y avait deux femmes en elle : l'épouse et la femelle. Aussi la prit-il un jour entre quatre'zyeux et lui révéla ce qu'il savait. Elle pleura, le pria de la pardonner, lui expliqua que c'était plus fort qu'elle, ce besoin de sexe, mais qu'elle l'aimait toujours. Elle finit par lui avouer sa passion, son addiction même, pour les gros machins. Ebahi, le mari ne put que constater son insuffisance dans ce domaine. Du moins par rapport à ses propres critères à elle car il trouvait ses érections parfaitement honorables. N'empêche : il y avait désormais de l'eau dans le gaz au sein du couple. Mais Lise eut une idée...
(A suivre)
Et pourtant, elle dissimulait une caractéristique peu avouable : une véritable passion pour l'organe masculin. En d'autres termes, c'était une fondue de la Bite, avec un grand B. Cette addiction au pénis, à la quéquette, à la zigounette, à l'asperge, au chibre, au braquemard, à la queue, à la pine, à la tige, au zob, au dard, à la tringle, à la matraque, au vit, à la hampe, à la verge, au phallus, à l'engin etc., elle la dissimulait tant bien que mal car elle ne voulait surtout pas mettre son couple en péril. Mais face à un pantalon visiblement bien rempli, elle avait un mal fou à ne pas chercher à séduire son propriétaire, histoire de voir de quoi il retournait exactement. Et forcément, parfois, le propriétaire en question ne laissait pas passer l'occasion de se taper ce canon trentenaire si intéressé par ses organes génitaux. Lise se dépêchait d'oublier l'épisode, se culpabilisait tel le fumeur replongeant dans le paquet de cigarette après s'être juré de s'abstenir. Elle s'interrogeait : était-elle nymphomane ou "hypersexuelle" ? Bizarrement, elle ne s'attachait pas à ces amants conjoncturels. Seule la bite de l'homme choisi l'intéressait, afin de tester la longueur, l'épaisseur, la fermeté du gland sous sa langue, la sensation qu'elle lui procurait par son activité intime et son rythme. Pendant le coït, elle commentait le travail de cette bite, généralement sur le mode positif, attitude qui étonnait et ravissait en même temps son propriétaire, surpris d'entendre une telle crudité dans une aussi jolie petite bouche.
Cette passion était née à l'âge de 18 ans. En vacances chez son oncle Léon et sa tante Clotilde, sans enfants, Lise les avait surpris en train de faire l'amour à l'heure de la sieste après avoir été alertée par des bruits incongrus. Se hissant jusqu'à la fenêtre de la chambre donnant sur le jardin, elle avait découvert le couple de quadragénaires, entièrement nu, en plein 69. Outre leur nudité intégrale, totalement inédite pour elle, et cette posture inversée sidérante, ce qui l'avait frappé était le volume du pénis de son oncle que sa tante suçait avec volupté, s'interrompant pour gémir quand la langue de son oncle touchait un point sensible. Puis elle s'était empalée sur lui, rayonnante, enthousiaste même, signe de la joyeuseté de leur accouplement. La suite, dont Lise, fascinée, ne loupa pas une séquence, ne fut que célébration de sa tante, exprimée crûment et sans détour, pour la bite clairement nommée, tendue et gonflée. Lise en rougit des oreilles et faillit se retirer mais une force irrépressible la poussa à regarder en voyeuse. Tout en faisant aller et venir son cul plantureux sur cette bite totalement engloutie dans son tréfonds, elle caressait les couilles de son mari une main derrière son dos, attitude puissamment érotique dont Lise saurait se souvenir plus tard dans ses propres ébats.
Lorsqu'il la bascula sur le lit et l'écartela sans ménagement, Léon y mit une telle énergie que Clotilde, pliée en deux, se mit à proférer une suite d'onomatopées sonores. La voyeuse crut qu'elle souffrait de cette pénétration autoritaire en particulier lorsque, jambes et bras tendus, l'oncle donna l'impression de prendre son élan pour s'enfoncer jusqu'au pubis. Mais non, la tante ne souffrait pas, bien au contraire, de ce coït sans concession. A preuve les ongles plantés dans les fesses masculines en signe d'encouragement et surtout quelques propos bien sentis et bien crus sommant le mâle de ne pas s'arrêter en si bonne voie. Lise n'en revenait pas de la transformation de sa tante, comme si elle n'était plus elle-même.
Mais ce qui la frappa le plus cet après-midi là, c'est quand son oncle éjacula dans la bouche de Clotilde et que celle-ci barbouilla son visage du liquide épais, comme d'une crème de beauté. Ainsi donc, cette bite majestueuse giclait autre chose que de l'urine et cette substance était reçue par la récipiendaire comme un nectar. Autre révélation. Lise descendit précipitamment de son perchoir, bouleversée, cramoisie, et courut se masturber dans sa chambre en pensant à l'organe glorieux qui avait donné tant de plaisir à sa tante. Dès lors, son obsession fut de connaitre la même félicité, surtout après avoir vu le couple entrer dans la cuisine un petit sourire aux lèvres comme après un bon repas...
*******Elle fut donc dépucelée par un godelureau vigoureux mais maladroit et passa par la suite pour une "coucheuse". Mais une fois étudiante, elle rechercha les hommes mûrs et certains ne se firent pas faute de l'éduquer à la véritable sexualité. Les trésors de sensualité que Lise apportait à leur queue faisaient qu'ils avaient du mal à supporter son caractère volage, et elle eut droit à quelques scènes plutôt pénibles. Si bien que la rencontre avec Rodolphe lui permit de clore un épisode tumultueux qui avait fini par gâcher son plaisir. Mais après deux maternités et une vie entre contraintes de famille et responsabilités professionnelles, le démon de la bite finit par la reprendre.
Mais auparavant, elle s'en ouvrit auprès de sa tante Clotilde dont elle était restée très proche. Désormais quinquagénaire, cette dernière manifestait toujours autant de joie de vivre et Lise était sûre qu'elle continuait à faire l'amour. Elle n'avait d'ailleurs pas fait mystère devant sa nièce de son appétence pour le sexe et l'avait encouragée à s'informer auprès d'elle avant son mariage. En confiance, Lise s'était épanchée et lui avait avoué son goût prononcé pour le pénis, sans pour autant raconter d'où il venait.
- Tu aimes ce qui est bon, il n'y a pas de mal à ça. Franchement, je ne connais rien de meilleur, même la bonne bouffe ne peut pas s'aligner, lui avait glissé sa tante en gloussant.
Aussi, quand Lise sentit monter en elle de fortes tentations d'adultère, elle alla trouver sa tante, espérant trouver une parade à son addiction. Ce à quoi la quinquagénaire répondit :- On ne résiste pas à un besoin de bite. Si ton mari ne te satisfait pas, va voir ailleurs, débrouille-toi seulement pour qu'il n'en sache rien.
- Parce que... toi aussi ?
- Ben tiens, qu'est-ce que tu crois. J'aime trop ça pour laisser passer une belle occasion de prendre mon pied. Mais je reste fidèle à Léon, c'est un principe. Si tu aimes vraiment la bite, c'est que tu tiens davantage de moi que de ta mère qui a toujours été un peu coincée. Baise, ma chérie, tant que tu peux baiser, ça ne durera pas toute ta vie.
*********Ainsi dédouanée, Lise sortit peu à peu de sa routine domestique. Lorsqu'elle rencontrait un mâle présentable, quel que soit son âge, son regard ne tardait pas à descendre au niveau de sa braguette. La mode des pantalons moulants lui permettait de jauger les arguments du monsieur, comme si elle disposait d'un oeil laser capable de transpercer l'étoffe. En dépit de tous les clichés concernant les hommes noirs, force lui fut de reconnaitre que leur pantalon était souvent mieux rempli, devant comme derrière, que celui des mâles blancs, si bien que Sénégalais, Ivoiriens, Maliens et autres Béninois eurent en certaines circonstances le bonheur de connaitre l'entrecuisses de Lise. Ce fut pour elle une période très agitée mais aussi riche d'expérience, qu'elle poursuivit en fréquentant assidûment des Antillais, tout aussi bien pourvus, bien entendu en dehors de ses heures de travail et de présence familiale, ce qui impliquait une certaine gymnastique dans son emploi du temps. Un grave incident avec l'épouse d'un Guadeloupéen, qui s'était aperçue des escapades de son mari et l'espionnait, faillit mettre à bas toute sa stratégie érotique. Elle s'en sortit en rompant avec son amant et en indemnisant la femme trompée d'une assez forte somme, ce qui la doucha pour un bon moment des relations exotiques. Mais la bite modeste, quoiqu'assidue, de son mari, finit par réveiller son addiction. Elle augmenta sa culture par des lectures anatomiques mais aussi érotiques, internet lui étant en l'espèce un grand secours. Dès qu'elle disposait d'un moment de tranquillité, elle se connectait sur des sites cochons pour visualiser des vidéos classées "gros sexe" et se masturbait en visionnant de fabuleux braquemards en pleine activité. Mais c'était plus frustrant qu'épanouissant.
Et puis, elle rencontra Timothée. Il était en CDD dans sa boite, affichait tout juste la trentaine, trouait son interlocutrice d'un regard turquoise et quand celle-ci descendit ses yeux à hauteur de sa braguette, ressentit un choc. Son sexe se dessinait clairement sous l'étoffe, comme un point d'exclamation en biais. Il s'était légèrement raidi quand son propriétaire avait maté le cul bombé de Lise, étroitement moulé lui aussi dans un pantalon type seconde peau. La passion de l'une pour les belles bites était conforme à celle de l'autre pour les beaux culs. Dès leur première rencontre, tous deux surent qu'ils allaient baiser ensemble, et même bien baiser. Restait à trouver l'occasion.
********Lise la provoqua habilement en invitant le CDD à l'accompagner pour une tournée de deux jours, dont une nuit, dans une filiale éloignée. Pour ce faire, elle éloigna le titulaire habituel vers une autre mission. Sur le trajet, Lise conduisait jupe haute sur ses cuisses gainées de nylon noir et légèrement entrouvertes, ce qui prépara mentalement le passager à les écarter ultérieurement. Les réunions furent accomplies sans zèle excessif car Lise était pressée de découvrir l'intérieur du pantalon de celui qu'elle appelait désormais Tim. Lui-même avait désormais des difficultés à masquer la tringle qui saillait à hauteur de braguette car les regards que lui adressaient Lise ne laissaient guère place au doute sur ses intentions, et pas davantage les virevoltes de son cul bombé quand elle le précédait.
Arrivé à l'hôtel, la question existentielle fut celle-ci : devaient-ils aller au lit avant ou après le dîner ? Leurs chambres étaient contiguës, et en ouvrant leur porte ensemble, ils échangèrent un regard qui les fit mutuellement fondre. Tim jeta sa valise dans l'entrée, referma la porte et fondit vers Lise qui l'entraina à l'intérieur de sa pièce, direction le plumard. Ils se dévêtirent mutuellement entre deux coups de langue, et Tim découvrit les petits seins ronds de sa supérieure hiérarchique pendant que celle-ci tirait sur pantalon et boxer pour faire jaillir une matraque qui la fit suffoquer de surprise. C'était une des plus belles bites qu'elle eut jamais vues... en blanc. Tendue, légèrement courbée, totalement décalottée, avec un gland violet gros comme un abricot, suffisamment longue et épaisse pour remplir un vagin normalement constitué mais pas au point d'entrainer des lésions internes, comme cela était arrivé malheureusement avec un phénoménal Guinéen.
Bref, la bite idéale et Lise, désormais complètement à poil, pieds compris, se mit à genoux entre les cuisses de son CDD pour lui prodiguer une pipe qu'elle voulut mémorable. Les mains derrière la nuque, le jeune homme la regarda opérer, croisant parfois son regard clair et admirant sa science linguale autour de son gland gonflé. Elle y mettait à la fois de l'ardeur et de l'inventivité, jouant avec ses joues et sa salive, ponctuant par une pression sur les couilles et un lissage de la hampe, confite en dévotion de la Queue. Timothée comprit rapidement que sa tâche la plus délicate serait de ne pas lui éjaculer prématurément à la figure car il tenait à l'écarteler et surtout à l'enculer. A son invitation, Lise abandonna à regret sa succion et s'allongea cuisses en V et coudes sur le matelas. Elle le somma sans ambages :- Vas-y à fond, ne me ménage pas, fais-moi bien sentir ton engin.
Timothée apprécia la démarche car il craignait que ce petit format ne tienne pas le choc de ses ruades. Mais un corps menu dispose souvent de ressources exceptionnelles quand il s'agit de cul. Il l'enfila jusqu'à la garde et les yeux dans les yeux en roulant des hanches. Fouillée par l'imposant braquemard, Lise manifesta aussitôt son enthousiasme en lui talonnant les reins sur fond de sonores interjections. Lui comprit qu'il avait affaire à une vraie baiseuse, passionnée, sans tabous, à la limite du vulgaire, femelle des orteils à la racine des cheveux et à ce titre acceptant la bite comme une pièce de son propre corps. Elle en voulait ? Il lui en donna. Ce fut un coït prolongé, intense, accompli dans diverses positions, où l'un célébra l'inventivité de l'une et l'autre son endurance.
Les choses prirent toutefois une tournure délicate quand il manifesta l'intention de la sodomiser. Il lui expliqua gentiment qu'avec un cul pareil, il était hors de question de ne pas demander un droit de visite. Elle lui répondit que seule la petite bite de son mari avait eu l'opportunité d'entrer et que les gros engins n'étaient pas les bienvenus en raison d'une anatomie rétive. Il lui répliqua que tout était affaire de préparation et sans lui demander son avis, insinua sa langue dans son petit trou. Surprise, elle se laissa faire, y trouva du plaisir d'autant qu'il lui massait le clito en même temps et ressentit un curieux besoin d'introduction anale que le CDD mit un point d'honneur à assouvir, non sans précaution. Lorsqu'il fut totalement engagé, elle se surprit à aller vers lui et il la laissa faire, observant sa croupe somptueuse dans son travail de rotation et de va et viens. Puis le plaisir les submergea et leurs peaux se mirent à claquer sous la vigoureuse enculade. Lise mordit dans l'oreiller pour ne pas hurler de joie. Elle ne s'était sentie autant baisée depuis le phénoménal Guinéen. L'autre cognait dur, glissant dans le rectum comme dans un cocon et il éprouva dans ses reins la brûlure annonciatrice d'une éjaculation massive. Il réussit à limer encore quelques minutes bien que mollissant pour que sa supérieure prolonge son orgasme. Et ce fut fini.
*********Les fredaines adultères de Lise auraient pu continuer ainsi longtemps si Rodolphe, le mari, ne s'était pas aperçu d'un truc. Lise ne lui sautait plus dessus le dimanche matin. C'était contradictoire avec ce tempérament de feu qu'il lui avait toujours connu. Aussi engagea-t-il un détective privé (payé en espèces) pour suivre son épouse pendant ses heures de travail. Le rapport fut sans ambiguïté : elle le trompait régulièrement. La logique aurait voulut qu'il demandât le divorce, preuves à l'appui. Mais il n'en fit rien, car il aimait sa femme malgré tout. Elle ne lui ménageait pas son affection à domicile. C'était comme s'il y avait deux femmes en elle : l'épouse et la femelle. Aussi la prit-il un jour entre quatre'zyeux et lui révéla ce qu'il savait. Elle pleura, le pria de la pardonner, lui expliqua que c'était plus fort qu'elle, ce besoin de sexe, mais qu'elle l'aimait toujours. Elle finit par lui avouer sa passion, son addiction même, pour les gros machins. Ebahi, le mari ne put que constater son insuffisance dans ce domaine. Du moins par rapport à ses propres critères à elle car il trouvait ses érections parfaitement honorables. N'empêche : il y avait désormais de l'eau dans le gaz au sein du couple. Mais Lise eut une idée...
(A suivre)
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